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magouille et compagnie - Page 1961

  • Hollande à Carcassonne : 4 militants LMPT arrêtés

    Lu ici :

    "Le mouvement La Manif pour Tous a annoncé son intention de porter plainte après l'interpellation et la rétention au commissariat de Carcassonne de quatre de ses militants qui s'apprêtaient à manifester le long du parcours du président de la République François Hollande, mardi, à Carcassonne.

    Alors qu'ils s'étaient rassemblés sur le parking d'un restaurant proche de La Fabrique du Sud, la coopérative visitée par M. Hollande, les quatre manifestants ont été "encerclés par une vingtaine de policiers en civil qui les ont embarqués au commissariat pour une vérification d'identité"a relaté Jean-Luc D'Auzac, le porte-parole régional du mouvement.

    Selon lui, la "vérification" aurait duré très longtemps : deux heures pour trois d'entre eux et près de 5 h 30 pour le quatrième "soit bien plus que les 4 h maximum autorisées pour une simple vérification", souligne M. D'Auzac.

    Le vice-procureur de Carcassonne a confirmé les interpellations et justifié la longueur de la garde à vue par une "audition libre" de l'un des interpellés, qui pouvait être soupçonné de vouloir commettre une infraction, en l'occurrence la "participation à une manifestation non autorisée", puisque celle-ci n'avait pas été déclarée en préfecture."

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • UE : 27.6 millions d’euros de primes de départ pour les députés européens

    allocations_transitoires_dep_euro.jpgEn plus de nous imposer leur diktat, les apparatchiks de Bruxelles se goinfrent sur notre dos ! Ces cochons ne cessent de demander des efforts aux peuples d’Europe (à cause de leur mauvaise gestion financière) mais ils s’allouent des primes de départ astronomiques !

    Le montant des primes de départ des députés européens qui ont perdu leurs sièges ces deux dernières années devrait atteindre 27,6 millions d’euros. C’est plus que l’aide européenne allouée aux victimes du tremblement de terre au Népal.

    Les sommes allouées aux politiciens quittant le Parlement européen, appelées “allocations transitoires”, ont coûté 40,8 millions d’euros depuis 2009, un montant qu’Euronews révèle au public.

    Les comptes du Parlement européen révèlent que 13.2 millions d’euros ont été payés entre 2009 et 2013 alors que 27.6 millions d’euros doivent l‘être pour la période 2014 – 2015.

    L’aide consentie pour venir en aide au Népal, après le tremblement de terre, est passée de 3 millions, fin à avril, pour atteindre finalement 22.6 millions d’euros.

    Le salaire des députés européens est de 96 000€ par an (NDCI : sans compter les 51 840€ d’indemnité de frais généraux par an). À la fin de son mandat, chaque député reçoit une indemnité de départ égale à un mois de salaire par année de présence.

    L’allocation transitoire minimum est de six mois de salaire pour un maximum de deux ans.

    Source : Euronews

    http://www.contre-info.com/

  • Droite, gauche, même collège (Présent 8358)

    Au-delà des polémiques, un demi-siècle d’idéologie

    8358-UneLa droite libérale en général et l’UMP en particulier s’en prennent à la réforme des collèges et aux nouveaux programmes que veut imposer le pouvoir, c’est de bonne guerre, l’opposition que peut-elle faire d’autre que s’opposer ? Mais là encore, c’est un trompe-l’œil : entre la droite libérale et la gauche socialiste, il n’y a pas rupture mais continuité.

    Cela est éminemment vrai de l’éducation où libéralisme et socialisme révèlent, là aussi, leur gémellité. Il peut y avoir désaccord ponctuel çà et là et modifications cosmétiques, mais leur vision de l’école se déploie dans le même « cercle de la raison » pédagogique et idéologique dont la matrice est le collège unique qu’un ministre de Giscard, René Haby, mit en œuvre en 1977. Cela dans la continuité du plan Langevin-Wallon, du nom de deux universitaires communistes qui furent chargés par le gouvernement du général de Gaulle de « démocratiser l’enseignement » dans le cadre du programme du Conseil national de la Résistance. Leur plan prévoyait un tronc commun pour les élèves de 11 à 15 ans par l’unification des programmes des cours complémentaires, collèges et lycées. C’était la première mouture du « collège unique », la droite n’a rien inventé…

