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magouille et compagnie - Page 1819

  • Un migrant afghan de 17 ans attaque les passagers d’un train à la hache

    19/07/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : Un migrant afghan âgé de 17 ans a attaqué hier soir les passagers d’un train régional à hauteur de Wurtzbourg (Würzburg en allemand), en Bavière. Cinq personnes ont été blessées, dont quatre grièvement, par des coups de hache et de couteau. Le ministre de l’Intérieur bavarois a confirmé qu’il avait lancé « Allah Akbar » au moment d’attaquer les passagers.

    Agé de 17 ans, le terroriste était arrivé en Allemagne dans le flot de réfugiés et y avait été enregistré comme « mineur non accompagné ». Il y avait demandé l’asile politique et avait été hébergé dans une famille d’accueil.

    « Après l’intervention des forces de l’ordre, il a tenté de s’enfuir et a été abattu par une unité spéciale d’intervention de la police allemande (SEK) qui était postée non loin. »

    Refugees Welcome Allemagne

  • Juppé, Sarko, Valls, Cazeneuve : les incompétents se suivent et se ressemblent

    Il convient de renvoyer dos à dos tous ces foireux.

    C’est à l’AGRIF (Association générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) que l’on doit, sans doute, la meilleure appréhension de l’impuissance émolliente qui instille, au sein de l’esprit public, son poison mortel : « La classe politico-médiatique fournit en abondance à chaque attentat son lot de communiqués préprogrammés d’une insigne indigence et répétitivité, ne trouvant souvent pas autre chose à dire que “les attentats sont lâches et abjects”. Un quidam de France Info a même atteint un sommet d’une stupéfiante imbécillité en osant proférer l’interrogation : “Comment un Niçois a-t-il pu tuer d’autres Niçois ?” On reste accablé devant pareille ineptie » (15 juillet). Affligeant, en effet.

    Pas moins, cependant, que les surenchères verbeuses de nos politicards professionnels qui s’avéreraient, probablement, incapables d’organiser un plan ORSEC. Ainsi, Alain Juppé juge-t-il que « si tous les moyens avaient été pris, le drame n’aurait pas eu lieu ». Et si ma tante en avait… Le même d’ajouter : « Je connais la difficulté de la tâche, mais le fatalisme n’est pas une politique. » Martial aphorisme qui l’entraîne audacieusement jusqu’à préconiser un durcissement de « la réponse pénale, notamment pour un certain nombre de crimes terroristes », et de suggérer « d’ailleurs la création d’une police pénitentiaire » (L’Express, 17 juillet). Cela ne mange pas de pain et n’engage que les naïfs, et Dieu sait, hélas, qu’il en reste…

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  • Défilé du 14 juillet 2016 : arrestation arbitraire des militants du collectif « Hollande Démission »

    A noter, le zèle particulièrement coupable des policiers dans cette affaire.

    http://www.contre-info.com/

  • L’école : un droit des parents

    D’où vient la liberté de l’enseignement ? La question paraît évidente, il faut tout de même remonter aux principes.

    Dans la perspective libérale, on insiste effectivement sur la liberté de conscience,que les parents doivent respecter autant que l'État. C'est très clair dans le premier article de la loi Debré (1958). L'Église, elle, va plus loin, elle revendique pour les parents un droit de nature, qui est une application particulière des droits naturels de l'homme à la relation parents/enfants. Il ne s'agit pas d'un droit que l'homme se donnerait à lui-même, comme les droits révolutionnaires que l'homme s'octroie, mais d'un droit que l'on reconnaît communément comme un fait de nature, en tant que tel supérieur à tous les autres droits humains. Pie XI, dans Divini illius magistri (1929), distingue en premier lieu, non pas l'individu qui n'existe pas en lui-même, mais, première des sociétés humaines, la famille :

