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magouille et compagnie - Page 1865

  • PEGIDA : Le général Piquemal passera en comparution immédiate demain

    piquemalCe lundi, cinq personnes passeront en comparution immédiate au tribunal de Boulogne-sur-Mer après leur interpellation samedi à Calais lors d’un rassemblement hostile aux migrants. Parmi elles se trouve un général ancien patron de la légion étrangère, Christian Piquemal, désigné comme ayant eu « le rôle principal » dans cette manifestation interdite. Il sera poursuivi pour « participation à un attroupement qui ne s’est pas dissout après sommation » et les quatre autres personnes pour « port illégal d’armes ». Ils risquent une peine allant jusqu’à un an de prison ferme.

    « On sait bien que la manifestation a été interdite et que l’autorité de l’Etat a été défiée. Le général, il n’est pas venu à Calais pour faire de la figuration », a affirmé à l’AFP le procureur de Boulogne-sur-Mer, Jean-Pierre Valensi. Les quatres autres individus avaient été contrôlés en amont de la manifestation et portaient sur elles « des armes dangereuses » de type taser, poing américain et cutter. « Ceux là, même s’ils n’ont pas participé à la manifestation, puisqu’ils ont été contrôlés avant, ils étaient là pour en découdre: on ne vient pas à une manifestation interdite avec des armes si on n’a pas l’intention d’en découdre », a expliqué cette même source.

    Samedi soir, de nombreuses réactions à l’arrestation du militaire, ancien commandant de la Légion étrangère de 1994 à 1999, et qui n’est plus en service actif, agitaient les réseaux sociaux.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le conseil municipal de Nantes subventionne une association LGBT pro-GPA

    Le conseil municipal de Nantes a voté vendredi une subvention au centre LGBT qui promeut la GPA et organise des réunions dans ce sens :IMG_4563 

    Seuls deux conseillers municipaux ont voté contre : Blandine Krysmann (PCD) et Guillaume Richard (Républicain).

    Le reste du groupe droite et centre s'est abstenu (sauf l'UDI Hervé Grélard qui a voté pour).

    Michel Janva

  • Une profession de mauvaise foi !

    La "merdiacratie" persiste et signe 
    Une meute de prétendus journalistes s'est déchaînée sur les réseaux à l'occasion de la diffusion du documentaire "Les masques de la Révolution" qui dénonce les racines et dérives brunes du nouveau pouvoir ukrainien. Cette "lettre ouverte à Paul Moreira" se révèle de fait un pamphlet propagandiste ou l'objection du système s'exprime par l'abjection de laquais médiatiques déshonorant la profession de journaliste
    En préambule, je tiens a préciser que le reportage de Paul Moreira dont je salue le travail et le courage est également selon moi entaché par des erreurs et des oublis et une forme trop sensationnaliste ("nobody is perfect"). Si je regrette que certain points ne soient pas abordés plus profondément comme le dossier des tireurs du Maïdan, force est de constater que l'objectif de ce reportage qui est de servir la Vérité à propos de ce choc de l'Histoire qui a frappé l'Ukraine il y 2 ans est atteint et j'en remercie chaleureusement son auteur. 
    "Mission accomplie !" 
    En effet car ce reportage honnête et salvateur sur le coup d'état du Maïdan et le massacre d'Odessa a le mérite de faire tomber les masques des vrais acteurs de la "Révolution du Maïdan", mais également de déranger les propagandistes médiatiques qui ont "couvert" les événements tout en jetant servilement un voile sur ce néonazisme ukrainien utilisé par les atlantistes cupides. 
    Pour regarder ce reportage et la polémique qu'il a suscité au moment de sa première diffusion :
    - L'annonce du reportage, le lien ici : Les aboiements des esclaves de maison 
    - La première diffusion du reportage, le lien ici : Les masques sont tombés
    La vérité dérange toujours...
    ...et les hérauts de ce mainstream médiatique occidental, excités par leurs agences de presse collabos, d'aboyer aujourd'hui en meute contre Paul Moreira. 
    Mais quelque part je les comprends ces esclaves du système qui, par intérêt, stupidité ou idéologie (cumul autorisé) préfèrent servir une pensée unique plutôt que la Vérité, quitte a bafouer sans vergogne la déontologie d'un des plus beaux métiers du monde qui devrait être par essence une vocation. En effet, ces "chiens de garde" du système politico-médiatique sont énervés car épinglés de facto dans ce reportage comme les complices de ces marionnettes meurtrières qui depuis le Maïdan servent une nouvelle guerre de préemption menée par les USA au coeur de l'Europe.  . 
    La réalité est que Paul Moreira a décidé de contrebalancer cette propagande honteuse menée par le mainstream médiatique des pays occidentaux servant cette ploutocratie mondialiste amorale, qui depuis plusieurs années allie à ses ambitions hégémoniques militaro-industrielles les pires ordures criminelles existantes, des égorgeurs islamistes aux massacreurs bandéristes.
    C'est tout à son honneur !
    Paul Moreira est un vrai journaliste d'investigation qui va sur le terrain inconnu de son enquête jusqu'à fouiller dans les poubelles de la pensée et des actes, quand d'autres se contentent de faire des safaris photos de quelques jours pour illustrer des conclusions pré-écrites dans les alcôves climatisées d'agences de presse validées par les ministères. 

