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magouille et compagnie - Page 1802

  • Des pays du G20 financent DAESH/ISIS

    Au sommet du G20, qui s’est tenu du 14 au 16 novembre en Turquie, le président russe a souligné que la Russie avait présenté des exemples de financement des terroristes par des personnes physiques venant de 40 pays, y compris des pays-membres du G20.

    Voir à la 2° minute !

    Terre et Peuple

  • Brice Couturier et ses propos inattendus

    La chronique de Philippe Randa

    publiée dans le quotidien Présent

    « Le Parti des médias et l’intelligentsia méprisent la réalité » : un titre d’article alléchant dans les colonnes du Figaro du 19 août dernier ; on pouvait craindre, méfiance de l’habitude oblige, que le contenu de l’article ne tienne pas les promesses de cette accroche inattendue, mais si ! cet entretien avec Brice Couturier, journaliste et producteur de radio, est des plus étonnantes…

    Jugez-en : « Le Parti des médias préfère nous abreuver de petites nouvelles insignifiantes, d’une part, de ses grandes indignations, de l’autre »… « Le pire, c’était de supporter ces idéologues de petit calibre, cooptés par leurs camarades de l’Université, qui tiennent lieu d’intelligentsia aux yeux des journalistes bien-pensants. Quel dialogue peut-on avoir avec ces personnages, arrogants quoiqu’incultes, et d’autant plus pérorant qu’ils méprisent les faits, les chiffres, la réalité ? Ils prétendent déconstruire ce qu’ils n’ont jamais cessé d’ignorer. »

    Et, cerise sur le gâteau, à cette question formulée pour en contenir la réponse : « La montée des “populismes” vous inquiète-t-elle ? », il remarque qu’« il y a aussi quelque chose de positif dans ce que les élites baptisent “populisme” : les simples gens ont parfois une vision plus juste que des dirigeants vivant hors-sol, dans l’ignorance des vrais problèmes de la population. »

    Point trop n’en faut néanmoins, il s’empresse bien entendu d’ajouter qu’il « souffle indéniablement sur la planète un vent mauvais » en confirmant qu’il avait soutenu les interventions militaires en Irak et qu’il ne faut pas venir lui dire « qu’avec les despotes Saddam Hussein, Kadhafi et Bachar el-Assad, Moubarak, nous vivions dans un monde “plus sûr”. »

    Les populations respectives des pays concernés n’ont peut-être pas la même opinion, mais bon ! comme il le dit lui-même : « sur tous les plans, on se rapproche de la vérité en marchant en crabe… »

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • François Baroin Premier ministre de Sarkozy ? Pas vraiment une droitisation

    Dans un entretien au Figaro, Nicolas Sarkozy confirme que François Baroin devrait être son premier ministre s'il était élu président en mai 2017:

    «C'est le mieux placé». "J'ai une très grande confiance en lui".

    François Baroin est le président des maires de France, qui voulait interdire les crèches de Noël dans tous les lieux publics. Maire de Troyes, il préfère s'attaquer aux crèches qu'aux mosquées où prêchent des imâms dangereux comme Abdelilah Ziad.

    Par ailleurs, dans son dernier livre, Nicolas Sarkozy affirme vouloir réduire drastiquement le nombre d'immigrés entrant en France :

    Capture d’écran 2016-08-24 à 22.43.33

    Il promet aussi un "Schengen II" pour mieux contrôler les étrangers extracommunautaires.

    Pourtant, François Baroin déclarait en juin dernier au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker :

    « Je veux vous porter le message de tous les maires de France, qui seront aux côtés de l’Etat dans sa mission régalienne d’accueillir les naufragés de la vie [c’est ainsi que François Baroin désigne les immigrés clandestins ! Ndlr] et de les aider à se reconstruire. »

    « Monsieur le président de la Commission européenne, pouvez-vous nous indiquer la marche à suivre ? Quelle est l’étape actuellement suivie et quelle méthode retenue ? » « C’est donc bien dans une inscription dans la durée de l’accompagnement de ces populations qu’il faut définir des politiques publiques partagées »...