    « En premier lieu, la famille, instituée immédiatement par Dieu, pour sa fin propre, qui est la procréation et V éducation des enfants. Elle a pour cette raison une priorité de nature et par suite une priorité de droits, par rapporta la société civile... Ce droit de donner l'éducation à l'enfant est inaliénable parce qu'inséparablement uni au strict devoir corrélatif... [il est] inviolable par quelque puissance terrestre que ce soit...». Pourquoi ce droit est-il inviolable ? Parce qu'il recouvre en même temps un devoir. C'est la nature elle-même, c'est le Créateur de la nature qui fait un devoir aux familles d'élever elles-mêmes leurs enfants et qui leur donne ce privilège de pouvoir choisir le type d'éducation qu'elles veulent donner à leur progéniture. Les successeurs de Pie XI retrouveront cette théorie naturelle des droits de la famille. Le principe de subsidiarité joue ici à plein : tout ce qu'une petite société naturelle peut faire, il importe qu'elle l'accomplisse, sans s'en remettre à la société politique elle-même, symbolisée ou représentée par l'État.

    Mais l'État n'est pas seul en cause. Certes il peut et il a pu prendre la responsabilité non seulement de l'instruction publique mais même revendiquer pour lui l'éducation nationale. De nos jours, c'est courant : l'État devient enseignant. À la fin du Moyen Âge et jusqu'au XVIIIe siècle, à travers l'Université, ce n'est pas l'État qui enseigne, c'est l'Église. Contrairement à l'État, essentiellement chargé de la prospérité temporelle et de la paix entre les citoyens, l'Église, elle, trouve dans sa mission fondamentale, un droit et un devoir imprescriptible à s'occuper des âmes et de ce que l'homme peut apprendre. Voici comment elle le revendique, toujours sous la plume de Pie XI, dans Divini illius Magistri :

    « Société d'ordre surnaturel et universel, société parfaite, car elle a en elle tous les moyens requis pour sa fin qui est le salut éternel des hommes (...) l'Église a la suprématie dans son ordre... [L'éducation lui] appartient d'une manière suréminente à deux titres d'ordre surnaturel... Le premier se trouve dans la mission expresse et l'autorité suprême du magistère que son divin fondateur lui a données ; Allez, enseignez toutes les nations (...). Le second est la maternité surnaturelle par laquelle l'Église, épouse immaculée du Christ, engendre, nourrit et élève les âmes dans la vie divine de la grâce par ses sacrements et son enseignement... »

    Des formules comme celles-là peuvent entraîner les hommes d'Église vers un cléricalisme trop facile. Elles donnent à l'Église un droit sur la culture des esprits qui est lui aussi imprescriptible. Qu'en penser ? Dans une société chrétienne, l'Église peut et doit utiliser son droit imprescriptible à l'éducation. Parce qu'elle possède la vérité sur la nature humaine, elle jouit de plein droit de la liberté d'enseignement. Encore faut-il ajouter que du point de vue thomiste, en tout cas, le droit de l'Église sur l'éducation morale et spirituelle des êtres humain est moins grand que l'autorité des familles. On trouve cela au début de la Ilallae, dans la Somme théologique. Le commentaire de Cajétan est particulièrement explicite : face à Duns Scot, qui, au nom du droit de l'Église reconnaissait un droit à faire baptiser les enfants indépendamment des parents et de leur volonté ou de leur interdiction, Cajétan affirme et défend le droit naturel des parents, qui est antérieur et plus contraignant encore que le droit surnaturel de l'Église.

    Edgar Mortara : un cas théo-illogique

    Ce pilpoul scolastique vous paraît dépassé ? Il y eut au XIXe siècle une affaire terrible, sorte d'affaire Dreyfus avant l'heure au sein même de l'Église. À sa naissance, le petit Edgar Mortara, appartenant à une famille juive des États pontificaux, fut baptisé par sa gouvernante, une jeune chrétienne, parce qu'elle pensait qu'il ne survivrait pas à sa venue au monde. L'enfant finalement survécut malgré sa faiblesse. La jeune femme soumis la question à son confesseur : ce jeune baptisé pouvait-il être laissé à sa famille juive ? Le confesseur, qui avait appris le droit de l'Église, mais pas dans sa version thomiste, recourut au pape, qui ordonna qu'on enlève l'enfant à sa famille et se proposa d'être son parrain. L'Europe entière s'enflamma contre le mal heureux Pie IX, qui tint bon. Edgar Mortara devint prêtre et respecta toujours profondément son parrain. Mais du point de vue de Thomas d'Aquin et de Cajétan, une telle affaire n'aurait jamais dû arriver. L'un et l'autre enseignent que le droit de nature que la famille a sur l'enfant est plus important que le droit même de l'Église Rassurant !

