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magouille et compagnie - Page 1823

  • État d’urgence : Un photographe indépendant interdit de manifestation par la préfecture de police

     

     

  • Russes meilleurs que les Américains ?

    Tandis que l’on entend sur les médias « consensuels  » régulièrement les chancelleries de la coalition mettre en garde Vladimir Poutine sur le caractère soi-disant dangereux pour l’issue de la guerre de ses interventions en Syrie, ce sont les chrétiens d’Irak qui ont été chassés de Mossoul et dont pas une famille n’a échappé aux massacres perpétrés par l’Etat Islamique , qui apportent une note discordante à la chanson occidentale. Nous le savions, mais il est intéressant de l’entendre de la part de ceux qui sont aux premières loges.
    OD

    Les chrétiens irakiens suivent de près l’évolution de la guerre en Syrie. « En trois mois, les Russes ont libéré une partie de la Syrie, alors que nous sommes toujours loin de Mossoul » , s’est plaint un prêtre irakien auprès du père Vigneron, après la libération de Palmyre.

    Et de citer Mgr Jacques Hindo, évêque de Hassaké, dans le nord de la Syrie : « Depuis que les Russes ont bombardé les combattants de Daech, ceux-ci ont rasé leur barbe et certains se sont même déguisés en femmes pour fuir. »

    Situations complexes

    Les chrétiens d’Irak ne comprennent pas « l’inefficacité des frappes » de la coalition occidentale en Irak et soupçonnent un double jeu, notamment à cause des liens unissant les États-Unis et la Turquie.

    « Les puits de pétrole de Mossoul sont exploités normalement par Daech et le pétrole part par camions citernes à la queue leu leu vers la Turquie » , souligne Rodolphe Vigneron. Quant aux Turcs, ils bombardent les Kurdes, alliés et protecteurs des chrétiens chassés de Mossoul.

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  • L'art contemporain, cette logorrhée architecturale qui inonde nos villes

    Paris, ça vaut le détour, principalement pour les touristes qui peuvent s’émerveiller de son patrimoine millénaire. De la Sorbonne, en passant par Notre Dame, Le Louvre, la Tour Eiffel, le Panthéon etc... 
    Le Panthéon, parlons-en, cette ancienne église dans laquelle l’État met désormais à l’honneur les grands hommes à qui la Patrie est reconnaissante ; essentiellement les grands hommes du compas et de l’équerre ; se voit affublée, durant sa rénovation, d’un horrible chapeau en tissu. Une grande toile illustrant bien la débilité de cette Mairie de Paris collabo trois points. Victoire ! Le projet débile a bien eu lieu : un photographe a pris mille visages en photos, et à la place d’un bâtiment pluri-centenaire, vous pouvez dorénavant admirer la tronche de la France multiculturelle. 
    Mais on s’en fout ! Y’a que des gros cons bobos pour faire preuve de bons sentiments bas de gamme. Alors que les fractures françaises (cf Christophe Guilluy) ne cessent de s’agrandir, que les cyclistes et piétons préfèrent les casques audio pour ne pas avoir à se mélanger, que les relations sont aujourd’hui plus suivies par Internet qu’au bistrot, vous croyez vraiment qu’on a à foutre quelque chose de ce mille-feuilles de tronches de la « diversité » qui vous épie ? 
    Si les Français croyaient vraiment à une communauté black-blanc-beur-jaune-amour-pétard-métissage, il ne serait pas nécessaire de les forcer à regarder ce projet de merde. Encore une propagande avortée, une fausse bonne idée des vomisseurs de bons sentiments qui pensent que, mélange sociétal et partouze dans leur 100m² du Marais, ont la même signification
    En parlant de sexe, juste à côté du déversoir multiculturel temporaire du Panthéon, vous pouvez apercevoir une statue de gros bonhomme noir nu, devant lequel tant de touristes nunuches aiment prendre la pause; c’est vrai que poser devant la bite d’une statue difforme d’art moderne, c’est tellement plus classe que de prendre en photo le Panthéon ou la Sorbonne (plus vieille faculté d’Europe donc l’une des plus vieilles au monde). 
    Cet art contemporain, cette logorrhée architecturale qui inonde nos villes, tels des WC bouchés après une gastro-entérite, il y en a malheureusement trop. Les Halles de Paris, le Quai Branly ou encore Beaubourg... 
    Après avoir trop réfléchi à une réhabilitation possible de ces verrues urbaines, une solution m’est apparue. A l’ère du développement durable et du recyclage il n’est pas possible d’envisager la destruction pure et simple de ces épouvantails hors-sol. Il faut réhabiliter encore et toujours. Non loin du quartier parisien que nous appelons aujourd’hui encore « Beau-bourg », défiguré par l’œuvre d’un plombier accro aux champis, se dressait le gibet de Montfaucon, édifice de salut public. Ce gibet pouvait accueillir jusqu’à 50 pensionnaires et permettait de détendre un peu ceux qui auraient été tentés par la fauche le meurtre ou l’arnaque. Ce qu’on appelait la dissuasion… 
    L’idée est simple, pourquoi ne pas réhabiliter le Centre Georges Pompidou en y pendant autour les enculés en tout genre ? 
    1/ On dissuade ainsi les criminels que la justice actuel encourage par son laxisme; 
    2/ On punit les corrompus et ceux qui ont les yeux plus gros que le ventre (à l’époque, les trésoriers et surintendants des Finances avaient souvent une cravate en corde à leur nom) ; 
    3/ On associe l’ignoble de la pendaison à l’art contemporain, histoire de le remettre à la place qui lui est due, c’est-à-dire le dégueulasse. 
    L'équipe d'Orages d'acier