    L’égalitarisme forcené de Najat Vallaud-Belkacem entraînant le nivellement par le bas en est le dernier avatar. Mais aucun ténor libéral n’a remis ni ne remet en cause ce collège unique. Bruno Le Maire le souhaite « diversifié », François Bayrou, alors ministre de l’Éducation nationale voulait un collège unique « mais pas uniforme », un de ses successeurs, Luc Chatel disait clairement : « Sur le principe, je ne suis pas favorable à la suppression du collège unique, qui est une vraie avancée. »
    L’idée de René Haby était qu’en regroupant tous les élèves, sans distinction, entre la 6e et la 3e, avec le même programme on allait démocratiser l’enseignement, ce collège devenant un « levier de l’égalité des chances ». Le postulat utopique étant celui-ci : en mettant tous les enfants sur la même ligne de départ, tous arriveront au même endroit au même moment.
    C’était oublier que, si tous les hommes sont égaux en dignité, ils ne le sont pas en aptitudes, tous les collégiens ne sont pas aptes à poursuivre des études secondaires. Alors, pour ceux-là, on a abaissé le niveau d’exigences dont ont pâti les autres. C’est à ce moment-là que l’apprentissage s’est effondré.

    Cette dérive égalitaire a abouti au diplôme pour tous, Jean-Pierre Chevènement souhaitant que 80 % d’une classe d’âge obtiennent le baccalauréat, nous y sommes, ou peu s’en faut, et il n’y a jamais eu autant de bacheliers chômeurs. Dans sa volonté de développer « l’égalité des chances » en supprimant les matières et les filières jugées « élitistes », Najat Vallaud-Belkacem ne fait donc que développer la funeste logique qui prospère dans l’enseignement depuis la Libération, sous tous les gouvernements de droite ou de gauche. Les apparatchiks syndicaux et les pédagogues rousseauistes y veillent, qui cogèrent l’école dans notre pays ; les ministres passent, eux restent.
    L’UMP, par la voix de Luc Chatel, a promis qu’elle abrogerait les programmes nouveaux quand elle serait de retour aux affaires… comme elle avait promis d’abolir le Pacs et les 35 heures. Si elle n’en fait jamais rien, ce n’est pas d’abord par lâcheté mais par complicité idéologique.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Les "Républicains" : la synthèse parfaite de Nicolas Sarkozy

    De Renaud Dozoul dans Les 4 Vérités :

    "Les 28 et 29 mai prochains, les adhérents de l’UMP seront appelés à se prononcer sur le changement de nom du parti, pour devenir, selon le souhait de Nicolas Sarkozy, « les républicains ». Que l’on soit ou non inspiré par la République, on peut reconnaître à son ancien président le sens de la trouvaille. La gauche avait pourtant tout bien préparé. Alors qu’elle n’a plus de programme économique (le seul qu’elle ait jamais eu consistant à augmenter les impôts, ce qui devient compliqué), et bientôt plus de programme sociétal (une fois qu’elle aura marié tout le monde, encouragé le massacre des bébés dans le ventre de leur mère, et tué nos plus vieux qui coûtent si cher, il ne lui restera plus grand-chose à détruire), il lui restait « la République ».

    « L’esprit du 11 janvier », les « valeurs de la République » à toutes les sauces, la République en danger par-ci, le « front républicain » par-là, Cambadélis, qui « ne connaît pas l’identité française », mais qui « ne connaît que l’identité républicaine », etc. La défense de la République était son ultime projet, son dernier mantra. Contre les terroristes, contre « tous les extrémismes », contre les réactionnaires, contre les ennemis de la liberté, contre les ennemis de l’égalité, contre les ennemis de la fraternité… Eh bien non. Avec son sourire en coin et son épaule qui saute, Sarkozy pique le bébé sous leurs yeux sidérés.

    Alors que la droite, qui traîne depuis 70 ans les acronymes les plus lourdingues, aurait pu trouver encore plus nul que l’UMP, il ringardise tout le monde en un coup: « les républicains ». Le pluriel, en plus de créer une dynamique collective, sonne à la fois à gauche (avec les enfoirés et les verts…) et à droite (avec l’éléphant américain).