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Concessions d’autoroutes : l’État français organise sa propre spoliation !

    La Cour des comptes, à plusieurs reprises, a épinglé les sociétés d’autoroute.

    Dans la deuxième quinzaine de ce mois, les militants de Debout la France ont distribué, un peu partout en France, des tracts aux usagers de l’autoroute. Par exemple, aux péages de Sées et Dozulé (en Normandie), ou encore à celui de Beaune (en Bourgogne). Tout ceci avec un objectif : sensibiliser sur la nécessité d’un retour des autoroutes sous le contrôle de l’État pour enrayer la hausse des tarifs.

    Rappelons, ici, qu’en vertu de l’article 4 de la loi n° 55-435 du 18 avril 1955 portant statut des autoroutes, « l’usage des autoroutes est en principe gratuit ». En principe… Par conséquent, la situation actuelle n’est rien de moins – n’ayons pas peur des mots – qu’un hold-up financier au profit des grands groupes. À ce titre, on peut légitimement regretter qu’à l’exception notable de Nicolas Dupont-Aignan, justement, nos hommes et femmes politiques ne se bousculent pas au portillon du péage pour dénoncer ce que le député-maire d’Yerres appelle avec raison « un gigantesque scandale d’État ».

    Un hold-up d’autant plus scandaleux, en effet, que l’État engage des investissements en infrastructures et finance ainsi actuellement environ 20 % du réseau total.

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  • Avec Valls, la ville d'Evry a une dette qui a augmenté de 276%

    Dès 2006, les juges de la Chambre régionale des comptes dénonçaient une "gestion dangereuse" et un "recours excessif à l'emprunt" pour une "faible capacité d'autofinancement". Il faut dire qu'entre 2001 et 2013, la dette de la commune a augmenté de 276%. La Chambre régionale des comptes, dans un autre rapport sur la santé financière de la ville, étudié le 21 novembre 2013 en conseil municipal, évoque une "situation préoccupante". La stratégie du recours à l'emprunt comme moyen de financement s'est en effet accélérée après 2008, lors du second mandat de Manuel Valls. Sur la période qui couvre 2008-2014 les investissements prévus sur la commune s'élèvent à 91 millions d'euros, financés à 60% par l'emprunt. Sur cette somme 76,6 millions ont déjà été dépensés dans la rénovation du quartier des pyramides (une "zone urbaine sensible") et du Bois sauvage.
     
    Emmanuel Ratier, Le vrai visage de Manuel Valls

  • Les œufs du dragon

    Bernard Plouvier

    On la savait depuis quelques années, mais on en a une confirmation actuelle : l’invasion de la France par les immigrés africains, noirs et maghrébins, – une invasion à forts relents islamiques –, passe à la vitesse supérieure.

    On savait déjà que, par le jeu des différences de fécondité entre Blanches, autochtones européennes de France, Noires et Maghrébines, notre pays deviendrait un État islamo-africain dans un délai de deux générations – grossièrement : dans un demi-siècle. Nos honorables envahisseurs ne veulent plus attendre le phénomène, somme toute démocratique, de la puissance du nombre pour dominer les très mols autochtones, effectivement indignes de leurs ancêtres.

    Grâce à une multitude de collaborateurs, qui trahissent leur race par amour de l’islamo-pétrodollar, par pure démagogie électoraliste ou par crétinisme, issu de réflexes marxistes ou d’une repentance historiquement absurde, les agités et agitées du bocal, issus de l’immigration-invasion, s’en donnent à cœur joie depuis l’An 2014, où les premiers attentats perpétrés au nom d’un certain allah ont débuté en France.

