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magouille et compagnie - Page 1960

  • Nouveau scandale du sang contaminé en perspective

    Alors que 43% du nombre total de découvertes de séropositivité en France concernent les LGBT, on apprend que le gouvernement souhaite qu'ils puissent donner leur sang.

    En 2012, derniers chiffres connus, chez les personnes homosexuelles pratiquantes, le nombre de découvertes de séropositivité VIH avait augmenté de 14% par rapport à l’année précédente. Cela représente 43% du nombre total de découvertes de séropositivité en France.

    Au premier jour de l'examen du projet de loi santé en commission des affaires sociales, à l'Assemblée, mardi 17 mars, le ministre de la santé Marisol Touraine a annoncé que le questionnaire préalable au don du sang serait modifié. Celui-ci exclut aujourd'hui les personnes homosexuelles de sexe masculin, en raison de la forte prévalence du VIH parmi cette population.

    Pour les autorités sanitaires, l'exclusion du don du sang des personnes homosexuelles est une mesure de précaution. Le nombre de personnes contaminées par le VIH est 65 fois plus élevé parmi les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres homme. Le nombre de nouvelles infections enregistrées chaque année dans cette population est 200 fois plus élevé. 

    Mais le gouvernement n'a que faire du principe de réalité. Son idéologie criminelle l'aveugle.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • UK : des policiers accusés d’avoir couvert un réseau pédophile impliquant des politiques

    La police des polices britannique a annoncé aujourd’hui avoir ouvert une enquête à la suite de plaintes accusant des policiers d’avoir couvert les agissements d’unréseau de pédophiles impliquant des responsables politiques et des institutions publiques dans les années 1970-2000.

    Ces fonctionnaires sont soupçonnés d’avoir « supprimé des preuves, (…) ralenti ou interrompu des investigations (et) couvert des délits du fait de l’implication de membres du parlement ou d’officiers de police », écrit la commission indépendante sur les plaintes à l’encontre de la police (IPCC) sur son site internet. « Ce sont des accusations des plus graves », a jugé l’IPCC, qui compte étudier 14 plaintes.

    Une enquête de la police est par ailleurs en cours sur les abus d’enfants qui auraient été commis au cours de ces années.
    En décembre, une victime présumée, identifiée sous le nom de Nick, avait raconté aux enquêteurs comment lui et plusieurs autres garçons étaient conduits à différentes adresses de Londres et de la périphérie de la capitale britannique, y compris sur des bases militaires, où ils étaient abusés sexuellement par des groupes d’hommes.

     

    Il avait aussi accusé des députés et d’autres personnalités de premier plan d’être liées au meurtre de trois enfants, âgés entre 7 et 16 ans. L’été dernier, des révélations de presse confirmées par les ministères concernés avaient montré que 114 dossiers relatifs à des accusations de sévices sexuels infligés à des enfants entre 1979 et 1999 avaient disparu. Un de ces dossiers portait, selon la presse, sur l’implication de députés et d’autres personnalités politiques.

    Le premier ministre britannique David Cameron avait promis en juillet « de faire toute la lumière » et d' »explorer toutes les pistes pour découvrir la vérité sur ce qui s’est passé ».

    Source

    http://www.contre-info.com/uk-des-policiers-accuses-davoir-couvert-un-reseau-pedophiles-impliquant-des-politiques