    C’est, en réalité, la synthèse parfaite de Nicolas Sarkozy. La fascination pour la gauche et pour les États-Unis.Par ailleurs, avec ce choix, il prépare méticuleusement son deuxième tour contre Marine Le Pen. Il y aura donc, d’un côté, les obscurantistes d’extrême droite et, de l’autre, « les républicains ». Après avoir passé 200 ans à menacer les républico-sceptiques d’excommunication, la gauche se retrouve ainsi prise dans son propre piège, et devra manger son chapeau, en appelant à voter pour son antéchrist Sarkozy, au deuxième tour de l’élection présidentielle. On comprend mieux qu’elle crie, qu’elle se débatte, ou qu’elle attaque en justice ! (attaque loufoque et vraiment désespérée, si l’on regarde combien de fois est utilisée la République dans les noms qui ont jalonné l’histoire de la droite depuis 1958, entre l’UNR, l’UDR, le RPR, DLR, ou le PR.)

    En face, même Marine Le Pen sourit jaune. Elle qui ressasse à l’envi le slogan UMPS aurait pu jouer de cet aveu de consanguinité. Mais, trop occupée à saper l’héritage contre-révolutionnaire au profit de celui du MRC et du laïcisme, elle risque de ne plus trop savoir sur quel pied danser.Cela dit, le principal ennemi de Sarkozy n’est sans doute ni Hollande, ni Cambadélis, ni Marine Le Pen, mais bien lui-même. Il ne faut pas oublier que, dans son élan, il est capable de se tirer une balle dans le pied tout seul, en prenant non seulement le nom, mais également les idées de la gauche.

    Pour le reste, que mes amis royalistes accablés par ce renouveau républicain se rassurent. Nicolas Sarkozy a si brillamment « désacralisé la fonction présidentielle », que je lui fais toute confiance pour définitivement dévaluer la République !"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Affaire Kerviel/Société Générale : Nouvelles révélations accablantes pour la banque

    Selon le site Mediapart, la commandante de police en charge de l’enquête sur l’affaire Kerviel a affirmé lors d’une récente audition que la Société générale avait été alertée des agissements de l’ex-courtier en 2007.

     

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Sectaires, menteurs et dingos, l’affligeant spectacle de l’antifrontisme

    A l’heure ou le Front National vient de réactiver officiellement lundi sa campagne contre le très nocif traité transatlantique (TAFTA en français ou TTIP en anglais), lancée lors des élections européennes; au moment ou l’affaire Kerviel-Société Générale connait un rebondissement spectaculaire, Jean-Luc Mélenchon lui dénonce…la Cour d’appel de Douai. Celle-ci  vient d’annuler la condamnation de Marine Le Pen prononcée par le tribunal correctionnel de Béthune, pour « manœuvre électorale frauduleuse ». En l’espèce le dénouement du procès intenté à la suite du faux tract du Front de Gauche reprenant une vraie formule provocatrice-immigrationniste de M. Mélenchon, qui fut diffusé à Hénin-Beaumont lors de la campagne législative. M. Mélenchon avait envoyé au charbon dans cette  affaire, Me Raquel Garrido, militante extrémiste  et compagne du monsieur anti FN du Parti de Gauche, Alexis Corbière…cela ne lui a pas porté chance. Homme incontestablement  intelligent, mais égaré certainement par la colère, l’ex candidat à la présidentielle de 2012 fustige de manière délirante sur son blogue  « la bande des trois, UMP, PS et FN, (qui) a marché la main dans la main pour sauver le soldat Le Pen pourtant prise la main dans le sac ». Et  « dénonce le soutien reçu par Madame Le Pen de la part des sommets d’abord UMP puis PS du ministère de la Justice » ! Bref, la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie  serait «déjà sous l’emprise du FN avant même les régionales ». Nous en acceptons l’augure !

