magouille et compagnie - Page 1808
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[Extrait] Alain Soral sur Elie Wiesel, escroc à la Shoah – Entretien de janvier 2013
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Sourds et aveugles ! par Claude PICARD
Notre démocratie est comme un ventre mou, encore élastique - pour combien de temps ? - sur lequel le terrorisme islamiste joue au trampoline. Un ventre malade, gangrené de l'intérieur par des apprentis djihadistes issus d'une immigration massive incontrôlée et par des années de laxisme, d'impotence et d'impuissance. Mais aussi et surtout par l'imbécile repentance d'une élite honteuse et incapable d'assumer son passé colonial.
Repentance ! L'expression est chargée de douleurs et de vains remords ; si l'expiation de fautes passées permet, quelquefois, de pouvoir se regarder plus facilement dans un miroir, la culpabilisation n'a jamais empêché les faits de rester ce qu'ils sont : des faits !Évidemment, on peut toujours raconter l'histoire en l'enjolivant pour mieux faire passer la pilule, ou en la noircissant pour une cause idéologique, mais peut-être qu'il serait plus judicieux, en adulte responsable, de regarder la réalité en face, de bien peser le pour et le contre, d'analyser ce qui a éventuellement cloché et de faire en sorte que le passé serve l'avenir.
C'est en général le travail des historiens. Pour les politiciens, c'est un peu plus compliqué : il ne suffit pas d'analyser le passé, il faut en même temps gérer le présent et très souvent, l'instantané. Pas facile !
Mais c'est leur boulot ! Normalement, ils sont formés pour ça, et s'ils sont élus, on leur demande d'être opérationnels. Sinon, qu'ils aillent… planter des choux ! C'est bien ce que devraient faire la plupart d'entre eux, tellement ils sont inefficaces, plutôt que de squatter l'Assemblée Nationale ou les fauteuils de l'Élysée pour la seule satisfaction de leur ego. On demande à un responsable politique d'être… responsable, et d'assumer ses responsabilités en s'occupant des doléances de ses administrés. C'est la moindre des choses.
Aujourd'hui, nous avons un pouvoir qui n'a jamais autant manqué d'autorité et des élus qui n'ont jamais été aussi laxistes. Nous atteignons le summum du laisser-faire et de l'irresponsabilité au plus haut sommet de l'État, avec un président de la République, hors-sol, un Premier ministre, impondérable et un ministre de l'Intérieur, inconséquent. Bref, un trio absolument inadéquat, inopérant et complètement nul ! Alors que la France est en état d'urgence, en guerre contre l'islamisme radical qui sévit, impavide, sur notre sol et jusque dans nos maisons, une loi, édictée par Bruxelles, mais rejetée par l'immense majorité des Français, met le feu aux poudres. Et des casseurs, incontrôlés et incontrôlables, occupent le terrain en détruisant des biens publics et en s'attaquant violemment aux forces de l'ordre. Les désordres, les excès, sont partout et règnent en maîtres. La désorganisation de la société s'accélère et entraîne le pays vers l'anarchie.
Que font nos « responsables » contre ces exactions ? Ils les condamnent, comme d'habitude, verbalement. Pas plus ! Sans avoir le courage de prendre une seule mesure de bon sens… Sourds et aveugles, ils n'entendent pas la colère qui monte et ne voient pas la désintégration d'un pays au bord du gouffre. Totalement dépassés, ils continuent, comme si rien n'était, leur litanie d'un vivre ensemble fantasmé et ne pensent qu'à la prochaine élection qui va leur permettre de poursuivre leur travail de sape.
En attendant, la France va à vau-l'eau et l'inénarrable « ça va mieux » prend du plomb dans l'aile.
http://www.francepresseinfos.com/2016/06/sourds-et-aveugles-par-claude-picard.html#more
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Alain Juppé : "Je suis favorable à l'adoption par les couples de même sexe"
Alain Juppé a présenté aujourd'hui ses propositions pour la famille :
"Pour la gauche, la politique familiale est une variable d'ajustement. J'entends lui redonner toute sa place pour au moins deux raisons: la cohésion sociale, car la famille reste un repère central dans une société en quête de sens; la démographie, puisqu'il existe une étroite corrélation entre dynamisme démographique et dynamisme économique. Relever dès 2017 le plafond du quotient familial de 1.500 à 2.500 euros par demi-part pour toutes les familles, rétablir le versement de la prime à la naissance dès le 7e mois de grossesse, augmenter le plafond des donations des grands-parents pour leurs petits-enfants (...)