  • La liberté de la presse en très grand danger

    Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice, projette de toucher à ce que la République a de plus sacré : la liberté de la presse. On ne sait même pas si François Hollande et Manuel Valls en ont pris conscience. C’est maintenant qu’il faut se mobiliser. Après, ce sera trop tard.
    L’effarement. L’incrédulité. La sidération. Comme le 11 septembre 2001 lorsque s’effondraient les tours jumelles. Comme ce 7 janvier à l’annonce de la tuerie de Charlie Hebdo. Mais cette fois devant un simple communiqué, qui aurait dû être de démission si elle avait eu un peu d’honneur et quelques remords. Ce communiqué est celui que Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice, a publié le 16 janvier. Un communiqué qui est une véritable déclaration de guerre… à la liberté de la presse !
    La veille, Christiane Taubira était allée rencontrer « les 167 référents antiterrorisme des Parquets », soit les 167 magistrats du Parquet référents sur le sujet et ceux de la section antiterroriste du Parquet de Paris. Pour les encourager. Pour leur dire que leur tâche est lourde mais qu’ils disposent de tous les moyens suffisants. « Nous n’avons pas besoin d’une grande loi antiterroristes, notre dispositif législatif est bien musclé, bien armé. » Qu’importe que Valls lui-même ait dit le contraire. Pour leur dire aussi que la noblesse de leur tâche est d’« apporter des réponses fermes et efficaces tout en garantissant les libertés publiques ». Et elle leur a présenté ses préparatifs… de l’assassinat de celle-ci. Et les magistrats n’ont rien dit. Ils ne se sont pas levés. Ils ne l’ont pas conspuée. Ils ne se sont pas révoltés.
    Un projet proprement liberticide
    Dans son communiqué, qui rapporte le projet qu’elle a présenté aux magistrats, Christiane Taubira annonce que l’urgence, c’est de lutter… contre le racisme ! Contre l’antisémitisme. Et contre… l’homophobie ! Le tout avec des mesures d’exception ! Christiane Taubira propose tout bonnement de rompre avec un principe fondamental du droit français : la primauté donnée (théoriquement) en toute occasion à la liberté d’expression !
    Le ministre de la Justice promet ainsi une nouvelle loi qui sortirait « les injures et diffamations du droit de la presse – loi 29 juillet 1881 – pour les introduire dans le Code pénal lorsqu’elles sont aggravées par une circonstance liée au racisme, à l’antisémitisme, à l’homophobie. Ainsi, les infractions de ce type pourront être poursuivies selon la procédure de droit commun ». Elle ose ajouter : « La réponse pénale gagnera ainsi en efficacité. » Si on interdisait tous les journaux autres que le Journal officiel de la République française, aussi…
    Ce projet, qui n’est pas immédiatement compréhensible des Français ni même de la majorité des journalistes, mérite quelques explications. Il est proprement liberticide. Le droit de la presse, fixé par la loi du 29 juillet 1881 et régulièrement augmenté et modifié (mais, à une exception près, toujours dans le cadre de celle-ci), pose comme principal fondamental la liberté d’expression. Ce n’est par exception à celle-ci que sont réprimées l’injure, ou la diffamation, ou l’atteinte à la vie privée, qualifications qui répondent à des critères très stricts comme sont très précises les règles de procédure.
    Le pouvoir de censure confié à l’administration
    Concrètement, par exemple, la détention préventive ne peut pas être pratiquée. De même la procédure de comparution immédiate n’existe-t-elle pas. Les délais de prescription sont particuliers (ils ont d’ailleurs déjà été portés à un an, au lieu des trois mois habituels, pour les délits aggravés de racisme). Toutes ces dispositions et bien d’autres ont été prises dans l’esprit de l’article premier de la loi de 1881 : « L’imprimerie et la librairie sont libres. » Encore une fois, toutes les dispositions de la loi sur la presse ne sont que des exceptions à cette règle.
    Si le projet de Christiane Taubira venait à se concrétiser, c’est-à-dire si, comme elle le propose, les injures et diffamations « aggravées par une circonstance liée au racisme, à l’antisémitisme, à l’homophobie » étaient sorties du droit de la presse et intégrées dans le Code pénal, ce sont toutes les dispositions du Code pénal et du Code de procédure pénale qui s’appliqueraient. Y compris l’incarcération à des fins « préventives ». Y compris le jugement en procédure accélérée, dont on sait combien elle est soumise à l’émotion et aux desiderata politiques. Y compris l’incarcération tout court qui, à une exception près là encore, n’a jamais été pratiquée en matière de presse.
    Christiane Taubira voudrait encore « confier à l’autorité administrative la possibilité de bloquer les sites et messages de haine raciste ou antisémite » ! « L’autorité administrative » pourrait donc, à la place de la justice, décider de ce qui est « raciste » et de ce qui ne l’est pas et, d’un simple clic, supprimer tel ou tel site dont elle aurait décrété qu’il est « raciste » ! Celui de Minute pour commencer, puis ceux de Valeurs actuelles, du Figaro ou du Point, avant que de faire taire ceux du Front national ou de l’U.M.P. ? Puis les autres…
    Les projets de Christiane Taubira sont tout bonnement monstrueux. Ce sont ceux d’une dictature qui s’installe. La loi de 1881 est considérée, à juste titre, comme le texte juridique fondateur de la liberté de la presse en France. Va-t-on la laisser assassiner ?

    Jean-Marie Molitor est directeur de Minute

     

    Article d’abord mis en ligne sur Minute, le 22 janvier 2015.

    Europe Maxima :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EukyVEVkkAKzArPZxG.shtml

  • Changement de nom de l'UMP : les Français ne se contenteront pas d’un emballage

    Le député Jean-Christophe Fromantin est interrogé sur Atlantico. Extrait :

    "A propos de la nouvelle formation qu'il souhaite créer, dont le nom "Les Républicains" a été évoqué, Nicolas Sarkozy aurait précisé : "Ce sera une formation beaucoup plus large, plus rassembleuse, plus dynamique, ouverte à tous ceux qui voudraient préparer l'alternance, et notamment au centre". Comment appréhendez-vous cette ouverture sur le plan des idées ? 

