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magouille et compagnie - Page 1824

  • Le nabab élyséen serait-il en train de disjoncter ?

    Dr Bernard Plouvier

    Certes, il existe une procédure pénale visant à réprimer les « injures au chef de l’État ». Encore faut-il que le « chef » respecte l’État et qu’il respecte le seul maître de cet État, soit la Nation, seule souveraine. Car, si d’aventure, le « chef » ne respectait plus le souverain, il serait coupable du crime de lèse-Nation ou de forfaiture, au choix – c’est affaire de spécialiste.

    Immédiatement après les attentats de novembre 2015 (soit 10 mois après les premiers, ceux de janvier, tellement spectaculaires que leur retentissement avait été quasi-planétaire), le chef – avec un beau mouvement de (double)-menton -, nous place en état d’urgence. Rien à dire. On se sent dirigés et protégés.

    On s’attend à un referendum sur le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes et leurs commanditaires, à une nuée de descentes de police dans les salles de prière-salles de sports de combat (c’est une spécialité musulmane-djihadiste), à l’expulsion vers leurs pays d’origine de dizaines de milliers d’islamo-agités, à une interdiction d’immigration pour les musulmans… en bref on s’attend à ces mesures d’autodéfense et de protection de la Nation souveraine.

    Et rien ne vient, hormis des attaques policières contre des initiatives de courageux Français opposés à l’islamisation de la patrie. Premier dysfonctionnement majeur du « chef » et de son sémillant premier ministre, qui n’aboie qu’à propos d’un inexistant « péril fasciste ». Messieurs recyclez-vous ! Le fascisme (celui que vous fantasmez) est mort depuis 1943 ou 1945, au choix.

    Vient 2016 et sa cohorte d’indices économiques épouvantables. Le chômage a dépassé (catégories A, B et C additionnées) les 5 millions d’individus. Par divers coups de baguette magique, on en rabaisse les chiffres, grâce à des stages, à des retards de réinscriptions sur liste, etc… Il suffit de faire chuter les chiffres de 30 000 à 40 000 dans une catégorie pour qu’aussitôt, notre nabab crie au recul significatif  et même que « tout va mieux », que lui et son gouvernement « ont redressé la situation de la France » !

    Or statistiquement, un recul de moins de 1% n’a aucune valeur, et d’autant moins qu’il n’est obtenu que par des artifices de calcul. Ce n’est plus du dysfonctionnement, mais de la désinformation – soit en termes clairs : un mensonge au peuple souverain. Crime de lèse-Nation.  

    1916-2016, l’on commémore le centenaire de l’extraordinaire débauche d’énergie patriotique dépensée par des Français pour défendre la terre de leurs ancêtres et des Allemands pour faire triompher leur cause. L’on aurait trouvé naturel qu’un orchestre allemand soit invité pour jouer des œuvres de compositeurs français et un orchestre français pour des œuvres germaniques. Non, c’eût été une solution trop européenne. Le nabab décide d’inviter un rappeur d’origine africaine qui, depuis des années, casse les oreilles de ses auditeurs en éructant ses vomissures de haine anti-française, épicée de racisme anti-Blancs !

    Là, notre nabab va trop loin. Il insulte la mémoire de nos aïeux. On ne sait trop où il a trouvé l’inspiration de ce concert fou à Verdun. Qu’il l’ait puisée au chevet de sa énième conquête (notre Adonis élyséen est tellement beau, svelte, sportif qu’il est effectivement taillé pour le rôle de Don Juan), dans la cocaïne ou le haschich (puisque, dans son bord, l’on envisage la dépénalisation de la toxicomanie), dans l’excès de voyages exotiques (car, on peut l’affirmer : il se sera beaucoup baladé « aux frais de la princesse » - au fait, la princesse, c’est le petit monde des contribuables)… bref, qu’il l’ait trouvée en consultant le marc de café ou sa madame Irma préférée, on s’en moque : Monsieur le chef de l’État a disjoncté.  

    Le crachat sur la mémoire des victimes de la bataille de Verdun mérite un examen psychiatrique.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 1/3

  • Hé oh, la gauche !

