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magouille et compagnie - Page 1674

  • Krach financier et bancaire en vue ! L’Europe passive et impuissante

    Marc Rousset

    L’Autorité bancaire européenne vient de reconnaître officiellement le risque très grave que représentent les créances douteuses dans les bilans des banques. Mais cet aveu de l’ABE n’est, en fait, que l’arbre qui cache la forêt d’un krach bancaire en vue, suivi d’un krach financier, nonobstant l’inéluctable remontée à venir des taux d’intérêt qui peut déclencher, à terme, un krach obligataire et boursier suffisant, à lui seul, pour mettre aussi au tapis toutes les banques européennes !

    Les raisons d’un krach bancaire sont multiples : montant faramineux des créances bancaires douteuses, des capitaux propres bancaires insuffisants pour faire face aux véritables risques des actifs financiers niés par les médias, la folie et l’importance démesurée des marchés des produits dérivés, la quasi-faillite de nombreuses banques avec la Deutsche Bank en tête de liste. Quant à la politique monétaire laxiste de création monétaire européenne par la BCE au rythme de 80 milliards d’euros par mois, pour faire baisser l’euro et les taux d’intérêt, elle ne pourra pas être poursuivie indéfiniment.

    Il faut, aussi, savoir que les États et l’Union européenne ont mis en place des fonds « bidon » ridicules et notoirement insuffisants pour sauver les dépôts des entreprises et des particuliers en cas de faillites bancaires. Ces fonds, de plus, ont des capitaux propres insuffisants ; leurs ressources reposent essentiellement sur des emprunts.

    On voit donc toute la fragilité du système car, in fine, ces emprunts devront aussi être remboursés par des contribuables.

    L’Europe fera face, un jour ou l’autre, au problème des créances douteuses dans les bilans des banques européennes, soit 47 % en Grèce, 47 % à Chypre, 20 % au Portugal, de l’ordre de 10 % dans les pays de l’Est européen, et surtout de 16 % en Italie !

    L’Irlande, que l’on pourrait croire sauvée selon les cocoricos médiatiques, en pratiquant le vol fiscal et la concurrence fiscale déloyale avec les pays du continent européen, ne l’est pas puisque son ratio de créances bancaires douteuses est de 14 %.

    Le montant des créances douteuses, en Italie, est de 360 milliards d’euros. L’État italien vient de sauver deux de ses banques les plus connues avec maintes difficultés. Il ne semble pas en mesure de sauver toutes les banques si une déflagration se produit. Le talon d’Achille de la zone euro, c’est l’Italie, avec des conséquences directes sur les créances détenues par les banques françaises !

    Seuls les contribuables nationaux seront en mesure de combler, théoriquement, les créances douteuses des banques européennes. L’Italie n’a pas respecté les règles européennes consistant à faire payer les déposants lors des derniers sauvetages bancaires car c’était, tout simplement, politiquement et moralement impossible, sous peine de voir Beppe Grillo arriver au pouvoir.

    Si l’Histoire est imprévisible, les krachs financiers et bancaires sont, eux, prévisibles, mais le Système est malin, vicieux, rusé et sait se défendre en manipulant les cours de l’or par les prêts en or des banques centrales aux banques, en utilisant tous les artifices comptables et de l’endettement public ou privé tous azimuts. Et n’oublions pas, enfin, qu’au-delà de la Grèce et de l’Europe du Sud, des États comme la France et même les États-Unis et le Japon, c’est-à-dire les derniers payeurs, le dernier recours après un krach bancaire, sont déjà en quasi-faillite ! Ce monstrueux château de cartes conduira inéluctablement à une catastrophe européenne et mondiale qui sera pire qu’en 1929 !