    Il n’est pas de semaine où, quelque part en Europe de l’Ouest – car le cas français n’est pas isolé -, un ou des Blancs sont poignardés par des meurtriers immigrés. Mais en août 2016, c’est pour un Noir, porteur d’une cardiopathie congénitale et dopé au haschich, mort lors d’une course-poursuite entreprise par les forces de l’ordre, que les media collaborateurs versent des torrents de larmes et d’imprécations (alors même que deux autopsies ont donné tous les renseignements utiles sur cette affaire).

    Qui s’intéresse aux malheurs des Blancs attaqués chez eux, dans le pays de leurs pères, dans le continent européen, qui fut source de la civilisation moderne ? Personne… et pas vraiment les génies du Front ex-National qui sont curieusement devenus très « libéraux ». En d’autres temps, l’on eût entendu les protestations rudes et justes d’un certain Jean-Marie… mais c’était autrefois.

    De nos jours, les Français de souche européenne, davantage gras de la cervelle que du bide – ce qui n’est pas peu dire -, obsédés de cette respectabilité démocratique, qui a remplacé la variété bourgeoise, laissent faire, pratiquant la politique du chien crevé au fil de l’eau.

    On le voit ce 25 août 2016 où, à Reims dans un Centre international de séjour, deux immigrées féministes, spécialisées dans la rage haineuse anti-Blancs – si juteuse en retombées médiatico-politiques, en dollars issus des fondations US ou judéo-US, et bien sûr en islamo-pétrodollars -, ouvrent leur colloque de trois jours consacré aux « victimes du racisme d’État ».

    On imagine aussitôt que l’on va y traiter de la ségrégation raciale intitulée « discrimination positive », qui permet à des extra-Européens de jouir de postes réservés, ou de l’effarant laxisme judiciaire – héritage de l’illustre Taubira – qui permet aux fruits pourris de l’invasion africaine et proche-orientale de jouer en toute impunité aux délinquants multirécidivistes : soit les expressions les plus achevées d’un racisme d’État.

    Non, pas vraiment ! Il s’agit de geindre une millionième fois sur les « violences policières » et sur les misères de l’époque coloniale, de pleurer sur une institution organisée par des Noirs et des marchands musulmans : l’esclavage aboli en 1848, sauf en terres d’islam où il fait toujours florès, en dépit d’hypocrites dénégations officielles.

    Il s’agit aussi (voire surtout) de pousser les imams de banlieues et les féministes les plus fortes en gueule à se lancer dans la politique… et l’on imagine que le Parti socialiste à la dérive et les millionnaires en euros du Parti de gauche espèrent un regain de participations immigrées aux prochains scrutins. Les votes, c’est comme l’argent du regretté Vespasien : ça n’a pas d’odeur.

    Dans toutes les histoires de dragon, la mise à mort de celui-ci ne sert à rien si l’on n’a pas détruit ses œufs… c’est ce qui permet de sortir une ou des suites. Il est indispensable de bien cibler notre dragon, destructeur d’êtres et de biens, puis de tirer toutes les conséquences de cette identification.  

    L’An 2015 fut pourri, sanglant, ignoble. L’An 2016 est purement et simplement immonde. Qu’en dépit de toutes les saloperies perpétrées contre des autochtones depuis trois années par les envahisseurs, des rejetons de l’immigration continuent de s’agiter de façon aussi contraire au bon sens et à la réalité des faits, prouve notre degré d’aveulissement.

    Si nous laissons délirer les agitées du bocal, tandis que leurs mâles pillent, incendient, violent, tuent, nous ne sommes bons que pour l’esclavage, car nous sommes devenus indignes de nos pères.

    On réagit ou l’on meurt. C’est vrai pour un homme, comme ce l’est pour une civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Horreur des charniers découverts en Syrie, tandis que des dizaines de milliers de djihadistes abattus restent non-identifiés. Analyse de la situation

    Alors que les charniers autour de la ville de Palmyre, qui a été occupée par les islamistes, n’en finissent plus d’être découverts depuis que l’armée syrienne à l’aide de l’aviation russe l’a libérée, les traces d’horreurs et de tortures que révèlent les cadavres dépassent toute imagination. Dans le même temps la Syrie tente d’identifier les dizaines de milliers de cadavres de djihadistes abattus, qui appartiennent à de multiples nationalités, dont la France.