    Quand Macron annonce qu’il veut sortir du vieux clivage gauche-droite, il ne fait que répéter une très vieille antienne que Bayrou a reprise en son temps. Mais alors il faut aller jusqu’au bout… et renier un régime qui ne vit que de la lutte des partis. Chiche !

    La France attend l’homme fort. Les sondages, d’ailleurs, confirment, chez les Français, le dégoût du régime et l’attente d’une solution énergique ; pour certains, elle est même militaire, voire monarchique : un chef, un seul, en qui il soit possible d’avoir confiance et qui remette de l’ordre. Cette aspiration est aussi simple qu’essentielle. Il n’est pas besoin d’être grand clerc ni expert en matières politiques pour comprendre cet appel que lance l’âme française aujourd’hui, comme elle le fit déjà dans le passé, de siècle en siècle, chaque fois que le pays traversait une période d’anarchie, subissait l’invasion, allait de désastre en désastre et ne se reconnaissait pas dans de faux chefs qui profitaient de la situation pour s’emparer du pouvoir et pour en abuser. Oui, il est rassurant de penser que 85 % des Français ne font plus confiance aux hommes politiques, aux partis, aux syndicats, aux médias, en un mot au système ; ce mot que tout le monde comprend et emploie tant il est significatif. Nous n’avons plus d’État, nous n’avons qu’un système.

    La république oligarchique

    Certes, ces Français qui protestent en leur for intérieur, ne sont jamais entendus ; cependant, ce sont eux qui font marcher la France effectivement, qui font tourner ses usines, ses commerces, son agriculture, qui livrent des produits remarquables à l’exportation dont le gouvernement peut encore se flatter – avions, navires, sous-marins de haute performance –, qui lui donnent une armée, une gendarmerie, une police qui, en dépit des méfiances et des inepties du régime, effectuent leur service au mieux de leur possibilité. Un général Soubelet qui se fait démettre de ses fonctions, est un cas typique. Dans aucune instance officielle ces Français, en tant que tels, ne sont représentés ou ne peuvent faire valoir leurs justes demandes. Politiquement ils n’existent pas. Partis et syndicats se sont emparés de tous les leviers de pouvoir, de la représentation et des organes de décision.

    On fait croire au peuple que l’élection est un choix ; c’est évidemment archi-faux ; c’est au mieux un exutoire, on dirait maintenant un défouloir. Et, en ce moment, en Europe comme en Amérique, en Autriche dernièrement, irrités par l’incurie de leurs gouvernants, les peuples s’essayent à récuser les élites officielles. Mais ces réactions sont toujours précaires et nul ne sait où elles mènent vraiment. Le jeu électoral, surtout en France, est tel qu’il n’est en fin de compte réservé qu’aux seuls dignitaires du régime ou à ceux qui y font allégeance. Le Conseil constitutionnel, d’ailleurs, contrairement aux principes démocratiques, vient de valider la réforme électorale qui privilégie les candidats du système. Il est impossible d’en sortir. Des coups de boutoir sans doute et tant mieux, mais, comme l’expérience l’a prouvé à toutes les générations, le régime finit toujours par l’emporter. C’est la seule chose qu’il sache fort bien faire : se défendre.

    Quel est donc ce régime qui permet à un Hollande de devenir chef de l’État ? Voilà la vraie question qu’il faut se poser. Quelle est cette moulinette qui transforme les opinions profondes des Français en bouillies électorales dont se nourrissent indéfiniment les partis du système ? Et qui donnent au final une représentation faussée ? Il y a au cœur du problème français une question d’institutions. Chacun le sait fort bien mais personne ne veut le voir ni le dire.

    Cependant, le rejet en est si total que les médias en dissimulent la violence. On feint de croire à l’importance de révoltes gauchardes, comme Nuit debout, qui s’essayent à récupérer l’insupportable malaise français, alors que la Manif pour tous, les Veilleurs, toutes les vraies révoltes du pays réel ont été constamment occultées et vilipendées. Alain Finkielkraut a appris à ses dépens la sordide réalité de cette chienlit. On met en scène les moindres revendications catégorielles – en ce moment les intermittents du spectacle, les cheminots – sans même attacher le moindre regard aux usagers des transports qui pâtissent tous les jours ni à ceux qui triment à longueur de journées pour tenter de survivre.