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Horreur : la vérité circule hors de tout contrôle sur les nouveaux médias

    6a00d83451619c69e201b7c8d3466e970b-200wi.pngDans Minute, Jeanne Smits revient sur la création des Décodex, symptôme de la manipulation des médias dominants pour garder le contrôle de l’information. Extrait :

    "[...] Un mauvais paternalisme veut que les internautes aient besoin qu’on leur tienne la souris pour guider leurs pas sur Internet. L’information y circule comme jamais dans l’histoire. La désinformation est certainement vieille comme l’information ; elle est dans la Genèse quand Adam tente de rejeter sur Eve la responsabilité de sa propre chute, elle est dans les rumeurs qui montent et font renverser les rois, elle est chez Beaumarchais – « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » – ; elle est chez Goebbels et dans la « Pravda ». Machiavel n’a-t-il pas mis au jour une nouvelle vertu politique : le mensonge ? Mais aujourd’hui, c’est le mensonge à la vitesse de la lumière, ou, pire, pour les grands de ce monde tremblant dans leurs bottes, la vérité qui circule hors de tout contrôle. Ce n’est pas une mince ironie que de voir la section « histoire » du « Courrier international », membre du groupe « Le Monde », consacrer un article aux « fausses informations » en… 1789 ! « Les “fake news” déjà à l’origine de la Révolution française » ! Le siècle des Lumières aurait ainsi « servi d’incubateur au monde de la postvérité » et sans ces mensonges, gageons que Louis XVI aurait gardé sa tête…

    Contre le pouvoir ou avec lui, la fausse information est au service de celui qui le manie avec le plus d’aplomb. Dans la dénonciation actuelle des « fakes », il y en a déjà un, énorme, qui devrait mettre la puce à l’oreille de l’auditeur-spectateur-lecteur averti : l’idée que les fausses informations seraient toutes d’un seul côté et qu’il appartiendrait au pouvoir de les débusquer et le cas échéant de les interdire. Quelque chose a certainement basculé avec l’affaire des agressions sexuelles de Cologne à la Saint-Sylvestre 2015. Ce sont des réseaux sociaux qui ont permis de révéler une vérité que le pouvoir local et national en Allemagne voulait étouffer à tout prix [...].

    Pour la campagne britannique, les fausses informations venaient surtout d’en face : les représentants de « l’établissement » politique et financier annonçaient l’apocalypse en cas de vote pour la sortie de l’UE. Sept mois plus tard, le Royaume-Uni peut se targuer d’avoir l’économie affichant la plus forte croissance dans le monde développé. Pour ce qui est de Trump, on a largement accusé les « fakes » d’avoir favorisé son élection, ce qui est faux. [...]

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Face aux médias de propagande l’heure des médias alternatifs

    Discours de clôture de la 8e cérémonie des Bobards d’Or, par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia.

    Cette cérémonie vient à nouveau de le démontrer, la presse écrite subventionnée et les radios et télévisions autorisées à émettre ne sont pas des médias d’information mais des médias de propagande.

    Ils diffusent la doxa de l’oligarchie.

    Ils véhiculent une idéologie unique : ils sont mondialistes et libre-échangistes en économie ; ils sont partisans de l’immigration, favorables à l’expansion de l’islam, hostiles au contrôle aux frontières. Bref, ils sont immigrationnistes, islamo-soumis et sans frontiéristes sur les questions identitaires ; en matière sociétale, ils détricotent les règles de la vie en société, ce sont des déconstructionnistes ; en politique étrangère, ils sont atlantistes, affiliés au Qatar, russophobes et hostiles à Trump.

    Voilà les quatre clés de leur vision du monde.

    Pour la propager et l’imposer ils utilisent toutes les techniques de propagande : ils occultent ou minorent les événements qui les dérangent ; ils montent en épingle les faits qui les arrangent et les scénarisent à outrance ; ils désinforment en s’appuyant sur les ressorts émotionnels : il y a les images qu’ils montrent à l’infini et celles qu’ils cachent. Ils angélisent ceux qui « pensent bien » et diabolisent les autres. Et ils censurent. Une censure que les petits flics de la pensée réclament aujourd’hui ouvertement. Et, bien sûr, quand il le faut ils recourent à l’arme ultime de la désinformation : le bel et bon Bobard !