    Abbé G. de Tanoüarn monde&vie 1er juillet 2016

  • Dijon : l’imam était proxénète !

    Source : Boulevard Voltaire

    Le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde.

    Il s’agit là d’une vieille blague anticléricale, certes pas très finaude, mais qui peut faire marrer tout le monde, même les copains curés : « La première phrase qu’un flic dit à un pédophile consiste à l’obliger à descendre sa soutane sur ses chaussettes ! » Mondialisation et flux migratoires obligent, l’humour se fait plus fluctuant : les délices de la chair tarifée étant depuis longtemps sans frontières.

    D’où cet imam de Dijon qui vient de se faire poisser dans une vilaine affaire de proxénétisme, à en croire Europe 1. Ce clerc, dont l’identité n’a pas été dévoilée, et dont on ne sait s’il était de tendance libérale ou progressiste, était donc plus porté sur le pain de fesses que les cinq piliers de la foi, même en période de ramadan.

    Certes, être gardien de chèvres pour prostiputes relève du plus vieux métier du monde, et l’islam, même respectueux des cultures et religions ayant précédé son avènement, ne saurait non plus autoriser ces sortes de dérives plus ou moins déviantes. Bon, si l’on résume, le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde ; mais de là à faire commerce de tartes aux poils plus épicées, il y a un pas que même un pied pieux ne saurait franchir de la babouche – ou de la Nike, les chiens d’infidèles, eux aussi, sachant se trouver dans le sens du vent américain dominant.

    Pourtant, les amateurs de la petite entreprise ne pourront que louer l’évident sens du commerce de ce Julot casse-croûte – ou Mouloud kebab –, sachant que le hareng mahométan possédait quelques appartements tournant à plein régime dans la ville d’Amora. Pour tout arranger – la famille, un peu comme la religion, qu’on y croie ou non, demeure une notion forçant immanquablement le respect -, le chéri de ces dames travaillait aussi avec sa fifille, elle-même connue pour monnayer son entrecuisse au premier amant venu disposant d’un brin de liquidités, bancaires comme physiologiques. Bref, une donzelle dont la vertu se réduisait un peu au string minimum.

    Soucieux de son confort, il va de soi que notre maquereau ne roulait pas en Twingo, mais en Porsche Cayenne, lequel véhicule a évidemment été saisi par les autorités judiciaires. Mieux : l’olibrius était aussi aumônier carcéral. C’est-à-dire homme chargé de convaincre ses ouailles de revenir dans le droit chemin ; un peu comme si les époux Balkany ouvraient une école de maintien.

    À cette heure, on n’en sait guère plus, si ce n’est que 80 % de ses donzelles étaient étrangères, principalement issues d’Europe de l’Est et d’Amérique du Sud. Il n’y a donc pas eu de discrimination au faciès. L’honneur républicain est sauf et notre homme, remis en liberté, est aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Une heure libre et l’autre pas. C’est le Coran alternatif.

    Nicolas Gauthier

    http://fr.novopress.info/202524/dijon-limam-etait-proxenete/#more-202524

  • L’état d’urgence ? Une très coûteuse fumisterie à la Hollande

    Ce n’est pas le populisme qui menace la France. C’est François Hollande, en refusant de désigner l’islamisme comme notre ennemi absolu.

    Ne sachant pas comment lutter contre les terroristes islamistes, notre bien-aimé Président François Hollande, dit Flanby-le-Mou, avait pris le taureau par les cornes au lendemain des mortelles fusillades du 13 novembre. Il avait déclaré l’état d’urgence, soutenu par l’ensemble de la classe politique qui ne pouvait qu’approuver une telle mesure sauf à passer pour traître à la nation.