  • Manifestation interdite à Calais : un général et une vingtaine de personnes arrêtés

    Une vingtaine de personnes - dont le général Christian Piquemal - ont été interpellées en marge d’un rassemblement interdit qui s’est tenu à l’appel du mouvement anti-immigration Pegida. Des heurts ont éclaté. 

    Une vingtaine de personnes ont été interpellées samedi à Calais à l’occasion d’un rassemblement anti-immigration à l’initiative du mouvement islamophobe Pegida, qui a occasionné des échauffourées en dépit de son interdiction par le ministère de l’Intérieur. Selon la préfecture du Pas-de-Calais, les personnes interpellées ont été envoyées au commissariat pour examen de leur situation et leur éventuel placement en garde à vue. Vers 14h30, les manifestants se sont dispersés. Une centaine de manifestants s’étaient regroupés en début d’après-midi malgré l’interdiction préfectorale et ont scandé aux abords de la gare de la ville des slogans hostiles à la présence des migrants.

    Après plusieurs demandes de dispersion restées vaines, les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes et ont interpellé les individus. Une arrestation a particulièrement fait polémique. Celle du général de Corps d’Armée Christian Piquemal, qui n’est plus dans l’active, mais dans la réserve. Ce dernier a été à la tête de la légion étrangère de 1994 à 1999. Décoré de la Légion d’honneur, il a également présidé l’Union nationale des parachutistes. Sa présence, annoncée, à la manifestation interdite, constituait déjà en soi un événement. Il était présent, en tête du cortège, et a pris plusieurs fois la parole, lançant aux gendarmes un « Vous devriez avoir honte ! ».

    L’image de l’interpellation musclée du Général de Corps d’Armée Christian Piquemal à Calais

    Les images de son arrestation déchaînent ses partisans sur les réseaux sociaux. Joint par l’AFP, le service communication de l’armée de terre « n’a pas souhaité faire de commentaire » sur l’interpellation du général. La préfecture n’était pas en mesure de préciser si le militaire faisait partie des dix gardés à vue. [...]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Manifestation-interdite-a-Calais

  • La déchéance de Hollande

    POLITIQUE (Présent 8540)

    8540-Une.jpgBien malin qui pourrait dire aujourd’hui où en est le projet de réforme constitutionnelle qui prévoit, entre autres, la déchéance de nationalité sur laquelle se focalise la polémique. On a commencé à en débattre vendredi à l’Assemblée nationale. On ignore aussi s’il recueillera les 3/5 des voix du Parlement réuni en congrès s’il arrive jusque-là ou si, devant un échec prévisible, le chef de l’État y renoncera. Tout est possible et tout le monde est dans le brouillard, du sommet de l’État au plus obscur député, dans la majorité comme dans l’opposition. Heureusement que l’on sait que la puissance de dissuasion de cette réforme sur les terroristes islamistes est faible, sinon ceux-là se réjouiraient d’une telle cacophonie.
    Que de chemin parcouru en trois mois ! Souvenons-nous, c’était le 15 novembre, deux jours après le massacre perpétré par les terroristes islamistes, le président de la République, à Versailles, devant la représentation nationale, annonce : « Nous devons pouvoir déchoir de la nationalité française un individu condamné pour atteinte aux intérêts de la nation ou pour acte terroriste, même s’il est né français, dès lors qu’il a une autre nationalité. » Et les élus d’applaudir, droite et gauche confondues, entonnant une puissante Marseillaise ! L’union nationale était en marche, rien ne pouvait l’arrêter en ces jours où la nation était encore sous le choc du massacre du 13 novembre.

