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magouille et compagnie - Page 1675

  • Emmanuel Macron dans les pas de Christiane Taubira

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : En matière de « réforme sociétale », comme dit maintenant pour ne pas nommer les choses, Emmanuel Macron a enfilé les bottes de Christiane Taubira. C’est particulièrement clair sur la question de la GPA, la Gestation pour autrui, autrement dit l’ignoble pratique des « mères porteuses ».

    En plein débat sur le mariage homosexuel et ses conséquences en matière de filiation, Christiane Taubira, alors garde des Sceaux, avait envoyé une circulaire aux juridictions en date du 25 janvier 2013 dans laquelle elle leur demandait de délivrer des certificats de nationalité française aux enfants nés de GPA à l’étranger bien que la loi française interdise formellement cette pratique. Pas grave pour le ministre de la Justice de donner pour consigne d’enfreindre la loi !

    Dès cette époque, d’éminents juristes avaient dénoncé un premier pas du gouvernement socialiste vers une légalisation de la GPA. Las, si la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la France en juin 2014 et si la Cour de cassation a suivi en juillet 2015 en adaptant sa jurisprudence aux consignes de Mme Taubira, le président Hollande et son gouvernement ne sont pas allés plus loin durant tout le reste du quinquennat au grand dam des associations homoparentales décidées à permettre la GPA en France. L’élection présidentielle approchant à grands pas, Emmanuel Macron a remis le débat sur le tapis dans un entretien au magazine homosexuel Têtu paru lundi dernier.

    Le candidat d’En Marche !, qui avait récemment affirmé que la « France opposée au mariage pour tous » avait été humiliée, aurait dû adopter une position ferme contre la gestation pour autrui. Pas du tout !

    Comme à son habitude, le candidat de l’« extrême centre » comme d’aucuns le surnomment avec ironie, s’est montré équivoque sur la question de la GPA.Selon lui en effet, « ce sujet soulève un débat philosophique sur la capacité à disposer de son corps et à le marchandiser, […] un débat impossible à trancher » !

    Même s’il dit ne pas être « favorable à autoriser la GPA en France ». il ajoute aussitôt qu’« en revanche, il faut permettre la reconnaissance née par GPA à l’étranger », car, à ses yeux, « on ne peut pas les laisser sans existence juridique. Ces enfants participent d’un projet d’amour » (sic). C’est pour cette raison qu’il a l’intention de « compléter la circulaire Taubira ».

    La Manif pour tous a immédiatement dénoncé via son compte Twitter un « argument fallacieux » puisque l’existence juridique d’un enfant né à l’étranger ne repose pas sur la nationalité de ce dernier. Macron serait‑il ignorant ou cynique ?

    Aude Mircovic, maître de conférences en droit privé et porte‑parole de l’association Juristes pour l’enfance, penche pour la seconde option. Dans une tribune publiée hier par Figarovox intitulé « Macron et la gestation pour autrui : la grande hypocrisie », elle accuse l’ancien ministre de l’Economie d’« inventer une illusoire injustice à laquelle pourrait seule remédier la reconnaissance de la GPA à l’étranger d’abord et, nul n’est dupe, en France très bientôt pour « arrêter l’hypocrisie » » , ajoutant :

    « Pour mieux promouvoir la GPA, Emmanuel Macron s’engouffre à son tour dans cette voie éculée du mensonge mais qui fonctionne si bien qu’il aurait presque tort de s’en priver. »

    Alors, Macron, Taubira, même combat ? Un autre point commun au moins les relie : l’un et l’autre ont reçu le soutien de Pierre Bergé, ce qui est tout sauf anecdotique.

    http://fr.novopress.info/

  • Près de 40 000 immigrés dorment toutes les nuits à l’hôtel

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b8d2658676970c-800wi.jpgDans le gros millefeuille que représente le rapport annuel de la Cour des comptes, rendu public le 17 février dernier, il y a, au chapitre concernant « l’hébergement des personnes sans domicile », une facture salée et difficile à avaler : une note d’hôtel présentée comme celle des « sans domicile fixe », les SDF, nos bons vieux clochards d’autrefois. En 2015, elle s’est élevée à 234 millions d’euros, alors que, dans le même temps, on nous expliquait qu’il n’y avait jamais eu tant de SDF à la rue – et tant de morts parmi les SDF. Le collectif « Morts de la rue » assure par exemple que, en 2015, 498 « sans domicile fixe », d’une moyenne d’âge de 49 ans, sont décédés faute d’avoir eu un toit. […] 

    En 2014, on recensait quotidiennement au plan national 32 300 nuitées d’hôtel affectées à des personnes sans domicile fixe. En 2015, ce chiffre est passé à 37 950, soit 16,5 % de plus ! Au prix moyen de 16,9 euros la nuitée, la facture annuelle a donc atteint, pour la seule année 2015, 234 millions d’euros (16,9 euros x 37 950 nuitées x par les 365 jours de l’année). […]