    Et le matin du 14 juillet, tout guilleret, il annonçait que l’état d’urgence, cela suffisait. À partir du 26 juillet, la France pouvait retrouver son état normal. Pour un Président normal, c’était une réaction normale, attendue, vu qu’au bout de neuf mois et des millions d’euros plus tard, notre Président s’est aperçu que, l’urgence n’ayant donné que de piètres résultats et épuisé la troupe, il était urgent d’annoncer sa fin. Ce qu’il fit sans que les deux journalistes, faire-valoir de la communication élyséenne, s’en étonnent.

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  • L’histoire complète de Monsanto, « La société la plus maléfique au monde »

    De toutes les méga-sociétés folles furieuses, Monsanto a largement surpassé ses rivales, remportant le titre glorieux de la « société la plus maléfique sur Terre » ! Non contente de siéger simplement sur son trône de mort au sommet d’une montagne de cadavres, elle continue de mettre au point de nouveaux moyens scientifiquement innovateurs pour nuire à la planète et à ses habitants. 
    Comme pour les vrais champions du mal, elles ne s’arrêteront pas avant…eh bien, qu’on les arrête ! Mais qu’est Monsanto et comment est-elle devenue si incroyablement maléfique ? Je pense que la meilleure manière de démarrer ce périple est de retourner vers les profonds et glauques égouts de son sinistre passé, alors munissez-vous d’un en-cas et de boissons sans OGM et allons-y. 
    1901 : La société est fondée par John Francis Queeny, membre des Chevaliers de Malte, avec derrière lui 30 ans d’expérience dans l’industrie pharmaceutique ; il épouse Olga Mendez Monsanto, dont le nom deviendra celui de la société,Monsanto Chemical Works. La société produit au début de la saccharine de synthèse, qui est vendue à Coca-Cola comme édulcorant artificiel
    Le gouvernement savait déjà que la saccharine était un poison et il lui fit un procès pour stopper sa fabrication mais le perdit en cour d’appel, ouvrant ainsi la Boîte de Pandore Monsanto qui commença à empoisonner le monde avec ce soda. Olga Mendez Monsanto, qui donna son nom à la société et son mari John Francis Queeny 
    Années 20 : Monsanto étend son activité aux produits chimiques industriels et aux médicaments, devenant le plus gros fabricant mondial d’aspirine, l’acide acétylsalicylique (toxique, bien sûr). C’est aussi l’époque où les choses commencent à se précipiter horriblement pour la planète avec l’introduction de leurs polychlorobiphéniles (les PCB). 
    « Les PCB étaient vus comme une merveille chimique par l’industrie, un liquide visqueux résistant aux fortes températures et à la dégradation et ayant des applications presque illimitées. Les PCB sont aujourd’hui considérés comme l’une des plus graves menaces chimiques pour la planète. Largement utilisés comme lubrifiants, fluides hydrauliques, huiles de coupe, revêtements imperméables et produits d’étanchéité, ce sont des carcinogènes potentiels et on les retrouve impliqués dans des maladies de la reproduction, de la croissance et du système immunitaire. Le centre mondial de fabrication des PCB était l’usine Monsanto aux abords de St Louis dans l’Illinois, qui possède le plus fort taux de morts fœtales et de naissances prématurées de l’état. »(1) 
    Bien que les PCB aient été finalement interdits après 50 ans de dégâts, ils existent toujours dans le sang et les cellules des animaux et de l’homme à travers le globe. Des documents présentés plus tard au tribunal ont montré que Monsanto était parfaitement conscient des effets meurtriers, mais l’a criminellement caché au public pour conserver le filon des PCB ! 
    Années 30 : Création de sa première semence de maïs hybride et extension de la fabrication de détergents, savons, produits de nettoyage industriels, caoutchouc synthétique et plastiques. Oh oui, tous toxiques bien sûr ! 
    Années 40 : Ils démarrent la recherche d’uranium, qui servira pour la première bombe atomique du Projet Manhattan, qui sera larguée ensuite sur Hiroshima et Nagasaki, tuant des centaines de milliers de japonais, coréens et militaires américains et en empoisonnant des millions d’autres. 