  • Obama demande le soutien militaire de l’UE dans une guerre éventuelle contre la Russie

    Eric Zuesse, historien d’investigation, le Saker francophone

    Selon un article du 23 avril publié par Deutsche Wirtschafts Nachrichten (Nouvelles économiques allemandes), le président américain Barack Obama «exige le déploiement actif de la Bundeswehr [forces armées de l’Allemagne, y compris leur Armée, la Marine et la Force aérienne] sur les frontières orientales de l’OTAN» en Pologne et dans les Républiques baltes, rejoignant ainsi là-bas le quadruplement des forces américaines à proximité des frontières de la Russie.

    Ceci est une violation absolue de ce que le dirigeant russe Mikhaïl Gorbatchev avait accepté en mettant fin à l’Union soviétique et au Pacte de Varsovie – organisation miroir de l’OTAN – et c’est aussi l’aboutissement d’un processus qui a commencé peu de temps après que Gorbatchev a accepté les conditions de l’Amérique, qui incluaient que l’OTAN «ne bouge pas d’un pouce vers l’est».

    En outre, le journal DWN rapporte que le 25 avril, le Président des États-Unis a tenu une réunion au sommet à Hanovre en Allemagne, avec les dirigeants de l’Allemagne (Angela Merkel), de l’Italie (Matteo Renzi), de la France (François Hollande) et de la Grande-Bretagne (David Cameron). L’objectif présumé de cette réunion était l’obtention d’un accord pour établir, dans les pays de l’OTAN limitrophes de la Russie, une force militaire de ces cinq pays, une force menaçant la Russie d’une invasion, si ou quand l’OTAN décide par la suite qu’il faut répondre militairement à la menace de la Russie.

    L’encerclement de la Russie par l’OTAN, avec des forces qui lui sont hostiles, est prétendument défensive – pas  offensive – contre la Russie, et est présenté comme tel par nos médias. Au cours de la crise des missiles cubains en 1962, JF Kennedy n’a pas considéré le plan de Nikita Khrouchtchev d’installer une base de missiles nucléaires à Cuba comme étant défensif de la part de l’URSS – et de même le président russe Vladimir Poutine ne considère pas l’opération américaine, autrement plus vaste, d’encerclement de la Russie comme une opération défensive. Le gouvernement des États-Unis et l’OTAN agissent comme si la Russie les menaçait, plutôt que de considérer qu’ils sont eux-mêmes une menace pour la Russie en l’encerclant – et leurs médias relaient ce mensonge comme s’il s’agissait d’une vérité digne d’être prise au sérieux. En fait, l’OTAN est déjà installée sur la frontière occidentale de la Russie.