    Pour faire quoi ? L’alternance est une chose ; le redressement de la France en est une autre. C’est la question du projet qui se pose aujourd’hui pas celle d’un nom. Les Français ne se contenteront pas d’un emballage, d’un nouveau nom, de quelques slogans, ni d’un cadeau-surprise …"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Christiane Taubira et l’ennemi imaginaire – Par Ulysse

    Dans une tribune publiée dimanche 15 mars, Christiane Taubira, Garde des Sceaux, dans l’inimitable style René-Char-Discount qu’on lui connaît, se propose, (contrevenant ainsi à toutes les exigences de sa fonction d’État), de conspuer le FN. Sans toutefois oser le nommer directement, elle n’hésite pas à l’intégrer dans une généalogie historico-politique fantaisiste, celle dit-elle des « ennemis intimes de la République, de la démocratie, de la laïcité….  » ; bref vous l’aurez compris, les ennemis du camp du Bien. La publication de ce texte fait suite à l’intervention tragi-comique d’un Manuel Valls halluciné, se vantant à l’Assemblée nationale de« stigmatiser » le Front national et de lui réserver un traitement de paria, bref d’établir une discrimination d’État au nom même de l’exigence de non-discrimination…

    Nos champions de la République, conjuguant de manière inédite bêtise et indécence, ont donc décidé de faire du FN le bouc-émissaire de leur propre incompétence et, de ses électeurs, des sous-hommes, seulement gouvernés par leurs émotions, proies faciles d’être machiavéliques et sournois, à peine capables de porter un jugement rationnel sur l’état de la France, ses problèmes et les remèdes qu’on pourrait lui apporter.

     

    « Bêtise » d’abord, parce qu’ils n’ont toujours pas compris (!) que l’acharnement obsessionnel qu’ils mettent à conspuer ce parti amplifie son rayonnement et ne fait qu’accroître son potentiel d’adhésion. Jusqu’à la caricature, la criminalisation morale du FN (et de facto de ses électeurs) ne peut in fine qu’avérer un peu plus s’il était nécessaire qu’il est bien le centre politique réel du pays et donc, par ses thèmes et sa démarche, le dernier recours d’une nation proche du chaos intégral. « Bêtise » toujours, parce que la manière même dont Christiane Taubira dresse dans sa tribune la généalogie fantasmatique d’une sorte d’anti-patriotisme invisible, qui, malveillant, gouverne des cœurs pervertis, et traversant tous les âges comme un spectre, constitue une figure essentialisée du « mal » à combattre (qui « dévoie », qui« souille », qui rallie les « égarés » -je cite-), procède toute entière de la rhétorique qu’elle prête à ses adversaires. En fait, il suffirait de placer le mot « juif », « arabe », ou bien encore « noir » dans ce texte, pour qu’il ressemble trait pour trait à un brûlot antisémite et raciste. Voulant condamner la supposée « peur de l’autre » (T.M) que nourrirait le FN, mais traitant le FN comme s’il était l’excroissance diabolique de la déraison dans l’histoire, ce texte fait du FN un Autre absolu dont il faut avoir peur… Il use donc des artifices dialectiques et du mode argumentatif essentialiste de ceux que la Gauche prétend combattre et qui, avouons-le une bonne fois, n’existent pas. Ou plutôt si. Comme il a souvent été dit, (mais il est toujours opportun de le rappeler) : ceux qui traînent en bandes, ont le crâne rasé, s’appellent « mon frère », jurent par le sang, la race, Dieu, et agressent à dix contre un des innocents, nous savons bien qu’ils existent. Mais ils ne sont pas au FN et d’ailleurs ils ne votent pas. Où sont donc ces « basses eaux de la haine » (lol) dont nous entretient le Garde des Sceaux ? Elles se rencontrent dans les enclaves séparatistes qui fragmentent désormais le territoire français et auxquelles l’on s’apprête de nouveau à donner quelques milliards d’euros pour acheter un semblant de paix civile.

    « Bêtise » quasi-indicible de ce texte, c’est certain, mais « indécence » surtout, parce que le soin méticuleux avec lequel Christiane Taubira a promu une politique pénale d’un laxisme affolant, (ayant conduit et conduisant toujours à la libération de criminels avérés, non-repentis), aurait déjà dû l’amener cent fois à la démission. Mais n’espérez rien vous autres « égarés » ! Il faut encore qu’entre deux interviews où elle larmoie ses états d’âme d’adolescente bipolaire et pleure la Guyane éternelle, elle se permette en pleine période électorale d’abuser de l’autorité que lui confère sa fonction pour avertir qu’une « apocalypse » est en cours.

