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L’histoire complète de Monsanto, « La société la plus maléfique au monde »
De toutes les méga-sociétés folles furieuses, Monsanto a largement surpassé ses rivales, remportant le titre glorieux de la « société la plus maléfique sur Terre » ! Non contente de siéger simplement sur son trône de mort au sommet d’une montagne de cadavres, elle continue de mettre au point de nouveaux moyens scientifiquement innovateurs pour nuire à la planète et à ses habitants.Comme pour les vrais champions du mal, elles ne s’arrêteront pas avant…eh bien, qu’on les arrête ! Mais qu’est Monsanto et comment est-elle devenue si incroyablement maléfique ? Je pense que la meilleure manière de démarrer ce périple est de retourner vers les profonds et glauques égouts de son sinistre passé, alors munissez-vous d’un en-cas et de boissons sans OGM et allons-y.1901 : La société est fondée par John Francis Queeny, membre des Chevaliers de Malte, avec derrière lui 30 ans d’expérience dans l’industrie pharmaceutique ; il épouse Olga Mendez Monsanto, dont le nom deviendra celui de la société,Monsanto Chemical Works. La société produit au début de la saccharine de synthèse, qui est vendue à Coca-Cola comme édulcorant artificiel.Le gouvernement savait déjà que la saccharine était un poison et il lui fit un procès pour stopper sa fabrication mais le perdit en cour d’appel, ouvrant ainsi la Boîte de Pandore Monsanto qui commença à empoisonner le monde avec ce soda. Olga Mendez Monsanto, qui donna son nom à la société et son mari John Francis QueenyAnnées 20 : Monsanto étend son activité aux produits chimiques industriels et aux médicaments, devenant le plus gros fabricant mondial d’aspirine, l’acide acétylsalicylique (toxique, bien sûr). C’est aussi l’époque où les choses commencent à se précipiter horriblement pour la planète avec l’introduction de leurs polychlorobiphéniles (les PCB).« Les PCB étaient vus comme une merveille chimique par l’industrie, un liquide visqueux résistant aux fortes températures et à la dégradation et ayant des applications presque illimitées. Les PCB sont aujourd’hui considérés comme l’une des plus graves menaces chimiques pour la planète. Largement utilisés comme lubrifiants, fluides hydrauliques, huiles de coupe, revêtements imperméables et produits d’étanchéité, ce sont des carcinogènes potentiels et on les retrouve impliqués dans des maladies de la reproduction, de la croissance et du système immunitaire. Le centre mondial de fabrication des PCB était l’usine Monsanto aux abords de St Louis dans l’Illinois, qui possède le plus fort taux de morts fœtales et de naissances prématurées de l’état. »(1)Bien que les PCB aient été finalement interdits après 50 ans de dégâts, ils existent toujours dans le sang et les cellules des animaux et de l’homme à travers le globe. Des documents présentés plus tard au tribunal ont montré que Monsanto était parfaitement conscient des effets meurtriers, mais l’a criminellement caché au public pour conserver le filon des PCB !Années 30 : Création de sa première semence de maïs hybride et extension de la fabrication de détergents, savons, produits de nettoyage industriels, caoutchouc synthétique et plastiques. Oh oui, tous toxiques bien sûr !Années 40 : Ils démarrent la recherche d’uranium, qui servira pour la première bombe atomique du Projet Manhattan, qui sera larguée ensuite sur Hiroshima et Nagasaki, tuant des centaines de milliers de japonais, coréens et militaires américains et en empoisonnant des millions d’autres. -
État d’urgence ? Non ! État inefficace !
Dr Bernard Plouvier
Cela fait un peu plus de huit mois que la France Holando-Vallso-Cazeneuvienne vit sous le régime de « l’état d’urgence » !
En novembre 2015, ce fut, comme toujours avec les mous qui font semblant de gouverner, une pseudo-décision, prise à la va-vite sous le coup de la panique. Nos soi-disant dirigeants ont eu peur de devoir rendre des comptes au Peuple Souverain pour leurs fort nombreuses sottises, qui sont autant de manifestations de faiblesse face à des envahisseurs, dont ils n’ont semble-t-il pas remarqué qu’ils sont aussi des fanatiques religieux.