    En fait de complicités inavouables transpartis, transcourants, dans le monde des affaires, de la justice, de la politique,  et le  frère grand oriental Mélenchon ne l’ignore pas, elles existent bel et bien au sein des fraternelles maçonniques, entre membres notamment de même obédience. C’est un marronnier de la grande presse, avec les dossiers sur l’immobilier et ceux sur le classement des hôpitaux, l’Express en ressort un sur les Francs-Maçons. En fait,  pour signaler plus précisément  « le long passage de Manuel Valls au Grand Orient de France (GODF), de 1989 à 2005 », lequel est-il écrit,  « est très étonnant à au moins deux titres ». «Primo le fait que l’actuel Premier ministre n’en parle jamais, pas plus que les journalistes qui signent des biographies ou des portraits de lui dans la presse écrite ou audiovisuelle» –hormis des esprits libres comme Emmanuel Ratier, NDLR. «Deusio, par le choix de sa loge-mère, «Ni maîtres ni dieux», où il fut initié en 1989, un atelier de trublions, de rebelles, de libertaires, d’anarchistes, de socialistes autogestionnaires ou de communistes… Surprenant pour ceux qui voient en lui à Matignon l’incarnation du social-libéralisme sécuritaire ».

    Le spécialiste de la question à l’Express, le frère François Koch auteur de ce dossier, explique sur son blogue qu’il y «dresse (aussi)  le portrait du parrain de Valls, toujours resté dans l’ombre, Jean-Pierre Antebi, un courtier en assurances partagé entre trois passions militantes : le PS, le GODF et la Licra. Un homme haut en couleurs emporté par la maladie en 2007, à l’âge de 64 ans. Il était si fier de sa recrue pour laquelle il voyait il y a un quart de siècle un destin de président de la République ».

    « Manuel Valls restera six ans et demi à Ni maîtres ni dieux avant de changer de loge fin 1995, car les jours des tenues (réunions) deux fois par mois n’étaient pas compatibles avec ses obligations au siège du PS. Là, il ne cherche pas midi à quatorze heures : il demande à (son ami) Alain Bauer d’organiser son transfert dans la loge dont il est le vénérable maître, L’Infini maçonnique. Tout ce récit permet de mieux comprendre quel animal politique il est devenu –d’Evry à Matignon-, sa colonne vertébrale, ses valeurs, ses convictions. Il manquait une pièce au puzzle Valls ».

    Un engagement, cause ou conséquence plus ou moins directe, qui a peut être  contribué à façonner  la hargne, si ce n’est la haine antinationale d’un Valls qui a révélé l’image inquiétante d’un homme incapable de réprimer ses tremblements de rage quand il s’adressait à Marion Maréchal-Le Pen à l’assemblée nationale. Un Premier ministre qui dissimule sous les plis de l’«engagement républicain» ses combats récurrents contre la France, son  âme et ses valeurs. Car sa république qui  n’est pas celle des vieux Romains est aussi bien peu française. Sa république à lui c’est la  république universelle, sans frontières,  hors sol, marchepied d’une gouvernance mondiale «qui fera passer l’humanité de d’ombre à la lumière »,  selon l’idéologie même de la secte du Grand Orient.

    Il est aussi dans l’ordre des choses que l’actuel Grand sachem du GODF, l’extrémiste Daniel Keller, initié comme M. Valls dans une  loge d’inspiration anarchiste « Vérité Ni dieu Ni maître »,  est rappelé le combat fondamental de son officine contre l’opposition  patriotique, la nécessité de faire barrage au FN et à Marine à toutes les élections. Dés son entrée en fonction, M. Keller a donc tenu à réaffirmer que «le Front National n’est pas francmaçonniquement compatible » -un avis qui n’est pas partagé par toutes les obédiences maçonniques.

    Cette croisade, cette inquisition sectaire là menée contre les défenseurs de notre identité et souveraineté nationales, est certainement de peu d’effet sur un électeur décidé à voter FN et Marine. Mais elle contribue bien sûr à l’hystérie antifrontiste qui croitra inéluctablement  affirme Bruno Gollnisch, au fur et à mesure que l’opposition nationale apparaîtra comme susceptible d’accéder au pouvoir,  c’est-à-dire de précipiter la chute de ce Système, de mettre  à jour  ses réseaux, ses fromages, de dévoiler ses mensonges et ses trahisons.