Après avoir bien entendu vérifié que les conditions d'épanouissement de l'enfant sont réunies, je suis favorable à l'adoption par les couples de même sexe (...)"
Il n'est bien évidemment pas question d'abroger la loi Taubira...
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Vous prendrez bien un peu de propagande ?
La première période, d’une durée de trois mois, interviendrait « à la fin de l’année scolaire des élèves ayant atteint leur dix-huitième anniversaire » et serait baptisée « classe républicaine ». Cette classe républicaine aurait pour vocation de dispenser aux jeunes Français un « apprentissage des fondamentaux de la République ».
Le service civique va-t-il finalement devenir obligatoire ? Depuis 2012, le président de la République François Hollande a fait du service civique une de ses grandes mesures en faveur de la jeunesse, et ne cesse d’affirmer vouloir l’étendre au plus grand nombre. Son objectif, réaffirmé plusieurs fois depuis les attentats de Paris en novembre dernier, est d’accueillir la moitié d’une classe d’âge en 2018, soit 350.000 jeunes, puis l’ensemble d’une génération au-delà de 2020 en service civique.
Une nouvelle étape de cette généralisation pourrait être bientôt franchie, puisque l’Assemblée nationale a adopté hier un amendement rendant le service civique « obligatoire et universel », dans le cadre du projet de loi Égalité et citoyenneté actuellement en débat dans l’hémicycle.
Une « classe républicaine » pour apprendre « les fondamentaux de la République »
Si le projet de loi est encore loin d’être voté, l’adoption de cet amendement marque une nouvelle étape importante dans le développement du service civique. Présenté par une trentaine de députés socialistes, l’amendement veut créer une « expérimentation » qui veut permettre à tous les jeunes Français de 18 à 25 ans « d’effectuer un service civique universel d’une durée de neuf mois répartie en deux périodes distinctes ». [...]
La suite sur Le Figaro.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Vous-prendrez-bien-un-peu-de
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Marine Le Pen fait condamner L’Obs en diffamation
Source : OJIM
Pour avoir imputé à Marine Le Pen un enrichissement personnel, L’Obs vient d’être condamné à une amende avec sursis et 2 000 euros de dommages et intérêts.
Dans un article publiée le 11 décembre 2014, l’hebdomadaire prétendait révéler le « magot caché de Marine Le Pen ». « La justice se demande si la présidente du Front national n’est pas la bénéficiaire d’un système conçu pour détourner de l’argent public », écrivait L’Obs à propos d’une enquête portant sur des soupçons de surfacturation dans le financement des campagnes du FN en 2012, qui a conduit le parti frontiste ainsi que dix personnes (dont deux de ses vices-présidents) à être mis en examen.
Marine Le Pen avait quant à elle été placée sous le statut de témoin assisté. Après la plainte de la présidente du Front National, le tribunal correctionnel de Paris a estimé que certains passages de l’article de L’Obs incitaient le lecteur à penser que cette dernière avait bénéficié, dans cette affaire, d’un enrichissement personnel. Des conclusions contraires à celles de l’enquête, bouclée depuis janvier 2016.
La directrice de publication de l’hebdomadaire, détenu par le trio Bergé-Niel-Pigasse, a ainsi écopé de 500 euros d’amende avec sursis pour diffamation. Elle devra par ailleurs verser 2000 euros de dommages et intérêts à Marine Le Pen, et 2 000 euros pour les frais de justice.
http://fr.novopress.info/202266/marine-pen-condamner-lobs-diffamation/#more-202266
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Les régimes ayant tenté de se substituer aux familles portaient tous la marque du totalitarisme
Dans son éditorial de Ouest-France, Jeanne Emmanuelle Hutin s'élève contre l'atteinte à la liberté scolaire :
"Rappelons ce qu'elles ont vu passer en peu de temps : la théorie du genre et le militantisme d'associations tentant d'influencer les programmes scolaires ; la suppression du latin et du grec et, pour la rentrée prochaine, l'introduction de l'arabe dès les petites classes parmi les langues vivantes. [...] Ajoutons, la suppression quasi totale des classes européennes et les nouveaux programmes scolaires... Tout cela donne à beaucoup l'impression d'une marche forcée vers une société multiculturelle. Les familles le vivent d'autant plus mal que cela se fait en catimini, sans débat véritable, au fil des lois et des décrets. Mais surtout, elles s'inquiètent de voir que la conscience de leurs enfants est le lieu de cette bataille. Or, l'État se doit de respecter les consciences. Il ne peut instrumentaliser l'Éducation pour les orienter.