  • État d’urgence ? Non ! État inefficace !

    Dr Bernard Plouvier

    Cela fait un peu plus de huit mois que la France Holando-Vallso-Cazeneuvienne vit sous le régime de « l’état d’urgence » !

    En novembre 2015, ce fut, comme toujours avec les mous qui font semblant de gouverner, une pseudo-décision, prise à la va-vite sous le coup de la panique. Nos soi-disant dirigeants ont eu peur de devoir rendre des comptes au Peuple Souverain pour leurs fort nombreuses sottises, qui sont autant de manifestations de faiblesse face à des envahisseurs, dont ils n’ont semble-t-il pas remarqué qu’ils sont aussi des fanatiques religieux.

    Gras Président, excité Premier ministre et très sectaire titulaire de l’Intérieur ont toléré la poursuite d’une immigration musulmane massive, dans un pays comptant déjà 5 millions de chômeurs, toutes catégories confondues, et 13 ou 14 millions d’immigrés africains – noirs et maghrébins - et proche-orientaux, en comptant les rejetons, nés sur le sol français et considérés comme des Français… alors qu’eux-mêmes proclament urbi et orbi qu’ils se sentent algériens, marocains, maliens, etc. quand bien même ils n’ont jamais mis les pieds sur le sol de leurs ancêtres.

    Nos « chefs » ont toléré la création d’un réseau de petites souverainetés musulmanes au sein de l’État français. Ils ont mis en scène un ridicule engagement de notre Armée en Syrie, contre l’État légal de ce pays, pour le seul profit d’une opposition musulmane soutenue par le crypto-islamiste Obama. Les opérations n’ont, d’ailleurs, démontré que notre impréparation à la guerre, en plus d’être coûteuses et totalement dépourvues d’intérêt pour la Nation française, soit Le critère interdisant l’engagement de l’Armée.

    Nos non-gouvernants font preuve d’une tolérance étonnante pour la délinquance et même la criminalité des fruits pourris de cette immigration exotique, musulmane à 90%, que la « Justice » poursuit rarement et condamne, de temps en temps, à des peines symboliques… c’est l’héritage de la Taubira, qui en maintes occasions a clamé sa haine des Blancs et fut néanmoins ministresse française !

    En dépit de toutes les complaisances de « nos chefs » pour le « monde arabo-musulman », de leurs compromissions avec les cheikhs islamo-pétroliers (qui furent longtemps de généreux sponsors) et le sultan turc, et malgré le « dispositif d’urgence », plus de 80 morts à Nice, dans la nuit du 14 juillet 2016, démontrent la nullité (on ne peut même plus parler d’amateurisme) des individus qui paradent dans les couloirs et bureaux des ministères et des palais gouvernementaux.

    Les attentats ont débuté (Joué-les-Tours) dès la fin de l’An 2014. L’année suivante, ils ont fait près de 200 morts en comptabilisant les attaques collectives et les assassinats individuels de Français de souche européenne par d’immondes sectateurs d’allah. En ce 14 juillet, anniversaire de la Fête de la Fédération de 1790, une crapule perverse a donné libre expression à sa joie raciste de tuer du Blanc, à prouver au monde que la joie de nuire des musulmans était toujours grandiose.

    Étant donné qu’il n’existe aucun moyen de différentier le musulman non-fanatique du djihadiste, une évidence s’impose : séparons-nous radicalement des musulmans. L’Europe est le continent de la race blanche. La France est un État où existe une absolue séparation des Églises et de l’État. Tirons la conclusion de ces deux faits.

    Tant que l’islam s’avèrera conquérant et terroriste, cette religion de haine et de guerre devra être interdite sur le sol français. L’intolérance doit être totale envers les fanatiques, notamment les femmes voilées, qui extériorisent davantage leur hystérie que leur foi en se nippant comme elles ne le font pas à Alger ou à Tunis.