    La CGT, entre autres, ne représente plus rien, mais c’est elle qui fait la loi. Elle publie une affiche qui insulte les forces de l’ordre ; le gouvernement ne proteste même pas. L’Unef n’est qu’une misérable officine où se concoctent les carrières des futurs élus de la gauche qui y apprennent tout à la fois et « le baratin » à servir pour réussir dans le système et la manière de rafler les mises, y compris financières ; telle était déjà l’Unef dans les années 60 qui a donné les apparatchiks actuels du parti socialiste, telle elle est encore aujourd’hui. Toute cette engeance qui ne vit que de la société et qui s’est installée au chaud dans de belles places garanties et bien payées, s’adonne au jeu de la révolution permanente, mais qui ne va jamais jusqu’à les remettre en cause eux-mêmes… évidemment ! Il n’est pire conservatisme que celui des stipendiés de la révolution totalitaire !

    La fin du régime ?

    L’État n’est plus qu’une administration sans âme dont la lourdeur pèse d’un poids accablant sur le pays : 57 % de la richesse produite est accaparée par un monstre qui ne remplit plus les hautes fonctions régaliennes, mais qui se mêle de tout avec des ministères et des secrétariats d’État aux appellations grotesques. Plus aucune autorité ne se dégage des institutions. Le chef de l’État n’est plus rien qu’un sujet de dérision et qui s’imagine encore être quelqu’un ; quand il s’exprime en public, comme dans sa dernière « prestation » télévisée, il est toujours pitoyable, incapable de s’élever à la hauteur de son rang ; on dirait d’un maquignon content de lui et qui discute du bout de gras. Avec toutes les dernières aventures législatives où l’incohérence le dispute à la pitrerie, de la déchéance de nationalité à la loi El Khomri, il devient de plus en plus légitime de se demander à quoi servent les parlementaires quand on sait comment sont fabriquées et votées les lois ?

    Chacun ne pense plus qu’à son élection ou sa réélection. Stéphane Le Foll lance au service de son chef de parti son dérisoire « Hé oh la gauche ! ». Valls répand la manne de l’État sur la jeunesse pour acquérir ses voix, RSA et bourses à volonté, puis il saupoudrera de subventions et d’augmentations les catégories que la gauche voudrait récupérer. Déjà on annonce, sur un seul chiffre mensuel, la baisse du chômage. On parle de libéraliser le cannabis. Macron fonde En marche pour se mettre à part et se définir comme au-dessus des partis.

    Dans cette atmosphère délétère, on oublie l’état d’urgence qui sera pourtant prolongé ; les forces de l’ordre sont harcelées, moquées, épuisées. Les risques n’ont pas diminué : les attentats, les vagues migratoires que nul au niveau de l’État n’envisage vraiment dans leur ampleur, la crise économique et sociale, peut-être bientôt financière et monétaire. Qui sait ce qui restera de l’Europe dans un mois, dans deux mois ? L’Angleterre ? La Grèce ? L’Allemagne elle-même ? Une question se pose, de plus en plus évidente : la France peut-elle survivre avec un tel régime ?  

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La fuite des Blancs des grandes villes européennes s’accélère

    EUROPE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est un phénomène à l’échelle européenne, pourtant massif, sur lequel les médias du système sont curieusement peu loquaces : le « white flight » ou fuite des Blancs. Les classes moyennes blanches quittent un quartier lorsque celui-ci connaît un afflux de populations immigrées. En clair : au‑delà d’un certain seuil, l’immigration provoque brutalement le départ des Blancs.

    Au Royaume‑Uni, selon le recensement de la population, entre 2001 et 2011, 620 000 Blancs ont quitté Londres, soit 14 % ! Alors que dans le même temps, le nombre d’habitants de Londres s’est accru d’un million… Cette « fuite des Blancs » aggrave la séparation et la concentration ethnique. D’autre part, elle témoigne aussi du remplacement de population en cours. Les Blancs britanniques sont devenus minoritaires à Londres, avec seulement 45 % de la population en 2011 contre 58 % en 2001. Difficile de ne pas faire le lien avec l’élection de Sadiq Khan, nouveau maire de Londres, musulman d’origine pakistanaise…

