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magouille et compagnie - Page 1824

  • Un deuxième scrutin sera bien organisé...

    ...en Autriche :

    "La Cour constitutionnelle autrichienne a annoncé vendredi l'invalidation du résultat de la présidentielle qui a vu l'écologisteAlexander Van der Bellen battre de peu le candidat d'extrême droite Norbert Hofer en mai, en raison d'irrégularités dans le dépouillement de certains suffrages.

    Cette décision sans précédent, qui valide le recours déposé par le parti FPÖ de Norbert Hofer, ouvre la voie à un nouveau scrutin, sans doute à l'automne. Alexander Van der Bellen, qui l'avait emporté avec 50,3% des voix, devait prendre ses fonctions le 8 juillet. L'intérim à la tête de l'Etat sera assuré par la présidence de la chambre basse du parlement."

    Nos grands démocrates qui veulent faire revoter les Britanniques, le résultat du référendum ne leur plaisant pas, vont finir par s'étrangler de ce trop plein de vraie démocratie en Europe.

    Rappel des faits ici et ici.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Rama Yade : cachons ces « Français de souche » que nous ne saurions voir

    N’en déplaise à Rama Yade, et peut-être à son époux, les Français dits de souche existent.

    Rama Yade, candidate surprise à la présidence de la République, est représentée par un superbe dessin en couverture du dernier numéro du magazine Charles, sous-titré Racisme et Politique. En exergue, une citation de l’ancien secrétaire d’État des Affaires étrangères et des Droits de l’homme du deuxième gouvernement de François Fillon :« Les Français de souche n’existent pas. »
     
    Certes, Rama Yade est coutumière des approximations, des déclarations à l’emporte-pièce et des anachronismes. Mais il fallait tout de même oser affirmer pareille sottise. Un peu comme s’il me prenait subitement l’envie de déclarer que la France n’était qu’un énième « hoax de l’extrême droite », que Charles de Gaulle avait été inventé par l’imagination fertile de ces esprits paranoïaques qui propagent des théories complotistes ou que Rama Yade provenait d’une souche enracinée en Aveyron depuis le XIe siècle après Jésus-Christ. J’aurais tort, et on me le ferait remarquer.
     
    Pour justifier son assertion, Rama Yade brode une argumentation assez perverse jouant sur deux tableaux : le registre victimaire habituel et un républicanisme abstrait aussi insipide que bourré de clichés. Elle affirme notamment qu’il « n’y a pas de droit du sang » en France, ce qui est parfaitement inexact.

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  • I-MEDIA S03E22 Brexit sectarisme des journalistes

  • La république du mensonge statistique

    Nous avons tous ouï-dire que l'Ancien Régime était tombé du fait de son incapacité à équilibrer la dépense publique. Certains croient même pouvoir écrire tel un Piketty que la révolution de 1789 aurait institué d'un coup de baguette magique, un impôt juste, équitable et rationnel. La création à jet continu ces dernières années de fiscalités innovantes et discrètes prouve d'ailleurs de ce point de vue qu'on n'arrêtera jamais le progrès.

    Le leitmotiv de la propagande gouvernementale va répétant que ça va mieux. Bientôt, si quelques rayons du soleil s'enhardissent à apparaître d'ici le mois d'août le gouvernement prétendra, que, sans vouloir s'en vanter il revendique à son bénéfice le retour du beau temps tout en mettant, bien sûr les pluies diluviennes du printemps au passif de la droite et de la finance internationale.

    Voici en effet ce qu'a déclaré le président que le monde ne nous envie pas au quotidienLes Échos en date de ce 30 juin : "Il y a bien une reprise en France et un début d'inversion de la courbe du chômage. C'est un fait indiscutable."

    Souvenons-nous que cette hypothèse improbable était présentée depuis le départ comme la condition d'une candidature du président sortant. L'affirmation qu'elle se serait réalisée ne doit donc être considérée ni comme innocente ni comme fortuite. Au moment où son impopularité bat tous les records de la Cinquième république, le successeur d'Armand Fallières et d'Albert Lebrun nous annonce qu'il va se représenter en 2017.

