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magouille et compagnie - Page 1864

  • La descente aux enfers de la presse allemande

    ♦ Un fidèle lecteur nous signale l’article que nous publions sans la moindre retouche, accompagné de ses commentaires livrés sans fioritures.

    « En France : Lois liberticides, presse libre échangiste mondialiste, droit de l’hommiste, contrôlée par quelques milliardaires, pressions tous azimuts (démission de Mr Meteo, démission de Nadine Morano) et mensonges du pouvoir UMPS en France ! »

    « En Allemagne : Méthodes identiques ! (lois votées par le Bundestag, pressions droit de l’hommistes sur la presse et dans les médias, corruption de la presse par la CIA, organisation de contre-manifestations gauchistes par le pouvoir CDU-CSU/SPD de Merkel). »

    Depuis 2014, la presse mainstream allemande est en chute libre. Les citoyens se détournent non seulement des éditions papier, mais aussi des sites. Ce qui se passe en Allemagne est énorme.

    Lügenpresse (presse menteuse), c’est l’expression la plus répandue parmi les lecteurs d’outre-Rhin. Les citoyens-lecteurs allemands s’organisent sur les réseaux sociaux (Facebook, YouTube) pour appeler au boycott. Le résultat est foudroyant. En septembre 2015, six quotidiens et magazines sont en chute libre. En octobre, ce fut la descente aux enfers. En Allemagne, le phénomène est désigné comme « l’effet Ulfkotte ». Udo Ulfkotte était rédacteur en chef du FAZ (Frankfurter Allgemeine Zeitung), qu’il a quitté. Pris de remord, il révéla dans un best-seller comment la CIA corrompt la presse allemande dans le but de manipuler l’opinion.

    La baisse d’audience de ces médias fut déclenchée, entre autres, par le titre en une du Spiegel en juillet 2014 : « Stoppt Putin jetzt! » (Arrêtez Poutine maintenant).

    Suivi d’un autre numéro du même magazine, qui apposait sur le portrait d’un Vladimir Poutine au regard inquiétant le titre : « Le voisin dangereux, Vladimir Poutine, et l’impuissance de l’Occident. »

    Ce qui provoqua l’ire des Allemands et une réplique en forme de pastiche du Wache Bürger (Le citoyen éveillé) : « Stoppt Spiegel jetzt! » (Arrêtez le Spiegel maintenant).

    La célèbre revue Cicero titrait, le 29 avril 2014 : « L’orgueil après la chute » et dénonçait dans le chapeau de l’excellent article d’Alexander Kissler : « Les journaux meurent. La raison en est que l’on écrit totalement hors-sol. En particulier sur les sujets qui concernent la Russie ou sur Akif Pirinçci (accusé de manière manipulée d’avoir tenu des propos incitant à la haine raciale durant une manifestation PEGIDA à Dresde). Ce n’est pas ainsi qu’il convient de traiter les lecteurs » (Pirinçci est un auteur germano-turc célèbre en Allemagne).

    Pourtant, malgré cette débâcle, la nuit de la Saint-Sylvestre, en toute connaissance de cause, ces mêmes médias, ainsi que la télévision publique, ont dissimulé durant des jours les taharrushas qui se sont tenues sur tout le territoire allemand. Ce qui n’a fait qu’augmenter la méfiance et le rejet absolu des Allemands pour leur presse.

    À l’heure où Merkel ne tient qu’à un fil, les mainstreams ne se ressaisissent toujours pas. Il faut croire que la CIA, complice des néo-cons, se tient toujours puissamment derrière cette « Lügenpresse » allemande, qui bêle derrière ses collègues américains en accusant le président Poutine d’être corrompu jusqu’à la moelle. Venant de l’empire le plus corrompu du monde, comme le déclarait l’année dernière Jimmy Carter lui-même, il faut le faire…

    Les lecteurs allemands ne sont plus dupes. Ils se détournent définitivement des mainstreams et vont chercher l’information sur d’excellents sites de réinformation. Peut-on comparer nos deux pays ? Il me semble que oui.

    « Soutenons la liberté de la presse, c’est la base de toutes les libertés, c’est par là qu’on s’éclaire mutuellement » (Voltaire).