    Pourtant, face à cet afflux massif des années 2000, l’immigration étrangère est devenue l’une des préoccupations majeures des Britanniques comme le montrent les résultats électoraux croissants de l’Ukip, le parti nationaliste britannique. Durant la décennie, la population d’Angleterre et de Galles née à l’étranger a augmenté de trois millions de personnes (+ 63 % !). Et l’aggravation de la crise migratoire depuis deux ans ne permet pas d’imaginer que ce phénomène de fuite des Blancs ait diminué…

    Ce phénomène existe aussi en France, en particulier à Paris. L’arrivée des populations étrangères a souvent dégradé la qualité de vie,  en proche banlieue, dans le nord et l’est de l’agglomération parisienne. Cela a entraîné le départ massif des populations actives blanches vers la grande banlieue, quand ce n’est pas pour d’autres régions, moins touchées. Ainsi, 180 000 personnes quittent l’Ile‑de‑France chaque année depuis 1995. Difficile d’évaluer la part des Français de souche, faute de statistiques ethniques, mais il s’agit en particulier de familles  d’actifs avec enfants.

    Cela rejoint le constat douloureux effectué dans le livre de Jean‑Yves Le Gallou,Immigration, la catastrophe (éd. Via Romana)…

    http://fr.novopress.info/

  • Black M aux cérémonies de Verdun : la France humiliée

    Pour Maxime Tandonnet, choisir le rappeur Black M pour chanter à la commémoration du centenaire de Verdun n’est pas anodin. Désacraliser ainsi le souvenir de centaines de milliers de morts pour la France témoigne de la volonté des élites d’en finir avec notre Histoire.

    Peu importe que l’artiste invité à cette commémoration soit un chanteur de rap, de raï, de reggae, de rock, de hard rock, de variété française, de techno, de musique yéyé, bebop ou autre. C’est le principe même de l’amusement, du divertissement musical pour célébrer Verdun qui est blessant.
    S’il doit y avoir une musique, ce ne peut être que celle de la solennité et de l’émotion, la sonnerie aux morts qui fige et glace le sang à la pensée des disparus, de leur souffrance et de celle de leurs proches qui ne les reverront jamais.

    Il faut tout de même rappeler que le rappeur a tenté d’éteindre l’incendie avec les paroles suivantes : “C’est la scène et c’est quelque chose que j’aime énormément […] Je les invite à venir me voir, qu’ils aiment ou pas ma musique, on va s’amuser“.

    On savait déjà que Black M considérait la France comme un pays de kouffar. On vient d’apprendre que, selon lui, la meilleure façon de commémorer le martyre de la jeunesse européenne, c’est de la faire en s’amusant…

     

    http://fr.novopress.info/200947/black-m-aux-ceremonies-verdun-france-humiliee/

  • Déliquescence française

    Dr Bernard Plouvier

    Depuis le début des années 1970, il n’a pas existé de semestre dans la vie publique de la France sans que soient dénoncées la corruption ou les débauches sexuelles d’un élu. Au-delà des attaques ad hominem - parfois curieuses quand elles proviennent de concurrents politiciens qui sont rarement à l’abri de tout reproche -, il paraît utile de réfléchir au soubassement social des tares de nos glorieux élus.

    La corruption est aussi vieille que l’organisation des sociétés en États : Périclès et Jules César ont été largement accusés, en leurs temps, de puiser dans les caisses publiques. Pour la France, ni les régimes monarchiques (la monarchie de Juillet fut très corrompue), ni les deux Empires et moins encore nos cinq Républiques, n’ont été – ne sont – exempts de corruption… seul un vilain « révisionniste » oserait affirmer que l’État français dit « de Vichy » fut probablement le moins corrompu de toute notre histoire !

    Quant aux débauches sexuelles, force est de reconnaître que ce n’est pas à un vieux singe – comme peut être considérée, en certains domaines, l’espèce Homo sapiens sapiens dans son ensemble – que l’on apprend à faire des grimaces. Et si l’on a pris l’exemple des singes, c’est en raison de la perversité générale de leurs comportements sexuels ; les chiens eussent également fait l’affaire, mais guère les cochons, alors que, pour la vox populi, les frasques sexuelles des humains sont des « cochonneries ».