    Et il poursuit : "Notre croissance sera supérieure à 1,6 % cette année, ce qui nous permettra de créer au moins 200 000 emplois." Certes ces chiffres optimistes, annoncés au milieu de l'année, restent inférieurs à eux de la zone euro, mais de cela il ne tire pas argument. Il se contente d'intérioriser la fameuse règle de Winston Churchill : "Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même trafiquées".

    Il concède seulement, qu'en effet, au 31 décembre, ses prévisions pourraient se trouver contrariées. Ce sera la faute des autres, bien entendu : "Le Brexit aura surtout un impact défavorable pour le Royaume-Uni et c'est par le biais d'une éventuelle récession outre-Manche qu'il peut y avoir un risque pour la zone euro et pour la France."

    Dans un article intitulé : "Exit l’Europe d’autrefois", Le Monde écrit ainsi ce 30 juin :"Pour certains, c’est une tragédie. Pour d’autres, l’opportunité de repartir sur de nouvelles bases. Le vote britannique en faveur du leave, survenu jeudi 23 juin, a fait l’effet d’un coup de tonnerre sur le Vieux Continent. Il a déjoué tous les pronostics, ceux des marchés, des bookmakers et des dirigeants européens"

    Hollande, lui, reste imperturbable, bovin. Il ne se laisse pas impressionner. Il se félicite même de l'argument électoral à venir : "si ça va moins bien que prévu (au lieu de "ça va mieux"), c'est la faute au Brexit"

    De même d'ailleurs ne s'était-il pas ému le 29 juin de la publication du rapport annuel de la Cour des comptes sur la situation et les perspectives des finances publiques.

    Il apparaît pourtant qu'au moment de l'établissement de ce rapport, 5 milliards de promesses 2016 de Hollande n'étaient pas "financées". S'y sont ajoutées cette semaine les deux dispositions tendant à financer sur fonds publics à concurrence de 0,4 milliard le tarif unique du Pass Navigo et de 0,6 milliard le surcroît de dépense résultant de la réforme régionale. Depuis, Hollande annonce, par ailleurs, une "réduction des impôts"de 2 milliards au profit des "classes moyennes". Et nous n'en sommes qu'au milieu de l'année.

    Comment ce personnage ose-t-il laisser son ministre des Finances et ancien camarade de chambrée prétendre qu'il se rapproche de la convergence monétaire qu'il fixe à 3 % de déficit ?

    http://www.insolent.fr/

  • Najat Valaud-Belkacem rallume la guerre scolaire

    Le ministre de l'Éducation dite nationale, Najat Valaud-Belkacem, rallume la guerre scolaire, en s'en prenant, cette fois, aux écoles hors contrat et à l'éducation à domicile : les établissements hors contrat devraient, dès la rentrée 2017, être soumis à un régime d'autorisation préalable d'ouverture, et non plus à un simple signalement aux autorités après ouverture ; quant à l'enseignement à domicile, il serait plus étroitement contrôlé, les parents pouvant être soumis à des contrôles écrits ou oraux de la part des rectorats.

    Pour le ministre, il s' agit officiellement d'empêcher que ces formes d'enseignement soient l'occasion d'un « repli communautaire » et favorisent la radicalisation des jeunes de religion islamique. Mais la vérité est que le gouvernement, ayant vu d'un bien mauvais œil la progression de l'éducation à domicile depuis 2014, date de l'introduction de la théorie du genre à l'école (de 19 000 enfants à 25 000 actuellement !), veut relancer le combat laïciste et reprendre en mains tous les enfants français. II s'agit donc d'une mesure éminemment liberticide que la dame ministre entend imposer par ordonnances afin d'aller vite et d'esquiver tout débat parlementaire.

    Les parents sont donc réellement agressés et dresseront sans doute une levée de boucliers qui ne manquera pas de faire du bruit. Ils ne se laisseront pas déposséder de leurs droits et de leurs devoirs concernant leurs enfants, dont ils sont, par nature, responsables devant Dieu et devant les hommes. L'on risque fort de voir réapparaître le climat irrespirable des années 1981 à 1984. La république a besoin de se retremper périodiquement dans ses sources terroristes...