    Seulement voilà, les médias officiels ont perdu leur monopole : ils doivent désormais faire face à des concurrents redoutables : les médias alternatifs et les réseaux sociaux :
    – Eux font émerger les faits et les analyses qui dérangent ;
    – Eux font émerger le réel : un réel qualifié de « post vérité » par les tenants de la novlangue médiatique ;
    – Une bataille gigantesque est engagée entre la réinfosphère et les médias de propagande ;
    – En 2016, la réinfosphère et les médias alternatifs ont accumulé les victoires : le Brexit, l’élection de Trump, l’élimination d’Alain (« Ali ») Juppé.

    Mais les médias de propagande n’ont rien perdu de leur superbe : ils ont leur candidat à l’élection présidentielle : le sémillant Macron. Ils espèrent prendre leur revanche en le faisant élire.

    Tout est fait pour promouvoir Macron.

    Tout est fait pour le protéger : il n’y aura pas d’investigation sur les conditions du bradage à des intérêts étrangers d’Alsthom et de Technip, deux fleurons de la technologie française ; il n’ y aura pas plus d’investigation sur les liens de Macron avec le groupe Drahi à qui il a permis d’acquérir SFR lorsqu’il était secrétaire général adjoint de l’Elysée ; pas d’investigation non plus sur la levée de fonds que Macron est allé effectuer à Londres sans respect des règles du financement politique ; pas davantage d’investigation sur le financement de la société de stratégie électorale PROXEM qui fournit à Macron ses éléments de langage à coups d’algorithmes ; et pourtant ce serait intéressant de savoir qui a réglé les factures de cette société et sur quel compte politique cela figure ; pas d’investigation non plus sur ce banquier d’affaires qui a accumulé les millions tout en ayant… des coquetteries avec l’impôt sur la fortune.

    Ah ! Comme nos médias de propagande savent ne pas être curieux quand il le faut !

    Ils ne le sont pas davantage sur le programme de Macron. Il est vrai que son projet est clair : défendre le Système et s’aligner en tous points sur la bien-pensance, cette bien-pensance dont le philosophe Marcel Gauchet nous dit qu’elle « engendre la crétinisation ».

    Les #MédiasDePropagande vont utiliser tous les moyens pour nous imposer Macron :
    – Avant le premier tour : la démolition de Fillon ;
    – Entre les deux tours : l’hyperdiabolisation de Marine Le Pen.

    Voilà le scénario des médias. Voilà pourquoi il est essentiel de saper ce qui leur reste de crédibilité. Montrer les mensonges d’hier pour faire douter des affirmations de demain. Ils vous ont menti dans le passé, ils vous mentiront dans l’avenir ! Voilà pourquoi il faut pointer les désinformations et les mensonges des médias de propagande.

    C’est la mission d’i-média sur TVLibertés.

    C’est aussi cela, la fonction de la cérémonie des Bobards d’Or : se libérer par le rire.

    Mais il faut aller au-delà ! La réinfosphère ne doit pas se contenter d’une fonction critique, elle doit aussi produire de l’information. Et elle le fait. Le temps des médias alternatifs créateurs de contenus d’information est venu.

    Qui a fait des reportages sur la Syrie… en allant en Syrie, sinon Boulevard Voltaire et TV Libertés ? Qui a produit les statistiques du Grand Remplacement – à partir du dépistage de la drépanocytose, cette maladie génétique rare qui ne touche pas les nouveau-nés européens –, sinon Fdesouche et Polémia ? Qui a informé complètement des actions de la Manif pour tous, des Veilleurs, des Sentinelles, sinon Le Salon Beige ? Qui a levé l’omerta sur les agressions sexuelles d’un « migrant » d’Arzon, sinon Breizh-info, prévenu par un lanceur d’alerte ? Qui informe sur les relations troubles entre de nombreux maires et l’UOIF ou les salafistes, sinon l’Observatoire de l’islamisation ? Face aux médias de propagande l’heure des médias alternatifs est venue. A vous de les aider !