    Obama en rajoute donc maintenant aux sanctions économiques contre la Russie, qu’il avait imposées en raison de la prétendue annexion de la Crimée, après que les États-Unis et l’UE ont machiné un coup d’État pour renverser l’allié de la Russie, Viktor Ianoukovitch, qui avait dirigé l’Ukraine jusqu’en février 2014.

    Même si les sondages en Crimée, parrainés par les Occidentaux, à la fois avant et après le coup d’État, avaient montré que plus de 90% des Criméens voulaient rejoindre la Russie, et juste après que ces derniers ont voté massivement pour la rejoindre, Obama a lancé des sanctions contre la Russie. Les armes nucléaires ont été préparées, tant du côté des États-Unis-UE que du côté russe, pour une éventuelle guerre nucléaire.

    Ce n’est pas une simple restauration de la guerre froide – censément  basée sur le désaccord idéologique capitalisme-communisme ; il s’agit de mettre en place des forces pour une éventuelle invasion de la Russie, purement et simplement – une conquête brutale – bien qu’aucun média de masse majeur dans l’Ouest ne signale ce fait tel qu’il est.

    La préparation actuelle ne signifie pas nécessairement qu’une guerre nucléaire s’ensuivra. La Russie pourrait accepter, quelles que soient les exigences de l’Occident, et donc perdre sa souveraineté. Par ailleurs, si la Russie s’accroche à son sol et refuse de céder sa souveraineté nationale, l’Occident – le leadership US et les directions dans ses pays alliés – pourrait cesser ses menaces toujours de plus en plus sinistres, et simplement se retirer des frontières de la Russie.

    Fondamentalement, depuis 2013, la direction des États-Unis a décidé de reprendre l’Ukraine et a refusé de reconnaître le droit du peuple de Crimée de rejeter la nouvelle soumission à Kiev et de décider de son propre avenir. Fin février 2014, la direction russe a décidé de protéger la Crimée du type d’invasion qui a eu lieu par la suite dans l’ancienne région du Donbass en Ukraine, où l’opposition au coup d’État d’Obama était encore plus intense.

    L’Occident continue d’affirmer que la Russie a, en quelque sorte, tort dans cette affaire. Cependant, étant donné que même le chef de Stratfor a qualifié ce qu’Obama a fait en Ukraine de «coup d’État le plus flagrant dans l’Histoire», et que le fait que ce soit un coup d’État orchestré par les États-Unis a été largement documenté sur les téléphones portables et autres vidéos, et dans l’enquête académique la plus minutieuse qui a été effectuée sur la question. Même Petro Porochenko, président de l’Ukraine et participant à l’événement, l’a reconnu comme étant un coup d’État. Et depuis, des preuves ont été apportées sur Internet, des préparatifs de l’ambassade des États-Unis, dès le 1er mars 2013, pour le coup d’État de février 2014. Des sondages commandités par le gouvernement des États-Unis ont même montré que les Criméens rejetaient massivement ce coup d’État et voulaient rejoindre la Russie.

    Alors il faut répondre à la question : sur quelle base sont fondées les actions agressives de l’Ouest, menaçant la sécurité nationale de la Russie, autre que les propres ambitions impérialistes envers celle-ci, camouflées par des mensonges sur une Russie et un président Poutine agressifs dont les médias occidentaux ont massivement abreuvé le public ? Et c’est une base très inquiétante, et même préoccupante en ce qui concerne, essentiellement, le type de leadership dictatorial de l’Occident, plutôt que toute autre dictature en dehors de lui.

    L’agression et la menace ici, viennent clairement de l’Occident contre l’Orient.