Alors comment s'étonner que le projet de soumettre l'ouverture d'écoles hors-contrat à une autorisation de l'État ne provoque la levée de bouclier de ceux qui sont attachés à la liberté des familles de choisir le mode d'éducation de leurs enfants ? Le motif invoqué de cette réforme est la lutte contre la radicalisation. Si elle est nécessaire, elle ne peut se faire à « n'importe quel prix et certainement pas à celui de la liberté d'enseignement. Le système actuel de déclaration, pleinement appliqué, et si besoin renforcé, répond d'ores et déjà aux exigences légitimes de contrôle par l'État. Il n'y a donc pas lieu de réformer dans l'empressement et par un biais inapproprié des questions aussi importantes », écrivait le cardinal Jean-Pierre Ricard, président du Conseil pour l'enseignement catholique.
«C'est une atteinte fondamentale à la liberté constitutionnelle d'enseigner », écrivait Guillaume Drago, professeur de droit à Assas. C'est aussi une perte pour le pays. Car, de Montessori à Espérance Banlieue, ces écoles proposent souvent des pédagogies alternatives qui permettent d'importantes avancées en ce domaine, rappellent des députés de l'Ouest.
Qu'adviendra-t-il ? Plus l'État semblera prendre, à travers l'école, le monopole de la formation des jeunes consciences, plus les familles iront ailleurs. Leur liberté n'est-elle pas de transmettre à leurs enfants les repères pour se conduire et avancer dans la vie ? Les régimes ayant tenté de se substituer aux familles portaient tous la marque du totalitarisme non de la Démocratie. Il faut donc faire preuve de discernement pour résoudre les problèmes d'aujourd'hui sans empiéter sur laliberté des familles."
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FCPE : Fédération communiste des parents d’élèves ?
La FCPE a fait le choix de publier une brève sur la Fête de l’Humanité !
La FCPE (Fédération des conseils de parents d’élèves) est la principale fédération de parents de l’enseignement public. Elle se présente comme apolitique, comme ce devrait en effet être le cas d’une fédération de parents d’élèves.Pourtant, dans le dernier numéro de La Revue des parents (n° 406, juin 2016), on trouve à la page 31 un article promotionnel pour la Fête de l’Humanité, le quotidien du Parti communiste.
Un lecteur qui s’en étonnait s’est vu adresser la réponse suivante :
"La FCPE a fait le choix de publier une brève sur la Fête de l’Humanité, car celle-ci a notamment pour objectif de sauver le journal qui est aujourd’hui en péril.
De par les valeurs humanistes et progressistes qu’elle défend depuis sa création – solidarité, égalité, vivre ensemble et engagement collectif –, la FCPE ne peut qu’apporter son soutien au journal l’Humanité, dont la survie est aujourd’hui menacée par sa volonté de préserver coûte que coûte son indépendance financière. Un combat à saluer et évidemment nécessaire pour le pluralisme de la presse française.
L’Huma, qui se fait l’écho des mouvements sociaux, citoyens, syndicaux, culturels de notre époque, est donc un précieux outil pour que nos enfants soient les citoyens libres et éclairés de demain. » -
Les trahisons de la droite - Orages d'acier - 25/10/2015
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Le scandale LuxLeaks, ou la victoire de l'escroc Juncker.
C’est un procès qui est passé (presque) inaperçu, peut-être parce qu’il se déroulait au Luxembourg. Bien qu’un journaliste français ait été poursuivi dans cette affaire, le verdict n’a guère ému le pouvoir ni les partis politiques français qui, depuis quelques jours, ne cessent de déplorer le peu d’amour des citoyens envers l’Union européenne. Pourtant, il aurait dû, si la logique (ou la morale ?) avait été respectée : l’UE ne se veut-elle pas un modèle de justice et de transparence, un Etat de Droit (sans Etat propre d’ailleurs, mais plutôt un ensemble d’Etats) et la terre d’accueil de tous ceux qui fuient les traitements et les jugements inéquitables ?