    Rapt d’enfants

    Les socialistes n'ont rien appris ni rien oublié depuis le fameux plan dit Lange-vin-Wallon de 1947. Ce texte d'inspiration communiste était très clair : « Ce sont, les services dépendant du ministère de l'Éducation nationale qui ont en charge les responsabilités de l'enseignement et de l’éducation à tous les niveaux et sous tous les aspects... C'est à l'Éducation nationale qu'incombe la mission de l'éducation pour tous les enfants. »

    Voilà pourquoi la république socialo-communiste doit être considérée comme une vaste entreprise de rapt d'enfants !

    Tapis dans l'ombre et piaffant de n'être pas encore au pouvoir, les socialistes ont fortement influencé la politique scolaire sous la IVe république et au début de la V. Ils étaient déjà dans la place au ministère de la rue de Grenelle, et les ministres fantoches, prétendus de droite, ne manifestaient aucune volonté d'échapper à leur influence, si bien que la loi Debré du 31 décembre 1959, établissant un semblant de paix scolaire par le régime des contrats, s'en ressentit : Charles De Gaulle avait trop besoin du soutien de la gauche pour perpétrer son mauvais coup contre l'Algérie française...

    Mais les socialistes, sentant que le pouvoir allait un jour tomber dans leurs mains comme un fruit mûr, multipliaient alors les textes annonçant leur volonté de rallumer la guerre scolaire. Dans le Plan socialiste de l'Éducation, Louis Mexandeau, futur ministre des PTT de François Mitterrand, disait vouloir utiliser le système éducatif « pour la stratégie de rupture avec le capitalisme », afin qu'il soit « un lieu privilégié  d'apprentissage de la démocratie autogestionnaire », une « école de front de classe », un « facteur d'émancipation et de contestation » et, comme tel, « se trouvant en convergence avec la classe révolutionnaire antagoniste de la classe dirigeante, [il sera] l'un des terrains et l'un des enjeux de la lutte des classes. » Et il ajoutait : « les socialistes refusent un dualisme scolaire qui consacrerait l'installation permanente de deux systèmes parallèles et concurrents, tous deux financés par l'État. » C'était très clair : on pouvait deviner à quelle sauce allaient être mangés les enfants français, avant même l'âge de six ans, sacrifiés sur l'autel de l'idéologie officielle.

    Les socialistes fauteurs de guerres scolaires

    L'on vit dès l'arrivée à l'Elysée de François Mitterrand en 1981 que les socialistes étaient bien décidés à appliquer leur programme d'assassinat de l'école libre. Ils rallumèrent sciemment, et farouchement, la guerre scolaire, sans même venir offrir à leurs adversaires l'honneur de tirer les premiers.

    Le parti socialiste était, et est toujours, un parti essentiellement et intrinsèquement éducateur. Il agit et agira toujours au nom d'une vision de l'homme et visera toujours à une refonte de l'homme et de la société. Pour réussir, il importe moins à ce parti de résoudre la crise économique, ou le problème du chômage, que d'amener les Français à se débarrasser de l'idée même d'un destin personnel, d'un salut personnel, d'une finalité que chacun accomplit au sein de sa famille, de sa profession, d'une responsabilité propre à chacun. Le socialisme réduit l'homme à sa seule fonction sociale, à sa seule dimension économique, il supprime tout ce qui relie l'homme personnellement à quelque chose de plus haut que l'organisation rationnelle et égalitaire des biens d'ici-bas. Quiconque refuse de se laisser ainsi réduire est un ennemi de classe, un bourgeois...

    Pour changer la société, il faut changer la mentalité du peuple. Il faut donc s'emparer de tout ce qui touche à la culture et mettre l'enseignement, depuis la maternelle jusqu'au supérieur, sous la dépendance du pouvoir de l'État. Si le quinquennat de François Hollande fut minable sur le plan économique et social, il aura quand même bien mérité du parti socialiste, car il aura réussi, semble-t-il, à changer les mentalités sur le mariage homosexuel, sur le divorce, sur l'école et sur mille choses qui tournent le dos à l'ordre naturel.

    Les grands ancêtres contre la famille

    Les grands ancêtres des socialistes d'aujourd'hui sont en fait les "philosophes" du XVIIIe siècle. Pour eux, il n'existait plus que l'individu seul, détaché de tout ce qui le caractérise : sa famille, son passé, sa région, son métier, sa religion. Cet individualisme forcené se dressait contre la tradition, contre le catholicisme, contre l'autorité, et même contre l'Histoire. On imaginait déjà la destruction de tous les organismes naturels - corporations, provinces, paroisses, religion - qui avaient toujours encadré l'homme et soutenu les individus ; de telles théories n'accordaient évidemment que très peu de place à la famille et au rôle de celle-ci dans la transmission des mœurs. Puisque tous les citoyens doivent se ressembler, libres et égaux, puisqu'il s'agit de les "libérer" des traditions qui créent entre eux des différences, mieux vaut que l'éducation soit confiée à l'État...

