Des mauvaises herbes résistantes au Roundup
La fuite en avant vers toujours plus de pesticides
Un retour aux semences conventionnelles ?
Source Rue89 planète
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Trois mois après le démantèlement de la « Jungle », la tension est à nouveau à son comble à Calais. Les associations « humanitaires » ont réussi leur pari : faire revenir les migrants dont des mineurs qui étaient hébergés dans d’autres régions dans des Centres d’accueil et d’orientation (CAO). L’Etat et la Préfecture du Pas-de-Calais ne prenant aucune mesure concrète, des associations comme Utopia 56 organisent des distributions sauvages dans la Zone industrielle des dunes, à proximité de l’ancienne « Jungle » et du Bois Dubrulle qui est de nouveau occupé par les clandestins. Retour à Calais…
Vendredi 3 mars. 18h15
A la gare c’est comme un air de déjà vu. Les gendarmes arpentent le hall et les quais en attente de l’arrivée du train de Lille toujours squattés par des clandestins. Serge (*), nous attend en voiture à deux pas de l’Hôtel de Ville. Ecoeuré par la situation, ils nous a proposé de nous montrer les points de « fixation » qui sont en train de se recréer.
Direction, la rue des Verrotières, zone industrielle des Dunes. Nous empruntons la rocade portuaire. Près de la station Total, zone d’activités Marcel Doret et des parkings où stationnent les routiers en partance pour le Royaume Uni, des migrants se terrent derrière des barrières.« Ils attendent que la nuit tombe pour tenter de rentrer dans les remorques. Nous revivons l’enfer de ces dernières années et on se demande à quoi sert le mur de protection censé protéger la rocade … ».
En effet. Au rond-point de la station service, le mur n’a pas été achevé et les clandestins peuvent tranquillement passer pour accéder à la rocade.
18h45
Nous arrivons sur la Zone des Dunes. Arrêt au bois Dubrulle située non loin d’un quartier résidentiel. En 2016, ce bois qui était devenu une décharge du fait de la présence des « migrants » a été entièrement nettoyé. Serge nous sort des articles de presse. « 40 tonnes de déchets ont été enlevées sur huit hectares ! La Ville de Calais avec le lycée de Coulogne a replanté un millier d’arbres. » Le site qui avait déjà été nettoyé une première fois en mars 2015 lors du démantèlement d’un squat était censé redevenir un lieu de promenade … « Qui va s’aventurer ici ? » s’interroge Serge en nous montrant un petit groupe de clandestins se diriger vers les bois pour rejoindre un point de distribution sauvage rue des Verrotières où sont installés des hangars et des entreprises.
Un groupe d’Africains, des adultes, a pris ses aises dans un terrain non loin du bois. A la vue de notre photographe, des cris. Un des membres du petit groupe ramasse des pierres pour nous les jeter… Pas de doute, les migrants sont de « gentils enfants ».
« On évacue, grommelle Serge. La maire Natacha Bouchart (LR) a bien tenté de prendre un arrêté «pour interdire les distributions. Comme il n’avait pas prévu de limiter l’interdiction dans le temps et l’espace, les associations se sont enfournées dans la brèche. »
Complètement dépassée, Natacha Bouchart, que Libération surnommait en 2015, « une maire pour les migrants » (1) a indiqué à la presse locale qu’elle prendrait de nouvel arrêté et qu’elle s’en remettait à l’Etat …
Agressifs, rue des Verrotières, les clandestins ont voulu jeter des pierres à notre photographe
19h
Sur la voie ferrée, non loin des hangars, des sacs de couchage et des vêtements abandonnés attestent d’une zone de passage. A notre arrivée, des clandestins âgés de 13 ou 14 ans se cachent. Ils seront interpellés par des CRS.
Quelques minutes plus tard, nous croisons d’autres adolescents qui ont eux aussi déserté les CAO. « Les associations ont tout fait pour les faire revenir, s’indigne Serge. Les migrants c’est la raison d’être des bénévoles et le fruit des subventions qu’ils perçoivent ».
Retour vers le centre-ville de Calais. Trois Erythréens, bien vêtus, les mains dans les poches, se dirigent vers un point de distribution. Ils sont propres, non pas d’effets personnels. Ceux là comme d’autres squattent donc quelque part … « Nous allons lancer une initiative citoyenne pour répertorier les points de fixation et les squats, explique Serge. Il est temps que les citoyens se mobilisent pour leur ville et ne laissent plus le champ libre aux associatifs »
interpellation Zone des Dunes
19h30
Boulevard Lafayette, au coin de la rue des Poilus, le local du Parti Communiste est devenu le refuge de la fange No Border . Comme à l’accoutumée, il regorge de militants et de clandestins. La mouvance « antifa » qui régulièrement fait de l’affichage sauvage dans le centre-ville, sans aucune réaction de la municipalité, annonce un rassemblement pour samedi matin, jour de marché, place d’Armes. Notre guide nous invite à rester une journée de plus.
