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magouille et compagnie - Page 1805

  • COMMUNISME, NAZISME, SOCIALISME, ISLAMISME : LES AVATARS D’UNE MÊME FAMILLE (par l’Imprécateur)

    Il est fréquent de lire des articles faisant un rapprochement entre le nazisme et l’islamisme qui ont en effet des points communs. Mais on peut étendre la comparaison à d’autres idéologies comme le communisme et son frère ennemi, mais de sang, le socialisme.

    « Il est inutile de tenter le dialogue car on ne discute pas avec les islamistes » écrit Lydia Guirous, porte-parole des Républicains et essayiste dans Valeurs Actuelles. Inutile aussi de tenter de les dé-radicaliser, c’est voué à l’échec à de rares exceptions près. De nombreux exemples actuels montrent ce qu’il en est, il suffit de regarder l’état social des pays où l’islamisme cohabite avec l’islam : Afghanistan avec les talibans, Somalie avec les chebabs, Nigeria avec Boko Haram, Algérie avec le GIA (Groupe Islamique Armé), Egypte avec les Frères musulmans, Palestine avec le Hamas, etc. Les attentats ne cessent jamais, même si les islamistes ont été sévèrement battus comme en Algérie ou en Afghanistan, même si l’Etat fait tout pour les empêcher de nuire comme en Israël.

    On le voit bien avec le « dialogue » très à la mode entre l’Eglise catholique et l’islam. Ce prétendu dialogue plait énormément au gouvernement socialiste qui l’utilise dans sa propagande pour justifier son laxisme avec l’islam. En réalité, l’islam se sert du « dialogue » pour obtenir des avantages comme des salles de prière dans des établissements catholiques, enseignement de l’islam dans les écoles chrétiennes, nourriture hallal pour les élèves des collèges où se trouve des jeunes musulmans, etc. L’Eglise, elle, cherche comment s’adapter à la présence de l’islam et pas du tout à obtenir des contreparties dans des échanges qui seraient équilibrés. Elle ne demande jamais à avoir un enseignement chrétien dans les mosquées, par exemple. Elle est clairement le dindon de la farce.

    Le nazisme d’Etat a disparu avec le suicide d’Hitler dans son bunker le 30 avril 1945 et ne survit que dans des groupuscules insignifiants.

    Le communisme d’Etat a disparu avec la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989, qui a entrainé l’effondrement de l’URSS. Il ne survit dans son entièreté idéologique, politique et économique qu’en Corée du nord, et politiquement en Chine en cohabitation avec le capitalisme et le libéralisme, ailleurs par des partis croupions, comme en France où, avec ses ennemis trotskistes il sert de caution de gauche au parti socialiste à la veille de chaque élection.

    Le socialisme, partout incapable d’assurer la prospérité et la sécurité des peuples, survit dans des formes politiques bavardes mais inefficaces, la social-démocratie, le social-libéralisme, l’écologie politique et quelques autres de moindre importance comme le radicalisme de gauche.

    L’islamisme est au contraire en expansion rapide et gangrène de plus en plus de pays avec la collaboration de nombreux gouvernements tétanisés par sa violence et le poids électoral potentiel des musulmans.

    Ces quatre idéologies ont plusieurs points en communs qui permettent de les classer dans une même famille, celle des faiseurs d’un homme nouveau. C’est ce point commun et crucial qui les rend mortifères ou, pour utiliser un mot savant aux racines grecques, « thanatophores », porteuses de mort.

    Le communisme voulait créer l’homme parfait vivant en communauté, travaillant pour la communauté dirigée par une équipe réduite de décideurs se cooptant. Les phalanstères du XIXème siècle ; version politico-religieuse écolo-indoue, les ashrams ; plus moderne, le Comité central du parti, avec à son service une administration gigantesque. Les réfractaires étaient soient supprimés (les Ukrainiens par la famine), soit déportés (le Goulag) parfois c’était des peuples entiers (Tatars, Tchéthcènes, Juifs russes), soit, s’il s’agissait d’intellectuels, déclarés fous et enfermés dans des asiles psychiatriques-mouroirs, ou, dans le cas des politiques, exécutés après un procès truqué. Une armée énorme assurait la stabilité du régime et l’ordre communiste. Le communisme : environ 100 millions de morts.

    Le national-socialisme, ou nazisme, voulait créer l’aryen socialiste parfait par des croisements génétiques et l’élimination de toutes les races « inférieures ». Mêmes procédés : exécutions, déportations, stérilisations, génocide des Juifs et des Roms, camps d’extermination, etc. L’armée, énorme elle aussi, assurant l’exécution du programme de purification de la race. Le nazisme : environ quarante millions de morts.