Gras Président, excité Premier ministre et très sectaire titulaire de l’Intérieur ont toléré la poursuite d’une immigration musulmane massive, dans un pays comptant déjà 5 millions de chômeurs, toutes catégories confondues, et 13 ou 14 millions d’immigrés africains – noirs et maghrébins - et proche-orientaux, en comptant les rejetons, nés sur le sol français et considérés comme des Français… alors qu’eux-mêmes proclament urbi et orbi qu’ils se sentent algériens, marocains, maliens, etc. quand bien même ils n’ont jamais mis les pieds sur le sol de leurs ancêtres.
Nos « chefs » ont toléré la création d’un réseau de petites souverainetés musulmanes au sein de l’État français. Ils ont mis en scène un ridicule engagement de notre Armée en Syrie, contre l’État légal de ce pays, pour le seul profit d’une opposition musulmane soutenue par le crypto-islamiste Obama. Les opérations n’ont, d’ailleurs, démontré que notre impréparation à la guerre, en plus d’être coûteuses et totalement dépourvues d’intérêt pour la Nation française, soit Le critère interdisant l’engagement de l’Armée.
Nos non-gouvernants font preuve d’une tolérance étonnante pour la délinquance et même la criminalité des fruits pourris de cette immigration exotique, musulmane à 90%, que la « Justice » poursuit rarement et condamne, de temps en temps, à des peines symboliques… c’est l’héritage de la Taubira, qui en maintes occasions a clamé sa haine des Blancs et fut néanmoins ministresse française !
En dépit de toutes les complaisances de « nos chefs » pour le « monde arabo-musulman », de leurs compromissions avec les cheikhs islamo-pétroliers (qui furent longtemps de généreux sponsors) et le sultan turc, et malgré le « dispositif d’urgence », plus de 80 morts à Nice, dans la nuit du 14 juillet 2016, démontrent la nullité (on ne peut même plus parler d’amateurisme) des individus qui paradent dans les couloirs et bureaux des ministères et des palais gouvernementaux.
Les attentats ont débuté (Joué-les-Tours) dès la fin de l’An 2014. L’année suivante, ils ont fait près de 200 morts en comptabilisant les attaques collectives et les assassinats individuels de Français de souche européenne par d’immondes sectateurs d’allah. En ce 14 juillet, anniversaire de la Fête de la Fédération de 1790, une crapule perverse a donné libre expression à sa joie raciste de tuer du Blanc, à prouver au monde que la joie de nuire des musulmans était toujours grandiose.
Étant donné qu’il n’existe aucun moyen de différentier le musulman non-fanatique du djihadiste, une évidence s’impose : séparons-nous radicalement des musulmans. L’Europe est le continent de la race blanche. La France est un État où existe une absolue séparation des Églises et de l’État. Tirons la conclusion de ces deux faits.
Tant que l’islam s’avèrera conquérant et terroriste, cette religion de haine et de guerre devra être interdite sur le sol français. L’intolérance doit être totale envers les fanatiques, notamment les femmes voilées, qui extériorisent davantage leur hystérie que leur foi en se nippant comme elles ne le font pas à Alger ou à Tunis.
La répression doit être extrêmement rude à l’encontre des crapules et des canailles dans nos deux milliers de cités de non-droit. La peine de mort doit être restaurée pour mettre hors d’état de nuire tous ceux et toutes celles qui sont complices d’attentats. Tout musulman condamné pour délits répétés ou pour crime doit être renvoyé dans son gourbi d’origine.
Enfin, dans notre pays durement touché par le chômage, il est évident qu’aucun immigré ne doit être titulaire d’un emploi tant que le dernier Français de souche européenne n’en aura pas. Il est non moins évident qu’un immigré sans emploi est un parasite et doit être réexpédié d’où il vient.