    Hildegard von Hessen am Rhein, 30/01/2016

    Source :Boulevard Voltaire.fr

    http://www.polemia.com/la-descente-aux-enfers-de-la-presse-allemande/

  • Les coupables de l’arrestation du Général PIQUEMAL

     Les coupables de l’arrestation du Général PIQUEMAL.jpg

    PRÉCISION IMPORTANTE – Même s’ils étaient présents sur les lieux, ce ne sont ni les Gendarmes ni les CRS qui ont procédé à l’arrestation du Général PIQUEMAL. Ce sont des sbires syndiqués de la police urbaine (Casque à bandes bleues et ceux en civil avec le brassard « Police »). Selon nos sources, l’ordre émanait directement de Cazeneuve. Il est important de préciser ces faits pour ne pas accuser à tort les Gendarmes et les CRS qui, eux, ont refusé d’obéir à cet ordre nauséabond.

    Cazeneuve a donné des ordres au préfet en charge de Calais. Ce dernier a repassé le « bébé puant » à un dénommé Desplanques, un rond de cuir du cabinet du préfet. Pressentant que la Gendarmerie refuserait d’arrêter le Général, celui-ci a alors donné ses ordres aux CRS. Fiasco également :les Officiers commandant les détachements de CRS auraient à leur tour refusé d’exécuter la sale besogne.

    Au final, le rond-de-cuir de la préfecture n’aurait dès lors pas eu d’autre solution que de faire appel à de la piétaille volontaire du Commissariat de Calais. Ce sont donc des officiers (aucune acception militaire dans le terme) de police urbaine du commissariat de Calais, « comme par hasard tous syndiqués à gauche, délégués syndicaux », qui ont accepté de se compromettre dans une pareille action déshonorante.

    À l’avenir, si ce genre de « fonctionnaire » venait à se faire triquer par « leurs migrants préférés de la jungle », nous ne verserions alors pas une larme !...

    http://www.francepresseinfos.com/2016/02/les-coupables-de-larrestation-du.html#more

  • Les chacals craignent pour leur peau – par Marc NOÉ

    Par leurs actes répétés de trahison, ils ont désormais perdu toute légitimité et ne sont plus dignes d’être qualifiés de « gouvernement ».Tout au plus s’agit-il d’une bande organisée ayant fait main basse sur les rouages de l’État. Un gang anti-Français qui s’attache à la désintégration du Pays. Leur attitude est tout simplement criminelle, comme le souligne Philippe de Villiers.

    À Calais, le gang anti-Français qui tente de ressembler à un « gouvernement » a, une nouvelle fois prouvé sa capacité de nuisance. Ainsi, un lamentable ramassis de traitres et d’incapables se permet-il de faire arrêter et juger le Général PIQUEMAL représentant  reconnu, lui, de l’Élite de l’Armée Française.

    Il faut vraiment relever d’une engeance minable pour s’autoriser pareille forfaiture !...

    Tous ces bipèdes boursoufflés de suffisance qui se pavanent aujourd’hui prétentieusement sous les lambris de notre République n’ont décidément pas compris que ce n’est pas le titre qui honore l’homme mais que c’est l’homme qui se doit d’honorer le titre.

    Ce faisant, ils ont eux-mêmes révélé aux yeux de tous ce qu’ils sont profondément : des individus sans relief et sans Honneur. Et s’il est normal d’avoir de la considération pour les fonctions, force est de constater que ceux qui les occupent si mal ne méritent pas la moindre once de respect.

    Pas plus qu’eux-mêmes n’en ont témoigné au Général PIQUEMAL.

    La prochaine fois, feront-ils tirer sur les manifestants comme certains l’ont déjà fait auparavant sur les Pieds-Noirs rue d’Isly, à Alger, le 26 Mars 1962 ?... Tout le monde n’a pas la mémoire courte.

    Désormais, tout le monde en a conscience : pendant qu’ils saccagent, agressent et manifestent armés de barres de fer (Voir), les clandestins hors-la-loi ont des droits. Pendant qu’il manifeste pacifiquement en faveur de la France, un Général a des menottes. Telles sont les valeurs de la racaille au Pouvoir qui confond « état de droit » avec « tous les droits à l’État »..