    Le président du Comité suprême d’expertise médico-légale de Syrie, Hussein Nofal a déclaré devant le Conseil de Sécurité de l’ONU:

    « Nous avons réussi à identifier des dizaines de milliers de djihadistes abattus, qui étaient citoyens de France, de Turquie, d’Irak, d’Arabie saoudite, de Jordanie, du Liban et d’autres pays arabes. Mais il nous reste encore 30.000 cadavres non-identifiés ».

    A propos des charniers: 

    « Lorsque nous trouvons des fosses communes dans les localités libérées, le plus souvent nous ne réussissons qu’à établir la cause du décès, beaucoup trop de temps s’étant écoulé depuis le moment de la mort. Très souvent, nous découvrons que les habitants tués ont été torturés, battus, blessés, ou ont subi des injections de fuel et d’huile dans le sang. Certains cadavres féminins contenaient des objets étrangers introduits du vivant des femmes ».

    Il ajoute que 60% des violences perpétrées en Syrie ont visé des enfants qui subissent de plus en plus des sévices corporelles et sexuelles, tout comme les femmes. 

    La Syrie accuse la France

    La France, notamment, refuse de coopérer avec les services syriens pour identifier ses ressortissants islamistes abattus et refuse de récupérer leurs cadavres. Dans le même temps à l’ONU la Syrie a accusé la France d’avoir lancé une attaque au gaz sarin dans la région de Damas en 2013 qui aurait fait 1500 morts civiles. C’est le journal britannique The Independent qui rapporte les propos du représentant de la Syrie:

    « L’utilisation d’armes chimiques dans la région de Damas a été conçue pourempêcher le Dr Ake Sellström [enquêteur de l’ONU] d’aller à Alep, car [la France] savait qui avait utilisé des armes chimiques à Alep. Ils voulaient empêcher par tout les moyens, le Dr Sellström d’atteindre Alep  et par conséquent, ils ont utilisé des armes chimiques à Damas avec la participation des services secrets français. » explique Bashar al-Jaafari, représentant permanent de la Syrie à l’Organisation des Nations Unies.

    Selon les accusations syriennes, cette nouvelle attaque au gaz en 2013, alors que l’ONU enquêtait pour déterminer l’origine de précédentes attaques chimiques, est venue renforcer les accusations internationales contre la Syrie, alors qu’il était évident que la Syrie avait toutes les raisons de ne pas les faire, puisqu’elle était en train de tenter de convaincre les enquêteurs de son innocence. Mais, contre toute raison, cette nouvelle attaque au gaz a renforcé les attaques internationale contre Bachar-el Assad et dressé l’opinion contre son gouvernement,  accuse la Syrie.

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  • Arte, une chaîne de propagande européiste sous perfusion

    De Marc Baudriller dans Challenges :

    "264 millions d’euros, telle est la confortable enveloppe offerte pour l’année 2016 par l’Etat français à la chaîne Arte France qui présentait ce mercredi 24 août sa grille des programmes. C’est trois fois le budget de BFM TV, quatre fois celui de la mini-généraliste de TF1, la chaine TMC pour une audience comparable (2,2% sur les 4 ans et plus pour Arte, contre 2,6 pour TMC et 2,8 pour BFM TV au format différent de chaine d’information). Mais la présidente d’Arte France Véronique Cayla s’apprête à entamer des négociations sur un budget 2017 qu’elle espère évidemment en hausse.

    Alors, les dirigeants insistent sur les symboles. C’est "un des plus beaux emblèmes de la coopération franco-allemande", estime le président d’Arte GEIE (le holding franco-allemand), l’Allemand Peter Boudgoust. "En cette période de crise profonde de l’Europe, la responsabilité de cette chaîne consiste à porter les valeurs de la France, de l’Allemagne et de l’Europe", au moment où "les peuples sont tentés de se replier sur eux-mêmes", poursuit-il. Arte veut au contraire "une Europe des peuples et des valeurs", "de l’intégration et du métissage". Il s’agit de "faire vivre cette Europe de la culture dont nous avons le plus grand besoin".