La notion de droit d’asile doit être révisée. Trop de sang de Français a coulé ces dernières années pour que l’on soit stupidement charitable. Tout excité faisant de la politique en son pays sait à quoi il doit s’attendre s’il joue à l’opposant en pays de dictature : les Français n’ont pas à supporter les conséquences de ces choix exotiques.
Notre solidarité doit être continentale et raciale : elle ne doit s’exercer qu’envers des individus de la race européenne et dans le but de former une authentique Europe unie des Nations de souche européenne.
Les musulmans doivent retourner dans le Dâr al-Islam. Nous devons bien comprendre que pour ces fous furieux de mentalité médiévale, notre France (et d’une manière générale notre Europe) fait partie du Dâr al-Harb : le Domaine de la Guerre religieuse. Si les Français sont trop sots pour comprendre ces notions, pourtant simples, alors ils sont mûrs pour l’esclavage ou la conversion à la foi la plus obscurantiste et barbare que l’on puisse trouver sur le marché spirituel.
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Affaire de racisme bidon sur les plages normandes
Source : OJIM
Se basant sans vérification sur des propos publiés sur les réseaux sociaux, le site d’actualité régionale Mantes Actu s’est fait l’écho d’une affaire de racisme sur les plages normandes.
Samedi 9 juillet, un groupe d’une centaine de personnes originaires de Mantes-la-Ville, dans les Yvelines, est arrivé en car sur les plages de Blonville-sur-Mer, en Normandie, grâce à une sortie organisée. D’après leurs dires, les touristes auraient alors été victimes de racisme. Le personnel de la plage leur aurait demandé d’aller plus loin, à près d’un kilomètre. « On s’est vite aperçu que l’on gênait et que cela était dû à notre apparence (femmes voilées, familles d’origine africaines) », raconte un participant, sur Facebook.
Le maire de la commune serait ensuite arrivé avec un policier municipal pour leur interdire la baignade. De plus, des propos « racistes » auraient été prononcés. « Qu’ils retournent dans leur cité, ils n’ont rien à faire ici », rapporte Mantes Actu. Sauf que de son côté, le site du journal Le Pays d’Auge a fait son travail en téléphonant au maire de Blonville. Démentant les accusations citées plus haut, Yves Lemonnier s’explique : « Le groupe est venu sans autorisation. D’habitude, les habitants de la banlieue parisienne qui viennent passer la journée chez nous s’annoncent, mais là, les deux cars sont arrivés sans autorisation et ont amené une centaine de personnes. »
Ainsi, « pour des raisons de sécurité, nous leur avons demandé de se mettre sur la plage au niveau du poste n°2 car à cause de la présence des parasols, la visibilité est moindre et la surveillance est plus difficile sur la zone du poste de secours n°1, et comme ils étaient très nombreux avec des enfants, nous n’avons pas voulu prendre de risque », ajoute-t-il. N’ayant pas apprécié d’être déplacé, le groupe aurait alors protesté avant d’aller se baigner… dans le chenal à bateaux. « Plusieurs adultes avec des enfants se baignaient dans le chenal réservé aux bateaux ce qui est strictement interdit et ont refusé de revenir dans la zone de bain », explique le maire normand.
Assurant qu’aucun propos raciste n’a été tenu, celui-ci se réserve le droit de décider des suites judiciaires de cette affaire.
http://fr.novopress.info/202506/affaire-de-racisme-bidon-plages-normandes/#more-202506
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Massacre de Nice : jusqu’à quand le déni de réalité ?
Le communiqué de l'Agrif sur le carnage de Nice :
"L’abomination de l’attentat islamiste de Nice appelle d’abord l’expression de l’unité française dans le deuil et la prière à la pensée des morts et des immenses souffrances des blessés et de celles des proches des victimes.
Mais elle suscite aussi indignation et colère devant l’incurie gouvernementale et aussi devant la continuation du déni de réalité sur les causes et l’extension de la barbarie. Car c’est depuis bien longtemps que le fanatisme islamiste ou islamo-gauchiste massacre ; dans l’indifférence hélas trop générale de notre peuple tant qu’il ne ciblait jadis que nos compatriotes d’Afrique du nord et ne se propageait qu’au Liban et au Proche-Orient.