    Le socialisme veut créer le socialiste multi-ethnique parfait, obéissant à des « valeurs » (changeantes au fil du temps et rarement définies). L’élimination des opposants ne se fait qu’exceptionnellement par la mort, la suppression de la peine de mort étant l’une des valeurs du socialisme. Mais le socialisme a d’autres moyens d’éliminer ses opposants : en les appauvrissant, en les « tuant » professionnellement ou socialement, en les salissant par l’usage de mots comme fasciste, réactionnaire, bourgeois, complotiste… Le socialisme politique et économique aboutit sans exception à la misère du peuple et à son découragement et produit fréquemment une diminution de l’espérance de vie. Excepté pour la nomenklatura et la bourgeoisie socialistes. Cela revient à terme à faire mourir prématurément des millions de gens, ce qui est au bout du compte plus lent mais tout aussi efficace que de les tuer tout de suite. Plusieurs pays d’Afrique se disant socialistes sont dans cette situation, le Venezuela y arrive. Généralement, le socialisme réussit à survivre à son échec en s’abâtardissant : reste le socialisme politique et l’idéologie, mais il revient à l’économie de marché, au capitalisme et au libéralisme comme en témoignent des cas récents : Suède, Danemark, etc.

    L’islamisme veut créer le musulman parfait, salafiste, c’est à dire vivant l’islam des origines tel que le décrit le prophète dans le Coran : pieux, machiste et guerrier. Il tolère la survie de ceux qui acceptent de se soumettre (islam = soumission) dans une situation de semi-esclavage, et de payer pour survivre dans une situation d’humains au statut social inférieur, les « dhimis ». L’islamisme veut exterminer tous les autres pour que ne restent sur Terre que les musulmans parfaits et riches, ainsi que leurs esclaves et leurs semi-esclaves, les dhimis. Depuis le VIIème siècle, l’islam a tué des dizaines de millions d’hommes dont environ 17 millions d’esclaves noirs et deux millions d’esclaves blancs, souvent émasculés pour qu’ils ne puissent avoir d’enfants.

    Il y a d’autres points de ressemblance entre les quatre idéologies mortifères :

    Chaque fois, une race de seigneurs richissimes (même chez les socialistes) domine un peuple misérable, écrasé d’impôts.

    Chaque fois, elles ne tiennent que par la force armée et une police politique et-ou religieuse, et tuent la démocratie en imposant la façon politiquement et-ou religieusement correcte de penser.

    Chaque fois, elles ne respectent pas leurs promesses de paix ou de « vivre ensemble »; elles ne les tiennent que le temps qui les arrange. Dès que ces quatre idéologies n’y trouvent plus leur intérêt, c’est-à-dire dès quelles sont suffisamment fortes, elles les rompent. C’est Hollande qui promet de baisser les impôts ou de rétablir la sécurité publique quand le peuple gronde un peu fort, mais revient à ses pratiques oppressives, liberticides et confiscatoires dès qu’il remonte un peu dans les sondages ; ce sont les communistes et les nazis qui s’accordent de 1939 à 1941 quand cela leur permet de chasser en bande pour s’approprier des territoires de l’Europe et se les partager, comme la Pologne ; ce sont les musulmans qui sont tolérants, conviviaux et pacifiques quand ils sont minoritaires ou opprimés par un pouvoir colonial, mais redeviennent tueurs dès qu’ils le peuvent parce que leur livre saint et leur dieu le leur ordonnent.

    Chaque fois, elles accusent les autres, et notamment leur opposition, des crimes qu’elles commettent. Juifs, capitalistes, journalistes, religieux, intellectuels… peu importe, l’ennemi a toujours tort. Avec l’islam, cela prend des proportions ahurissantes. Libération vient d’en donner un exemple saisissant de stupidité et de malhonnêteté dans un article intitulé Actes islamophobes en France depuis le 14 juillet (2016). Une vingtaine au total et d’une gravité inouïe, jugez-en : des lardons dans la boite aux lettres d’une mosquée ; une tête de cochon ; un paroissien qui, intrigué par le comportement d’un franco-marocain dans une église, a téléphoné à la gendarmerie ; des jeunes qui ont écrasé, en voulant l’examiner, le gâteau qu’une musulmane voilée transportait dans un carton, pensant qu’il s’agissait peut-être d’explosifs ; un promeneur qui, sur la Promenade des Anglais, a osé dire à un musulman que l’islam n’était pas compatible avec la République ; des tags… et un musulman bousculé à Rouen sans conséquence physique autre que la peur et la vexation qu’il en a ressenti, le lendemain de l’égorgement du prêtre.

    Pas un mot sur les 194 attaques islamiques commises pendant la même période (juillet 2016) dans 24 pays et qui ont fait 1 671 morts et plus de 5 000 blessés. Principalement des musulmans c’est vrai, ce qui démontre que la haine des autres et l’islamophobie sont solidement implantées dans l’islam lui même. En oubliant aussi de mentionner les plus de 30 000 attentats commis au nom de l’islam depuis 2001 en quinze ans, soit 2 000 par an en moyenne, 6 par jour, avec chaque fois des morts. Mais tous ces crimes sont imputés à l’Occident qui opprimerait économiquement et socialement les musulmans (mais alors pourquoi viennent-ils s’y réfugier ?) et les a colonisés pendant quelques décennies au début du siècle dernier.