    Bref : le contribuable paie pour avoir de la propagande... qu'il regarde peu.

    Michel Janva

  • Tout pour la France ? Rien pour les partis

    Le député Jacques Bompard se félicite ironiquement que Nicolas Sarkozy adhère désormais à ses thématiques, alors que, à l'Assemblée, son parti ne votait pas les propositions du député de la Ligue du Sud. Reprenant le slogan de Nicolas Sarkozy, il ajoute qu'il faut servir la France avant de servir son parti :

    "[...] L’évidence de la priorité de la question identitaire est désormais partagée par Nicolas Sarkozy : il rejoint donc les interventions bien solitaires que je fis à l’assemblée concernant le moratoire sur les mosquées, concernant le lien immigration-terrorisme, concernant la guerre des communautés en place sur notre sol. Espérons que cette conviction ne soit pas simplement un signal électoral. [...] Alors que mes remarques en commission des lois provoquèrent l’ire d’une frange progressiste de l’UMP, Nicolas Sarkozy en arrive à l’évidence de l’expulsion des étrangers constituants une menace. La « réduction drastique » du nombre d’étrangers est sans doute un premier pas vers la seule solution viable : la réémigration. Du moins, espère-t-on ce sous-entendu ! Autorité et identité sont les racines de nombre de mes discours à la tribune. Il est à espérer que nous en partagions la même interprétation. Je lui enverrai ma proposition de lutte contre le Grand Remplacement afin que cette promesse ne soit pas sans lendemain. [...] J’espère que ce nouveau candidat évitera l’écueil classique des personnalités politiques : un communicant habile qui laisse notre pays s’effondrer. Tout pour la France est un slogan adéquat, rien pour les partis est la seule solution pour y parvenir."

    Dans le même ordre d'idées, le groupe Socialiste, Démocrate, Ecologiste et Apparentés de la Région Auvergne-Rhône-Alpes souligne les incohérences de Laurent Wauquiez, qui vient d’être désigné Président par interim des Républicains. Ce rôle s’ajoute à son mandat de député et de Président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes :

    "Pendant ces derniers mois, Laurent Wauquiez n’a eu de cesse de jurer aux auvergnats et aux rhônalpins qu’ils étaient sa prioritéQuelques mois seulement après son élection, Laurent Wauquiez préfère retourner à la tambouille politicienne parisienne, visiblement peu passionné par les défis auxquels doit faire face la Région Auvergne-Rhône-Alpes. [...] Mais Laurent Wauquiez préfère dédier la majorité de son temps à préparer le come back d’un ancien Président de la République désavoué. La réalité, c’est que la deuxième Région de France sera gérée par mail depuis Paris, par un Président de Région à temps partiel. C’est un formidable pied de nez pour les auvergnats et les rhônalpins."

    Michel Janva

  • L’inversion accusatoire : un artifice de propagande aux mains de l’oligarchie, qu’il faut dénoncer

    A côté de la novlangue, l’inversion accusatoire tient une place de choix dans les outils de propagande de l’oligarchie. Décryptage.

    Une défense et une arme

    L’inversion accusatoire est un processus de défense bien connu des prétoires consistant à imputer la cause finale d’un délit non pas au coupable mais… à sa victime.

    Ainsi, par exemple, si un touriste a été victime d’un pickpocket, c’est parce qu’il a été imprudent en faisant étalage de son argent : en quelque sorte il a incité le voleur à passer à l’acte.

    Ne riez pas ! C’est en application de ce processus, par exemple, que dans le métro parisien on vous avertit dans toutes les langues que des pickpockets sont susceptibles d’être présents dans la station. Conclusion : s’ils vous volent ce sera de votre faute car la RATP vous avait prévenu !