    La Cour des comptes écrit qu’en janvier 2016, 40 % des demandeurs d’asile étaient hébergés en dehors des structures pérennes du ministère de l’Intérieur, soit par leurs propres moyens, soit dans les dispositifs d’urgence généralistes, dont les hôtels représentent près de 40 % de l’offre ! Dans sa circulaire de février 2015, Bernard Cazeneuve ne cachait d’ailleurs pas que les migrants représentaient une importante partie de cette nouvelle et abondante clientèle. […]

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Un député européen ne peut pas dénoncer des horreurs commises par des islamistes

    Le Parlement européen a approuvé jeudi la levée de l'immunité parlementaire de Marine Le Pen, réclamée par la justice française qui lui reproche d'avoir diffusé des images d'exactions de Daesh sur son compte Twitter.

    Cette levée, à effet immédiat, ne concerne que cette enquête. Cette levée était demandée par le parquet de Nanterre, qui a ouvert une information judiciaire à l'encontre de Marine Le Pen pour "diffusion d'images violentes". En décembre 2015, la présidente du FN avait diffusé trois photos sur Twitter avec le texte "Daesh c'est ça!": un homme vêtu d'une combinaison orange sous les chenilles d'un char, un homme vêtu de la même manière enflammé dans une cage et un corps d'homme décapité avec la tête posée sur le dos. Elle protestait contre le "parallèle ignoble" effectué par le journaliste de RMC, Jean-Jacques Bourdin, entre Daesh et le Front national.

    "Je suis députée, je suis dans mon rôle quand je dénonce Daesh", a-t-elle estimé. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Viktor Orban dénonce la complaisance de l'UE envers les crimes du communisme

    Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a déclaré lors de la journée de commémoration des victimes du communisme qu’ils sont nombreux, ceux qui en Occident « trouvent encore des excuses aux crimes du communisme ».

    6a00d83451619c69e201bb097ed667970d-800wi.jpg« L’Union européenne elle-même hésite à les condamner sans équivoque ».

    « Tout cela s’explique par le fait qu’alors qu’un tribunal militaire international a jugé les crimes du nazisme, les représentants du monde libre ne sont pas parvenus à un verdict aussi sévère après l’effondrement du communisme, en réponse à ses crimes ».

    « Les Hongrois ont compris qu’ils ne peuvent être libres que s’ils ne renoncent plus jamais à la souveraineté : nous n’aurons d’avenir que s’il est à la fois libre et hongrois – seul un pays de Hongrois libres a un avenir. Pour cette raison, nous devons toujours et tout de suite écraser les œufs de vipère du communisme et du fascisme ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • SIA 2017. “Où est passé l’argent de la PAC ?”, cri de la Conf’

    conf_mae.jpg

    Pour Stéphane Le Foll, Ministre de l’Agriculture, la question des retards de paiements des aides aides à la conversion en agriculture biologique et au maintien de l’agriculture biologique, c’est comme le scotch du capitaine Haddock.

    Lors de ses déplacement en province, le sujet le poursuit, comme en Seine-Maritime la semaine dernière.  Avec le Ministre très présent au salon de l’agriculture, les interpellations se font quotidiennes lors des rencontres avec les professionnels. Et le ton monte…

    De fait, la totalité des aides à la conversion et à la reconnaissance des services environnementaux (dites “maintien”), ainsi que certaines mesures agro-environnementales (MAEC) dues au titre des années 2015 et 2016, n’ont toujours pas été versées.

    La Confédération Paysanne a même organisé une manifestation dédiée au sujet le 28 février dans les allées du Salon. L’objectif était de se rendre au stand de l’Agence de Service et de Paiement. Et ça a été l’occasion d’interpeller directement Stéphane Le Foll, présent sur le stand voisin du Ministère de l’Agriculture.

    La suite

    https://www.actionfrancaise.net/2017/03/01/2691/

  • Émeutes ethniques : Du racisme anti-blanc à la guerre de colonisation raciale

    Drancy, Trappes, Argenteuil, Clichy-sous-Bois, Mantes-le-Jolie, Corbeil-Essonnes, Dammarie-Les-Lys, les Ulis, Chantilly, Nantes, Sartrouville, Torcy, la liste des villes où des enclaves ethniques se trouvent en état d’insurrection ouverte s’allonge depuis plusieurs jours. Traduction évidente – et soigneusement occultée – d’une solidarité entre des populations qui, pourtant, ne se connaissent pas.