    Jean-Yves Le Gallou / 6 février 2017

    http://bobards-dor.fr/

  • “Une guerre de désinformation et de propagande”

    « Je pense sincèrement que Marine Le Pen peut être élue »,  « Elle a des casseroles, mais ce sont des casseroles en teflon, rien n’adhère » soupire Xavier Bretrand le président de la région Hauts-de-France,  dans un article publié dans Le Point ce matin.  Une frousse partagée par  le président LR de la région PACA, Christian Estrosi.  Invité ce matin de RTL,  M. Estrosi,  en tournée de promotion pour la sortie d’un livre d’entretien de très mauvaise facture,  Il faut tout changer (sic), commis  avec le très antinational journaliste Maurice Szafran, expliquait que le FN  était le pire danger pour la France et Marion la pire des Le Pen. Au-delà de l’affaire Pénélope, François Fillon est pourtant lui aussi  suspecté, bien qu’il s’en  défende,  de collusion avec le diable Poutine dont il serait le candidat adoubé avec Marine Le Pen.  Ce  dernier tenterait de s’immiscer dans la campagne présidentielle française via les sites Sputnik News et Russia Today,  cités dans un récent rapport du Parlement européen comme participant de  la  « guerre de désinformation et de propagande russe ». Accusation de désinformation, de propagande,  qui ne pourrait être portée à l’encontre des gros médias français détenus par de grands groupes financiers,  dont les  patrons roulent ouvertement pour les écuries euro-libérales? 

    Le site Sputnik dans le collimateur  de Bruxelles n’arrange pas sa sulfureuse réputation auprès des grands prêtres de la morale progressiste en annonçant  qu’ Emmanuel Macron soutenu par des parrains irréprochables  comme MM. Attali, Minc ou  BHL,  devra faire face à un certain nombre de révélations.  Julian Assange fondateur de WikiLeaks, affirmait le 3 février  dans le journal Izvestia  «être en possession de données remarquables sur l’ancien ministre de l’Économie. Nous possédons des informations intéressantes concernant l’un des candidats à la présidence française, Emmanuel Macron, dit-il dans des propos rapportés par Sputnik News. Ces éléments proviendraient du piratage russe des mails de Hillary Clinton et de John Podesta, qui était son directeur de campagne (…) En cas de révélations, il ne s’agirait pas de la première fuite de documents confidentiels américains évoquant le nom d’Emmanuel Macron. Le 8 novembre dernier, WikiLeaks dévoilait un échange datant d’août 2015 entre Hillary Clinton et John Podesta au sujet de l’organisation d’un dîner avec Emmanuel Macron, à l’époque ministre de l’Économie. Il était aussi question d’une table ronde organisée par le premier ministre Manuel Valls, pour discuter du défi de la globalisation de l’économie et du développement technologique mais aussi du développement d’un récit économique et fructueux pour contrer la droite et les populistes de la gauche. Emmanuel Macron devait y assister, tout comme une trentaine de personnalités politiques du monde entier.»

    Contrer le populisme reste un objectif vital pour un PS au plus mal, dont les pseudopodes, une coquille vide comme sos racisme, mais aussi l’Union des Etudiants juifs de France (UEJF)viennent de lancer une nouvelle campagne digitale contre le FN.  La chaîne de l’homme d’affaires israélien Patrick Drahi, I24, rapporte ainsi que «Plusieurs membres (de l’UEJF)  sont allés à la rencontre de militants du FN à Lyon dimanche (…). Les sympathisants du parti d’extrême droite filmés par l’UEJF ont multiplié les clichés antisémites et entres autres fait la promotion du négationnisme (…).»