    Oui, vous avez bien lu : une « apocalypse » (c’est le premier substantif de sa tribune…).  Tout simplement. Ne nous attardons pas à moquer ce retour du refoulé républicain qui conduit immanquablement nos fonctionnaires du déclin à utiliser le lexique eschatologique dès qu’ils se sentent mis en danger. Contentons-nous d’entendre le terme dans sa nudité étymologique. Oui Christiane, vous avez raison, « révélation » il y aura aux élections. Dévoilement. Advenue. Pas du Christ, malheureusement, (encore que nul ne puisse pénétrer les desseins de la Providence), mais révélation tout de même : de votre incompétence, personnelle, de la colère et de l’exaspération fondées en raison de millions d’électeurs,  de la connivence obscène du PS et de l’UMP, ces frères-siamois idéologiques qui ne manquent jamais de se soutenir lorsqu’ils pressentent leurs prébendes menacées, de votre incapacité enfin, et c’est là l’essentiel, à apporter des réponses sérieuses aux menaces sans précédent que notre pays a à affronter, à savoir : la guerre mondiale que l’islam littéraliste a engagé contre le Christianisme et l’Occident libertaire, et cette même idéologie libérale-libertaire qui pourrit, de l’intérieur, le sens de l’enracinement historique des peuples d’Europe. « Révélation » il y aura Christiane. De votre lâcheté devant les périls bien réels que vous refusez constamment de nommer ou dont vous falsifiez à dessein les appellations : « menace terroriste », pour islam littéraliste,  « apartheid et relégation », pour enclaves mafieuses néo-coloniales, « radicalisation » pour endoctrinement, « fascisme » pour patriotisme de bon sens etc.

    Au fond, le FN, que par mépris souverain vous refuser de nommer alors même que vous voudriez tisser son linceul, c’est votre ennemi imaginaire, votre adversaire de substitution, celui qui polarise toutes vos craintes et colères tandis que vous ne cessez de favoriser les conditions d’émergence d’ennemis qui, eux, bien réels, se frottent les mains de vous voir ainsi vous débattre avec un fantôme. Vous êtes le lieutenant Drogo d’un Désert des Tartares sous neuroleptiques ; un officier qui attendrait un ennemi qui ne viendrait jamais tandis que ses hommes se feraient décimer sous ses yeux par un autre adversaire…

    Que vous ayez une minute à perdre pour rédiger ce texte indigeste à l’heure où Ahmed, (huit ans au compteur), déclare qu’il faut « buter les français », où des« toulousains » d’à peine douze ans sont en train d’égorger des hommes au Moyen-Orient, où, en l’attente de leur procès l’on remet en liberté des djihadistes convaincus (des « savoyards » paraît-il bien « réinsérés »), où l’État islamique menace de submerger l’Europe et la France de populations fanatisées via les côtes libyennes et où prédations, vols, crimes et viols quotidiens font peser sur les français le poids d’une terreur insoutenable, que vous ayez ne serait-ce qu’une seconde à perdre pour rédiger cette tribune d’où ne ressort finalement que vos propres peurs, c’est bien la preuve irréfragable de votre incompétence . Vous autorisant d’Apollinaire qui n’en demandait pas tant, vous vous exclamez qu’il est « grand temps de rallumer les étoiles ». Quelle ironie pour un facteur de dés-astre d’invoquer ainsi le Ciel des fixes et pour quelqu’un qui n’a jamais brillé de déplorer la venue des ombres…

    - Christiane.
    - Ne visez pas si haut.
    - Ne regardez pas si loin.

    - Les étoiles n’y peuvent rien, et la nôtre, le soleil, ignore, créature bienheureuse, votre existence. Là, tout près de vous, il y a une peine que vous pouvez aisément soulager. Une souffrance intense, profonde, puissante. Celle de ces millions de français que vos indignations sélectives, votre guyano-centrisme forcené et vos déclarations « mysticréoles » ne sont pas loin de rendre fous furieux.

    - Christiane. Ne visez pas si haut, ne regardez pas si loin et laissez l’Apocalypse à Dieu. Contentez-vous de remettre au plus tôt votre démission. Nous compatissons : rien n’est plus épuisant que de lutter contre un ennemi qui n’existe pas. C’est à peu près comme essayer de discerner une matrice familiale dans une relation entre deux hommes. C’est impossible.

    Christiane. Il est grand temps, pour nous, de nous reposer, de vous.