Samedi 4 mars.
11h45
En maillots de bains, en peignoirs … Une quarantaine de militants pro-migrants, des mélenchonistes, font les clowns, place d’Armes sous le regard bienveillant de De Gaulle et de son épouse … « Des douches et un point d’accueil pour les migrants ». Le message est clair.
Dans la foule clairsemée, Jacky Hénin, l’ancien maire communiste de Calais, candidat aux légistatives, fait son come back. Il est vrai qu’il a écrit sur son blog « qu’il était prêt à aller donner un coup de main pour nourrir les migrants, chose qu’il n’a jamais faite jusqu’alors » (sic).
Des militantes distribuent des tracts appelant « à la désobéissance » tout en dénonçant Natacha Bouchart et « le danger fascisant qui laisse planer l’ombre brune et purulente de la haine sur toute une ville »… Le tout assorti d’un laïus sur la Fraternité « sans distinction de couleur ».
12h
A deux pas de la sauterie gauchiste, sous une arche, deux SDF originaires des Pays de l’Est dorment sur des matelas à même le sol. L’humanité bien pensante ici présente ne les a même pas aperçus. A Calais, le blanc pauvre… ne fait pas recette. Pas assez exotique, sans doute et pas assez rentable.
Clovis Just
Ces propos sont indignes d’un candidat à la magistrature suprême.
En effet, ce dernier, qui n’a manifestement aucune idée de la façon dont il combattra le terrorisme et la criminalité galopante que connaît notre pays, a choisi de s’en prendre directement aux policiers. Summum de la provocation : le chouchou des sondages a même évoqué la « tolérance zéro », non pas contre les délinquants mais contre les policiers !
Voilà une position qui fera certainement plaisir à Mélenchon, à la CGT et au Syndicat de la magistrature. Mais qu’en sera-t-il de l’ensemble de ces fonctionnaires de police qui, depuis des mois, travaillent sans relâche pour la sécurité des Français, au préjudice de leur vie de famille ? Qu’en penseront les centaines de policiers blessés lors des attaques terroristes, des manifestations violentes ou de l’embrasement de nos quartiers ? Apprécieront-ils l’amalgame fait entre l’immense majorité des gardiens de la paix, dévoués et irréprochables, et les quelques ripoux que compte une institution qui permet cependant à notre République de tenir contre vents et marées, même lorsqu’elle est dirigée par des incapables ?
Ces propos sont indignes d’un candidat à la magistrature suprême. Ils traduisent une méconnaissance profonde de nos administrations et de leur histoire. Ils traduisent aussi un réel parti pris en faveur du désordre, à peine dissimulé par une extraordinaire vindicte idéologique. En prenant de telles positions, Macron dévoile ce qu’il est en réalité : un laxiste et un démagogue de la pire espèce. Déjà, son programme en matière de sécurité, d’une rare indigence, dévoile son manque de connaissances en la matière, et la réalité de choix funestes à venir pour notre société, dans le cas malheureux où il serait élu.
Sa police de proximité du quotidien, ripolinage du fiasco de la police de proximité des années 2000, démontre en effet le décalage profond qui existe entre l’ancien banquier de chez Rothschild et la réalité sécuritaire vécue par de nombreux Français. Mais la tranquillité et la sécurité publiques ne sont pas la priorité de ces gens-là. Il est plus important d’envoyer des signes d’apaisement aux voyous que de se préparer à une guerre intérieure inéluctable, mais que l’on ne veut pas mener.Et puis, les sondages ne disent-ils pas que de nombreux policiers seraient tentés par un vote en faveur du Front national ? Alors, pourquoi prendre des gants avec des séditieux ? Inutile de chercher à comprendre les raisons de ces intentions, si tant est qu’elles soient établies. Il faut envoyer un message fort, quitte à diviser, encore et toujours, un corps social déjà malmené.