    Sacha Ghozlan, président de l’UEJF depuis le mois de juin a été interrogé par I24NEWS mardi.  Rassurez-vous,  certainement pour éviter les clichés, il n’a pas été questionné sur la loi soutenue par le Premier ministre d’extrême droite Benjamain  Netanyahou,  qui venait d’être votée  dans la nuit par la  Knesset, le Parlement israélien,  autorisant  le vol des terres privées palestiniennes en légalisant  rétroactivement  4.000 logements de colons  en Cisjordanie.

    Non, M. Ghozlan s’est contenté  de  présenter son opération lyonnaise car  «Depuis 3 ans, avec des comités citoyens locaux et SOS Racisme, nous analysons et décryptons les déclarations des maires FN et nous voyons bien que le parti  n’a pas changé. C’est un parti autoritaire, qui divise et stigmatise les populations et qui est un piètre gestionnaire des finances publiques (sic). Après cette conférence de presse, nous nous sommes rendus devant le lieu du Congrès du FN pour distribuer des tracts révélant ces informations sur le parti d’extrême-droite. En sortant de la salle , les militants FN recevaient les tracts et crachaient leur haine en retour a-t-il affirmé.»« On voit bien les ressorts de l’antisémitisme complotiste, de l’antisionisme et du négationnisme dans les propos des militants Front National précise-t-il. »,

    Il  suffirait pourtant  aux commissaires de l’UEJF  de se livrer à la même opération  à l’entrée d’un grand magasin, d’une  réunion publique de Mélenchon, Fillon ou Hamon pour y recueillir en cherchant bien  des propos semblables. Car la démonstration réside dans la sélection d’un  petit nombre de témoignages allant dans le sens de ce que voulait entendre l’UEJF,  décrites comme représentatives  de l’opinion des  milliers de personnes présentes  à la convention présidentielle de Marine.  Et quand les militants frontistes reçoivent  des mains  des militants de l’UEJF des tracts  insultants et réagissent avec plus ou moins de colère, M. Ghozlan dit qu’ils crachent leur haine… ben voyons! Bref,  cette opération est un grossier  exemple  de technique de manipulation constate Bruno Gollnisch.  N’en doutons pas,  il y en aura d’autres dans les prochains mois.

    https://gollnisch.com/2017/02/08/guerre-de-desinformation-de-propagande/

  • EOLIENNES UN SCANDALE D'ETAT, LE LIVRE RÉQUISITOIRE D'ALBAN D'ARGUIN EST SORTI : COMMANDEZ-LE, DIFFUSEZ-LE !

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  • Nouvelle offensive du totalitarisme à l’école

    L’année 2016 aura vu, entre autres, une nouvelle offensive socialiste contre l’enseignement libre. Sur la suggestion de Mme Vallaud-Belkacem, le gouvernement a pris deux mesures dirigées contre ces établissements… 

    • invoquant l’article 14 déciès de sa liberticide loi Egalité et Citoyenneté, adoptée en décembre dernier, il a obtenu du Parlement l’autorisation de préparer dans les six mois une ordonnance instituant un régime d’autorisation remplaçant la simple déclaration actuelle ;

    • par le décret n° 2016-1452 du 28 octobre 2016, relatif au contrôle de l’enseignement dans les établissements libres ou dans les familles, il fait du « socle commun » de connaissances le critère majeur de ladite autorisation. Ainsi, les établissements libres devront aligner leurs programmes et méthodes sur ceux de la « grande maison ».

    Ces mesures ont été adoptées au mépris de l’opposition des établissements privés, de leurs personnels, de la Fédération nationale de l’Enseignement privé, de l’association des parents d’élèves des établissements hors contrat (FPEEI), de l’Association des Maires de France et des parlementaires d’opposition. De plus, afin de s’épargner toute joute parlementaire et d’empêcher le débat de s’installer dans le pays, avec le risque de se trouver acculé au retrait de son projet, comme en 1984, le pouvoir s’apprête à légiférer par ordonnances.