    Rien, sauf Hollande ! Contrairement au roi Midas qui changeait en or tout ce qu’il touchait, le président Hollande le transforme en plomb. C’est que, sous « l’homme d’État », il y a toujours le politicien aux aguets cherchant à tirer un profit électoral et personnel de la situation. Lutter contre le terrorisme, certes, mais sans oublier de piéger l’opposition la contraignant à voter une mesure qu’elle souhaitait, redorant ainsi par une victoire parlementaire son blason passablement défraîchi.
    Il pensait que son aile gauche allait gémir, mais pas plus que d’habitude, et pas au-delà du quarteron de frondeurs impuissants. Grossière erreur d’appréciation, le front du refus socialiste ne cesse de prospérer ! Pour en sortir, un jour, le gouvernement ne parle plus des binationaux et entend appliquer la déchéance à tous les Français, quitte à créer des apatrides. Le lendemain, il y renonce et revient à la première formule, car la droite refuse la dernière mouture. Pour amadouer celle-ci, il ajoute les délits aux crimes, ce que Sarkozy réclamait. Là, ce sont des élus socialistes de plus en plus nombreux qui sont contre, etc.

    Tel un prisonnier des sables mouvants, plus Hollande s’agite pour sortir du piège dans lequel il s’est jeté, plus il s’enfonce. Si bien qu’en ce moment le chef de l’État, de moins en moins sûr d’obtenir la majorité des 3/5, se demande lequel de ces deux maux aurait un moindre coût politique : renoncer à sa réforme en essayant d’en faire porter le chapeau à LR ou aller jusqu’au bout et essuyer une humiliante défaite à un an de la présidentielle ? C’est la déchéance d’un président qui se comporte comme s’il était toujours premier secrétaire du PS, usant d’un double ou triple langage pour embrouiller tout le monde, mais là, à la fin, c’est la France qui perd.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

     

  • Vous défendez la patrie ? Répression

    Après l'arrestation du général Piquemal, les habituels sbires de Manuel Valls s'en sont donné à coeur joie :

    Arrestation du général :

    CaijODWW8AAMDv6

    Et hop les gaz :

    Capture d’écran 2016-02-06 à 17.16.40

    Capture d’écran 2016-02-06 à 17.18.30

    Michel Janva

  • Au sujet des « no borders », Je persiste et signe ( Olivier Dejouy )

    Un article de Kevin Amara, du cercle des volontaires , sur l’origine des « no borders », m’a valu quelques réactions agacées, non sur le bien fondé du propos, mais sur l’absence de références ou sources crédibles. Il se trouve que n’ayant pu faire apparaître le facsimilé du document qui présentait la liste des organismes de soutien de l’association internationale « United for Intercutural Action », je la reproduit ci-dessous un peu plus complète , mais non exhaustive, sans crainte de la moindre poursuite , puisque c’est l’organisation elle-même qui annonce sur son site : http://www.unitedagainstracism.org/ pour s’en prévaloir, le soutien dont elle dispose en en délivrant fièrement la liste.
    Comme il s’agit d’une organisation internationale , largement financée par des organismes officiels publics ou privés, il lui est extrêmement facile de faire voyager à travers le monde , et singulièrement l’Europe ses militants recrutés à l’extrême gauche.

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  • Rappel : Urba : la « pompe à fric » du Parti socialiste