Ainsi, policiers (nationaux et municipaux), gendarmes, agents de la pénitentiaire, tous sont maintenant prévenus de ce qui les attend en cas de victoire du fils spirituel de François Hollande. Tous savent désormais qu’ils ne seront plus les « chasseurs » mais le « gibier ». Qu’ils seront livrés en pâture à une racaille qui n’en demandait certainement pas tant. Et que, de la même façon que l’on n’attend même plus de connaître la vérité sur les enquêtes mettant en cause des policiers, ils seront susceptibles, eux et leurs familles, à chaque instant, de se voir frappés d’infamie et condamnés sans procès. Vive la démocratie !
http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/macron-tolerance-zero-a-legard-policiers,317222
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
Marine Le Pen va-t-elle être poursuivie pour apologie du terrorisme islamiste ? Ça n’aurait rien d’absurde quand son immunité parlementaire est levée à la demande du pouvoir socialiste pour la poursuivre parce qu’elle a diffusé sur son compte Twitter des photos des atrocités de Daech.
En décembre 2015, Marine Le Pen avait posté trois photos dont celles de l’exécution du journaliste américain James Foley, avec le texte : « Daech, c’est ça ! » En marque de protestation contre le parallèle ignoble fait par Jean-Jacques Bourdin entre l’Etat islamique et le Front national sur RMC-BFM. Lors d’une interview de Gilles Kepel, Bourdin avait déclaré : « Je voudrais revenir sur les liens… euh… entre Daech et le Front… enfin les liens, pas les liens directs, entre Daech et le Front national, mais ce repli identitaire, qui finalement est une communauté d’esprit, parce que l’idée pour Daech c’est de pousser la société française au repli identitaire. »
Le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) a ouvert une information judiciaire à l’encontre de la présidente du Front national pour « diffusion d’images violentes ». Pendant ce temps, personne n’inquiète Macron sur les 120 000 euros détournés de son ministère de Bercy pour le lancement d’En Marche !, ni sur les trois millions touchés chez Rothschild (il ne paie pas l’ISF) ni sur la sous-estimation de son patrimoine.
La levée d’immunité parlementaire de Marine Le Pen, votée à main levée au Parlement européen, a été dirigée par le député grec d’extrême gauche, Dimitrios Papadimoulis.
« Je suis député, je suis dans mon rôle quand je dénonce Daech », a déclaré la candidate jeudi, dénonçant « une enquête politique ». « Les députés européens qui ont voté la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen admettent donc qu’ils sont des godillots qui n’ont pour rôle que d’entériner les décisions des instances européennes antinationales et qui jouent le jeu des islamistes en cachant leurs monstruosités », a réagi le directeur de campagne David Rachline.
Ils n’ont trouvé que ça ? Parce qu’ils n’ont rien d’autre. Et en plus ils sont nuls. Ces poursuites contre Marine, parce qu’elle a dénoncé la barbarie des égorgeurs islamistes, vont évidemment lui attirer un immense courant de sympathie.
Caroline Parmentier
Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 4 mars 2017
Pierre Bacqué, conseiller départemental du canton de Fontainebleau, a appris qu'on lui retirait sa délégation de président du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de Seine-et-Marne. Celle-ci a été décidée par le président (LR) du Département Jean-Jacques Barbau. La raison ? Le parrainage de Pierre Bacqué à la candidate à l’élection présidentielle du Front national, Marine Le Pen. Jean-Jacques Barbau explique :
« Je ne peux accepter ni cautionner ce geste contraire aux valeurs que la majorité départementale de la droite et du centre défend jour après jour. Je ne peux par ailleurs exposer cette grande institution qu’est le Service départemental d’incendie et de secours aux aléas et controverses que ne manquerait pas de générer la position de son actuel président. C’est pourquoi j’ai décidé en responsabilité de retirer, sans délai, à Pierre Bacqué ma délégation le plaçant à la présidence du Sdis de Seine-et-Marne. »
Pierre Bacqué répond :
« Mon parrainage, je l’ai donné dans le cadre de mes responsabilités du maire du Vaudoué, dont je suis maire depuis 1989 ».
Soutien politique ?