    En janvier dernier, le président russe Vladimir Poutine a une nouvelle fois interpellé le président américain Barack Obama sur son énorme mensonge selon lequel les armes anti-missiles, que l’Amérique installe en Europe, servent à protéger celle-ci contre les missiles nucléaires iraniens. Maintenant que les États-Unis reconnaissent que l’Iran n’a pas, et n’aura pas de missiles nucléaires, Obama intensifie ces mêmes installations en Europe au lieu d’y mettre fin, à proximité des frontières de la Russie. La seule vraie raison de leur présence, comme Poutine le soutient, est de permettre une attaque nucléaire soudaine de première frappe contre la Russie, pour désactiver ses capacités de rétorsion en quelques minutes.

    La seule réponse rationnelle, pour le public occidental, à ce qu’Obama et ses alliés étrangers fomentent, est de comprendre ce qui se passe réellement, et de prendre des mesures contre leurs propres dirigeants, avant que les enjeux de plus en plus élevés de la confrontation ne deviennent catastrophiques. Dans ce cas, les populations des pays qui composent l’Occident politique doivent se défendre contre leurs propres dirigeants nationaux. C’est une situation fréquemment rencontrée dans les dictatures.

    Pourtant, les principales questions ne sont pas posées dans la presse occidentale, qui les ignore. À moins que ces questions ne soient traitées publiquement – et vite – la réponse pourrait bien être définitive pour des millions de civils en Europe et ailleurs.

    Plus la situation se rapproche d’une guerre nucléaire, plus il sera difficile pour les deux parties de reculer – et c’est particulièrement le cas avec l’agresseur, surtout quand il prétend faussement qu’il est lui-même agressé.

    C’est la raison pour laquelle les mensonges colportés par les dirigeants politiques de l’Ouest doivent être exposés dans l’urgence.

    Eric Zuesse24/04/2016

    Source : Obama Requests EU Support for Possible War Against Russia,
    http://www.globalresearch.ca/obama-requests-eu-support-for-possible-war-against-russia/5521560

    publié le 24.04.2016.  Traduit et édité par jj, relu par Nadine, pour le Saker Francophone  La source originale de cet article est Mondialisation.ca   Copyright © Eric Zuesse, Mondialisation.ca. http://www.mondialisation.ca/obama-demande-le-soutien-militaire-de-lue-dans-une-guerre-eventuelle-contre-la-russie/5522893

    http://www.polemia.com/obama-demande-le-soutien-militaire-de-lue-dans-une-guerre-eventuelle-contre-la-russie/

  • Vous en avez assez d’être français : votez Juppé

    Si vous voulez poursuivre le processus d’abandon de nos libertés dans un lâche et lâche soulagement sénile, votre candidat est tout trouvé.

    Les Français seraient donc des enfants, de grands enfants. C’est en gros, ce que pensent les tenants du système. Lisez l’interview donnée le 11 mai aux Échos par Alain Juppé. A la fin de cet entretien, la journaliste pose cette question à l’ancien premier ministre : « Selon les sondages, vous pourriez être au second tour en 2017 face à Marine Le Pen. Comment faire ce travail de pédagogie face à la force du FN ? »

    La question porte en elle toute la condescendance de ceux qui savent ce qui est juste et bon pour les Français. En effet, le pédagogue, c’est celui qui sait, c’est l’apprenant – pour reprendre la diarrhée verbale de l’Éducation nationale -, celui qui enseigne aux enfants (du grec παῖς, enfant). La lutte contre le Front National n’est donc pas, pour ces « sachants », un débat idées contre idées, faits contre faits, égal contre égal. Non, c’est une leçon que l’on doit dispenser à ces grands enfants que sont les Français qui, à près de 30 % votent pour le Front National.