    Solidarité raciale

    Cette solidarité n’est pas “sociale” comme les ahuris du gauchisme en fin de parcours tentent de le faire croire. Elle est exclusivement raciale. C’est la formation d’une entité de plus en plus “homogène” quant à ses réactions et ses représentations : celle de l’immigration afro-orientale qui s’agglutine inexorablement dans les métropoles et villes de France.

    Les réseaux sociaux sont les moyens de mobilisation privilégiés par ces masses essentiellement régies par des réflexes grégaires. Le point de déclenchement de cette vague d’émeutes raciales – voire religieuses au vu des slogans lancés aux policiers tel que “allahou akbar” – est le faux viol monté de toutes pièces par un subsaharien de Bobigny, Théo Luhaka.

    La population française, psychologiquement neutralisée par un incessant travail de rééducation médiatique et politique, reste passive. Elle vit dans un état de déni permanent, oubliant ou feignant d’oublier que la France est dans un état chronique de guerre interethnique de basse intensité, avec près de 40 000 véhicules détruits chaque année par les allogènes. Dont près de mille pour la seule Saint Sylvestre (voir ici). Ceci pour ne rappeler que le volet des destructions matérielles générées par les attaques systématiques de l’envahisseur.

    La presse d’état, qui a dressé le bûcher des quatre policiers de Bobigny, se fait désormais silencieuse. L’artifice conçu pour mobiliser l’électorat immigré – avec l’aval d’un François Hollande posant au pied de la “victime” imaginaire – a dépassé de beaucoup les attentes des tacticiens de l’Élysée et de la gauche socialiste. Les masses afro-musulmanes réclament “justice”, c’est-à-dire des représailles aveugles, guidées par une haine raciale inextinguible envers les Français de souche et tout ce qui représente leur pays et son ordre social.

    Quand la racaille use de l’excuse morale pour mener sa guerre de colonisation raciale

    Les bandes afro-musulmanes de Bobigny, pourtant coutumières des viols collectifs, prétendent se découvrir une nouvelle moralité et s’insurgent au sujet du faux “viol” de Luhaka. En réalité, les masses maghrébines et africaines n’ont cure des faits.

    La question n’est pas morale mais purement politique : il s’agit de contester la domination et la légitimité des Blancs sur leur terre et de tout ce qui peut l’incarner ou la défendre. La culpabilité de l’homme blanc repose, à leurs yeux, sur sa seule existence. La police française constitue, depuis des décennies, le “phallus symbolique” de l’autorité blanche en France. Elle incarne une domination autochtone de plus en plus intolérable aux yeux d’extra-européens qui s’estiment “chez eux”.

    Rappelons le fameux “Sacrifice de poulets” de “Minister AMER” :

    Cette populace allogène, travaillée par un puissance complexe d’infériorité, recherche en permanence des boucs émissaires dont elle entend soutirer un tribut. Et ces victimes expiatoires sont désignées sur la seule base de leur appartenance raciale : ce sont les Blancs.

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  • Levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen : un recul démocratique

    Théoriquement, les députés français au Parlement européen sont protégés, sur le territoire national, par leur immunité parlementaire. Laquelle, immunité parlementaire, répond à la définition posée par le droit français. La levée d’une immunité parlementaire n’est pas une décision qui se prend à la légère. Songez plutôt que, sous la Ve République, l’Assemblée nationale n’a statué qu’à quarante-cinq reprises sur une demande de levée d’immunité parlementaire. Seules quinze demandes ont finalement été accordées, dont sept depuis la réforme constitutionnelle de 1995. À chaque fois, il s’agissait de cas particulièrement graves : Bernard Tapie qu’on ne présente plus ; Sylvie Andrieux, élue socialiste accusée du détournement de centaines de milliers d’euros de subventions via un montage sophistiqué d’associations fictives ; ou bien encore Georges Tron, qui était renvoyé aux assises pour des accusations de viols, affaires toujours en cours pour lesquelles il a déjà bénéficié de plusieurs non-lieux.

    La différence de traitement entre les députés français au Parlement européen et leurs condisciples du Parlement national est pourtant importante. Comment l’expliquer ? Il appartient au Parlement européen, sous pavillon multikulti teuton, de lever l’immunité de ses membres en répondant à des critères différents de ceux du Parlement français.

    Une fois le Parlement européen saisi par les autorités judiciaires françaises d’une demande de levée de l’immunité, la commission des affaires juridiques du Parlement européen l’examine. Bizarrement, dès qu’une demande concerne un élu du Front national, la Commission répond toujours favorablement aux autorités ! Y compris pour des motifs qui ne seraient, en aucun cas, retenus par le Parlement français.
     