    Encore un point commun, pour terminer sur une note d’espoir : deux de ces quatre idéologies mortifères ont disparu (le nazisme et le communisme), une est moribonde (le socialisme), seul l’islam est en voie de retour, mais gangrené par l’islamisme qui pourrait bien le faire imploser prochainement.

    L’Imprécateur

    http://www.minurne.org/

  • Affrontements : le risque de l’escalade en Corse

    Violences à Sisco. Une petite plage du nord de l’île a été le théâtre d’une rixe intercommunautaire violente. Les autorités craignent d’autres incidents.

    Tendu, pesant, explosif. Depuis samedi soir et les événements de Sisco, le climat s’est enflammé dans la région de Bastia (Haute-Corse). Dimanche matin, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées sur la place Saint-Nicolas de Bastia puis devant la préfecture. Dans l’après-midi, une vague corse a déferlé dans le quartier populaire et multiculturel de Lupino, à l’entrée sud de Bastia. « Les agresseurs habitent ici. On veut montrer à leurs frères, à leurs amis et à tous ceux qui les connaissent que nous ne tolérerons jamais ce genre d’actes sur notre terre ! » assène Etienne, au milieu du cortège, qui s’est finalement dispersé sans violences, excepté à proximité de l’hôpital, où les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène pour disperser des individus menaçants.

    Samedi, le cadre idyllique de la plage de Sisco, charmant petit village du cap Corse, dans le nord de l’île, a été le théâtre d’une rixe très violente qui a fait 5 blessés et nécessité l’intervention en urgence de pompiers, gendarmes, policiers et même d’un hélicoptère. Selon les premiers éléments de l’enquête, plusieurs jeunes du village, de 15 à 18 ans, auraient été confrontés à un groupe de personnes venues à la plage de Bastia. La situation a dégénéré lorsque ces dernières ont reproché aux adolescents de photographier leurs femmes, qui se baignaient en burkini selon plusieurs témoins.

    Des armes blanches auraient été exhibées en signe de menace. Alerté par son fils, un père de famille, rapidement venu sur les lieux, a subi un tir de harpon dans le thorax.
    Les élus redoutent d’autres affrontements

    Coups de fils, bouche-à-oreille, mouvement de foule, la plage a rapidement pris des allures de bataille rangée voyant débouler des dizaines de villageois venus prêter main-forte aux jeunes. « J’étais en train de jouer aux cartes dans un bar, à trente minutes de Sisco, lorsqu’on m’a appelé pour me dire : Des jeunes ont été attaqués au couteau par une bande. J’ai pris ma voiture et je suis immédiatement descendu, explique Manuel. Agresser un seul Corse, c’est comme agresser toute la Corse. Depuis plusieurs mois, François Hollande nous répète que nous sommes en guerre. Et dans une guerre, quand on est attaqué, il faut répondre. Et pas seulement en allumant des bougies… » Trois voitures ont été incendiées, dont certaines appartenant au groupe de Bastia, et les gendarmes ont dû protéger un blessé de peur qu’il ne soit lynché par la foule. Les 5 blessés légers sont sortis dimanche soir de l’hôpital.

    Dimanche, dans les ruelles de Sisco, le calme était revenu. Du moins en apparence… « Il n’y a plus grand monde aujourd’hui, tout le monde est allé à Bastia. Voir la commune sous le feu des projecteurs pour une affaire aussi dramatique me révolte. J’espère que les coupables seront punis par la justice et qu’ils iront en prison », confiait une habitante du village.

    Le scénario de la rixe a de nouveau été avancé dimanche lors du rassemblement à Bastia, quand une jeune fille témoin des violences a décrit la scène au mégaphone devant une foule en colère qui ne demandait qu’à en découdre. C’est maintenant à la justice d’éclairer les circonstances exactes des faits. L’enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie d’Ajaccio.

    Dès dimanche, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a condamné ces violences et appelé au calme, relayé par le maire de Sisco, Ange-Pierre Vivoni, qui a quand même précisé qu’il réfléchissait avec son conseil municipal à édicter un arrêté anti-burkini sur la plage. De son côté, Gilles Simeoni, le président (régionaliste) du Conseil exécutif de Corse, craint une escalade de la violence. « La tension ne doit pas rejaillir sur l’ensemble de la population originaire du Maghreb, dont la très grande majorité respecte nos valeurs », assure-t-il.