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  • Loi travail : les principales dispositions du texte soumis au "49-3"

    L'utilisation du vote bloqué 49-3 stoppe l'examen des amendements par l'Assemblée nationale. 5.000 étaient présentés par les députés. Voici les principales mesures du projet de loi finalement présenté par le gouvernement.
    Après des mois de négociations, de relectures, de réécriture, la mouture définitive du projet de Loi Travail ne tiendra donc compte de quasiment aucun des amendements parlementaires, en raison de l'utilisation du fameux "49-3" de la Constitution qui permet l'adoption d'un texte sans vote. Voici donc les grandes lignes du projet de loi porté par Myriam El Khomri... avant son passage au Sénat où il sera détricoté... avant que l'Assemblée nationale n'ait de toute façon le dernier mot.
    Le licenciement économique facilité?
    Les entreprises de moins de 11 salariés pourront "réajuster" leurs effectifs si elles justifient une baisse de leur chiffre d'affaires pendant un trimestre seulement. Entre 11 et 50 salariés, l'entreprise devra déplorer deux trimestres de baisse du chiffre d'affaires, trois trimestres consécutifs entre 50 et 300 salariés, et quatre trimestres au-delà de 300 salariés.
    Pour les filiales française des groupes internationaux, autre sujet épineux, le gouvernement a finalement accepté que ce soit le chiffre d'affaires mondial qui soit pris en compte pour apprécier la situation économique de la branche française, alors que le patronat réclamait que le périmètre soit réduit à la seule France.
    Sur les CDD, le gouvernement préserve le patronat
    Il n'y aura pas de surtaxation des CDD, comme l'avait pourtant annoncé le gouvernement. Ou du moins, celle-ci ne devient pas obligatoire. On en revient donc aux termes de la loi Emploi de 2013 qui autorise, s'ils le souhaitent, les partenaires sociaux à moduler le taux de cotisation à l'assurance chômage en fonction de la nature et de la durée des contrats. Cette modulation ne reste donc que facultative, elle relève de la négociation entre partenaires sociaux sur l'assurance chômage actuellement en cours.
    Le référendum d'initiative syndicale maintenu
    La CGT et FO étaient vent debout contre cette mesure. Mais le gouvernement n'a rien lâché sur la possibilité dans une entreprise de recourir à une consultation interne des salariés pour valider un accord d'entreprise.
    La règle est désormais la suivante. Un accord d'entreprise sera considéré comme valide dans deux cas. Soit l'accord est signé par des syndicats représentant au moins 50% des salariés, soit il est conclu par des syndicats ne représentant que 30% des salariés mais ces organisations ont alors le droit d'organiser un referendum auprès des salariés. Et si une majorité des salariés approuvent l'accord, alors celui-ci sera considéré comme valide... même si des syndicats représentant 50% des salariés ne l'ont pas conclu.
    Pour certains syndicats, cette mesure sera une façon de contourner la représentation syndicale majoritaire, tandis que le gouvernement argue qu'elle doit permettre de débloquer le dialogue social.
    L'accord offensif sur l'emploi
    Une entreprise pourra, en cas d'appel d'offres, imposer un temps de travail spécifique et une nouvelle organisation du travail. En revanche, elle ne pourra pas modifier le salaire mensuel. Les salariés récalcitrants pourront faire l'objet d'un licenciement individuel pour motif économique.
    Temps de travail : l'accord d'entreprise prime
    Le gouvernement renonce finalement à instaurer un "droit de véto" au profit des branches à l'encontre d'accords d'entreprise qui dérogeraient trop à une règle instituée par une branche. Il ne restera qu'un simple "droit de regard". Concrètement donc, notamment en matière de temps de travail, une entreprise pourra conclure un accord d'entreprise dérogatoire à un accord de branche et pas seulement dans un sens plus favorable aux salariés... Par exemple, si un accord de branche fixe le taux de bonification des heures supplémentaire à 20%, une entreprise pourra abaisser ce niveau sans pour autant aller en deçà de 10%. Le principe de "faveur" ne jouera pas. Autrement dit, le salarié ne pourra pas invoquer le fait que l'accord de branche lui soit plus favorable.