    Un élu ne vaut pas mieux que la majorité de ses électeurs. Et pour une excellente raison. Si les majorités électorales étaient composées d’individus de grande conscience éthique, ils n’éliraient nullement des candidats à « gueule de débauché » et moins encore les démagogues, faciles à débusquer grâce à leurs arguments, qui, toujours et partout, ont fourni les grosses cohortes de concussionnaires, prévaricateurs et autres trafiquants d’influence.

    En clair, si les Français étaient majoritairement honnêtes et vertueux, ils n’auraient jamais envoyé aux Parlements (français & européen) la kyrielle d’incapables, de malhonnêtes et de pervers que l’on connaît. De même, la liste des chefs de l’État porterait très certainement d’autres noms que celle enregistrée pour la postérité… et pour notre plus grande honte.

    Plutôt que de crier « Haro » sur des canailles et des crapules – et encore ne peut-on le faire qu’après l’évidence apportée par des preuves -, il est plus sain, plus efficace de faire notre examen de conscience national.

    L’esprit de jouissance individuelle l’a très souvent emporté sur le goût pour le travail et l’intérêt collectif. On l’a constaté au XVIIIe siècle, le réveil étant brutal, par le contact avec la dure réalité des bacchanales révolutionnaires. Le Second Empire fut une époque odieuse pour le prolétariat et une vie de noce pour une soi-disant élite qui conduisit la Nation à la raclée de 1870.

    Après le dernier grand sursaut national, celui de 1914-18 (absurde en valeur absolue, mais grandiose au plan de l’unité nationale), la Nation – envahie de trop de parasites, soit des immigrants venus s’enrichir rapidement, par tous les moyens, ou exercer leur capacité de nuisance sociale, à la différence des émigrés venus travailler honnêtement et s’intégrer à la société française – s’est laissée tenter par le mirage de l’État-Providence. Durant les années 1950-73, la Nation, encore européenne de fait, se montra de nouveau à la hauteur, honorant plus que jamais les valeurs du Travail et de la Famille.

    Le poison cosmopolite l’a, depuis, aveulie. Notre Nation s’est laissée imposer une propagande absurde, niaise, mollasse. Tiers-mondisme, féminisme et humanitarisme de pacotille ont fait passer une majorité de Français à l’état de veaux (version gaullienne) ou de porcs à l’engrais. Au XVIIIe siècle, l’on considérait que le peuple français était le plus spirituel de l’univers européen. De nos jours, il est devenu platement matérialiste et mou, très mou, tellement mou qu’il se laisse envahir, sans réagir notablement, par des hordes d’immigrés conquérants, mâles et dominateurs.

    Comment s’étonner, dans ces conditions que nos politiciens soient des « pourris » et « de gros dégueu… » ? Notre responsabilité est, sur ce point, aussi grande que pour ce qui est du déclin de la natalité autochtone ou de l’absence de lutte contre l’islam djihadiste. L’alternative est simple : la Nation française redevient dynamique et conquérante ou elle continue à se vautrer dans la bassesse.

    Ce ne sont pas les manifestants potaches avec leur mentalité de petits fonctionnaires, envisageant frileusement un médiocre avenir sous tutelle de l’État, non plus Providence, mais Cocon, qui vont diriger le mouvement de redressement national.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/05/11/deliquescence-francaise-5800347.html

  • Mobilisation contre la profanation de Verdun par le rappeur antiblanc BlackM

  • Attentats islamistes du 13 novembre: les familles doivent payer les impôts des victimes

    Les familles des victimes du 13 novembre ont eu un coup dur ces derniers jours avec la réception de l’avis d’imposition de leur proche disparu.
    La loi prévoit que les impôts d’une personne décédée soient payés par la famille. Mais alors que le processus d’indemnisation est toujours en cours, les proches des victimes réclament un traitement particulier.

    La mère d’une victime témoigne :

    De nous demander de payer des impôts pour un enfant qui a été assassiné. Je trouve ça inadmissible !