    Sur les réseaux sociaux, d’autres appels au rassemblement fleurissent déjà pour les prochains jours. Délibérément discrets pour ne pas ajouter aux tensions, les élus redoutent d’autres affrontements. Plusieurs témoins auraient entendu des membres du groupe de Bastia lancer un défi aux habitants de Sisco : « Vous n’avez qu’à venir nous voir à Lupino. »

    Le Parisien

    http://www.voxnr.com/647/affrontements-risque-de-lescalade-corse

  • Notre ennemi est soutenu par le wahhabisme, le salafisme, financés par le Qatar, l’Arabie saoudite

    Didier Tauzin, général en retraite, candidat à la présidentielle, déclare dans La Voix du Nord :

    "En 2012-2013, lors de la Manif pour tous, on a commencé à parler de guerre civile. Moi, j’en ai connu quatre sur le terrain : au Liban, au Rwanda, en Yougoslavie et en Somalie. Il n’est pas possible de rester à ne rien faire. La cause essentielle de nos maux est le système désastreux des partis, comme disait de Gaulle, dont se servent des carriéristes. De Chirac à Hollande en passant par Sarkozy, ils sont responsables. Je veux montrer une autre voie. »

    « Il s’agit de désigner clairement l’ennemi. Au-delà de l’État islamique, leurs soutiens sont le wahhabisme, le salafisme, financés par le Qatar, l’Arabie saoudite à qui nous vendons des armes et avec qui nous entretenons des amitiés. Dans cette affaire, nous nous comportons comme les vassaux des Américains. Il faut quitter l’OTAN, revoir nos alliances. Je ne suis pas un admirateur de Poutine mais dans le contexte du XXIe siècle, nous avons plus d’intérêts stratégiques en commun avec la Russie. Il faut également revoir le projet européen qui ne doit pas s’occuper uniquement de TVA et de taille de concombres mais de défis essentiels face à la Turquie d’Erdogan, l’afflux de migrants, la démographie. »

    Michel Janva

  • UNE DEPUTEE PS, CONDAMNEE, BAGUEE ET PAYEE ...

    On en parle sur les réseaux sociaux, dans les courriels échangés ... 

    Cette brave (et très belle) femme s’appelle Sylvie ANDRIEUX… PS  Elle a été élue en tant que député  à l’assemblée Nationale.

    Cette députée de la REPUBLIQUE FRANCAISE a été CONDAMNEE à QUATRE ANS de prison pour détournement de fonds

    (Peine confirmée et même aggravée en appel)

    Tenez-vous bien, elle est encore AUJOURD’HUI députée, en poste à l’Assemblée Nationale, elle vote les lois , et surtout encaisse ses indemnités….

    Rappel de ce que coûte à l'Etat un parlementaire (payé avec nos impôts): Salaire : 5 189 EUR par mois Frais de mandat :  5 771 EUR par mois

    Rémunération des collaborateurs : 9 138 EUR par mois + billets d’avion, de train 1ére classe, et de métro; le tout gratuit + bureau, timbres, téléphone, informatique et bien sûr voiture avec chauffeur et repas pratiquement gratuit avec un chef 3 étoiles…

    (Coût pour le budget de l'Etat..... disons 23 000 euros/mois « à la louche »)

    Cerise sur le gâteau, la réponse de son PARTI s'est limitée à lui demander son retrait du groupe, mais en aucun cas son départ des bancs de l'assemblée……. Mais oui…. !

    Un petit détail croustillant :  Quand elle se rend à l'Assemblée Nationale (quand elle y va...)  et vote les lois, c'est avec un BRACELET ELECTRONIQUE à la cheville ... comme un vulgaire TRUAND; aucune honte ! Elle n'est pas belle la vie ?

    Mais, se dit-on, si tous les députés qui le méritent portaient un bracelet électronique, ce serait impossible à gérer... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Sisco : agressés par des adultes musulmans, les jeunes Corses répliquent…

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    Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici

    une attaque raciste et kouffarophobe qui a eu lieu sur une plage de Sisco au Cap Corse, après que des individus arabo-musulmans s’en soient lâchement pris à des adolescents.

    La presse unanime relate l’agression en distinguant bien les agresseurs « des jeunes d’origine maghrébine », « de la communauté musulmane », alors que ceux-ci, aux dires de témoins, auraient en réalité été âgés de plus de 40 ans, tandis que les agressés, non armés, sont « des jeunes Corses » âgés, eux, de 15 à 18 ans.

    Le tableau est posé.

    Selon le témoignage d’une maman de l’un des agressés, les victimes se trouvaient sur une crique, « armés de leur serviette de plage », lorsque des individus en bandes armés, eux, de « haches, couteaux et harpons » et de matraques sont venus les poignarder, frappant notamment sur la tête le plus petit d’entre eux. Même en bande, le courage n’est pas la qualité première de ceux qui ont pour ordre divin de frapper les kouffars.