    Ce type de défense est très prisé de nos jours puisqu’il correspond à l’idéologie rousseauiste : l’homme est bon par nature et c’est la société qui le corrompt. Il correspond aussi à l’idéologie gauchiste de la Défense Sociale Nouvelle (1), consistant à présenter les délinquants comme des victimes que l’on doit réinsérer au plus vite dans la société. Il fait le lit du laxisme pénal car il génère la culture de l’excuse avec toutes les conséquences que l’on connaît.

    Mais l’inversion accusatoire ne se cantonne pas à la procédure judiciaire. Elle est aussi devenue une arme aux mains de l’oligarchie, d’autant plus redoutable qu’elle s’appuie sur la sidération médiatique. Les oligarques ne cessent, en effet, d’accuser leurs opposants et les peuples européens de leurs propres vices. Quelques exemples.

    Premier exemple : vous jouez sur les peurs !

    Un argument accusatoire habituel de la propagande officielle consiste à affirmer que les populistes joueraient sur les peurs (notamment la peur de l’immigration), ce qui ne serait pas bien.

    Mais que font en réalité les oligarques sinon essayer de provoquer la peur à chaque consultation électorale ?

    Ainsi, que n’ont-ils pas dit avant le vote anglais sur le Brexit ? Par exemple que l’économie anglaise allait s’effondrer, que les marchés allaient s’affoler et que, bien sûr, cela coûterait à la France une diminution de sa croissance.

    De même, s’agissant de l’euro et des traités européens, l’oligarchie ne cesse de jouer sur le registre de la peur : si l’on sort de l’euro, les Français perdront leurs économies… Si l’on sort de l’Union européenne, ce sera la guerre, etc.

    On a vu de même, cet été, le gouvernement socialiste et ses médias diffuser la thématique selon laquelle la France serait au bord de la guerre civile (2) : nouvel exemple d’instrumentation de la peur.

    Second exemple : vous êtes des complotistes !

    Autre exemple d’inversion accusatoire : le complotisme, qui serait une maladie d’extrême droite consistant à voir des complots partout.

    Mais en réalité c’est bien l’oligarchie qui complote en permanence contre les peuples européens : contre leur souveraineté et leur identité.

    L’oligarchie ne complote pas mais elle négocie dans le plus grand secret le Traité Transatlantique. Elle necomplote pas mais elle s’efforce par tous les moyens de nous entraîner dans une hostilité croissante vis-à-vis de la Russie. Elle ne complote pas mais elle impose au peuple français, avec le Traité de Lisbonne, un traité européen qu’il avait récusé par référendum.

    Elle ne complote pas mais la fondation Open Society de G. Soros (3) finance partout des mouvements destinés à diffuser l’idéologie libérale/libertaire et à favoriser l’immigration. L’oligarchie ne complote pas mais ses principaux leaders européens sont tous passés par les Young Leaders ou la banque Goldman Sachs.

    Troisième exemple : vous êtes raciste !

    L’accusation de racisme, sans cesse proférée à l’encontre des Européens en général et des Français en particulier, relève également de l’inversion accusatoire.

    Car en réalité la dénonciation obsessionnelle du racisme des autochtones traduit la haine cosmopolite de toutes les identités – et notamment de l’identité européenne – qui anime les oligarques. Les oligarques préfèrent toujours l’homme aux semelles de vent, plus malléable, à l’homme enraciné. Ils préfèrent les immigrants aux autochtones et les étrangers aux citoyens.

    En fait, leur antiracisme ostentatoire cache leur haine de tout ce qui est « terroir, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier » (4). Il est d’ailleurs frappant de constater que ces prétendus « antiracistes » professionnels refusent de reconnaître et donc de combattre le racisme antifrançais ou bien la christianophobie : ce qui traduit bien la véritable orientation haineuse de leur posture (5).