    L’association “13 novembre” a sollicité un rendez-vous au ministère des Finances, resté pour l’instant sans réponse. Pendant ce temps, les frais d’avocat de Salah Abdeslam seront pris en charge par le contribuable…


     

    http://fr.novopress.info/

  • Pas besoin d’être Mme Irma pour prédire ce qui arrivera dans un an

    Le ministre de l’Intérieur vient d’annoncer les dates de l’élection présidentielle : les 23 avril et 7 mai 2017. Si les sondages se confirment, Marine Le Pen sera probablement largement en tête au premier tour, sinon en deuxième position, et accédera au duel final.

    Bien évidemment, d’ici là, le camp des patriotes devra, dans un premier temps, faire le dos rond, puis résister à la tempête prévisible. Facile, d’abord, de prévoir les programmes de télévision dans les derniers mois. Rediffusion tout à fait fortuite des séries de documentaires sur la Seconde Guerre mondiale et les horreurs du nazisme. Le vivre ensemble mis à toutes les sauces dans les émissions de divertissement, les reportages, Plus belle la vie, évidemment.
    Chaque geste, parole ou tweet d’un représentant du FN sera épié, grossi, déformé, travesti. Le buzz, qu’on vous dit ! Les journalistes chercheront avec malice à réveiller les tensions avec le camp de Jean-Marie Le Pen, éventuellement en le titillant sur sa vision de l’Histoire. Les questions sur les propositions économiques attendront… Et si ce n’est avec l’ex-président du mouvement, ils chercheront à le faire avec Marion Maréchal-Le Pen, comme c’est déjà le cas actuellement.
    On révèlera dans la presse que le ticket de caisse de boîtes de trombones au siège du FN reste introuvable, et qu’il s’agit là évidemment d’un grave délit financier, que ce parti a décidément des pratiques occultes inquiétantes. Pourvu que les trombones ne viennent pas du Panama !
    Cette fois-ci, le cirque autour des parrainages ne devrait logiquement pas avoir lieu, le nombre de signataires potentiels étant d’ores et déjà presque suffisant.
    Arrivera le premier tour. La joie d’être qualifié pour le second sera doublée de celle de revoir les larmes de Martine Aubry, ou les mines déconfites des jeunes bobos rue de Solférino. « La République est en danger », ânonnera Najat Belkacem, alors que Cambadélis hurlera au fascisme. Le candidat de la fausse droite, probablement lui aussi qualifié, appellera les forces républicaines et démocrates de gauche à le rejoindre, promettant l’ouverture, voire un gouvernement d’union nationale. Tout en jurant avoir entendu les électeurs, notamment sur le grave sujet de l’immigration. D’autres se lamenteront ou s’étonneront que les gens n’aient pas compris leur politique. Mais qu’ils ont bien reçu le message de désespoir et de colère des électeurs, et que, promis…
    Sur les plateaux arriveront alors les fameux spécialistes en sciences politiques ou en études statistiques. Ils expliqueront, l’air sérieux, dès 20 h 35, que les électeurs qui ont voté FN sont, au choix, des abrutis avinés, des sous-diplômés qui n’ont pas lu trois lignes du programme, des gens peut-être normaux mais qui ont été cambriolés par des Roms et qui sont en colère. Parfois tout à la fois. Les vraies études, celles qui montreront que ce sont les victimes économiques de la mondialisation, le tiers des jeunes, les agriculteurs qui meurent à petit feu, les employés de banlieue qui cherchent de plus en plus loin la tranquillité, elles, sortiront six mois plus tard.
    Suivront deux semaines de pressions de toutes sortes, de manifestations pour sauver la liberté, la démocratie, la République bien sûr. Les artistes en mal de reconnaissance se croiront obligés de nous ressortir le « J’ai mal à ma France ».
    Le scénario est écrit. Christophe Barbier a commencé le tour de chauffe avec son numéro de L’Express : « Comment démolir le FN ? »
    Pour survivre à ce long procès en sorcellerie médiatico-politique, il faudra parfois tout couper et se mettre un bon film. Mieux : prendre un livre. Tiens, par exemple, de Trémolet de Villers, l’excellent Jeanne d’Arc : le procès de Rouen (1)

    (1) https://www.amazon.fr/Jeanne-dArc-procès-Rouen-février-30/dp/2251445617/278-4786419-0685466?ie=UTF8&camp=1642&creative=19458&creativeASIN=2251445617&linkCode=as2&redirect=true&ref_=as_li_tl&tag=boulevard-voltaire-21

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuyklEyEEFqdVpsxIp.shtml

  • Projets radicaux pour détruire les banlieues blanches aux États-Unis

    Le ministre américain du Logement, Julian Castro, dont il se murmure qu’il pourrait être le colistier d’Hillary Clinton à la présidentielle, prépare le relancement d’un programme de logement qui cherche à forcer la présence de non-blancs dans les banlieues blanches à travers les États-Unis.