    La répression doit être extrêmement rude à l’encontre des crapules et des canailles dans nos deux milliers de cités de non-droit. La peine de mort doit être restaurée pour mettre hors d’état de nuire tous ceux et toutes celles qui sont complices d’attentats. Tout musulman condamné pour délits répétés ou pour crime doit être renvoyé dans son gourbi d’origine.

    Enfin, dans notre pays durement touché par le chômage, il est évident qu’aucun immigré ne doit être titulaire d’un emploi tant que le dernier Français de souche européenne n’en aura pas. Il est non moins évident qu’un immigré sans emploi est un parasite et doit être réexpédié d’où il vient.

    La notion de droit d’asile doit être révisée. Trop de sang de Français a coulé ces dernières années pour que l’on soit stupidement charitable. Tout excité faisant de la politique en son pays sait à quoi il doit s’attendre s’il joue à l’opposant en pays de dictature : les Français n’ont pas à supporter les conséquences de ces choix exotiques.

    Notre solidarité doit être continentale et raciale : elle ne doit s’exercer qu’envers des individus de la race européenne et dans le but de former une authentique Europe unie des Nations de souche européenne.

    Les musulmans doivent retourner dans le Dâr al-Islam. Nous devons bien comprendre que pour ces fous furieux de mentalité médiévale, notre France (et d’une manière générale notre Europe) fait partie du Dâr al-Harb : le Domaine de la Guerre religieuse. Si les Français sont trop sots pour comprendre ces notions, pourtant simples, alors ils sont mûrs pour l’esclavage ou la conversion à la foi la plus obscurantiste et barbare que l’on puisse trouver sur le marché spirituel.

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  • Affaire de racisme bidon sur les plages normandes

    Source : OJIM

    Se basant sans vérification sur des propos publiés sur les réseaux sociaux, le site d’actualité régionale Mantes Actu s’est fait l’écho d’une affaire de racisme sur les plages normandes.

    Samedi 9 juillet, un groupe d’une centaine de personnes originaires de Mantes-la-Ville, dans les Yvelines, est arrivé en car sur les plages de Blonville-sur-Mer, en Normandie, grâce à une sortie organisée. D’après leurs dires, les touristes auraient alors été victimes de racisme. Le personnel de la plage leur aurait demandé d’aller plus loin, à près d’un kilomètre. « On s’est vite aperçu que l’on gênait et que cela était dû à notre apparence (femmes voilées, familles d’origine africaines) », raconte un participant, sur Facebook.

    Le maire de la commune serait ensuite arrivé avec un policier municipal pour leur interdire la baignade. De plus, des propos « racistes » auraient été prononcés. « Qu’ils retournent dans leur cité, ils n’ont rien à faire ici », rapporte Mantes Actu. Sauf que de son côté, le site du journal Le Pays d’Auge a fait son travail en téléphonant au maire de Blonville. Démentant les accusations citées plus haut, Yves Lemonnier s’explique : « Le groupe est venu sans autorisation. D’habitude, les habitants de la banlieue parisienne qui viennent passer la journée chez nous s’annoncent, mais là, les deux cars sont arrivés sans autorisation et ont amené une centaine de personnes. »

    Ainsi, « pour des raisons de sécurité, nous leur avons demandé de se mettre sur la plage au niveau du poste n°2 car à cause de la présence des parasols, la visibilité est moindre et la surveillance est plus difficile sur la zone du poste de secours n°1, et comme ils étaient très nombreux avec des enfants, nous n’avons pas voulu prendre de risque », ajoute-t-il. N’ayant pas apprécié d’être déplacé, le groupe aurait alors protesté avant d’aller se baigner… dans le chenal à bateaux. « Plusieurs adultes avec des enfants se baignaient dans le chenal réservé aux bateaux ce qui est strictement interdit et ont refusé de revenir dans la zone de bain », explique le maire normand.

    Assurant qu’aucun propos raciste n’a été tenu, celui-ci se réserve le droit de décider des suites judiciaires de cette affaire.

    http://fr.novopress.info/202506/affaire-de-racisme-bidon-plages-normandes/#more-202506