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magouille et compagnie - Page 1804

  • Centre islamique : le Maire de Lyon veut faire taire Génération Identitaire

    Vous pouvez témoigner votre sympathie à l’égard de ces militants en faisant poliment part de votre colère par téléphone ou par mail.
    Depuis 2009, un projet de construction d’un gigantesque complexe islamique subventionné fait scandale. En juin dernier, les choses s’accélèrent avec notamment le déblocage d’une subvention d’État d’1 million d’euros et le vote de deux subventions identiques par la Mairie et la Métropole de Lyon.

    Ces dernières semaines, les militants de Génération identitaire ont donc mené campagne pour informer les Lyonnais de ce que les socialistes lyonnais comptaient faire avec leurs impôts grâce à la diffusion d’un tract dans toute la ville et en menant des happenings vidéos.

    Le 4 juillet dernier, ils interpellent directement Gérard Collomb à la sortie du conseil municipal, après que celui-ci ait fait voter une subvention d’1 million d’euros.

    Une semaine plus tard, les jeunes militants récidivent en interrompant bruyamment le conseil de la Métropole du Grand Lyon avec une banderole déployée dans le public et en jetant des tracts dans l’hémicycle. Mais ils n’ont pas pu empêcher le vote de la deuxième subvention, d’un même montant.

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  • Le gouvernement a-t-il passé sous silence des actes de torture au Bataclan ?

    C'est le Daily Mail qui ouvre le bal, s'appuyant sur les rapports de la commission d'enquête de l'Assemblée nationale présidée par Georges Fenech sur les actes de terrorisme en France depuis le 7 janvier 2015 (Charlie Hebdo). Les rapports se suivent et ne se ressemblent pas tout-à-fait : alors que le Procureur de la République François Mollins le nie totalement et parle de "rumeurs" (lire ici),des fonctionnaires de la BAC de nuit du Val-de-Marne parlent d'actes de torture à l'étage du Bataclan : décapitations, égorgements, énucléations, émasculations, éviscérations et tortures en tout genre ont été décrits, au point de faire vomir les policiers qui ont découvert la scène (lire ici).

    On trouvera une traduction de l'article du Daily Mail, ainsi qu'une synthèse des divers témoignages de la Commission d'enquête dans cet article de Fdesouche.

    Ces divergences dans les témoignages ne peuvent que nous alerter : pourquoi vouloir cacher ces actes de torture commis par des islamistes ? Le président Georges Fenech dit qu'il a eu connaissance de vidéos qui auraient été postées au profit de la propagande de Daech. Il n'a pas l'air de mettre en doute les déclarations des policiers de la BAC, qui témoignaient sous serment. Et pourtant, le Préfet de Police de Paris, le directeur de la Police judiciaire à Paris et le Procureur de la République disent qu'ils n'ont pas eu connaissance de tels actes de torture. Si ces actes étaient connus du grand public, ne peut-on imaginer que le scénario soigneusement élaboré par les gouvernements successifs d'un "islam de France" respectueux des "valeurs républicaines" volerait en éclat ?

    Marie Bethanie

  • La démagogie érigée en moyen de gouvernement

    Chers amis,

    Notre gouvernement a frappé fort, ces dernières semaines, dans le domaine de la démagogie. Rien de nouveau, me direz-vous. Mais tout de même ! Cette fois, il me semble que nous avons atteint des sommets inédits, cette démagogie devenue l'art du mensonge allant jusqu'à travestir les intérêts fondamentaux de l’État.

    Trois événements ont retenu mon attention ce mois-ci et leur traitement par notre gouvernement m'a  sidéré.

    Le premier d'entre eux, vous vous en doutez, est le Brexit. Je ne reviendrai pas sur l'analyse du vote ou ses conséquences économiques et politiques. D'autres l'ont déjà amplement fait. Nul ne s'est encore penché, cependant, sur la nullité des commentaires de notre Président de la république et des membres de son gouvernement. Il est vrai qu'analyser la médiocrité est toujours un exercice déprimant. Pourtant, ces réactions ne sont pas inintéressantes. Le Président Hollande, depuis le Brexit, a tenu un double discours permanent. Celui adressé au gouvernement de sa majesté britannique, consistait à dire que les négociations ne seraient pas rompues et qu'un statut privilégié serait trouvé pour conserver des liens étroits avec le Royaume-Uni, malgré sa sortie de l'Union européenne. Dans le cadre européen, par contre, le même Hollande se faisait plus ferme et appelait à une sortie la plus rapide possible du Royaume-Uni hors de l'Union européenne. Enfin, en France, avec un discours infantile destiné avant tout aux Français, le même homme n'a cessé de juger la politique britannique à la petite semaine en déclarant, en substance que si des millions d'Anglais regrettaient déjà leur choix, il fallait bien s'y attendre, car après tout, on tire tout de même quelques avantages de l'Europe, et on est mieux dedans que dehors, mais maintenant il est trop tard…