    Le plan implique des subsides étatiques spéciaux detinés à aider les « pauvres urbains » à payer des locations plus chères dans les zones aisés, tout en nommant des agents immobliers gouvernement appelés « conseillers en mobilité » pour acheter des logements dans ces quartiers.

    D’après un article du New York Post intitulé « La dernière action d’Obama est de forcer les banlieues à être moins blanches et moins riches » (en), Castro de prévoit de redémarrer le programme de section 8, bien qu’un programme semblable testé il y a quelques années à Dallas ait provoqué un déplacement de la criminalité violente vers les quartiers aisés.

    Ce programme fait parti d’un « grand projet pour déségréguer de force les centre-villes et intégrer les banlieues », écrit le New York Post.

    Le mois dernier, Castro a menacé les propriétaires des banlieues de discrimination s’ils refusent des locataires section 8 dotés d’un casier judicaire.

    L’an dernier, il a aussi mis en place une nouvelle réglementation – « Poursuivre Positivement le Logement Équitable » – qui met sous pression tous les comtés de banlieue, pour toucher des subventions fédérales afin de changer les lois de zonages locales pour bâtir davantage de logements sociaux.

    Les propriétaires de tels logements ont maintenant pour obligation d’accepter les bénéficiaires de la section 8.

    Il est prévu que Castro finisse cette nouvelle réglementation, connue sous le nom de « Locations Équitables au [prix du] Marché des Petites Zones » cet octobre, dans les derniers moments de la présidence Obama.

    Les limites d’allocations locatives sont actuellement définies par zone métropolitaine, ce qui rend les payements assez faible. Avec le nouveau projet, elles seraient établies par code postal.

    Par exemple, le loyer équitable pour un studio à New York est d’environ 1250 dollars, ce qui ne couvrirait pas les frais locatifs des zones les plus riches du Comté de Westchester, comme Mamaroneck, « où Castro et ses sociologues veulent agressivement réinstaller des bénéficiaires de la setion 8 », indique le New York Post.

    Dans les zones les plus chères, le projet de Castro – qui ne nécessite pas d’approbation du parlement – ferait plus que doubler les allocations, tout en couvrant les charges.

    Dans le même temps, il entend réduire les aides pour ceux qui choisissent de rester dans les zones urbaines pauvres, comme Brooklyn. Donc les bénéficiaires de la section 8 ne seront pas seulement attirés dans les banlieues, ils y seront aussi poussés.

    « Nous voulons utiliser nos allocations de choix de logement pour garantir que nous n’avons pas une concentration de pauvreté et l’aggrégation de minorités raciales dans une partie de la vile, la partie pauvre de la ville », a déclaré le chef de l’HUD, ajoutant qu’il essaye de défaire le « résultat de politiques et pratiques discriminatoires dans le passé, et parfois même maintenant ».

    Une version préliminaire des nouvelles règles anticipe que plus de 350.000 bénéficiaires de la section 8 seront initialement réinstallés sous ce nouveau programme. Sous la présidence Obama, le nombre total de foyers touchant une aide au logement s’est accru à plus de 2,2 millions.

    Le document argue que ces allocations plus importantes permettront aux familles urbaines pauvres de « déménager dans des endroits qui ont potentiellement un meilleur accès aux emplois, aux transports, aux services et à l’éducation ».

    La théorie est que leur offrir davantage d’argent pour déménager dans des banlieues aisées va « améliorer leur situation ».

    Mais comme le New York Post l’a signalé, les propres études du ministère du Logement prouvent que cette théorie ne correspond pas à la réalité.