    Ulysse

    http://fr.novopress.info/183996/christiane-taubira-lennemi-imaginaire-ulysse/#more-183996

  • Le PS torsionne un peu plus la laïcité en voulant développer les écoles musulmanes privées

    5 semaines après avoir participé à un groupe de travail sur la “cohésion républicaine”, certains signataires du parti socialiste s’en désolidarisent. La cause est la dernière phrase du rapport qui en est ressorti : “Il faut développer les établissements scolaires privés sous contrat”. En l’occurrence musulmanes, pour que les choses soient claires.

    Cette réflexion de groupe qui était venue en réaction des attentats islamistes de janvier à Paris est pour le moins troublante par cette phrase de conclusion. Des participants (Emmanuel Maurel, Sandrine Mazetier, François Kalfon) prétendent cependant ne pas en avoir eu connaissance. Soit ! Après la loi Macron passée au 49.3, une nouvelle fronde apparait contre ce gouvernement qui a de moins en moins la côte y compris auprès de sa propre majorité.

    Bernard Cazeneuve, lui, ne s’en départit pas puisqu’il a repris lors du conseil des ministres du 25 février des propositions du texte, notamment sur les écoles privées :

    “Le gouvernement veillera à ce que l’enseignement privé confessionnel musulman puisse se développer dans le respect des principes républicains. Des instructions seront adressées aux préfets et aux recteurs afin qu’ils fassent pleinement usage de leurs prérogatives de contrôle”.

    Ces forcenés laïcards, voire ces forçats de la laïcité ont subitement décidé d’abandonner leur combat principal : la laïcité.
    À l’approche des cantonales, le sujet se fait discret et ne sera clarifié qu’après, aveu de son impopularité prévisible.

    “En renonçant à défendre l’école publique le parti socialiste trahit la République.” C’est en ces termes forts que le Parti radical de gauche (PRG) de Jean-Michel Baylet a combattu les propositions du PS sur la laïcité.
    “Ces propositions sont indignes de la tradition socialiste d’émancipation vis-à-vis des religions et sont une insulte à la mémoire d’Alain Savary qui a combattu avec force pour unifier l’enseignement secondaire”, dénoncent-ils encore, dans un communiqué publié lundi 11 mars 2015. Les radicaux de gauche demandent à Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, de “rapidement clarifier la position du PS en matière de laïcité”.
    “Quand nous avons lu le document, nous avons pensé que c’était une contribution d’un courant socialiste. Nous avons été estomaqués de lire que le PS encourageait les écoles confessionnelles et les lieux de culte”, a expliqué Pascal-Eric Lalmy, secrétaire national à la laïcité au PRG.

    http://fr.novopress.info/

  • Amalgame judiciaire en terre picarde : Communiqué de Serge Ayoub

    L’arrestation de 16 personnes lundi dernier en Picardie a été le prétexte, pour un pouvoir lancé dans son incongrue croisade contre « l’extrême-droite », de tenter de salir une nouvelle fois un mouvement, la Troisième Voie, dont la dissolution en juillet 2013 reste, à mes yeux ainsi qu’à ceux des juristes compétents, parfaitement injustifiée.

    Le site du journal Le Monde a ainsi pu écrire que les dissolutions de Troisième voie et des Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires avaient été, "ordonnées après l'émotion suscitée par la mort du militant d'extrême gauche Clément Méric, le 5 juin 2013, avaient été prises sur décrets au motif que Troisième voie et les JNR constituaient des "milices privées" et "provoquaient à la haine, à la discrimination et à la violence" selon le Conseil d'Etat".

    En tant qu’ancien responsable de ces deux mouvements, il est de mon devoir de rappeler que la carte de presse n’excuse ni la paresse ni la malhonnêteté, et que le Conseil d’État n’a pas retenu dans son jugement du 30 juillet 2014 la provocation à la haine, à la discrimination et à la violence :

    Les journalistes auraient également pu rappeler, plutôt que les origines picardes d’Esteban Morillo qui n’a strictement rien à voir avec cette affaire, que ce même Conseil d’État a invalidé la dissolution de l’association Envie de Rêver qui gérait le Local, et le camouflet pour le gouvernement actuel que constitue cette invalidation. Comme le Courrier Picard évoque perfidement une éventuelle fréquentation du Local (ouvert au public) par certaines personnes mises en examen, il aurait pu rappeler que la fermeture de ce Local restera pour toujours un abus de pouvoir caractérisé et une infraction injustifiable, de la part d’un gouvernement de gauche, au principe républicain de liberté d’association.

    Par ailleurs, je m’étonne de la « reconstitution de groupe de combat », et me permets de renvoyer à l’interview du procureur d’Amiens, très hésitant lorsqu’on lui demande de justifier ce curieux chef d’inculpation : vidéo 

    De l’aveu même du procureur, les faits reprochés aux inculpés n’avaient pas pour but de financer « leur activité d’extrême-droite », mais simplement d’en vivre comme n’importe quel délinquant. Le seul élément permettant d’étayer une soi-disant activité n’est donc rien d’autre que le fait d’avoir « une idéologie » et une appartenance passé à un mouvement.