En fait, le procès concernait ce que l’on appelle des « lanceurs d’alerte » qui avaient signalé un système de fraude généralisée qui a coûté des dizaines de milliards d’euros aux Etats de l’UE au profit de quelques multinationales et banques peu délicates et oublieuses de leur devoir fiscal de solidarité, mais aussi au profit du Luxembourg, membre de l’Union. Trois personnes étaient ainsi traînées devant le tribunal du Luxembourg au nom du « secret professionnel et du secret des affaires », et deux d’entre elles ont été condamnées pour « vol de données, fraude informatique et divulgation du secret des affaires », tandis que le journaliste français était acquitté : comme le signale Le Monde dans son édition du vendredi 1er juillet « Edouard Perrin n’a fait que son travail de journaliste (pour l’émission « Cash investigation » d’Elise Lucet), conclut le jugement du tribunal. Une vision que le parquet du Luxembourg ne partageait pas, estimant que « la liberté d’expression journalistique » ne devait pas primer sur le respect « du secret professionnel », quand bien même il serait le témoin de « pratiques douteuses ». » Ironie du propos du parquet, à l’heure où les administrations et les Etats, mais aussi les banques et les réseaux sociaux ne laissent plus rien de « secret » à la vie privée des familles et des personnes, malgré les protestations de nombreuses personnes qui souhaiteraient conserver un peu de discrétion, voire de pudeur, dans ce monde hyperconnecté…
La condamnation des deux lanceurs d’alerte, elle, nous rappelle aussi que, dans cette Union européenne, ce qui compte d’abord, c’est le profit, l’Argent, les intérêts privés de quelques grandes sociétés ou des actionnaires, plutôt que le bien-être des peuples, la solidarité fiscale et la simple justice sociale.
Est-ce un hasard si cette affaire, débutée il y a quelques années et que l’on a nommée « LuxLeaks », avait « provoqué un vaste scandale qui avait touché jusqu’à Jean-Claude Juncker, l’ancien premier ministre luxembourgeois et actuel président de la Commission européenne » ? C’est ce qu’évoque un livre publié il y a peu sous la signature de Mme Eva Joly et intitulé « Le loup dans la bergerie », livre qui met en cause celui qui est effectivement le président de la Commission européenne alors qu’il devrait être, peut-être en prison, au moins à l’écart des institutions européennes si l’on veut qu’elles aient quelque crédit près des contribuables qui sont aussi des citoyens…
« Le jugement « LuxLeaks » est d’autant plus intéressant qu’il revient sur le débat qui avait opposé, en avril, la société civile à la directive sur le secret des affaires débattue à Strasbourg. Les ONG avaient vivement dénoncé un texte qui menaçait, selon eux, les lanceurs d’alerte. Le tribunal du Luxembourg semble leur donner raison. « La nouvelle proposition de directive sur le secret d’affaires adoptée par le Parlement européen entend encore resserrer le cadre de cette protection du lanceur d’alerte et augmenter la protection du secret d’affaires au niveau européen. » » Ainsi, non seulement la Commission européenne est présidée par un escroc notoire qui a coûté des milliards d’euros aux budgets nationaux des pays de l’Union, mais le Parlement européen, issu du vote des citoyens de l’Union (malgré une forte abstention récurrente), s’en fait le complice en durcissant la protection du secret d’affaires, non pour éviter l’espionnage industriel ou le délit d’initié, mais pour préserver les intérêts de quelques aigrefins de la Finance…
De plus, comme le souligne l’article du quotidien Le Monde, « si ni le droit luxembourgeois ni le droit français ne protègent les lanceurs d’alerte, les juges (du tribunal du Luxembourg) estiment que le droit européen ne le fait, aujourd’hui, pas davantage » : n’est-ce pas incroyable ? Pourtant, c’est bien la réalité et celle-ci ne profite pas au plus grand nombre des Européens…
Cette affaire et ce jugement sont terriblement révélateurs des failles, voire des fautes de l’Union européenne ou, du moins, des institutions qui la régentent. Tant qu’il n’y sera pas mis bon ordre, par l’action des Etats au travers du Conseil européen, ou par celle des parlementaires de Bruxelles et de Strasbourg (mais le veulent-ils vraiment ? Rien n’est moins sûr…), l’Union européenne apparaîtra toujours comme le règne des Puissants et de l’Argent-Maître, et elle ne sera pas aimée des peuples et des travailleurs, de ces gens honnêtes qui peuvent soutenir ou à l’inverse, par leur colère électorale, assommer les institutions et leurs servants, comme vient de le démontrer le récent vote des Britanniques…
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"La région Ile de France est le 1er financeur de la marche (des fiertés) et elle en est fière"
Valérie Pécresse semble complètement en phase avec la "marche des fiertés", qu'elle subventionne à hauteur de 25 000 euros. Elle instrumentalise la tuerie d'Orlando, derrière laquelle elle s'abrite pour expliquer pourquoi elle n'a pas osé dire non à un lobby qui représente si peu de Français mais sait si bien terroriser les autres. De quoi Madame Pécresse a-t-elle peur, maintenant qu'elle est élue ?