    C'est ainsi que ce siècle prétendu libérateur fut celui de l'exaltation de l'étatisme. Le rêve des philosophes était le « despotisme éclairé » et un Denis Diderot (1713-1784) écrivait à l'impératrice Catherine de Russie qu'elle devait se réserver le contrôle total de l'instruction publique. L'État devait en quelque sorte devenir directeur de conscience.

    Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) alla plus loin encore : il s'agissait de débarrasser l'individu de ses contrefaçons de civilisé. L'homme est né bon ; s'il y a des coquins, c'est parce que la civilisation, développant la propriété, donc l’égoïsme et les inégalités, a corrompu cet homme bon. Il faut donc régénérer l'individu, l'obliger à briser ses chaînes et remettre à l'État le soin de définir et de promouvoir la liberté. L'éducation aura pour but principal de développer la vertu chez l'enfant - entendez l'état de nature - et l'on trouve sous la plume de Jean-Jacques dans l’Encyclopédie : « On doit d'autant moins abandonner aux préjugés des pères l'éducation de leurs enfants qu'elle importe à l’État plus qu'aux pères. L'Éducation publique, sous les règles prescrites par le gouvernement et sous les magistrats établis par le souverain est donc une des maximes fondamentales du gouvernement légitime et populaire. »

    La croyance en un individu libre, partout égal à lui-même, ne devant rien ni à Dieu ni à la société, s'érigea vite en dogme qu'il fallait répandre comme on propage... une religion ! Et cette religion allait avoir ses dogmes définis et surveillées par une espèce de haute autorité agissant comme un clergé. Ce fut la franc-maçonnerie qui s'y employa dès la seconde partie du siècle, se posant comme le véritable pouvoir culturel, organisant ses universités et ses sociétés de conférences où, évidemment, étaient débattues les questions relatives à l'éducation.

    Puis, après 1789, vint le temps des discours grandiloquents. Sous la Constituante et sous la Législative, l'enseignement fut totalement désorganisé. Arriva alors la Convention qui créa un comité de vingt-quatre membres pour s'atteler à une « tâche éducative » : en firent partie des ennemis de la religion comme le chimiste Antoine-François Fourcroy (1755-1809) qui rêvait de réaliser le vœu de Voltaire « d'écraser l'Infâme », ou Anacharsis Cloots (1755-1794), un Prussien qui se déclarait « l'ennemi personnel de Jésus-Christ », ce qui n'était pas se prendre pour n'importe qui et qui ne l'empêcha pas de passer à la guillotine ! On entendit aussi cette phrase "inspirée" de Rabaut-Saint-Etienne (1743-1793), ce pasteur nîmois qui avait été l'un des principaux rédacteurs de la Déclaration des Droits de l'Homme : « L'enfant qui n'est pas encore né appartient déjà à la Patrie » (sic).

    Robespierre eut aussi des idées sur le sujet : « Les enfants sont la propriété de l'Etat, les parents n'en sont que les dépositaires. » (sic) Et de préconiser de mettre tous les enfants à l'école de l'État de cinq à quinze ans pour les garçons, de cinq à onze ans pour les filles. Mais l'œuvre éducative de la Convention fut lamentable et bien vite instituteur fut synonyme d'ivrogne, car on en trouvait rarement qui sussent lire.

    Les conventionnels affirmaient que l'enseignement était libre en France, mais la guillotine était là pour expliquer comment cela devait s'entendre. Dame Valaud-Belkacem ose, comme eux, déclarer que ses mesures contre l'école hors contrat et contre l'école à domicile respectent la liberté d'enseignement. Le mensonge est, cette fois, beaucoup trop gros pour dissuader les familles de se mobiliser...