    Quoi qu’il en soit, par leurs actes répétés de trahison, en ne défendant pas leur propre population, ils ont désormais perdu toute légitimité et ne sont plus dignes d’être qualifiés de « gouvernement ». Tout au plus s’agit-il d’une bande organisée ayant fait main basse sur les rouages de l’État. Un gang anti-Français qui s’attache à la désintégration du Pays. Leur attitude est tout simplement « criminelle », comme le souligne Philippe de Villiers.

    Le « Tartarin de l’Élysée », alias « Capitaine de pédalo » selon Mélenchon (74% d’opinions défavorables), pourra bien continuer de se croire « Chef de guerre », que pèsera-t-il objectivement face à la renommée d’unVRAI « Chef de guerre » auquel il n’arrive pas à la cheville, malgré tous les propos laudatifs des médias dégoulinant de servilité. Des médias pour lesquelsfayotage et copinage sont les deux gamelles inséparables.

    Le « Don Quichotte de Matignon », alias « l’électrocuté » selon Gilbert Collard (66% d’opinions défavorables), pourra bien se draper dans ce qu’il est bien le seul à considérer comme étant « SES propres Valeurs de la République », tout son verbiage n’est rien d’autre qu’un fatras de préjugés et de rancœurs personnels assaisonnés d’une sauce idéologique nauséabonde qui n’a rien à envier à la soupe servie par les régimes totalitaires. Lui se croit toujours au temps de la guerre civile d’Espagne.

    Le « Sancho Pansa de la Place Beauvau », quant à lui, pourra bien continuer de s’évertuer à se faire passer pour quelqu’un de responsable, sachant prendre des décisions et donner des leçons à tout le monde, il n’en sera pas moins regardé comme étant un personnage insignifiant qui ne brille que par les pâles lueurs de sa fonction.

    Ainsi va la France d’aujourd’hui : plus quelque-chose est bas, plus « on » nous le montre en exemple. Et plus les chevilles sont enflées, plus les têtes sont vides.

    Et ce sont ces gens-là qui, confortablement juchés sur leur éphémère perchoir à serins –la seule hauteur qu’il faille leur reconnaitre-, se permettent d’insulter tous ceux qui ne pensent pas comme eux, les traitant de « racistes », de « fascistes », de « nazis ». Le tout arbitrairement ficelé sous l’appellation fumeuse d’« extrême droite ». Chez eux, la malhonnêteté n’a pas de limite… si ce n’est celle de leur étroitesse d’esprit qui leur fait prendre leur propre lâcheté pour de la tolérance et leur faux humanisme pour de la grandeur d’âme.

    En cela, ces « tristes sires » ne font que surfer sur la peur de choses supposées qu’ils ont eux-mêmes inventées pour mieux enfumer l’opinion publique et jouer aux « grands courageux ». On offre sa poitrine à des fusils qui n’existent pas. Ça fait toujours bien et ça donne bonne conscience…

    Dans les faits, ces individus ne sont que des chacalsqui se repaissent des malheurs de la France tout en la détruisant un peu plus chaque jour. Pendant la Révolution, sous la houlette de l’accusateur publicFouquier-Tinville, ils eussent été jugés puis condamnés pour trahison envers la Patrie et leurs biens saisis puis revendus comme « Biens Nationaux ».

    C’est bien pour ça que « les chacals craignent pour leur peau ! »… car ils subodorent que « l’heure des comptes viendra bientôt ! »

    http://www.francepresseinfos.com/2016/02/les-chacals-craignent-pour-leur-peau.html

  • Politique & Eco n°77 : La chute de l’or noir, histoire d’une pénurie organisée

  • Cahuzac : un procès pour rien ?

    Le procès de l’ancien ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, s’ouvre aujourd’hui lundi 8 février devant le tribunal correctionnel de Paris. Il est, entre autres, reproché à l’ancien homme politique d’avoir dissimulé des comptes en Suisse et d’avoir « caviardé », minoré, bref minimisé sa déclaration de patrimoine en entrant au gouvernement. Il est d’ailleurs poursuivi pour fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale.
    Nommé ministre dès la constitution du gouvernement Ayrault, l’ancien président de la prestigieuse commission des finances de l’Assemblée nationale incarne alors la ligne de fermeté budgétaire dans le cadre de la crise économique et une certaine « rigueur morale ». Mais le 4 décembre 2012, le journal Mediapart révèle, après enquête, qu’il détient un compte bancaire en Suisse, auprès de la banque UBS, depuis au moins 1992. Et que, depuis cette date, il échappe donc à l’impôt sur sa fortune personnelle. Le lendemain, lors des questions au gouvernement, le député Daniel Fasquelle interroge le ministre sur ce compte. Jérôme Cahuzac répond n’avoir « jamais eu de compte à l’étranger, ni maintenant, ni avant ». Le voilà pris dans le piège de son propre mensonge. Il ira jusqu’à le répéter devant la représentation nationale et dans les médias.