    Le tort des Corses ? Avoir pris, de loin, des photos du paysage sur lesquels apparaissaient des personnes vêtues de tenues exotiques (les femmes étaient en « burka ») datant d’une lointaine époque et donc aussi incongrues que celles de Jacquouille-la-Fripouille en plein 21e siècle. Ce n’est d’ailleurs certainement pas un hasard si les agresseurs sortis de leur propre Moyen-Age s’en sont également pris aux voitures garées là, puisque les femmes en burka ont crevé les pneus, tout comme Jacquouille en panique devant un moyen de transport moderne frappait « la chariotte du diable » du facteur.

    L’affrontement aurait fait une demi-douzaine de blessés, dont une femme enceinte ainsi qu’une autre personne dans un état très grave du côté des Maghrébins.

    La maman, décrivant une « scène de guerre » dans laquelle sont intervenus une centaine de policiers et de gendarmes, poursuit son témoignage : « le copain de ma fille, sous ses yeux, a esquiver un coup de couteau dans le ventre ». Trois des pères des jeunes Corses sont arrivés en premier sur les lieux pour tenter de régler la situation, tandis que l’un d’eux aurait esquivé un coup de couteau, avant qu’un autre ne se prenne un coup de harpon.

    « Mon frère a été tabassé, il est choqué pour toujours », a déclaré la sœur de l’un des agressés.

    Un témoin a déclaré que les agresseurs, âgés de 40 à 50 ans et, semble-il, d’origine marocaine, ont crié « Allah akhbar ! On est chez nous ! », avant de continuer : « on va niquer vos femmes, on va les mettre pleines ! On va s’en prendre à vos enfants ! ». Bref, rien que du classique. Une femme aurait également été lapidée par des Maghrébins, selon un autre témoin de la scène.

    Pour comble de crétinerie, des membres des musulmans agresseurs ont mis le feu à leurs propres véhicules…

    Après cette attaque par des adorateurs de Mahomet, on ne peut que féliciter la ténacité du maire de Cannes ainsi que celle de Lionnel Luca à Villeneuve-Loubet de n’avoir pas cédé aux revendications communautaires d’islamistes désireux d’appliquer la charia sur notre sol, la justice ayant donné raison à ceux-ci en raison du trouble à l’ordre public que le port du burkini ne pouvait que générer. Nous n’avons, en effet, pas vocation en France à tolérer des revendications d’un autre âge ostensiblement idéologiques, sexistes et porteuses de sous-entendus accusatoires laissant entendre que tous les hommes en France seraient des violeurs potentiels de musulmanes.

    Lionnel Luca avait rédigé un arrêté stipulant que « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité adaptées au domaine public maritime » serait interdit. La charia n’a en effet pas lieu d’être en France.

    C’est dans ce contexte qu’en fin de matinée, ce dimanche, suite à cette agression kouffarophobe, des manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. Parmi eux, certains ont crié « aux armes, on va monter parce qu’on est chez nous ! ».

    Nous ne pouvons qu’encourager et féliciter nos amis corses pour leur courage et leur refus de ne pas se laisser marcher sur les pieds par la racaille islamiste.

    De même, on peut s’interroger sur l’incapacité de Bernard Cazeneuve de faire régner l’ordre « républicain » sur notre territoire, rôle qui lui est pourtant dévolu et pour lequel il est grassement payé. On ne peut que constater que le résultat de sa politique laxiste joue davantage en faveur des racailles qu’en faveur du peuple qu’il est supposé protéger.

    Il va falloir que cet improbable régime socialiste annonce clairement la couleur : soit il installe l’islam incompatible avec notre civilisation sur notre sol afin de nous faire disparaître, soit il nous défend de cette « idéologie d’agression » hostile à toute élévation intellectuelle, à toute beauté, et surtout à toute tolérance. En tout cas, il ne peut y avoir cohabitation. Quand on se rend à la plage avec des haches dans le but de frapper des non musulmans, ainsi que l’ordonne le coran, c’est qu’on a la volonté de nuire, qu’on est en guerre.

    Si on est en guerre, alors il faut bouter l’ennemi hostile hors de nos frontières françaises afin de protéger les nôtres, point barre.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Des vacances halal financées par la CAF !

    Un « système » qui dépasse d’ailleurs largement le cadre des séjours de vacances, et qu’il devient urgent de « systématiquement » démonter.

    Le séjour, prévu du 21 au 28 août, affiche complet. 80 personnes ont ainsi choisi d’aller se ressourcer, en famille, à Pelvoux, dans les Hautes-Alpes.

    Sur le dépliant, un portrait barbu voisine curieusement avec la photographie d’une jolie petite Heidi à la tresse blondinette. C’est que figurent au programme de ces vacances « baignade-rafting-randonnée », mais aussi « repas halal » et « spiritualité », sous la conduite de l’« invité d’honneur » Aammi Hassen Bounamcha.