    Michel Fromentoux Rivarol du 16 juin 2016

  • L'Europe Fédérale va s’écrouler, comme la République fédérative socialiste de Yougoslavie

    Nenad Krstic, philologue serbe qui donnera une conférence à Angers demain, déclare à Nouvelles de France :

    "Les patriotes serbes ont vécu le Brexit comme une victoire de tous les patriotes en Europe. L’Union européenne est une création des Etats-Unis qui a pour but d’anéantir les nations en Europe. Et pas seulement les nations : avec leur nouvelle religion (qui est une antireligion -le profit et le néolibéralisme) le but est d’anéantir le christianisme !

    On savait bien que cette Europe Fédérale allait s’écrouler un jour ou l’autre, d’ailleurs comme la Yougoslavie fédérale (la République fédérative socialiste de Yougoslavie). Le hasard (ou le Bon Dieu) a voulu que l’effondrement de UE commence exactement 25 ans après l’effondrement de la Yougoslavie fédérale. En effet, le 25 juin 1991, les Républiques de Croatie et de Slovénie proclamaient leur indépendance…"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La stratégie du chaos : le mode opératoire des mondialistes

    En évoquant à propos du Brexit, « la stratégie du chaos« , la présidente du Front national, Marine Le Pen, a parfaitement compris que les dirigeants actuels de l’Union européenne, la hargne au cœur, vont tenter de tout faire pour que les Anglais payent très chèrement leur audace de sortir de l’UE et rendre leur divorce le plus douloureux possible. Ils veulent déjà démontrer aux autres peuples, pour qu’ils ne puissent plus jamais envisager la moindre sortie, que l’on ne peut quitter l’UE sans dommages et intérêts. Mais ce pari est risqué et jouer avec la chaos pourrait avoir l’effet contraire… Dur, dur, d’être euro béat, aujourd’hui !

    Sidérés, vexés, ayant reçu une gifle magistrale, le ressentiment des gouvernants européistes est d’autant plus grand qu’ils ne croyaient pas vraiment à la possibilité de voir le peuple britannique voter à 52 % pour un « out ». Jusqu’au dernier moment, tous les sondages faisaient croire, dans les mêmes proportions, l’inverse. Grosse déception ! Le décalage de plus en plus profond, qui se creuse entre les élites et les peuples, se vérifie encore une fois. Les résultats confirment ce fossé : à part, Londres, L’Écosse et l’Irlande du Nord, qui ont voté pour le maintien dans l’UE, toute l’Angleterre a voté contre. C’est dans les secteurs les plus populaires ou les endroits les plus oubliés, que le « out » obtient les plus gros pourcentages ; neuf secteurs (anciens bastions de gauche) ont voté pour la sortie de l’UE, à plus de 70 % ! Même en périphérie de Londres, comme à Thurrock, avec 72 % !

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  • Paris bientôt capitale de l’immigration clandestine ? Merci Anne Hidalgo !

    Paris et Londres ont plus en commun entre elles qu’avec les pays dont elles sont les capitales.

    Anne Hidalgo est la quintessence de cette gauche des grandes métropoles qui a définitivement troqué les classes populaires contre la sacro-sainte « diversité ». Sociétaliste forcenée, voire entêtée, madame le maire de Paris ne rate jamais une occasion de donner des gages de bonne conduite aux idées dominantes. Elle s’est, en effet, plusieurs fois illustrée ces derniers mois dans une course effrénée à la boboïtude la plus crétine.

    Concurrente directe du premier de la classe en mépris de classe qu’est Emmanuel Macron (qui déclarait, hier, au Club Bourbon que les gens « peu éduqués » avaient massivement plébiscité le Brexit), Anne Hidalgo peut aussi compter sur ses fidèles adjoints à la mairie pour faire de Paris une mégalopole mondiale bien éloignée de ses racines nationales. Sous l’influence de ses alliés d’Europe Écologie Les Verts, l’ambassadrice d’honneur du Qatar a interdit la circulation des vieilles voitures dans Paris intra-muros. Déjà forcés de vivre en banlieues par l’augmentation du coût des logements, les pauvres (qui ne peuvent pas s’offrir des SUV flambant neufs) ne pourront désormais plus conduire dans le Paris pasteurisé de la gauche des gentils.

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  • Nigel Farage : il y a 17 ans vous vous moquiez de moi, aujourd’hui vous ne riez plus

    http://www.contre-info.com/