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  • Calais ou la république dans ses oeuvres

    C'est un livre inexplicable, écrit il y a presque quarante ans, alors que le problème de l'immigration n'existait pas encore. J'ignore ce qui m'est passé par la tête. La question s'est posée soudain : « Et s'ils arrivaient ? » Parce que c'était inéluctable. Le récit est sorti d'un trait. Lorsque je terminais le soir, je ne savais pas comment j'allais poursuivre le lendemain. Les personnages ont surgi, inventés au fur et à mesure. De même pour les multiples intrigues.

    Jean Raspail à propos du Camp des Saints.

    Avec les interventions verbales des Républicains sur le chaos calaisien qui ne cesse de s'amplifier, le sujet des migrants en France semble ne plus pouvoir être contourné par l'ensemble de la classe politique française. C'est d'abord Nicolas Sarkozy qui a voulu se refaire une petite santé droitière en déclarant le 26 janvier dernier à Strasbourg que « l'Etat doit faire le travail qui est le sien en évitant la chienlit ». Terme très connoté faisant écho au tag stupide, « Nik (sic) la France » gribouillé par un No Border sur une statue de De Gaulle à Calais lors d'une manifestation (autorisée) pro-migrants dans la ville envahie samedi 23 janvier. Le lendemain, l'ancien Premier ministre Alain Juppé, actuellement porté par des sondages favorables, se rendait à la sous-préfecture du Pas-de-Calais avec ses gardes du corps et une floppée de journaleux. et certainement sous antibiotiques (la police refuse d'assurer une présence régulière au sein des campements tant les miasmes mortifères pullulent comme celui de la tuberculose) afin de communiquer sur un thème qui apparaît d'ores et déjà comme un enjeu électoral pour les Présidentielles de 2017.

    Le 27 janvier, « le meilleur » d'entre eux a donc produit un discours remettant en cause le traité du Touquet (entre Paris et Londres) qui ne correspond plus, en effet, à la réalité migratoire d'aujourd'hui. Pour le mondialiste Juppé, qui est devenu subitement un défenseur de l’État régalien et intransigeant, le problème ne pourra être résolu que par un réel effort britannique en matière d'ouverture, bref avec une Grande-Bretagne qui accepte son statut d'eldorado aux yeux des migrants. Juppé demande à ce que les Anglais s'organisent pour recevoir leur lot de "rôdeurs". Un Juppé, sur place avec ses bottes en caoutchouc, peut bien serrer les mâchoires devant le tas de boue de la Jungle calaisienne, les ""solutions" qu'il préconise ne sont que des traitements cosmétiques, des pansements vanillés sur une jambe sévèrement gangrenée. Car la seule question qui importe, la seule question qui a trait à la survie durable du dernier cercle français, c'est celle-ci : quand refoulerons-nous le fléau ? Quant à savoir si nous devons éjecter ces hordes ténébreuses, prémunir notre peuple de leur venin, la question ne se pose pas. Ces envahisseurs doivent partir. Ils doivent partir car ils sont une masse, car ils sont dangereux, car ils sont doublement dangereux.