    Ainsi, le Parlement européen avait décidé de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen, après avoir été saisi par le parquet de Nanterre ; lequel avait ouvert une enquête préliminaire pour « diffusion d’images violentes », suite à la diffusion d’un tweet de Marine Le Pen comprenant des images représentant des actes de barbarie réellement perpétrés par l’État islamique. En somme, Marine Le Pen est poursuivie pour avoir montré la nature de l’État islamique, en réponse à Gilles Kepel, qui établissait une comparaison honteuse entre cette engeance meurtrière et un parti politique plébiscité par des millions d’électeurs français… Il est à parier que la demande n’aurait pas trouvé satisfaction s’il s’était agi du Parlement français. En effet, la demande de levée de l’immunité parlementaire de Gilbert Collard a été rejetée le 22 février dernier car la requête de la justice n’a pas été jugée « suffisamment sérieuse ».
     
    À quoi peut donc servir l’immunité parlementaire des députés français au Parlement européen ? Normalement, la commission des affaires juridiques doit vérifier qu’il n’y a pas fumus persecutionis (présomption suffisamment sérieuse et précise que la procédure ait été engagée dans l’intention de nuire à l’activité politique du député). C’est pourtant manifestement le cas en l’espèce, puisque l’enquête du parquet de Nanterre a été ouverte immédiatement après des déclarations enflammées du ministre de l’Intérieur d’alors, Bernard Cazeneuve. Il aurait été toutefois difficile à la commission des affaires juridiques de rejeter la demande pour fumus persecutionis, étant donné que ses membres sont tous farouchement anti-Front national. Le Parlement européen est un complice objectif de l’Élysée qui entend parasiter la campagne présidentielle avec des « affaires ». Cachez ce terrorisme qu’ils ne sauraient voir ! Cachez ces élus qu’ils ne sauraient entendre !

    http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/levee-de-limmunite-parlementaire-de-marine-pen-recul-democratique,316712

  • Politique magazine, numéro de mars : « L’Élu »

     Découvrez le numéro de mars !

    DOSSIER : MÉDIAS ET POUVOIR

    L’affaire Fillon pourrait bouleverser la physionomie de l’élection présidentielle. Le piège manifeste qui a été tendu au candidat des Républicains et la promotion simultanée d’Emmanuel Macron posent la question du rapport entre pouvoirs politique et médiatique. La presse gouverne-t-elle ? 

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

    Sommaire

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Marine Le Pen fait face à une opération médiatique de grande ampleur

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    A un mois et demi des élections présidentielles, la charge politique et médiatique contre Marine Le Pen ne faiblit pas. Mise en cause de manière assez floue dans une affaire hautement médiatisée d’emplois fictifs au Parlement européen, cible de livres et d’articles sur la prétendue corruption du Front National qui sortent à point nommé et caricaturée dans un film sur un parti nationaliste, Marine Le Pen doit faire face à une opération d’une ampleur qui n’est pas sans rappeler celle menée contre Donald Trump.

    Où en est cette campagne médiatique ?

    Dernier rebondissement : le scandale orchestré autour d’une de ses déclarations lors de son meeting nantais de dimanche. En effet, lors de son discours elle a déclaré, je cite : « Je veux dire aux fonctionnaires, à qui un personnel politique aux abois demande d’utiliser les pouvoirs d’État pour surveiller les opposants, organiser à leur encontre des persécutions, des coups tordus, ou des cabales d’État, de se garder de participer à de telles dérives. Dans quelques semaines, ce pouvoir politique aura été balayé par l’élection. Mais ses fonctionnaires, eux, devront assumer le poids de ces méthodes illégales. Ils mettent en jeu leur propre responsabilité. L’Etat que nous voulons sera patriote ». Unanimement, les responsables politiques de gauche, les médias et les syndicats, dont le très militant Syndicat de la magistrature, se sont insurgés contre ce qu’ils qualifient de « menaces édifiantes ».

    Quel est l’objectif de cette opération particulière ?

    En réagissant publiquement et en tirant à boulets rouges sur Marine Le Pen par voie médiatique, les différents acteurs de l’opération menée contre elle espèrent bien créer une tempête dans un verre d’eau. Marine Le Pen a, à juste titre, déploré et mis en garde contre une instrumentalisation militante de la justice par certains fonctionnaires, révélant ainsi une inquiétude légitime par rapport à leur capacité à accomplir leur devoir en cas de victoire du parti qu’ils s’évertuent à abattre. Néanmoins, la polémique médiatique entretenue par des articles qui citent les communiqués syndicaux sans citer les propos de Marine Le Pen visent à dépeindre une version tronquée et parfois mensongère de la réalité. Une version ou Marine Le Pen, dictateur en puissance, aurait menacé d’envoyer de simples fonctionnaires faisant leur travail au goulag. Une technique médiatique qui n’est pas sans rappeler celles employées contre Donald Trump lors de la campagne étatsunienne. Il nous reste donc à espérer que les électeurs aillent consulter l’intégralité des propos de Marine Le Pen avant de se faire une idée.

    http://fr.novopress.info/