    Quelle vulgarité ! Ce discours limité au « on vous l'avait bien dit. Bisque ! Bisque rage ! » est pour le moins atterrant, non seulement dans la bouche d'un chef de l’État, mais surtout lorsqu'il porte un jugement sur la politique intérieure et les choix internationaux d'une nation amie, au mépris de toute réserve et de tout respect pour la souveraineté de celle-ci.

    En vérité, il n'y a aucune réflexion chez Monsieur Hollande ici, mais simplement un discours de l'instant visant à plaire à tous et à envoyer des signaux politiques en vue de sa réélection, la seule cause qui l'intéresse vraiment.

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  • Un migrant afghan de 17 ans attaque les passagers d’un train à la hache

    19/07/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : Un migrant afghan âgé de 17 ans a attaqué hier soir les passagers d’un train régional à hauteur de Wurtzbourg (Würzburg en allemand), en Bavière. Cinq personnes ont été blessées, dont quatre grièvement, par des coups de hache et de couteau. Le ministre de l’Intérieur bavarois a confirmé qu’il avait lancé « Allah Akbar » au moment d’attaquer les passagers.

    Agé de 17 ans, le terroriste était arrivé en Allemagne dans le flot de réfugiés et y avait été enregistré comme « mineur non accompagné ». Il y avait demandé l’asile politique et avait été hébergé dans une famille d’accueil.

    « Après l’intervention des forces de l’ordre, il a tenté de s’enfuir et a été abattu par une unité spéciale d’intervention de la police allemande (SEK) qui était postée non loin. »

    Refugees Welcome Allemagne

  • Juppé, Sarko, Valls, Cazeneuve : les incompétents se suivent et se ressemblent

    Il convient de renvoyer dos à dos tous ces foireux.

    C’est à l’AGRIF (Association générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) que l’on doit, sans doute, la meilleure appréhension de l’impuissance émolliente qui instille, au sein de l’esprit public, son poison mortel : « La classe politico-médiatique fournit en abondance à chaque attentat son lot de communiqués préprogrammés d’une insigne indigence et répétitivité, ne trouvant souvent pas autre chose à dire que “les attentats sont lâches et abjects”. Un quidam de France Info a même atteint un sommet d’une stupéfiante imbécillité en osant proférer l’interrogation : “Comment un Niçois a-t-il pu tuer d’autres Niçois ?” On reste accablé devant pareille ineptie » (15 juillet). Affligeant, en effet.

    Pas moins, cependant, que les surenchères verbeuses de nos politicards professionnels qui s’avéreraient, probablement, incapables d’organiser un plan ORSEC. Ainsi, Alain Juppé juge-t-il que « si tous les moyens avaient été pris, le drame n’aurait pas eu lieu ». Et si ma tante en avait… Le même d’ajouter : « Je connais la difficulté de la tâche, mais le fatalisme n’est pas une politique. » Martial aphorisme qui l’entraîne audacieusement jusqu’à préconiser un durcissement de « la réponse pénale, notamment pour un certain nombre de crimes terroristes », et de suggérer « d’ailleurs la création d’une police pénitentiaire » (L’Express, 17 juillet). Cela ne mange pas de pain et n’engage que les naïfs, et Dieu sait, hélas, qu’il en reste…

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  • Défilé du 14 juillet 2016 : arrestation arbitraire des militants du collectif « Hollande Démission »

    A noter, le zèle particulièrement coupable des policiers dans cette affaire.

    http://www.contre-info.com/

  • L’école : un droit des parents

    D’où vient la liberté de l’enseignement ? La question paraît évidente, il faut tout de même remonter aux principes.