    L’utilisation de l’arme absolue, de la désinformation indigne contre les nationaux,   la reductio ad hitlerum,  est donc tentante pour tétaniser, faire trembler dans les chaumières, susciter les réflexes pavloviens, culpabiliser les mauvais Français qui votent mal.

    Fin avril,  l’ex médiocre ministre Roselyne Bachelot,  reconvertie en mauvaise chroniqueuse dans l’émission de divertissement  « Le grand huit », sur la chaîne  D 8, disait toute sa colère au motif que  le magazine Time  avait  classé Marine dans la liste des « 100 personnalités » qui compte.  Et Mme Bachelot d’en tirer «l’analyse» suivante: «On avait connu  Time Magazine plus pertinent mais c’est vrai qu’ils (les rédacteurs de  Time) avaient appelé (sic) Hitler dans les personnalités en 1938 donc…».  Donc chacun appréciera pour le coup  la pertinence de cette comparaison. La piètre Roselyne  gagnerait tout de même à parler  plus souvent avec son frère!

    Dans le même registre insultant, invitée de  l’émission d’Europe 1  Le Grand Rendez-vous le 3 mai, Marine a été harcelée par le  journaliste-procureur Arnaud Leparmentier sur le fait de savoir  si elle irait « à Dachau », «à Auschwitz » pour prouver  qu’elle «était en rupture avec son père ». Quant au maître de cérémonie, Jean-Pierre Elkabbach,  il a aussi accusé Marine : «vous n’avez pas regardé  le film shoah de  Claude Lanzmann et vous n ‘avez pas été à Auschwitz il vous reste encore beaucoup de choses (à faire)».. Et  M.  Elkabach de feindre  ensuite de s’étonner  que la présidente du FN soit indignée  par les sous-entendus  de ses interlocuteurs !

    Le pompon, comme souvent, a été décroché dernièrement haut la main par deux vieux militants antifrontistes qui utilisent le mensonge avec un art consommé, à savoir Serge et Beate Klarsfeld. Invités de l’émission PolitiqueS de Serge Moati jeudi  dernier sur LCP, les deux époux ne sont pas contentés de rabâcher leur vision du  régime de Vichy, qui n’est pas partagée, très loin s’en faut,  par de très nombreux historiens honnêtes et sérieux.

    Une entrée en matière qui a surtout permis à «Serge» de rappeler que tous deux  restaient «très engagés dans le combat contre les Le Pen car Marine Le Pen a une petite chance pour les élections présidentielles mais ce serait une catastrophe pour la France. Aussi il faut absolument que le deux partis qui ont bâti la France après la défaite, après Vichy,  restent en place et soient numéro un et deux aux élections et pas un parti extrémiste, démagogue qui profite de la crise, des  peurs (…) » . Et M. Klarsfeld de préciser encore, sans être contredit par un Serge Moati opinant du chef, bien que connaissant pourtant parfaitement  la famille Le Pen et le Front National, « qu’il ne faut pas croire que le FN va protéger (les Français)  contre le terrorisme musulman.  Il lancera des opérations policières contre les juifs aussi ; beaucoup de de juifs croyaient que Hitler était un barrage contre le bolchevisme et ont a vu la suite … ».

    A ce degré hallucinant de propagande caricaturale, on peut légitimement penser que celle-ci a, quand même,  certainement  l’effet inverse à celui recherché par ses initiateurs. Mais ne dit-on pas que Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre ?  

    http://gollnisch.com/2015/05/20/sectaires-menteurs-et-dingos-laffligeant-spectacle-de-lantifrontisme/

  • Régionales : Les négociations entre l'UMP et l'UDI

    Extrait d'un article de Minute :

    "«L’éternel problème avec les centristes, c’est qu’ils obtiennent beaucoup d’élus avec peu de militants », lâche quelque peu désabusé un cadre de l’UMP. Rappelons que l’UDI (présidée par Jean-Christophe Lagarde depuis le retrait de Jean-Louis Borloo) dispose de 30 députés, 40 sénateurs, 14 présidents de conseils départementaux (à comparer avec le Modem de François Bayrou qui ne dispose plus que de deux députés et trois sénateurs). Les dirigeants de l’UDI revendiquent donc trois présidences de régions: la Bourgogne- Franche-Comté, le Centre-Val-de-Loire et la Normandie.