« Prenez le dictionnaire et regardez la définition du mot parrainage pour le savoir ». « Je me place dans une éthique purement démocratique et non partisane. Je trouve inadmissible que la représentante d’un parti qui va récolter pas moins de 40 % au deuxième tour de la présidentielle ne parvient toujours pas à obtenir ses 500 parrainages. De même, il est regrettable que les banques refusent de lui prêter de l’argent. Mon discours, Jean-Luc Mélenchon le tient aussi, je ne fais que reprendre ses termes. Je n’adhère pas au Front national, mais lui donne mon parrainage, c’est aussi simple que ça. »
Marine Le Pen se rend ce jour à la mairie du Vaudoué. Questionné sur l’ambiguïté que peut susciter la venue de la présidente frontiste sur sa commune bien qu’il maintient « ne pas adhérer au Front national » tout en reconnaissant souscrire à certains pans de la vision de Marine Le Pen « concernant le monde rural », Pierre Bacqué persiste :
« Mon parrainage s’inscrit dans une logique démocratique, voilà tout. Il n’a pu être possible que parce que la peine de mort a été enlevée du programme de Madame Le Pen. C’était ma ligne rouge. »
« Je tiens simplement à dire que le martinet, ça ne marche pas avec moi. Ceci étant, je réaffirme que j’ai toujours apprécié Jean-Jacques Barbaux en tant que président du conseil départemental. Il fait un excellent travail, je l’ai toujours soutenu et je continuerai à appuyer la politique du Département. Il fait ce qu’il veut concernant ma délégation. Mais son acte me conforte dans mon opinion à propos du parti Les Républicains. Quand il parle de mon parrainage comme un geste contraire aux valeurs, cela me fait bien rire. Lorsque l’on représente un mouvement politique qui s’accommode des problèmes de Monsieur Fillon, on évite de parler de valeurs. Je suis simplement fatigué d’avaler des couleuvres. Pour moi, la démocratie, c’est la liberté de penser. Et mon cas prouve que l’on peut encore prendre des risques à mon âge. »
Et ceux qui abandonnent François Fillon en rase campagne, seront-ils sanctionnés ?
Michel Janva
– FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
L’institut Gatestone a analysé l’étude « être né en France d’un parent immigré » publiée par l’INSEE en février. Selon celle- ci, le Grand remplacement semble se confirmer en France.
Les statistiques ethniques sont pourtant interdites en France ?
En effet, mais il est possible de déduire certains ordres de grandeur en mettant en perspectives plusieurs données intrinsèquement neutres. Ainsi, en 2015, 7,3 millions de Français avaient au moins un parent immigré, soit 11 % de la population. 46 % de ceux ci sont originaires d’Afrique ou de Turquie. A ce chiffre, nous pouvons ajouter les 6,2 millions d’immigrés.
Cela fait donc 13,5 millions de personnes d’origine étrangère récente en France
Contre 12 millions en 2011, soit une augmentation de 9 % alors que la population des Français nés de parents français n’a quasiment pas bougé. En d’autres termes, c’est la composante immigrée de la population française qui nourrit la croissance démographique de la France.
Et particulièrement les personnes originaires d’Afrique noire ?
En effet, les immigrés et enfants d’immigrés originaires d’Afrique dite subsaharienne ont augmenté de 43 % et 80 % de ceux ci ont moins de 25 ans en 2015. Cette population n’a donc pas encore apporté sa pleine contribution au repeuplement de la France. Cela rejoint une autre étude de l’INSEE de 2014, prédisant un doublement de la population originaire d’Afrique noire d’ici 10 ans.
Au total, la population d’origine musulmane pourrait atteindre les 15 à 17 millions d’ici 2025
En effet, les 6 millions d’aujourd’hui pourraient être 12 millions d’ici 8 ans. Il convient d’ajouter les descendants des premiers immigrants, désormais comptabilisés comme des Français nés de Français et sortant donc du radar ainsi que les clandestins de plus en plus nombreux. La prophétie de Houari Boumédienne « le ventre de nos femmes nous donnera la victoire » semble plus que jamais en passe de se réaliser.
Selon Jean-Christophe Fromantin, qui déclare à Samuel Pruvot dans Famille chrétienne :
"Les départs sont proportionnels à l’opportunisme ! Ceux qui craignent le plus pour leur carrière, ceux qui sont le moins sûrs d’eux et le moins bien implantés localement, sont les premiers à partir. Ils quittent le navire en pleine tempête de manière précipitée et ils symbolisent pour moi ce qu’est devenue la politique… A savoir un système sans loyauté, avec peu de convictions, où la gestion des carrières guide uniquement les choix.
La légitimité de François Fillon est celle de la primaire ?
J’ai toujours été réservé vis-à-vis du système des primaires. Cela a fragmenté la droite qui se reconstruit aujourd’hui autour des clans : les fillonistes, les juppéistes, les sarkozystes, etc. La légitimité de Fillon dépend plutôt de sa capacité à remettre en cause un système dont il a profité lui aussi... Il est le paratonnerre mais tous les autres ont fait pareil que lui. C’est bien hypocrite de jouer aux vierges effarouchées de la part de cette vieille classe politique. Tout le monde a croqué un jour ou l’autre et cela génère la défiance des citoyens. [...]