    Ce camp de vacances, on l’aura compris, est destiné aux musulmans (à moins – ce qu’à Dieu ne plaise – que la petite Heidi ne serve une intention prosélyte à destination de Français de souche déchristianisés et en mal de spiritualité). Si l’on peut regretter ce repli communautaire de la part de gens dont on nous serine qu’il faut « vivre ensemble » avec eux, il n’y a pas de quoi s’indigner qu’ils aspirent à des vacances quelque peu spirituelles au sein d’une nature enchanteresse. Mais pour qu’à la fois un député radical de gauche, Joël Giraud, et la secrétaire nationale de ce même Parti radical de gauche, Laurence Marchand-Taillade, peu suspects de discrimination anti-musulmane, s’en émeuvent, on peut gager qu’il y avait bien dans cette affaire matière à s’indigner. Et, de fait, on reste sans voix.

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  • Le FN menacé : Que fait le « Régime de Paris » ?

    Il semblerait que la nouvelle cible de DA’ECH soit désormais le… FN.

    En effet, Dans le dernier numéro de son magazine Dar al-Islam, l’organisation takfirî  menace… le Front national. Les militants du parti de droite nationale étant désormais qualifiés d’« idolâtres » et présentés comme « des cibles de premier choix ».

    Les fervents républicains que nous sommes attendent donc les réactions et les actes (protection accrue notamment) visant à rassurer de la part de l’État (dit) de droit la formation politique républicaine, reconnue et légale qu’est le FN.

    Le manque de réaction tendrait, a contrario, à accréditer l’idée que le « régime de Paris », pour caler notre langage sur celui de la presse-caniveau parisienne lorsqu’elle évoque laRépublique Arabe Syrienne sœur en guerre contre le takfirisme, ne fait que peu de cas de la sécurité de nos concitoyens.

    Ce qui, entre nous, ne serait pas vraiment la surprise du quinquennat…

    http://www.voxnr.com/668/fn-menace-regime-de-paris

  • La France est en guerre ? Elle l’a cherché

    Depuis l’attentat contre Charlie Hebdo, on ne cesse de nous le répéter : la France est en guerre. Après le carnage de Nice, c’est même un leitmotiv commun aux trois grandes formations politiques du pays. Eh bien, oui, n’en déplaise à tous ceux qui refusent de l’admettre pour ne pas avoir à en tirer les conséquences qui s’imposent – repenser l’immigration -, la France est en guerre. Une situation totalement inimaginable il y a dix ans, qui mérite au minimum qu’on s’interroge. Comment en sommes-nous arrivés là ?
    On ne prend conscience de la guerre que lorsqu’elle frappe à notre porte, mais la vérité, c’est que la France n’est pas en guerre depuis le 7 janvier 2015, mais depuis le 19 mars 2011, depuis l’intervention en Libye, une intervention qui, du point de vue de l’adversaire (et aussi de beaucoup d’observateurs neutres), a été perçue comme une agression unilatérale et illégitime.

    Cette intervention il faut le souligner, fut le fait de Nicolas Sarkozy et de personne d’autre. Preuve que cette guerre, il la voulait à tout prix, bien qu’il ne fût pas suivi au sommet de Bruxelles du 11 mars 2011 sur une demande d’instauration d’une zone d’exclusion aérienne, et bien qu’il se retrouvât isolé lors du sommet du G8 à Paris, il ne se découragea pas. C’est au Conseil de sécurité, suite au forcing du Qatar et de l’Arabie saoudite, que notre Président emportera l’adhésion de ses alliés, usant d’un stratagème déjà testé dans cette même enceinte en 2003 : la menace d’un génocide sur la ville de Benghazi, une fable inventée de toutes pièces par les insurgés et colportée complaisamment par l’inénarrable Bernard-Henri Lévy. Nicolas Sarkozy voulait singer son mentor George W. Bush et la Libye lui en fournissait le prétexte ; tout le reste n’est que littérature.
      Exit Sarkozy, voilà que l’insignifiant François Hollande, afin de se donner un semblant de stature de chef d’État (il était tombé à 36 % d’opinions favorables six mois à peine après son élection, record absolu), se crut obligé de faire dans la surenchère. Encouragé par un ministre des Affaires étrangères irresponsable et irréfléchi (« Al-Nosra fait du bon boulot »), celui que les Français allaient vite caricaturer comme l’homme au pédalo se prit de donner à la France, et devant les caméras du monde entier, des allures de grand propagateur des valeurs « démocratiques », pour comble au moment précis où les USA, forts des leçons du bourbier irakien, semblaient y renoncer.