    En 1994, le président Bill Clinton avait lancé un programme semblable intitulé « Déménager vers l’Opportunité », qui a déplacé des milliers de noirs vers des maisons de plus haute qualité dans des quartiers plus sûrs et plus ségrégués racialement dans plusieurs comtés à travers le pays.

    L’expérience de 15 ans a été un échec total : une étude de 2011 financée par le ministère du Logement a découvert que les adultes ayant utilisé les bons de section 8 les plus généreux n’ont pas obtenu de meilleurs emplois ni ne sont sortis de la dépendance à l’aide publique.

    En fait, davantage ont eu recours aux bons alimentaires. Et leurs enfants n’ont pas fait mieux dans leurs nouvelles écoles.

    Pire, la criminalité les a tout simplement suivi dans leurs nouveaux quartiers plus sûrs, ruinant la qualité de vie des résidents existants.

    « Les hommes […] ont été arrêtés plus souvent que ceux dans le groupe de contrôle, principalement pour des vols », a découvert l’étude.

    Dubuque en Iowa a par exemple reçu un afflux de bénéficiaires de bons venant de Chicago – et a un problème de criminalité depuis lors. Une étude récente a directement établi le lien entre la criminalité à Dubuque et la vague de logements section 8.

    Le ministère du Logement a alors décidé qu’il fallait non pas arrêter le programme, mais le rendre plus agressif. Ils ont conclu qu’ils pourraient obtenir le résultat désiré s’ils plaçaient les pauvres urbains dans des zones encores plus aisées.

    Le ministère du Logement a testé cette nouvelle théorie à Dallas, avec des résultats désastreux.

    À partir de 2012, l’agence a rendu plus intéressant les bons de section 8, et a orienté ses bénéficiaires de centre-ville [ndt : les centre-villes américains sont colonisés par les non-blancs, et de ce fait, pauvres] aux comtés éloigns entourant Dalas.

    Tandis que les locations financées par le gouvernement se répartissaient dans toutes l’aire métropolotaine de Dallas, la criminalité a fait de même.

    Dallas a désormais l’un des taux d’homicide les plus élevés des États-Unis, et a récemment fait appel aux troupes de l’État pour aider la police à le contrôler.

    Pour la première fois, la criminalité violente s’est déplacée vers les communauts du Nord de la ville. Les trois banlieues qui ont vu le plus de transferts de section 8 – Frisco, Plano et McKinney – ont subi des pics sans précédent de viols, d’agressions et de cambriolages.

    Castro veut désormais déployer ce programme à l’échel du pays. Bientôt, il donnera aux bénéficiaires de section 8 l’argent pour payer une location où ils veulent – et s’ils ne veulent pas déménager, il va leur faire une offre qu’ils ne pourront pas refuser, indique le New York Post.

    Ironiquement, la ville natale d’Hillary Clinton, Chappaqua, combat contre les logements section 8 à cause de leurs rapports à la drogue, à la criminalité et à d’autres problèmes.


    Caelum non animum mutant qui trans mare currunt. « De ciel mais non d’esprit changent ceux qui franchissent la mer », écrivait Horace il y a deux millénaires.

    On le voit bien avec les « migrants » qui franchissent la Méditerranée pour arriver en Europe, mais on le voit tout autant avec tous ces non-blancs déplacés dans des quartiers de blancs : ils ne se transforment pas soudain en blancs. Les causes profondes de leurs problèmes sont raciales.

    Que le gouvernement Obama persiste avec ce projet en dépit des essais catastrophiques démontre au-delà de tout doute raisonnable que l’objectif n’est pas d’améliorer les conditions de vie des non-blancs, mais de dégrader celles des blancs et de faire en sorte qu’il n’y ait pas un seul endroit qui soit entièrement blanc. Pas une ville, pas un quartier qui soit autorisé à rester entièrement blanc.

    L’objectif est très clair : c’est la destruction de la race blanche.

    Le côté positif, c’est qu’une action aussi brutale et dénuée d’ambiguité ne pourra qu’ouvrir les yeux de centaines de milliers de blancs.

    Traduction de l’article de New Observer.

    http://www.blancheurope.com/2016/05/11/projets-radicaux-detruire-banlieues-blanches-aux-etats-unis/