    Il est donc permis de soupçonner ici que « le délit de reconstitution de ligue dissoute ou de groupe de combat » ne serve ici qu’à dissimuler un délit d’opinion pur et simple dont l’objectif est d’apporter du grain à moudre au moulin de la croisade contre « l’extrême droite », croisade dont le pouvoir semble avoir fait le moteur de sa fuite en avant électorale.

    Pour les patriotes et les authentiques républicains soucieux du droit et de la justice, cet amalgame de mauvais aloi entre de banales affaires de délinquance et un militantisme politique contestataire, est un argument de plus pour l’abrogation de la loi de 1936.

    http://solidarisme.fr/17193-amalgame-judiciaire-en-terre-picarde-par-serge-ayoub/

  • Jospin : « L’anti-fascisme n’était que du théâtre » (rediff)

    Pour les nouveaux (ou jeunes) lecteurs. Cette vidéo est l’une des victoires symboliques du travail de Fdesouche. Publiée plusieurs mois après une interview passée inaperçue (ou volontairement enterrée), cette déclaration de Jospin remontera jusqu’aux plateaux télévisés. Elle demeure encore aujourd’hui une référence souvent citée.

    Je crois profondément que les nations existent, existent encore. Je suis profondément attaché à l’identité nationale. L’identité nationale, c’est notre bien commun, c’est une langue, c’est une histoire, c’est une mémoire, c’est une culture, c’est-à-dire une littérature, des arts, une philosophie. C’est aussi un art de vivre.

    Emission Répliques – France-Culture du 29 septembre 2007 (et non du 27)

    Texte de l’extrait :

    « Pendant toutes les années du mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste, donc tout antifascisme n’était que du théâtre. Nous avons été face à un parti, le Front National, qui était un parti d’extrême droite, un parti populiste aussi, à sa façon, mais nous n’avons jamais été dans une situation de menace fasciste, et même pas face à un parti fasciste.

    D’abord le procès en fascisme à l’égard de Nicolas Sarkozy est à la fois absurde et scandaleux.

    Je suis profondément attaché à l’identité nationale et je crois même ressentir et savoir ce qu’elle est, en tout cas pour moi.

    L’identité nationale, c’est notre bien commun, c’est une langue, c’est une histoire, c’est une mémoire, ce qui n’est pas exactement la même chose, c’est une culture, c’est-à-dire une littérature, des arts, une’ la philo’les philosophies. Et puis c’est une organisation politique avec ses principes et ses lois. Quand on vit en France, j’ajouterai : l’identité nationale, c’est aussi un art de vivre, peut-être, que cette identité nationale.

    Je crois profondément que les nations existent, existent encore, et en France, ce qui est frappant, c’est que nous sommes à la fois attachés à la multiplicité des expressions qui font notre nation, et à la singularité de notre propre nation.

    Et donc ce que je me dis, c’est que s’il y a aujourd’hui une crise de l’identité, crise de l’identité à travers notamment des institutions qui l’exprimaient, la représentaient [Jospin emploie l'imparfait…], c’est peut-être parce qu’il y a une crise de la tradition, une crise de la transmission. Il faut que nous rappelions les éléments essentiels de notre identité nationale parce que si nous doutons de notre identité nationale, nous aurons évidemment beaucoup plus de mal à intégrer. »

    http://www.fdesouche.com/295-jospin-sur-les-socialistes-%C2%AB-l%E2%80%99antifascime-n%E2%80%99etait-que-du-theatre-%C2%BB

  • Le courage de Marion (Présent 8313)

    Courageuse Marion Maréchal-Le Pen, plus jeune députée de France, qui s’est mesurée frontalement au chef du gouvernement trépignant de rage, devant toute l’Assemblée nationale saisie par la scène (enregistrement vidéo ci-dessous et des copies d’écran en Une).

    Le courage de Marion (Présent 8313)« A mesure que la date des élections départementales approche, vos prises de parole obsessionnelles et celles de vos amis du PS se font de plus en plus injurieuses à l’égard des électeurs du Front national et de leurs candidats », a-t-elle commencé. « Quelle image de votre fonction pensez-vous donner, vous qui êtes censé être le Premier ministre de tous les Français et qui allez soutenir les candidats PS aux frais de la princesse ? (…) Vous qui étalez votre angoisse de perdre votre mandat alors que vous devriez vous soucier de l’angoisse de nos agriculteurs, de nos artisans, commerçants, retraités, de l’angoisse de nos cinq millions de chômeurs, gardez donc votre mépris crétin ! »

    Puis Marion Maréchal-Le Pen s’en est pris aux différents glorieux représentants du Parti socialiste « qui en trois ans a oscillé entre phobie administrative et faux diplômes »« Sans doute Cambadélis a-t-il trouvé le sien au fond de sa poubelle», a-t-elle asséné.