Après Al-Qaïda, et les immenses attentats du 11 septembre 2001 à New York, l’État islamique et ses filiales frappent désormais sur tous les continents. Mais surtout ils préparent, on le sait bien, d’autres moyens de terreur, chimiques, bactériologiques voire l’utilisation de produits nucléaires.
La classe politico-médiatique fournit en abondance à chaque attentat son lot de communiqués pré-programmés d’une insigne indigence et répétitivité, ne trouvant souvent pas autre chose à dire que « les attentats sont lâches et abjects ».
Un quidam de France-Info a même atteint un sommet d’une stupéfiante imbécilité en osant proférer l’interrogation : « Comment un Niçois a-t-il pu tuer d’autres Niçois ? ». On reste accablé devant pareille ineptie.
Rares sont ceux voyant clairement que la tuerie de Nice, relevant certes du crime contre l’humanité, s’inscrit dans une stratégie puisant très loin dans l’histoire ses modèles de terreur, par exemple dans le jihâdisme des « hashishins ».
Trop peu s’avisent de rappeler :
- Que l’État islamique a initialement bénéficié de l’appui de l’Arabie Saoudite, du Qatar et de la Turquie.
- Et d’exiger que vienne enfin de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) regroupant les 57 pays « d’islam », une unanime et solennelle Charte de condamnation du terrorisme. Ceci ne serait-il pas le plus sûr moyen d’éradication de l’islamophobie ? Or, on est stupéfait de constater qu’alors même qu’on est devant l’horreur et devant les immenses souffrances causées par un fou d’Allah c’est tout de suite la crainte de l’islamophobie qui semble prioritairement en émouvoir certains !
La guerre que l’islam jihâdiste fait aux nations ne sera pas gagnée en France et ailleurs avec de dérisoires opérations « sentinelles » où l’on fixe en vain et épuise des milliers de nos soldats. La guerre à mener doit être simultanément celle de la lutte idéologique, de l’action psychologique et celle de la traque et de l’élimination des terroristes et de leurs réseaux de connivence et de soutien qui pullulent dans certains quartiers."
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La France va-t-elle rejoindre l’Organisation de la Coopération islamique ?
« La France, qui fut la “fille aînée de l’Eglise“, sera-t-elle le premier pays d’Europe à adhérer à l’Organisation de la Coopération islamique (OCI) ? », demande cette semaine l’hebdomadaire Minute, qui consacre sa une au rapport sénatorial d’information présenté le 7 juillet 2016 sous le titre : « De l’Islam en France à un Islam de France, établir la transparence et lever les ambiguïtés ».
L’Organisation de la Coopération islamique est cette structure qui a son siège à Djeddah, en Arabie saoudite, et qui réunit 57 pays dont le point commun est d’être des pays musulmans ou à très forte communauté musulmane, comme l’Afghanistan, le Turkménistan, la Turquie, le Qatar, le Sénégal ou le Liban, afin d’organiser leur étroite coopération dans les domaines économique et culturel – et de pouvoir mieux les mobiliser pour assurer la sécurité des lieux saints… de l’islam.
« On n’en est pas encore là mais on en prend le chemin » écrit « Minute », car, parmi les préconisations de ce rapport, « figure celle, dont on dira qu’elle a au moins les mérites de l’originalité et de la cohérence, de voir la France instaurer “une coopération plus suivie avec l’Organisation de la coopération islamique“ ! »
Ce souhait est justifié ainsi : « “Avec un nombre aussi considérable de musulmans sur son territoire, la France gagnerait à mieux faire valoir ses positions auprès“ de l’OCI ! Elle pourrait ainsi, suggèrent les rapporteurs, demander à y participer avec le titre d’“observateur“, étape intermédiaire entre son statut actuel – elle y est seulement “invitée“ pour assister à certains travaux… – et celui de membre à part entière. La Russie et la Serbie y sont déjà “Etats observateurs“, comme la Bosnie-Herzégovine ou la République centrafricaine, alors pourquoi pas la France… »
Précisons que la mission sénatoriale qui fait cette proposition était présidée par Corinne Féret, sénateur socialiste du Calvados, et que le rapport est cosigné par Nathalie Goulet, sénateur centriste de l’Orne, et André Reichardt, sénateur (LR) du Bas-Rhin, tendance juppéiste.