    Des bisons pas très futés

    Doublement dangereux, disons-nous, parce qu'ils se comportent en conquérants chez nous et parce qu'ils servent de supplétifs à ces faux anarchistes abjects appelés No Borders qui ne sont mus que par la haine qu'ils éprouvent à rencontre des nations, de l'homme blanc et de Dieu. Le 23 janvier a ainsi été l'occasion pour ces démons de montrer toute l'étendue de leurs capacités malveillantes. Cornaqués par de jeunes antinationalistes en provenance des Pays-Bas, d'Allemagne et de France, les clandestins, en ce samedi, s'excitent, crient des slogans absurdes ou hurlent leur désir de gagner l'Angleterre et son Londonistan : « UK ! UK ! UK ! » crient-ils en chœur Puis environ 2000 migrants et No Borders absurdes débutent leur marche afin de protester sous les couleurs des vendus de la NPA de la potiche Besancenot et des crasseux de la CNT contre les mauvaises conditions de vie dans leur bidonville excrémentiel. Tous bombent le torse dans la ville, vocifèrent. On emmène de grands Noirs apparemment bien nourris à travers des rues secondaires, on leur désigne l'ennemi, on cible la tannière de l'ennemi, on profite du nombre et de l'encadrement pour régler des comptes et pourquoi pas se faire du fasciste. C'était le moment pour les chiens de punir les Calaisiens repérés pour leur résistance.

    Une vidéo où l’on peut voir une famille française provoquée et agressée par une meute d'étrangers qui ne tolèrent pas que les autochtones puissent ne pas apprécier leur présence anormale sur notre territoire, circule sur le net. Les petits enfants de bourgeois lâchent leurs Blacks sur une famille se sentant prise au piège. Le fils de ce foyer pris pour cible, inquiet pour la sécurité de ses parents, sort une carabine, quelques secondes seulement, en espérant faire fuir la meute. Peine perdue, la horde est pleine d'énergie, elle est survitaminée et lance sur nos innocents divers objets sales et rouilles. Peut-être s'agissait-il là d'un avertissement. La prochaine fois, car il y aura une prochaine fois, les petits Gaulois se feront-ils saigner comme des phacochères d'Afrique ? On peut craindre le pire avec ces faux anars toujours impunis et avec leurs pigeons voyageurs toujours partants pour découper un grillage, escalader un mur, insulter et menacer celui qui ne baisse pas les yeux devant eux. Nous pouvons visionner une myriade de vidéos (sur le net) sur le sujet de l'invasion à Calais. On y voit des migrants sur les quatre chemins, toujours en train de bavarder, de crier, de menacer des automobilistes, de cracher des gerbes tuberculeuses dans les airs. Les témoignages de policiers (diffusés sur des média conformes) sont toujours plus alarmants. Alors que l'autorité de la police s'est évaporée (les CRS ne sont plus ni respectés ni craints), le nombre des envahisseurs augmente d'une manière inquiétante ; ils seraient plus de 12 500 à Calais et à l'ouest de Dunkerque. Aussi est-il de plus en plus facile pour les No Borders de recruter des petits téméraires pour des expéditions spectaculaires et promotionnelles comme celle du 23 janvier quand vers 17h30, au crépuscule, 350 migrants et faux anars se sont introduits dans l'enceinte du port de la ville. Puis 35 d'entres eux ont réussi à embarquer sur un ferry qui venait d'amarrer. Mais, après tout, l'on ne sait si on ne devrait pas remercier les dégénérés prétendument anars pour avoir attiré tant de journalistes, photographes et vidéastes amateurs et permis un bon coup de projecteur sur les singeries calaisiennes et les véritables haines de la Jungle cultivées par toutes les fractions de l'Anti-France que l'on peut imaginer. Un policier qui témoignait sur RMC il y a deux semaines évoquait bien sûr ces prétendus anars mais également la présence d'islamistes qui fanatiseraient nos pauvres migrants. Ce n'est guère surprenant. Ceci dit, nous devons nous pencher de plus près sur cette mouvance prétendument anarchiste se faisant appeler No Border. Ses motivations paraissent pour le moins équivoques.