    En 2003, la France s’était courageusement opposée à l’intervention en Irak. Depuis, comme pour faire amende honorable, elle a pris la tête du camp des jusqu’au-boutistes, sans en avoir ni les moyens ni la crédibilité. Pour Daech et les autres composantes du djihadisme, elle est perçue comme un adversaire particulièrement vulnérable, le maillon faible de la coalition. Et pour cause : l’accès par voie terrestre y est aisé, le gouvernement central y est faible, une cinquième colonne est déjà en place et, surtout, son armée est incapable de soutenir à la fois des opérations extérieures et la défense du territoire.

    Frapper la France au cœur jusqu’à ce que son gouvernement soit contraint de rapatrier toutes les forces engagées en Afrique et au Proche-Orient est une stratégie tellement évidente qu’un novice en l’art de la guerre ne pourrait la manquer. Tant que nous n’aurons pas un chef d’État capable d’admettre à la fois que l’armée française n’a strictement rien à faire hors des frontières de l’Europe et que, de toute façon, elle n’a aucune leçon de démocratie à donner à qui que ce soit, le sang de nos concitoyens coulera.

     Christophe Servan

    Boulevard Voltaire 

    http://philippedelbauvre.blogspot.fr/

  • Marsault et la purification éthique

    Facebook vient de supprimer la page du dessinateur Marsault. Pourquoi ? Parce que les dessins de ce nouveau Gotlib n’ont pas l’heur de plaire à tout le monde. « Misogyne », « raciste », « homophobe », « fasciste » : l’artiste a été qualifié, en moins de vingt-quatre heures, de tous les noms.
    Les « antiracistes » d’opérette sont de sortie
    Il s’est même trouvé, sur le web, des « antiracistes » d’opérette(1) pour se livrer à de scandaleuses affabulations : ainsi prétendent-ils que le dessinateur serait un proche d’Alain Soral et qu’il s’apprête à publier son premier album chez Ring, jeune maison d’édition « qui accueille Laurent Obertone, auteur d’une ode à Breivik […] et les délires racistes de Renaud Camus ».
    C’est Laurent Obertone qui va être content qu’on le confonde avec Richard Millet, auteur d’un Éloge littéraire d’Anders Breivik, et c’est Renaud Camus qui va se réjouir d’avoir trouvé un nouvel éditeur… Obertone a écrit Utøya, qui est tout sauf une ode au terroriste norvégien. Quant à Renaud Camus, il est toujours publié « chez l’auteur ».Un seul s’attristera vraiment de toute cette affaire, c’est le directeur littéraire des éditions Ring : Raphaël Sorin. Son nom compte dans l’édition française et en faire le parrain d’une maison « d’extrême droite » n’est pas seulement une insulte. C’est d’un ridicule achevé pour qui connaît sa nature, son tempérament et ses engagements(2).
    Certes, la « fascisation » de l’adversaire est une technique éprouvée par une certaine gauche(3). Mais calomnier pour calomnier, mentir pour mentir, pourquoi nos antiracistes d’opérette n’ont-ils pas eu l’audace de pousser le bouchon un peu plus loin encore ? Il ne fallait pas se gêner ! Pourquoi n’ont-ils pas fait du dessinateur Marsault, ce grand garçon tatoué de près, la fille cachée d’Adolf Hitler, née dans un Bunker en 1945, exfiltrée par le Vatican en Amérique du Sud et revenue récemment en Europe dans les cales d’un cargo de contrebande pour porter un coup fatal aux plus démocratiques de nos valeurs ? Pourquoi reprocher à Marsault d’être seulement fasciste, alors qu’il était si simple d’en faire un nazi ?
    Marsault et les ligues d’indignés
    Bien décidés à en découdre avec Marsault, nos meilleurs antiracistes, nos plus beaux antifascistes et nos féministes les plus zélés ont lancé auprès de Facebook une campagne de « signalements ». On n’arrête pas le progrès : même plus besoin de retrouver le numéro exact de la rue Lauriston, ni d’affranchir sa lettre au tarif en vigueur en 1942. Un clic désormais suffit. Cela a marché : la page de Marsault a été rapidement supprimée du célèbre réseau social.
    C’est la nouvelle règle : quand on n’est pas d’accord avec quelqu’un, on ne cherche pas à débattre, à s’opposer à lui, voire à l’ignorer. On exige sa pure et simple suppression. On lui dénie le droit d’exister et de mener sa vie propre. Ce n’est ici rien d’autre que la jurisprudence Kouachi appliquée, dans la joie et la bonne humeur, aux réseaux sociaux. On a les armes automatiques qu’on peut.
    Il faut, quand même, être sacrement dérangé pour vouloir priver un dessinateur d’un de ses moyens d’expression, quand on peut simplement l’ignorer. Je ne goûte pas, par exemple, les dessins de Jean Plantu. Mais cela ne me traverserait pas un instant l’esprit de réclamer à Facebook son bannissement. Je me contente, tout bonnement, de ne pas suivre ses publications – et je ne m’en porte pas plus mal.