http://fr.novopress.info/202452/france-va-t-rejoindre-organisation-de-cooperation-islamique/
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La vérité sur le mouvement Black Lives Matter financé par Georges Soros
Pour infowars.com, Paul Joseph Watson revient sur la polémique actuelle sur les violences policières aux Etats-Unis, et notamment le retour au devant de la scène du mouvement Black Lives Matter, financé par le milliardaire cosmopolite George Soros…
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Sur la piste (de l’argent public)
Ce matin, sur mon trajet habituel, j’ai croisé un vélo.
Ah ?! Vous croyez qu’il s’agit de la première phrase d’un sketch comique, une de celles qui mettent en exergue un non-événement de la vie quotidienne, banal et sans intérêt ? Alors, discutons.
Le trajet se situe sur une commune limitrophe de Paris. Je le parcours à pied à peu près chaque jour sur environ 1 km. Il y a environ six ans, ce qui était une rue ordinaire s’est vu flanquée dedeux pistes cyclables, une de chaque côté. Jusque-là, tout reste à peu près normal.
Mais quand je vous aurai dit que le vélo que j’ai croisé ce matin était le quatrième que j’aie vu en six ans emprunter cette double piste cyclable, vous conviendrez avec moi que l’histoire est moins banale qu’il n’y paraît. A cet endroit comme en beaucoup d’autres, les édiles ont en effet estimé utile de déverser des wagons d’argent public dans une réalisation sans la moindre utilité.
Pourquoi l’ont-ils fait ? Pour des raisons, hélas, habituelles :
- parce que l’argent des contribuables, ici comme ailleurs, ne leur coûte pas cher ;
- parce qu’ils ont considéré qu’ils « ne pouvaient pas ne pas le faire » dans la mesure où cela se fait partout ;
- parce que « leurs écolos » ont organisé une de ces campagnes de harcèlement dont ils sont coutumiers sur le thème du réchauffement climatique et des circulations douces ;
- parce que les pistes cyclables sont devenues un impératif catégorique dans toute opération d’aménagement ; autrement dit, qu’elles sont à la mode (la même mode que celle qui fait foisonner les criminelles remontées à contre-sens) ;
- parce qu’un élu « en charge » se considérerait, sinon comme déshonoré (ne soyons pas ringard et ne parlons pas comme si la notion d’honneur était toujours en usage), mais plus prosaïquement menacé pour sa réélection s’il ne se conformait pas à cet impératif ; et, à l’inverse, parce qu’il est persuadé que plus une réalisation est à la mode et d’un coût disproportionné, plus elle rapporte de voix.
Ceux d’entre vous qui ne craindraient pas de passer pour naïfs me demanderont peut-être : « Mais alors, qu’en est-il de l’intérêt général là-dedans, et du souci des deniers publics ? »
Il n’est malheureusement pas très difficile aujourd’hui de trouver à foison des exemples illustratifs d’un nouveau principe : «l’intérêt général est la variable d’ajustement des décisions politiques ».
Une variable d’ajustement c’est ce dont on s’occupe de manière subsidiaire lorsqu’on a satisfait à tous les autres critères : ceux qui sont vraiment importants.
Aujourd’hui, dans le cas d’une décision politique, les critères importants, ce sont, au tout premier rang, le nombre de voix susceptibles d’être apportées ou retirées par la décision. La plupart du temps, c’est d’ailleurs le critère unique. Mais il peut arriver que s’y ajoutent le gain d’image escompté pour l’élu lui-même, sa collectivité ou son parti, la satisfaction d’une promesse électorale annoncée (quelque démagogique qu’elle ait pu être) et même (ça s’est vu…) le bénéfice collatéral apporté en toute discrétion à quelques amis.