    Juin 1971, congrès d’Epinay. Sitôt désigné Premier secrétaire du nouveau PS, François Mitterrand songe à l’étape suivante, l’élection présidentielle de 1974. Et pour cela, il lui faut un solide trésor de guerre. Sur ses instructions, Pierre Mauroy et Guy Marty mettent en place, dès 1973, un bureau d’études, nommé Urba. Si on ne présente plus le premier, qui dirige alors la Fédération socialiste du Nord, il faut dire deux mots du second : membre du Grand Orient (GODF), ancien conseiller ministériel de l’ancien président du Conseil de la IVème République Paul Ramadier, Marty s’est recasé au Conseil économique et social. Entregent garanti. Urba vend une « assistance commerciale » aux entreprises soucieuses d’obtenir des marchés auprès des collectivités locales, essentiellement les municipalités. Le bureau d’étude encaisse entre 1% et 2% du montant des contrats, puis répartit l’argent collecté selon une règle bien établie : 40% pour ses frais de fonctionnement, 30% pour la fédération locale du PS, 30% pour sa direction nationale. 
         Racket ou véritable prestation commerciale ? Pour les entreprises, Urba est le ticket d’entrée des mairies socialistes, un passage presque obligé. Ensuite, tout dépend de la « brutalité » de ses collecteurs locaux éparpillés sur le territoire, résume un élu. Par ce système bien huilé, la direction du PS pense éviter les dérives, comme l’enrichissement personnel d’élus indélicats. Mais la commission prélevée par Urba est répercutée par les entreprises sur leur prix de vente. En bout de chaîne, c’est le contribuable local qui paie. Le PS bénéficie indirectement de cet argent public. En jargon pénal, cela s’appelle un « recel d’abus de biens sociaux ». 
         La vague rose aux municipales de 1977 donne des ailes à Urba et ses satellites (Urba-Conseil, Urba-Technic, Urba-Graco...). Le PS vient d’en confier les rênes à Gérard Monate. Ancien engagé dans les Forces françaises libres (FFL), ancien gardien de la paix, Monate a été le légendaire fondateur de la Fédération autonome des syndicats de police (FASP), qui fut longtemps le premier syndicat policier marqué à gauche. A sa retraite, ce membre du GODF se met à la disposition du PS, qui lui confie Urba. Hommes de confiance et fidèle serviteur, il tient scrupuleusement les cordons de la bourse. Après un aller-retour au cabinet de Gaston Defferre au ministère de l’Intérieur, Gérard Monate devient P-DG d’Urba en 1983. 
         Des courants minoritaires du PS, exclus de cette « centralisation », s’en remettent à une structure parallèle, la Sages (Société auxiliaire générale d’études et de services), fondée par Michel Reyt. Ancien steward à Air France, ancien vendeur de voitures, lui aussi membre du GODF, cet étonnant personnage exerce le même métier que Monate à la tête de la Sages, mais avec une clé de répartition différente des fonds collectés : un tiers pour lui-même, deux tiers pour les élus locaux, rien pour Solferino. De plus, Michel Reyt ne s’interdit pas d’intervenir parfois dans des mairies de droite. Le système ronronne pendant une quinzaine d’années, au vu, au su et à la satisfaction de tous. Sur la seule période 1987-1989, marquée par la réélection de François Mitterrand, Urba finance le PS à hauteur de 107 millions de francs sans que personne ne s’en offusque. Plus pour longtemps. 
         Un grand déballage tient souvent à peu de chose. A Marseille, le décès de Gaston Defferre, le 7 mai 1986, a ouvert les hostilités entre héritiers à la mairie : Michel Pezet, leader des socialistes locaux, et Robert Vigouroux, soutenue par Edmonde Charles-Roux, veuve de Gaston. Antoine Gaudino, inspecteur de police à Marseille, enquête sur une petite affaire de fausses factures. En février 1989, il convainc un entrepreneur local de dénoncer le « racket » des politiques. Pour aller plus loin, il lui faut le soutien de ses chefs. Il l’aura : « Dès que nous avons eu Pezet dans nos filets, notre hiérarchie, et donc Pierre Joxe, à l’époque ministre de l’Intérieur, nous a encouragés et soutenus alors que la justice essayait de freiner. » Gaudino a le feu vert pour perquisitionner, le 19 avril 1989, le bureau régional d’Urba à Marseille. La pêche est miraculeuse : les enquêteurs tombent sur des carnets où Joseph Delcroix, directeur administratif du bureau d’études, notait scrupuleusement toutes les entrées et sorties d’argent. Un coup de chance : Delcroix, à quelques semaines de la retraite, venait de transférer de Paris ses archives. Les « cahiers Delcroix » sont une véritable bombe. Ils contiennent notamment cette mention : « 4 juillet 1987, les premières prévisions de la campagne présidentielle se situent à 100 000 francs. 25 000 000 francs seront pris en charge par le GIE [Urba-Graco]. » 