    Dans une société où les idées et les opinions sont réputées être libres, l’indifférence est la plus grande sagesse qui soit. C’est même une planche de salut, si l’on ne veut pas perdre la raison et épuiser ses nerfs face aux stupidités qu’un cerveau humain est capable de produire en une seule journée. Imaginez un monde où il faudrait s’indigner, tour à tour, du prêche farfelu d’un imam, des arrière-pensées d’un cardinal, des déclarations stupéfiantes d’un ministre ou des dessins d’un artiste ? Ce ne serait pas un monde vivable. C’est l’indifférence – c’est-à-dire la capacité à se moquer des opinions des autres comme de colin-tampon – qui rend la vie possible.
    Or, les réseaux sociaux ne fonctionnent justement pas à l’indifférence. C’est l’indignation qui souvent les alimente, dans un mouvement perpétuel, quasi-brownien. L’important est de trouver chaque matin un sujet pour s’indigner. Il faut nourrir la bête. Seulement, on n’a jamais rien fait dans le monde en s’indignant : ni une œuvre d’art, ni un empire, ni une civilisation. L’indignation n’a jamais servi, dans l’histoire, qu’à une seule chose : fournir une raison sociale aux ligues de vertu.
    Comment voulez-vous qu’une ligue de vertu comprenne quelque chose à un dessin ? Une ligue de vertu, Monsieur, ça ne dessine pas. Ça s’indigne. C’est son métier.
    Marsault : le nouveau Gotlib
    Prenons un dessin de Marsault. C’est le nouveau Gotlib. Son encrage, qui atteint une forme de perfection, le rapproche du grand maître. Comme Gotlib, c’est un autodidacte. L’un et l’autre ne sont pas nés avec une cuiller en argent dans la bouche. L’un et l’autre savent ce que gagner son pain à la sueur de son front signifie. Ils savent aussi qu’ils sont, même s’ils s’en défendent, des enfants de la « Ligne claire », c’est-à-dire d’un style graphique limité à sa plus simple expression. Mais un style qu’ils ont singulièrement renforcé par un concours accentué de noir. L’encrage n’est pas chez un dessinateur un simple accessoire. L’encrage est le dessinateur.
    Sur sa page Facebook, Marsault publiait régulièrement des dessins où le protagoniste principal, Eugène, se montrait toujours d’une violence extrême avec quiconque. C’est devenu un gimmick connu de tous les amateurs de Marsault : un type tient un propos convenu, Eugène arrive en char d’assaut et le détruit. Ce n’est pas toujours drôle, mais ça l’est très souvent.
    Dans le dessin que nous publions ci-contre (cliquer sur l’image pour l’agrandir), un protagoniste lambda déclare, bave aux lèvres : « Les filles qui s’habillent de manière provocante, c’est quand même un peu normal qu’elles se fassent violer… Hhhrrr salopes. » Nous avons droit dans la case suivante à un gros « Breum ». Puis, sur deux cases, à la conclusion d’Eugène : « Les connards dans ton genre, c’est un peu normal qu’ils se fassent éclater. » Ce dessin est évidemment violent. Mais la violence n’est pas là où on le croit. Elle ne se situe pas dans le tir d’artillerie d’Eugène, mais bien dans les propos de celui qu’il vient de disperser façon puzzle. Le « Breum » marsaultien est un contrepoint cathartique, qui montre crûment la véritable violence qui opère dans la banalité des propos ordinaires. Si l’on n’a pas compris que la justification du viol par « l’impudeur vestimentaire » de la victime est la forme la plus veule, la plus lâche, la plus dégueulasse de violence, c’est qu’on n’a rien compris à rien. Si l’on n’a pas compris qu’un dessin reste un dessin et que l’image n’est jamais la réalité, c’est qu’on a touché le fond et qu’on est définitivement un imbécile.
    Surveiller et punir
    La génération d’hier – celle qui a cru faire la « révolution », alors qu’elle ne faisait que se rouler des patins et des joints – voulait qu’il fût « interdit d’interdire ». Le shit devait être frelaté, car elle a accouché d’enfants maléfiques – moitié Chucky, moitié O’Brien – et ces semi-monstres n’ont plus qu’un mot d’ordre à la bouche : « Il faut interdire ! Tout interdire. » Ils veulent surveiller et punir, contrôler et sévir, juger et censurer.
    Leur vie est simple. Anastasie avait besoin de ciseaux pour caviarder la presse. Napoléon III avait besoin de Pinard(4) pour proscrire Les Fleurs du Mal et Madame Bovary. McCarthy avait besoin de l’appareil d’État américain pour traquer communistes et homosexuels. Un clic désormais suffit à nos vertueux censeurs pour exercer leur molle dictature sur le monde et se livrer, impunis, à leur jeu favori : la purification éthique.

  • Rire ou sourire un peu ... même s'il n'y a vraiment pas de quoi

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