Quand la décision satisfait à tous ces critères, alors on peut penser à l’intérêt général.
Quant au souci des deniers publics, il s’agit d’une catégorie dont l’utilité, en politique, n’apparaît que dans une circonstance : lorsqu’on reproche à l’adversaire de ne pas s’en soucier. Ce qui n’empêche nullement de se trouver à soi-même d’excellentes raisons pour l’oublier.
C’est de cet esprit que naissent et prospèrent les doubles pistes cyclables qu’aucun vélo n’emprunte jamais, les bibliothèques médiathèques colossalement surdimensionnées et désespérément vides de lecteurs et d’auditeurs, les centres de loisirs aquatiques qui tombent en ruines sans jamais avoir été mis en eau, les aéroports sans avion, sans passager et sans fret, les ronds-points et les contre-trottoirs que l’on construit, puis que l’on enlève, puis que l’on reconstruit.
C’est de là aussi que prospèrent les assemblées élues pléthoriques fondées sur un prétexte démocratique auquel plus grand monde ne croit, mais fort utiles pour recaser les amis déchus de fonctions antérieures, les commissions irréformables, celles que l’on supprime pour illustrer le « choc de simplification » avant de les re-créer sous une autre appellation, les collectivités territoriales que l’on sort par la porte et qui rentrent par la fenêtre, fortes de leur palmarès en termes de nuisances administratives créées, et des dépenses somptuaires qu’elles s’octroient.
C’est de là que procède la prospérité d’escouades d’associations dont la seule activité réelle est de répandre la bonne parole de gauche et d’extrême gauche, de conduire des actions d’animation bidon, prétendument au profit des pré-ados des « quartiers », qui sont, il y a belle lurette, passés à autre chose, de monter des spectacles que personne n’irait voir s’ils n’étaient pas gratuits, d’endoctriner les gamins depuis la maternelle (mais oui ! comme si l’école ne suffisait pas à faire le boulot), de mener des « actions culturelles » qui dispensent aux populations sidérées l’apprentissage du laid et du sale, de donner du boulot aux fils, filles, neveux, cousins des « personnalités significatives » aux niveaux municipaux ou départementaux, et, dernière utilité mais non la moindre, de servir de pompe à fric électoral aux partis qui les leur attribuent…
…et qui, légitimes par le service rendu, engrangent chaque année leur « jusqu’à plus soif » de subventions roses, vertes ou rouges, subventions dispensées sur la base du « quand on aime, on ne compte pas », sans aucune justification avant et sans aucun contrôle après.
Citoyen, mon semblable, mon frère, toi qui reçois ces avis d’imposition qui rivalisent en montants et en diversité, qui entends ad nauseam le politicien du jour se demander, avec des larmes en fond de gorge, « mais pourquoi les Français se détournent-ils de la politique ? », qui reçois par quintaux une propagande électorale qu’on ne regarde même plus pour y chercher les fautes de syntaxe, conserve, fais l’exercice : conserve, sur ton trajet quotidien, un œil aux aguets.
Tu seras peut-être surpris du nombre de centres culturels vides – ou occupés seulement par les emplois fictifs qu’on y a mis pour complaire –, d’œuvres de non-art achetées au prix du Rembrandt, d’affiches de spectacle sans le moindre intérêt artistique ni littéraire mais fleurant bon la filiation du réalisme soviétique, d’ouvrages routiers urbains inutiles et dangereux que tu rencontreras.
Et de pistes cyclables attendant désespérément leur deuxième vélo de l’année.