    Avant la fin de l’envoi qui touche : « Quand comptez-vous vous occuper du sort des Français plutôt que de votre parti qui je l’espère se fracassera sur les urnes à la fin du mois ? »

    Rouge et tremblant, devant ses ministres inquiets et livides, le petit monarque de Matignon est apparu au bord du spasme du sanglot qui caractérise les enfants colériques et peut même les faire entrer en syncope :
    « Si en deux minutes il fallait résumer l’outrance, la démagogie et le vrai visage de l’extrême droite, vous venez de le démontrer parfaitement. (C’est juste, quel abominable visage !)
    « Vous trompez les petites gens, vous trompez les ouvriers, vous trompez les agriculteurs, vous trompez ceux qui souffrent alors il est temps que dans ce pays il y ait un débat, qu’on déchire le voile, la mascarade qui est la vôtre. »

    Merci pour les petites gens ! Décidément le Grand d’Espagne a un problème avec ça comme Hollande avec les sans-dents. C’est leur vraie nature qui parle là.

     

    Avant de conclure sur cette promesse : « Madame, jusqu’au bout je mènerai campagne pour vous stigmatiser et dire que vous n’êtes ni la République ni la France. »

    Campagne de haine sectaire qui s’avère complètement contre-productive. Le même Manuel Valls qui explique au philosophe Onfray comment il doit penser, fait chaque jour un peu plus du Front national la seule alternative attractive.

    Caroline Parmentier

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  • Valls ou le degré zéro de la pensée

    Monsieur Valls se saisit de la philosophie. Il le fait à sa manière, limitée et expéditive, comme aurait dit le Général. Celle dont il a usé face aux frondeurs (qui ne méritaient par ailleurs pas tant d’honneur). Celle dont il abuse pour supprimer des débats qui le dérangent. Monsieur Valls a donc décidé d’attaquer Michel Onfray. Que lui reproche-t-il ? Le mieux est ici de laisser la parole à la victime[1].

    « Valls quant à lui n’a pas même pris le temps de lire l’entretien du Point à partir duquel il extravague. Qu’y ai-je dit? La question était la suivante: «Quels sont les intellectuels de droite dont vous vous sentez le plus proche?». Voici ce que j’ai répondu: «Je ne me sens pas proche de BHL ou d’Alain Minc, ni de Jacques Attali qui, me dit-on, sont de gauche. Faudrait-il que je me sente proche pour cela d’intellectuels de droite? Qui sont-ils d’ailleurs? Concluez si vous voulez que je préfère une analyse juste d’Alain de Benoist à une analyse injuste de Minc, Attali ou BHL et que je préférais une analyse qui me paraisse juste de BHL à une analyse que je trouverais injuste d’Alain de Benoist … Les Papous vont hurler! Mais ils ne me feront pas dire que je préfère une analyse injuste de BHL sous prétexte qu’il dit qu’il est de gauche et que Pierre Bergé, Libération, Le Monde et le Nouvel Observateur, pardon, L’Obs affirment aussi qu’il le serait…». Les papous ont donc hurlé, jusqu’à Matignon. »

    D’une certaine manière, on pourrait en rester là et laisser le Premier Ministre à sa honte. Mais, ce n’est pas la première fois qu’un membre éminent du P« S» se comporte ainsi. Il y a plus d’un an, c’était Pierre Moscovici qui s’était répandu en bavant à mon propos. Il y a du système dans la méthode. Et cette méthode, elle se dévoile chaque jour un peu plus dans la posture prise par le Premier Ministre qui se veut un apparent rempart face à l’extrême-droite. Des doutes ont été exprimés sur cette stratégie, mais je le rassure tout de suite : oui, il elle est efficace, mais comme fourrier !

    De la confusion des genres.

    En fait Manuel Valls reproche à Michel Onfray de faite son travail d’intellectuel, qui implique rigueur et honnêteté, deux mots qui ne figurent pas au vocabulaire de Béachel, ni de certains autres. Il l’accuse de perdre ses repères. Venant d’un homme qui a systématiquement brouillé les siens, qui déclare qu’il « aime l’entreprise », sans préciser laquelle, ni même établir de différence entre les entrepreneurs et l’entreprise, qui étale ainsi au grand jour ses insuffisances cognitives mais pas sa suffisance discursive, il y aurait de quoi rire.