    Les no borders agents du nouvel ordre mondial

    Ces militants ont toutes les caractéristiques des décérébrés de notre temps, bourrés de préjugés conformes sur la politique, la nation, la patrie, le catholicisme. Aussi n'est-il pas étonnant que ces foutriquets se précipitent sur des nomades apatrides, déserteurs, vagabonds, abandonnant femme et enfants en crachant sur toutes les "normes" pour venir les câliner. Ces bousiers viennent rouler leurs boules. Mais ce qui est le plus surprenant, c'est cette volonté d'aider tous ces allogènes à rejoindre l'Angleterre néo-capitaliste où ils finiront dans de vieilles cuisines à travailler 10 heures par jour, au noir évidemment. Les grosses allocations dévolues aux réfugiés ne dureront pas éternellement mais suffisamment pour que nos rôdeurs prennent goût à la grosse ville, au sexe underground, à la drogue, à la fête. Ils travailleront pour la mafia dans les cuisines ou dans la rue en vendant tout ce qu'il faut bien écouler pour remplir les caisses noires de nos élites politiques et économiques. C'est comme cela, après tout, avec cette huile dans les rouages, que le Système fonctionne et nos No Borders ont un rôle à jouer dans sa perpétuation. Plusieurs blogueurs ont par ailleurs montré en fouillant les sites affidés aux No Borders que ces derniers étaient financés (et les donateurs ne sont pas pingres !) non seulement par des institutions publiques et l'Union Européenne, mais également par des ONG mondialistes et des officines subversives antinationales et antiblanches comme celles pilotées par le trop célèbre Georges Soros.

    Voici la liste des commanditaires qui attendent « du concret en retour » : la Commission européenne, le Conseil de l'Europe, le Conseil œcuménique des Eglises, la Rothschild Fondation, le Jewish Humanitarian Fund, l’Open Society de George Soros, l'OSCE, le patronat et le gouvernement fédéral allemand (Foundation Remembrance, EVZ), le Home Office Britannique... Et la liste n'est pas exhaustive. Il est donc désormais difficile de croire que les No Borders sont dans le collimateur des autorités comme l'affirme et le réaffirme (dans chaque article consacré à ce sujet) La Voix du Nord, le premier journal régional du Nord-Pas-de-Calais. Et puis, si ces crétins corrompus étaient vraiment considérés comme des individus dangereux pour le pouvoir et le Système, pourquoi leurs manifestations seraient-elles autorisées et non interdites comme tous les rassemblements réellement nationalistes ? Cependant, nous ne pouvons nous empêcher de penser que s'il fallait exaspérer la population locale et française (de plus en plus inquiète par ces nuées d'étrangers), nous ne nous y prendrions pas autrement. Insultes, dégradations, violences, excitation, affrontements, saletés, menaces, intimidations, et le tout filmé mille et une fois. Comment ne pas s'interroger sur cette extraordinaire permissivité alors que les migrants sont déjà, sans ces moucherons énervants, très excités envers les indigènes et également à rencontre d'autres migrants d'autres cultures ? Pourquoi inoculer en eux une dose supplémentaire de virus rabique ? La tension doit monter, c'est certain. Cette tension sert les intérêts du Système.

    À propos de la violence des migrants, on évoquera ici la brutale expédition de migrants forcenés attaquant le campement de réfugiés qui ont la particularité d'être chrétiens, un christianisme inacceptable, élément intolérable de l'identité selon leurs assaillants musulmans. Cette scène de guerre s'est déroulée dans les Grandes Synthes à l'ouest de Dunkerque où les migrants s'entassent désormais par milliers. Néanmoins, cette tension-là constitue pour le pouvoir en place un épiphénomène qui ne devrait pas contrarier (après tout les chrétiens sont une infime minorité qui se dissipera ou disparaîtra...) son projet de faire de tous ces "réfugiés" de la main d'oeuvre bon marché, d'abord en Allemagne puis en Angleterre et en France quand les coûts de la main d'oeuvre auront baissé car ils baisseront nécessairement dans la configuration de la mondialisation que le pouvoir veut inéluctable. Le Fonds monétaire international n'a-t-il pas plaidé lors du dernier forum de Davos pour une intégration rapide des migrants sur le marché du travail ? L'idée du FMI et de la grande sauterelle Christine Lagarde n'est-elle pas de fournir à ces masses frustes du travail « pas cher » et ainsi de faire pression sur le niveau moyen des salaires en Europe ?

    Une pourriture européenne

    Pourtant la situation est en train de pourrir, et partout en Europe des affaires aussi glauques qu'emblématiques deviennent virales sur la toile et écœurent les autochtones jusqu'à la nausée chronique. En Italie, à Vintimille, une pauvre fille ayant appartenu brièvement à la mouvance stipendiée des No Borders a été férocement violée par un grand Noir clandestin avec qui elle faisait la fête dans le campement il y a environ un mois. (Pour anecdote, la pauvre violée a dû subir les pressions de ses camarades immigrationnistes qui la supplièrent de ne rien dire de son calvaire afin de ne pas nuire à l'image de leurs petits protégés clandestins. À bout, la malheureuse, trompée par l'idéologie cosmopolite, trompée par l'image fantasmatique des migrants, trompée par ses "amis" a craqué).