    Belle leçon de démocratie de la part de gens qui n’ont que ce mot à la bouche ! Mme Vallaud-Belkacem inscrit son projet dans le cadre de la lutte contre la radicalisation de la jeunesse.

    Ne feignons pas de ne pas comprendre le dessein réel du pouvoir socialiste. Il ne s’agit pas de lutter contre la radicalisation des jeunes, mais d’assurer l’alignement idéologique, moral et politique de l’enseignement libre sur l’Éducation nationale. Un propos d’une collaboratrice du ministre en dit long : Mme Caroline Beyer affirme que « la liberté de l’enseignement ne connaît qu’une limite : le respect des valeurs de la République ».

    C’est clair : non le respect de la morale et du droit, mais celui des « valeurs de la République », c’est-à-dire du conformisme de gauche, du politiquement correct qui imbibe toute notre société et enserre les âmes et les cœurs. La radicalisation musulmane importe peu aux socialistes ; ce dont ils se défient, c’est de la morale chrétienne des écoles catholiques hors contrat, de leurs programmes originaux, de leurs pratiques pédagogiques différentes, si loin de l’idéologie universaliste et égalitaire « républicaine ».

    L’actuel ministère aura-t-il le temps de légiférer avant l’élection du printemps prochain ? Et, dans l’affirmative, François Fillon défera-t-il ce qui aura été fait, s’il est élu ? On ne sait, mais assurément la liberté de l’enseignement (quoique inscrite dans la Constitution) ne va vraiment pas de soi dans ce pays. 

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/02/07/nouvelle-offensive-du-totalitarisme-a-l-ecole-5908325.html

  • Aulnay-sous-Bois : Hollande et la gauche s'allient à la racaille

  • Immigration illégale depuis la Libye : ça continue de plus belle !

    8795-20170208.jpgRéunis vendredi dernier à Malte, les dirigeants des vingt-huit pays de l’UE ont affirmé dans leur déclaration commune vouloir « casser le modèle économique des passeurs ». Ils se sont en effet rendu compte de la chose suivante : « Plus de 181 000 arrivées ont été détectées en 2016 et, depuis 2013, le nombre de décès ou de disparitions en mer atteint un nouveau record chaque année. » Faut-il se réjouir de cette prise de conscience ? Non, car elle n’a rien de nouveau et les prises de conscience de l’UE sont rarement suivies d’effet.

    « La décision établissant une opération navale de l’UE afin de casser le business model des réseaux de passeurs et trafiquants en Méditerranée vient d’être prise », clamait déjà en mai 2015 Federica Mogherini, haute représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité. Le business model, c’est le modèle économique, et ce qui a été dit à Malte le 3 février avait donc déjà été dit près de deux ans plus tôt, avec les conséquences que l’on sait : le renforcement du dispositif naval européen au large des côtes libyennes et son effet de pompe aspirante qui en a fait un service de navette entre la Libye et l’Italie, accroissant le nombre d’immigrants et accessoirement de morts.

    Sur le site de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker se félicite d’ailleurs des résultats de ce sommet informel de Malte et de l’aval donné aux propositions de la Commission « visant à mieux gérer les flux migratoires et à sauver les vies le long de la route de la Méditerranée centrale ».

    Alors certes, les vingt-huit évoquent une collaboration avec le gouvernement libyen de Fayez el-Sarraj et avalent l’accord signé la veille entre M. el-Sarraj et le Premier ministre italien Paolo Gentiloni. Seulement le « gouvernement d’entente nationale » siégeant à Tripoli ne contrôle qu’une partie des côtes libyennes et, avec le foutoir mis dans ce pays en 2011 par le président français Nicolas Sarkozy et son Premier ministre François Fillon, le renforcement des garde-côtes libyens promis par l’UE ne saurait stopper l’afflux d’immigrants vers l’Europe.