         La justice fait ce qu’elle considère être son travail : elle verrouille. Pendant dix mois, le parquet de Marseille conserve les carnets sous le coude, dans les attentes des instructions du garde des Sceaux. Antoine Gaudino, finalement lâché par sa hiérarchie, est révoqué en mars 1991, après avoir raconté dans un livre son Enquête impossible. Il faudra la plainte d’un élu écologiste marseillais, après avoir obtenu du tribunal administratif le droit de se substituer à la mairie de Marseille défaillante, pour remette la justice sur les rails. 
         Pendant ce temps, dans la Sarthe, le juge Thierry Jean-Pierre enquête sur un banal accident de travail sur un chantier de la communauté urbaine du Mans. Un coup de fil anonyme lui suggère d’entendre un médecin du travail, Pierre Coicadan, qui se trouve être également premier secrétaire de la Fédération PS de la Sarthe... Le juge Jean-Pierre peut remonter la piste, jusqu’à perquisitionner, le 7 avril 1991, au siège national d’Urba. Le jour même, le tribunal de grande instance du Mans prend la curieuse initiative de le dessaisir de l’enquête. Le juge Jean-Pierre en est réduit à s’enfermer dans les locaux parisiens d’Urba, le temps de mettre la main sur la documentation utile à l’enquête. Son dessaisissement ne lui sera notifié qu’à la sortie, sur le trottoir. La justice française n’est pas sortie grandie de cet épisode rocambolesque. 
         La mécanique Urba s’est trouvée fort bien décortiquée par les enquêteurs, mais pas forcément bien jugée au fil de différentes procédures. Le dossier a en effet été saucissonné en une dizaine d’affaires locales. Dans deux d’entre elles, celles initiées par l’inspecteur Gaudino et le juge Jean-Pierre, les responsabilités à Henri Emmanuelli, trésorier du PS entre 1988 et 1992 – son prédécesseur à ce poste exposé, André Laignel, a, lui, bénéficié de la loi d’amnistie. Lors des deux procès tenus en 1995, Henri Emmanuelli affirme que les versements d’Urba relevaient simplement du « sponsoring » ou du « mécénat » politique. Bien sûr, « comme tous les responsables du PS », il « connaissait son existence, son activité nullement occulte ni clandestine, et son utilité ». Mais jamais, à l’en croire, il ne se serait mêlé de près ou de loin à la petite cuisine d’Urba. Henri Emmanuelli se pose en bouc émissaire de la contestation judiciaire d’un « mode de financement parmi les plus adéquats, notamment pour éviter d’autres circuits beaucoup plus aventureux »
         Condamné à dix-huit mois de prison avec sursis, Henri Emmanuelli fait appel. La cour lui inflige deux années d’inéligibilité en plus, le 16 décembre 1997. Le Premier ministre Lionel Jospin lui témoigne sa solidarité en proclamant une « responsabilité collective visant l’ensemble du PS ». Les deux moines-soldats, Gérard Monate et Michel Reyt, entament pour leur part un pénible tour de France des tribunaux et cumulent les condamnations sans jamais vraiment se défausser sur le PS. Reyt est ruiné : le fisc lui inflige un redressement fiscal sur les sommes versées par la Sages aux élus. Il dénonce un acharnement sur sa personne – on ne peut lui donner complètement tort. 
    Renaud Lecadre, Histoire secrète de la 5ème République

  • Nouvelle vidéo sur le Planning familial aux Etats-Unis

    Une nouvelle vidéo publiée par le Center for Medical Progress (CMP) semble montrer comment Planned Parenthood cache, avec deux niveaux de facturation, les profits créés par la vente de tissus foetaux issus de bébés avortés. En anglais :

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/02/nouvelle-vid%C3%A9o-sur-le-planning-familial-aux-etats-unis.html

  • Xavier Bertrand veut envoyer en prison les Calaisiens opposés à l'invasion de migrants

    Ce matin sur Europe 1, Xavier Bertrand (LR), franc-maçon notoire élu récemment Président de la région Nord/Pas-de-Calais/Picardie, a déclaré sur Europe 1 qu'il fallait mettre en prison ceux qui s'opposent politiquement et par des manifestations à l'afflux de clandestins à Calais.

    Les socialistes n'ont donc pas l'apanage du totalitarisme pro-migrants. Mais qui en doutait encore ?

    http://www.thomasjoly.fr/2016/02/xavier-bertrand-veut-envoyer-en-prison-les-calaisiens-opposes-a-l-invasion-de-migrants.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_facebook&utm_campaign=_ob_share_auto