    En outre, comme le faisait remarquer Annie Kriegel en son temps, la dénonciation du racisme à tout bout de champ, initiée notamment en France par l’opération SOS-Racisme, a contribué à diffuser « une vision racialiste des rapports sociaux », c’est-à-dire à voir des questions raciales là où il n’y en avait pas. Donc en réalité àdiffuser le racisme en France.

     Les oligarques, qui prétendent lutter contre la diffamation raciale, diffament en réalité en permanence et en toute impunité les Français et les Européens en les accusant, et eux seuls, de tous les crimes possibles : croisades, esclavage, colonialisme, militarisme, antisémitisme, xénophobie, racisme, etc.

    Quatrième exemple : vous menacez la démocratie !

    Enfin, dernier exemple, l’accusation portée à l’encontre des mouvements populistes de menacer la démocratie, voire de vouloir imposer un régime dictatorial.

     Il s’agit également d’une belle inversion accusatoire car c’est bien l’oligarchie qui détruit la démocratie en particulier en s’attaquant à la souveraineté des nations, en marginalisant la citoyenneté (6) et en donnant aux juges inamovibles la primauté sur les législateurs. Il suffit aussi de se rappeler ces oligarques vitupérant contre le référendum après le vote anglais sur le Brexit (7) pour mesurer l’étendue de leur esprit « démocratique ». En réalité, ce qu’ils nomment démocratie signifie seulement la soumission des peuples à l’idéologie et aux intérêts de l’oligarchie.

    Il est d’ailleurs significatif que les oligarques aient choisi de donner un sens péjoratif au mot populiste : car dans leur esprit il ne faut surtout pas faire la volonté du peuple, mais au contraire soumettre tous les peuples à leur loi et à leur gouvernement (8).

    Il faut dénoncer l’inversion accusatoire

    Le décryptage de la novlangue nous a appris à distinguer la réalité derrière le masque des mots.

    Nous savons, par exemple, que ce que les oligarques nomment liberté désigne en réalité la nouvelle condition servile qu’ils veulent nous imposer. Comme nous savons ce que veulent vraiment dire des expressions commeun quartier populaire, ou l’acte d’un déséquilibré.

     En ouvrant les yeux sur les pièges de l’inversion accusatoire, nous allons maintenant découvrir que ceux qui jouent en permanence les procureurs des peuples européens les accusent en réalité des crimes qu’ils ont l’intention de commettre contre eux.

    La novlangue est une tromperie sur et par le langage (9). L’inversion accusatoire est une tromperie encore plus grave car elle porte sur la distinction entre le Bien et le Mal. Car avec l’inversion accusatoire, le Mal se pare des couleurs du Bien et du Juste.

    C’est pourquoi il faut dénoncer cette autre forme de désinformation.

    A vous de jouer maintenant !

    Michel Geoffroy, 20/08/2016

    Notes : 

    1. Voir notamment l’œuvre de Marc Ancel.
    2. A cause de… l’ultra-droite, selon le responsable de la DCRI…
    3. LeMonde.fr du 19 août 2016 présente M. Soros sous les traits d’un « philanthrope »…
    4. « Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier nous est étranger, voire odieux », Bernard-Henri Lévy, Edito de Globe paru en 1985.
    5. Ce qui ne les empêche pas, dans un autre processus d’inversion accusatoire, de clamer « FN = F Haine » !
    6. En donnant aux étrangers les mêmes droits, voire des droits supérieurs, que ceux des citoyens.
    7. « Il faut arrêter de dire que le peuple a toujours raison », Daniel Cohn-Bendit, LeFigaro.fr du 5 juillet 2016.
    8. Les cosmopolites qui préconisent un gouvernement mondial veulent instaurer en réalité une dictature mondiale : la leur.
    9. Pour reprendre l’expression du journaliste Michel Legris.

    http://www.polemia.com/linversion-accusatoire-un-artifice-de-propagande-aux-mains-de-loligarchie-quil-faut-denoncer/