    Au cours du week-end qui a suivi le sommet des vingt-huit, quelque 1 500 immigrants ont été repêchés en Méditerranée par les navires européens malgré les conditions météo difficiles. Ceci amène le total des immigrants amenés en Italie par le dispositif européen à 4 500 depuis mercredi !

    Tout reste donc comme avant dans cette Europe passoire et il y a urgence pour la France à récupérer la maîtrise de ses frontières.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 8 février 2017

    http://fr.novopress.info/203331/immigration-illegale-depuis-libye-continue-de-plus-belle/

  • Les Français de plus en plus sceptiques face aux médias

    Les médias multiplient les instruments pour débusquer l'intox, le désintox, le décodex, sans s'apercevoir que cela ne renforce pas leur crédibilité. L'AFP vient de s'associer au réseau First Draft qui lance le projet CrossCheck et à Facebook avec son outil de fact-checking, intégré au réseau social. CrossCheck, lancé par le réseau First Draft et Google News Lab, est un outil collaboratif qui rassemble des partenaires médias, technologiques et académiques pour lutter contre la propagation de la désinformation en ligne et faciliter l’accès du grand public à une information vérifiée. Le réseau First Draft rassemble... toujours les mêmes désinformateurs professionnels, jaloux de leur pré-carré et qui craignent pour leur suprématie intellectuelle.

    Samedi, Louis Aliot attaquait en direct sur BFM TV:

    "les médias parlent, mentent et manipulent".

    A droite, de nombreux militants de François Fillon accusent les mêmes médias d’avoir orchestré l’affaire Penelope.

    Le discrédit croissant du secteur éclate dans la dernière livraison de l’enquête sur "La confiance des Français dans les médias", publiée chaque année par le quotidien La Croix et la société Kantar. L’enquête réalisée début janvier montre que le divorce entre les Français et leurs médias s’aggrave :

    "Cette méfiance se manifeste d’abord par un certain désintérêt pour l’information, qui surprend en pleine campagne électorale. Plus d’un Français sur trois suit les nouvelles avec peu d’intérêt. Il faut remonter 30 ans en arrière, en 1987, pour retrouver une telle indifférence. Ensuite, la perte de confiance n’épargne aucun média. La radio reste le média le plus sûr, mais avec un taux de crédibilité de… 52% seulement, en baisse de trois points sur un an. Suivent dans l’ordre, la presse (44% de crédibilité, -7 points) et la télévision (41%, -9 points, la plus forte baisse). Internet (26%, -5 points) ferme la marche: trois Français sur quatre ne font pas confiance aux informations venues du web.

    Tous les médias sont donc en baisse et tous, sauf la radio, évoluent sous la barre des 50% de crédibilité. Plus inquiétant encore, parmi les Français, les champions du scepticisme sont… les moins de 35 ans. [...]

    On ne sait pas comment les attraper, insistait le directeur de la rédaction de France Inter. "Tout un pan de l’opinion considère qu’on lui raconte des cracks et que la vérité se trouve dans des sites parallèles. Dans l’optique de la présidentielle, c’est une problématique sérieuse". Le discrédit de la politique a déteint sur les médias qu'ils ne ménagent pas. "Nous sommes mis dans le même sac que la classe politique que nous interviewons, constate le directeur général de BFM TV Hervé Béroud. Pour beaucoup de Français, nous sommes du même monde et ce monde-là n’est pas le leur."

    I

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La trahison Macron : chapitre 1, la vente d'Alstom !

    Une seule consigne : on ne le lâche sur rien !!! Avis à tous les lecteurs qui ont des informations et des liens sérieux et recoupés sur les autres sujets de trahison.

    Vous trouverez d'autres références sur cette affaire en suivant ce lien.

    Paula Corbulon