    En Bourgogne-Franche-Comté, c’est l’ancien ministre libéral François Sauvadet, 62 ans, ancien médecin, député et président du conseil départemental de la Côte d’Or qui revendique la présidence de la future assemblée régionale. Il a trouvé sur son chemin l’ancien ministre UMP de la coopération François Joyandet, 61 ans, actuel sénateur gaulliste de la Haute-Saône où il fut longtemps patron de presse locale. [...] Le « Figaro Magazine » a publié un sondage sans appel: une liste UMP d’Alain Joyandet obtiendrait 23 % au premier tour contre 9 % seulement à une liste centriste menée par François Sauvadet. Autant dire que c’est plié…

    L’ancien ministre de la Défense et actuel député UDI de l’Eure Hervé Morin, 53 ans, brigue lui – assez mollement il faut bien le dire – la présidence de laNormandie réunifiée. Face à lui, un député UMP de Seine-Maritime proche de Nicolas Sarkozy et de Laurent Wauquiez, Françoise Guégot, 52 ans. Cette dernière a obtenu aux forceps l’investiture de son parti contre Bruno Le Maire, qui, en retour, soutient ouvertement Hervé Morin… [...] Sauf accident de dernière minute, c’est pourtant bien Hervé Morin qui devrait être désigné tête de liste[...]

    La région la plus certaine de tomber dans l’escarcelle des centristes est probablement le Centre-Val-de-Loire, aux limites demeurées inchangées. Président du groupe UDI à l’Assemblée nationale et député d’Eure-et-Loir depuis 2007, Philippe Vigier lorgne sur la place. [...] En face de Vigier, on trouve Guillaume Peltier, 38 ans, simple maire de Neung-sur-Beuvron mais ancien secrétaire général du MPF de Philippe de Villiers et ancien vice-président de l’UMP. Peltier a emporté le titre de chef de file de l’UMP sur l’ancien ministre libéral Hervé Novelli. Parmi les poids lourds de la région, seul le maire UMP de Chartres, Jean-Pierre Gorges, s’oppose à la nomination de Philippe Vigier comme tête de file UMP-UDI. [...]

    Pour céder la présidence de la Normandie et du Centre-Val-de-Loire à l’UDI, Nicolas Sarkozy exige que Chantal Jouanno retire sa liste en Ile-de-France. [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les Gavroches devant l'Education Nationale

    Alban Gerard, fondateur des Gavroches,  signe une tribune dans Le Figarovox.

    Michel Janva

  • Le PS lancera une enquête parlementaire sur le financement du FN… juste avant les régionales !

    Le PS a décidé de lancer une enquête parlementaire sur le financement du FN à l’automne prochain. Aussi désinhibé que ses ministres socialistes en Dior et Louboutin déambulant crânement sur le tapis rouge de Cannes le week-end dernier, le Parti socialiste affiche clairement son objectif : « Marquer négativement l’entrée en précampagne présidentielle de Marine Le Pen », selon les confidences accordées à Europe 1 par des responsables dudit parti.

    On avait connu monsieur Jourdain faisant de la prose sans le savoir, on s’aperçoit qu’un mouvement politique aux manettes du pouvoir peut sciemment détourner les institutions dans le but de nuire à un rival politique !

    Il est impossible de se soustraire à une commission d’enquête parlementaire et les représentants frontistes auront donc l’obligation de se livrer à des auditions publiques en pleine campagne électorale. Voilà qui devrait assurer l’animation sous forme de feuilletons à répétition durant toute la campagne des régionales. Car, soucieux d’y voir plus clair sur le financement de son principal concurrent, le Parti socialiste met sa patience à « rude épreuve » en attendant l’automne pour lancer la procédure… Curieux mais à bon escient.

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  • PS : mieux vaut un député véreux qu'un député FN

    Le PS avait appelé à la démission de Thévenoud. Ce n'est pas le cas pour Sylvie Andrieux, poursuivie pour détournements de fonds publics, condamnée à de la prison ferme et actuellement en procédure d'appel. Un reportage montre que le PS ne souhaite pas la démission de Sylvie Andrieux... pour ne pas avoir une législative partielle qui entrainerait une victoire du FN.

    Michel Janva