    En Suède, horreur parmi les horreurs, la police a échoué à sauver un garçonnet de 10 ans que les migrants ont violé les uns après les autres. La police suédoise a été tout simplement obligée de s'enfuir pour sauver la vie de ses agents lors d'une attaque par des migrants. Les policiers essayaient d'extraire cet enfant martyr suite à des accusations de viol dans un centre pour "réfugiés". Voici la version traduite lue dans le journal suédois Vestmanlands Lans Tidning : « Les agents sont entrés dans le centre pour demandeurs d'asile de Västeras pour sauver le jeune garçon qui avait été violé de façon répétée par les "migrants" ».

    Peu avant leur arrivée, les équipes du centre avaient essayé de sauver le garçon mais ont été stoppées par la foule des migrants. Elles ont alors appelé la police.

    Un des officiers a déclaré : « Toujours plus de gens apparaissaient derrière nous. J'étais prêt mentalement à me battre pour rester en vie. » Puis le 25 janvier, une jeune femme qui travaillait dans un centre venant en aide aux clandestins a été assassinée par un migrant. C'en est trop. Et le vieux sang Viking qui coule dans les veines des Suédois jusqu'ici endormis s'est mis à bouillir, la rage se mêlant au dégoût profond inspiré par cette monstruosité qui s'ajoute à tant d'autres. Le 30 janvier (samedi) dernier, des descendants de vikings cagoules ont bousculé des migrants un peu trop "tactiles" avec les femmes du pays. On dirait bien que les exigences sexuelles des migrants, qui fuient l'on ne sait plus trop quoi (ils proviennent, ceux-là, d'Afrique du Nord), leur font perdre la boule. Si les peuples de notre continent pouvaient enfin voir dans cette lubricité brutale l'aveu de leur atavisme irréductible, nous ferions un grand pas en avant vers notre délivrance.

    François-Xavier Rochette Rivarol du 4 février 2016

  • Arrestation du Général Piquemal à Calais : L'heure du réveil est venue

  • Christian Estrosi, anticonstitutionnel et antirépublicain

    Il a décidé d'établir une assemblée parallèle où siègeront des membres non élus appartenant à divers partis, y compris battus tels que le PS ou EELV.
    La Constitution française précise que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. » Pourtant, Christian Estrosi, président de la région PACA, a décidé d’établir une assemblée parallèle où siégeront des membres non élus appartenant à divers partis, y compris battus tels que le PS ou EELV.
    Nous sommes donc face à une infraction à la Constitution, en flagrant délit. Mais existe-t-il une instance quelconque compétente pour juger une telle affaire ? Devrait-on qualifier d’antirépublicain tout parti y participant ? Pour l’heure, seul le Front national a refusé d’y participer, comme l’a annoncé Marion Maréchal-Le Pen. Devrait-on déchoir de ses droits civiques ou rendre inéligible toute personne y prenant part ? Doit-il y avoir une condamnation de ce genre d’action de la part des élites ? Y aura-t-il des personnes pour condamner publiquement de tels agissements ? On en voit, dans d’autres cas de figure, prendre position publiquement : où sont-ils, aujourd’hui ?

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  • L’argent n’a pas d’odeur : en Arabie Saoudite, Starbucks interdit l’accès d’un café aux femmes

    Alors que la chaine américaine des cafés à emporter supprime en occident les références à Noël (voir ici) et milite en faveurs des LGBT (voir ici), elle n’hésite pas à interdire l’accès aux femmes dans sa boutique saoudienne… L’argent n’a pas d’odeur pour les firmes capitalistes.

    Un Starbucks café a interdit à Riyad (Arabie-Saoudite) l’accès du magasin aux femmes, s’est indigné sur Twitter une cliente le 1er février. La police religieuse a demandé au café de prendre cette mesure après l’effondrement d’un mur qui séparait les espaces entre les hommes et les femmes, indique The Independent en s’appuyant sur le journal saoudien Al Weaam.

    http://www.contre-info.com/