    Dans la perspective libérale, on insiste effectivement sur la liberté de conscience,que les parents doivent respecter autant que l'État. C'est très clair dans le premier article de la loi Debré (1958). L'Église, elle, va plus loin, elle revendique pour les parents un droit de nature, qui est une application particulière des droits naturels de l'homme à la relation parents/enfants. Il ne s'agit pas d'un droit que l'homme se donnerait à lui-même, comme les droits révolutionnaires que l'homme s'octroie, mais d'un droit que l'on reconnaît communément comme un fait de nature, en tant que tel supérieur à tous les autres droits humains. Pie XI, dans Divini illius magistri (1929), distingue en premier lieu, non pas l'individu qui n'existe pas en lui-même, mais, première des sociétés humaines, la famille :

    « En premier lieu, la famille, instituée immédiatement par Dieu, pour sa fin propre, qui est la procréation et V éducation des enfants. Elle a pour cette raison une priorité de nature et par suite une priorité de droits, par rapporta la société civile... Ce droit de donner l'éducation à l'enfant est inaliénable parce qu'inséparablement uni au strict devoir corrélatif... [il est] inviolable par quelque puissance terrestre que ce soit...». Pourquoi ce droit est-il inviolable ? Parce qu'il recouvre en même temps un devoir. C'est la nature elle-même, c'est le Créateur de la nature qui fait un devoir aux familles d'élever elles-mêmes leurs enfants et qui leur donne ce privilège de pouvoir choisir le type d'éducation qu'elles veulent donner à leur progéniture. Les successeurs de Pie XI retrouveront cette théorie naturelle des droits de la famille. Le principe de subsidiarité joue ici à plein : tout ce qu'une petite société naturelle peut faire, il importe qu'elle l'accomplisse, sans s'en remettre à la société politique elle-même, symbolisée ou représentée par l'État.

    Mais l'État n'est pas seul en cause. Certes il peut et il a pu prendre la responsabilité non seulement de l'instruction publique mais même revendiquer pour lui l'éducation nationale. De nos jours, c'est courant : l'État devient enseignant. À la fin du Moyen Âge et jusqu'au XVIIIe siècle, à travers l'Université, ce n'est pas l'État qui enseigne, c'est l'Église. Contrairement à l'État, essentiellement chargé de la prospérité temporelle et de la paix entre les citoyens, l'Église, elle, trouve dans sa mission fondamentale, un droit et un devoir imprescriptible à s'occuper des âmes et de ce que l'homme peut apprendre. Voici comment elle le revendique, toujours sous la plume de Pie XI, dans Divini illius Magistri :

    « Société d'ordre surnaturel et universel, société parfaite, car elle a en elle tous les moyens requis pour sa fin qui est le salut éternel des hommes (...) l'Église a la suprématie dans son ordre... [L'éducation lui] appartient d'une manière suréminente à deux titres d'ordre surnaturel... Le premier se trouve dans la mission expresse et l'autorité suprême du magistère que son divin fondateur lui a données ; Allez, enseignez toutes les nations (...). Le second est la maternité surnaturelle par laquelle l'Église, épouse immaculée du Christ, engendre, nourrit et élève les âmes dans la vie divine de la grâce par ses sacrements et son enseignement... »

    Des formules comme celles-là peuvent entraîner les hommes d'Église vers un cléricalisme trop facile. Elles donnent à l'Église un droit sur la culture des esprits qui est lui aussi imprescriptible. Qu'en penser ? Dans une société chrétienne, l'Église peut et doit utiliser son droit imprescriptible à l'éducation. Parce qu'elle possède la vérité sur la nature humaine, elle jouit de plein droit de la liberté d'enseignement. Encore faut-il ajouter que du point de vue thomiste, en tout cas, le droit de l'Église sur l'éducation morale et spirituelle des êtres humain est moins grand que l'autorité des familles. On trouve cela au début de la Ilallae, dans la Somme théologique. Le commentaire de Cajétan est particulièrement explicite : face à Duns Scot, qui, au nom du droit de l'Église reconnaissait un droit à faire baptiser les enfants indépendamment des parents et de leur volonté ou de leur interdiction, Cajétan affirme et défend le droit naturel des parents, qui est antérieur et plus contraignant encore que le droit surnaturel de l'Église.

    Edgar Mortara : un cas théo-illogique

    Ce pilpoul scolastique vous paraît dépassé ? Il y eut au XIXe siècle une affaire terrible, sorte d'affaire Dreyfus avant l'heure au sein même de l'Église. À sa naissance, le petit Edgar Mortara, appartenant à une famille juive des États pontificaux, fut baptisé par sa gouvernante, une jeune chrétienne, parce qu'elle pensait qu'il ne survivrait pas à sa venue au monde. L'enfant finalement survécut malgré sa faiblesse. La jeune femme soumis la question à son confesseur : ce jeune baptisé pouvait-il être laissé à sa famille juive ? Le confesseur, qui avait appris le droit de l'Église, mais pas dans sa version thomiste, recourut au pape, qui ordonna qu'on enlève l'enfant à sa famille et se proposa d'être son parrain. L'Europe entière s'enflamma contre le mal heureux Pie IX, qui tint bon. Edgar Mortara devint prêtre et respecta toujours profondément son parrain. Mais du point de vue de Thomas d'Aquin et de Cajétan, une telle affaire n'aurait jamais dû arriver. L'un et l'autre enseignent que le droit de nature que la famille a sur l'enfant est plus important que le droit même de l'Église Rassurant !