Julius Muzart, 3/07/2016
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Journal du Lundi 11 Juillet 2016 : U. E. / Barroso et Goldman Sachs officialisent leur relation
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L’ancien président de la Commission européenne José Manuel Barroso travaille pour Goldman Sachs
Le collusion entre les politique et la haute finance se montre de plus en plus au grand jour. En France nous avons Emmanuel Macron, ancien banquier d’affaires chez Rothschild. Désormais, José Manuel Barroso, ex-président de la Commission européenne, travaille pour Goldman Sachs. C’est cette banque qui avait aidé le gouvernement grec à truquer ses comptes, masquant son déficit pour rester dans la zone euro dans les années 2000…
« Evidemment, je connais bien l’UE et relativement bien aussi l’environnement britannique. Si mes conseils peuvent être utiles dans de pareilles circonstances, je suis prêt à aider »
On s’en doutait, M. Barroso n’a pas été recruté pour des compétences qu’il n’a pas ! Le recrutement n’est ici qu’un jeu d’influence qui sera sans doute bien cher payé ! José Manuel Barroso est une caricature de cette élite mondialiste et technocrate : il fut pendant 10 ans le président de la Commission européenne de 2004 à 2014.
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Journée mondiale contre le voile : pourquoi personne n’en parle !
Source : Boulevard Voltaire
Le 10 juillet, c’est la Journée mondiale des femmes sans voile, laquelle est promue en France par le collectif Femmes sans voile d’Aubervilliers en ces termes, sur sa page Facebook :
– Dire non au prosélytisme du voile et à sa banalisation, car il n’est ni un simple tissu ni une finalité spirituelle en soi mais il symbolise le statut inégal de la femme. Le voile, sacralisé par les dérives de l’idéologie islamiste, est leur étendard de par le monde : uniforme mortifère, il humilie toutes les femmes et porte atteinte à nos valeurs républicaines.
– Dénoncer le business qui s’est engouffré dans cette mode planétaire insidieusement « baptisée » pudique.
– Exiger la protection des filles mineures contre l’endoctrinement d’une vision hiérarchisée des sexes. Les fillettes n’ont pas à se cacher dans l’espace public dans des tenues aliénantes qui leur font porter la culpabilité d’être nées de sexe féminin.
Excepté un bref communiqué dans L’Humanité, quel média en parle ?
Cette cause est inaudible, les femmes musulmanes sans voile sont invisibles. Est-ce parce que leurs sœurs voilées le sont trop, justement ? Est-ce parce que leur combat est perdu d’avance ? Est-ce parce qu’elles s’y prennent mal ?
Il faut dire que les pro-voile sont des poids lourds. On citera dans le désordre et de façon non exhaustive : le pape François, Geneviève Garrigos d’Amnesty international et le CFCM (Conseil français du culte musulman).
Mais nous devrions être rassurés : la doctrine malékite, majoritaire en France (l’une des quatre écoles classiques de droit musulman sunnite), permet aux femmes de dévoiler leur visage, leurs mains et leurs pieds, donc exclut l’obligation (mais le permet) du voile intégral (niqab, burqa). Ouf, on respire…
Certaines voix politiques s’élèvent contre le voile, plutôt à droite ; ceux qui s’y risquent à gauche sont immédiatement rappelés à l’ordre par François Hollande en personne.
Parmi les religieux, on ne compte guère que Tareq Oubrou, imam de Bordeaux, pour dire que le voile n’est pas une obligation religieuse, mais il prêche dans le désert.
Peu d’intellectuels ou de féministes pour ce combat, au rang desquels l’emblématique Élisabeth Badinter, qui a subi en rétorsion des attaques personnelles. Le voile est justifié au nom de la liberté religieuse et du droit à s’opprimer soi-même. On notera le discours des féministes qui « bugue » lorsqu’il n’est pas face au modèle culturel occidental.
Cette capitulation est d’autant moins compréhensible et justifiable que les musulmanes progressistes des pays arabes (Yémen, Tunisie, Iran, Maroc, Liban), elles, condamnent le voile, avec des propos autrement plus cinglants que les nôtres. Le dernier livre de Hamid Zanaz, Non ! Nos voix ne sont pas une honte (2015), recense dix-sept de leurs interviews qui décapent…
Donc, il y a de quoi être consterné et inquiet. Si l’on baisse les bras sur le port du voile, n’est-il pas probable — et cela fait froid dans le dos — que la prochaine étape sera de devoir combattre pour « la liberté de ne pas le porter » ?
Emmanuelle Frankl
http://fr.novopress.info/202382/journee-mondiale-contre-voile-personne-nen-parle/#more-202382
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