    La Tribune :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyFpkyukZNmSMzyOg.shtml

  • Le cynisme de l’Etat

    Il est de plus en plus difficile de vivre dans ce pays sous le poids d’une administration pléthorique, omniprésente , zélée et sûr de sa légitimité , au point qu’elle fait fuir par sa rapacité fiscale de plus en plus de créateurs d’entreprises, quand ceux-ci ne renoncent pas tout simplement à se lancer dans l’aventure , sachant qu’ils seront, avant même qu’ils n’aient engrangés leurs premiers bénéfices, pris à la gorge par les guerriers de Bercy, toujours à l’affut.

    Les créateurs d’entreprises ne sont pas les seuls à bénéficier de cette sollicitude. Tout homme ou femme, surtout s’il est commerçant, artisan, agriculteur est perçu par les services de l’administration comme un délinquant potentiel, et ce n’est pas la loi El Khomeri qui y changera quelque chose. On peut imaginer sans doute que de petits fonctionnaires scrupuleux, aux manches de lustrines, s’affairent avec fébrilité à traquer tous les contrevenants susceptibles de voler l’Etat. Mais ce serait une fois de plus ici bas, une façon de faire payer les lampistes. Si ces employés, qui se voudraient modèles, agissent ainsi, c’est qu’ils ont des ordres. Pensez donc, la hiérarchie ça compte dans les ministères. On peut donc en déduire que les consignes viennent d’en haut, ce qui n’est pas étonnant compte tenu de la situation économique et financière de la France. C’est donc l’ensemble du système qui est en dysfonctionnement chronique, alors que ses intellectuels officiels sont là pour en justifier idéologiquement mais difficilement il est vrai, le bien fait.[....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-cynisme-de-l-Etat

  • Rappel : La France a payé 58 millions de dollars à Al-Qaïda depuis 2008

    Selon une enquête du New York Times du 29 juillet 2014, Al Quaïda a reçu depuis 2008, plus de 125 millions de dollars !!! Quoi ? Comment ? Et oui, 125 millions de dollars récoltés uniquement grâce aux rançons payés par les occidentaux pour obtenir la libération de leurs otages. 
    Toujours selon cette enquête, la France est le principal pourvoyeur de fonds de l’organisation terroriste. Elle aurait versé à elle seule 58 millions de dollars. Ces sommes, toujours selon le New York Times seraient versées directement par l’état ou alors par des intermédiaires comme Areva ou les pays amis du golf, au premier rang desquels le Qatar. 
    Dans cet article, Vicki Huddleston, ancienne ambassadrice des États-Unis au Mali dénonce : « Les Européens ont beaucoup de comptes à rendre. Ils mènent une politique hypocrite. Ils paient des rançons et ensuite nient les avoir payées. Le danger n’est pas seulement que ça fait grandir le mouvement terroriste, c’est aussi que ça rend tous nos citoyens vulnérables ». Déclaration effroyablement prémonitoire. Le 13 septembre 2014, très énervé par l’exécution de 3 otages anglo-saxons, Barack Obama lui-même confirme: « Le président français, François Hollande, dit que son pays ne paie pas de rançons aux terroristes, alors qu’en réalité, il le fait »
    Dimanche, la plupart des dirigeants européens vont venir verser des larmes de crocodile sur les morts provoqués par des mouvements terroristes qu’ils ont largement contribué à financer. François Hollande, accusé par Obama de payer des rançons aux terroristes sera à la tête de cette grande marche contre… le terrorisme. Comprenne qui pourra. 
    Inconséquence ou incompétence ? 
    Quoi que… Cette fois, ce n’est pas seulement une minute de silence qu’on va nous demander, mais plutôt 2 ans et demi de silence, le temps d’arriver aux prochaines élections. Avec un « Patriot Act » à la française si besoin. Hollande n’est pas plus bête que Bush et les français ne sont pas plus intelligents que les américains. 
    Nous sommes tous des charlots. 
    Vive la République, Vive la France, Vive l’hypocrisie
    Source

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 3/3