    Abbé G. de Tanoüarn monde&vie 1er juillet 2016

  • Dijon : l’imam était proxénète !

    Source : Boulevard Voltaire

    Le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde.

    Il s’agit là d’une vieille blague anticléricale, certes pas très finaude, mais qui peut faire marrer tout le monde, même les copains curés : « La première phrase qu’un flic dit à un pédophile consiste à l’obliger à descendre sa soutane sur ses chaussettes ! » Mondialisation et flux migratoires obligent, l’humour se fait plus fluctuant : les délices de la chair tarifée étant depuis longtemps sans frontières.

    D’où cet imam de Dijon qui vient de se faire poisser dans une vilaine affaire de proxénétisme, à en croire Europe 1. Ce clerc, dont l’identité n’a pas été dévoilée, et dont on ne sait s’il était de tendance libérale ou progressiste, était donc plus porté sur le pain de fesses que les cinq piliers de la foi, même en période de ramadan.

    Certes, être gardien de chèvres pour prostiputes relève du plus vieux métier du monde, et l’islam, même respectueux des cultures et religions ayant précédé son avènement, ne saurait non plus autoriser ces sortes de dérives plus ou moins déviantes. Bon, si l’on résume, le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde ; mais de là à faire commerce de tartes aux poils plus épicées, il y a un pas que même un pied pieux ne saurait franchir de la babouche – ou de la Nike, les chiens d’infidèles, eux aussi, sachant se trouver dans le sens du vent américain dominant.

    Pourtant, les amateurs de la petite entreprise ne pourront que louer l’évident sens du commerce de ce Julot casse-croûte – ou Mouloud kebab –, sachant que le hareng mahométan possédait quelques appartements tournant à plein régime dans la ville d’Amora. Pour tout arranger – la famille, un peu comme la religion, qu’on y croie ou non, demeure une notion forçant immanquablement le respect -, le chéri de ces dames travaillait aussi avec sa fifille, elle-même connue pour monnayer son entrecuisse au premier amant venu disposant d’un brin de liquidités, bancaires comme physiologiques. Bref, une donzelle dont la vertu se réduisait un peu au string minimum.

    Soucieux de son confort, il va de soi que notre maquereau ne roulait pas en Twingo, mais en Porsche Cayenne, lequel véhicule a évidemment été saisi par les autorités judiciaires. Mieux : l’olibrius était aussi aumônier carcéral. C’est-à-dire homme chargé de convaincre ses ouailles de revenir dans le droit chemin ; un peu comme si les époux Balkany ouvraient une école de maintien.

    À cette heure, on n’en sait guère plus, si ce n’est que 80 % de ses donzelles étaient étrangères, principalement issues d’Europe de l’Est et d’Amérique du Sud. Il n’y a donc pas eu de discrimination au faciès. L’honneur républicain est sauf et notre homme, remis en liberté, est aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Une heure libre et l’autre pas. C’est le Coran alternatif.

    Nicolas Gauthier

    http://fr.novopress.info/202524/dijon-limam-etait-proxenete/#more-202524

  • L’état d’urgence ? Une très coûteuse fumisterie à la Hollande

    Ce n’est pas le populisme qui menace la France. C’est François Hollande, en refusant de désigner l’islamisme comme notre ennemi absolu.

    Ne sachant pas comment lutter contre les terroristes islamistes, notre bien-aimé Président François Hollande, dit Flanby-le-Mou, avait pris le taureau par les cornes au lendemain des mortelles fusillades du 13 novembre. Il avait déclaré l’état d’urgence, soutenu par l’ensemble de la classe politique qui ne pouvait qu’approuver une telle mesure sauf à passer pour traître à la nation.

    Et le matin du 14 juillet, tout guilleret, il annonçait que l’état d’urgence, cela suffisait. À partir du 26 juillet, la France pouvait retrouver son état normal. Pour un Président normal, c’était une réaction normale, attendue, vu qu’au bout de neuf mois et des millions d’euros plus tard, notre Président s’est aperçu que, l’urgence n’ayant donné que de piètres résultats et épuisé la troupe, il était urgent d’annoncer sa fin. Ce qu’il fit sans que les deux journalistes, faire-valoir de la communication élyséenne, s’en étonnent.

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