    Mais, nous vivons une période de confusion des genres. Un candidat à la Présidence de la République peut ainsi dire en public que son « ennemi c’est la finance » et, une fois élu, renoncer à toute mesure qui limiterait le pouvoir cet ennemi, nommer ministres des hommes inféodés à cet ennemi, et en un mot faire le contraire de ce qu’il avait dit. L’exemple vient donc de haut. Alors, bien entendu, dans un monde où un ministre de « gauche » peut se permettre de révoquer des mesures clés de protection sociale, où un Premier-Ministre peut décider de faire passer cette loi aux forceps (l’article 49, alinéa 3), on peut estimer qu’il n’y a plus de repères. Ou bien, plus précisément, que ce gouvernement et ce Premier Ministre, sont les premiers responsables de cette « perte de repères ». Car, les désastres électoraux se préparent et, quoi qu’on en dise, les électeurs ne sont pas stupides. S’ils se détournent des soi-disant « socialistes », qui ont tout fait pour cela, sans aller dans les bras d’une droite dont ils ont expérimenté les mauvaises recettes, ce n’est pas sans raison.

    Le seul point sur lequel je serai en désaccord avec Michel Onfray, c’est quand il compare le microcosme politicien et médiatique aux Papous. C’est très injuste pour ces derniers. La consternante jobardise de politiciens aux abois, la prétention renversante des serviteurs des médias, tout ceci ne serait pas de mise dans les forêts de la Nouvelle-Guinée.

    Il y a quelque chose de pourri au Royaume du Danemark[2]

    Il n’en reste pas moins que toute cette affaire est révélatrice à la fois d’un climat et de pratiques délétères. Pourquoi un politique intime-t-il à un intellectuel de parler ou de se taire ? De quel droit ce politique se permet-il de juger en des termes aussi lapidaires du travail d’un intellectuel ? J’entends bien l’objection que l’on fera : l’intellectuel ne travaille pas dans sa tour d’ivoire ; ses positions influent sur le débat politique et justifient cette interpellation. Ceci est juste mais ne serait ici pertinent que si Michel Onfray se fût lui-même positionné sur ce terrain politique. Ce n’est pas le cas. Alors, on peut approuver ou non ses positions, et de toutes les manières ses positions sont et seront l’objet de débats. Encore faut-il pour cela répondre au niveau où il se place, celui des idées. Ce n’est pas ce qu’a fait Manuel Valls, qui s’est situé délibérément sur le terrain de l’interpretation politique la plus instrumentale et qui a, sciemment, déformé la pensée de Michel Onfray.

    Mais ceci est, en lui-même, révélateur d’une conception du débat, ou plus précisément du non-débat, qui caractérise une large partie de l’élite politique française. On cherche à impressionner plus qu’à convaincre, à terroriser plus qu’à échanger des arguments. L’heure n’est plus à la discussion sur des positions rationnelles, mais à l’échange d’anathèmes et d’invectives. Ceci en dit long sur le processus de décomposition de la pensée qui produit un Manuel Valls tout comme il avait produit avant lui un Béhachel. Quand ceux qui vous inspirent vont chercher leurs sources dans les poubelles d’Internet, comme on l’a vu avec l’affaire Botul[3], il ne faut plus s’étonner que l’on raconte n’importe quoi, et pas seulement sur les débats d’idées.

    Le traitement de Michel Onfray par Manuel Valls est enfin révélateur du peu de cas que l’on fait actuellement en France de la réflexion. Je le répète, on peut parfaitement discuter des thèses d’Onfray, comme celles d’autres auteurs. Mais l’attaquer sur ses références est d’une stupidité insondable. A ce titre, nous ne lirions plus grand-chose, et en particulier nous devrions brûler des auteurs comme Carl Schmidt et bien d’autres. Que l’on puisse se construire contre un auteur implique que l’on intègre aussi une partie de sa pensée. On ne se construit contre qu’en se construisant avec. Et c’est pour cela qu’il faut lire des auteurs que l’on peut considérer comme réactionnaire, et que dire que l’on peut trouver des idées intéressantes ne vaut nullement approbation de la totalité du discours et de la démarche. Mais, je sais aussi qu’écrire cela ne sert à rien. Les gens comme Valls et Moscovici, et les petits marquis frisés qui les entourent, se moquent bien du processus de construction d’un raisonnement et d’une pensée. Ils se situent bien en deçà. On a beaucoup glosé sur l’expression « pensée unique » mais en l’espèce cette expression a un énorme défaut : dans « pensée unique » il y a encore « pensée ». Visiblement, pour Manuel Valls, c’est encore trop.

    Jacques Sapir

    [1] « Nouvelle droite, BHL, FN : la réponse de Michel Onfray à Manuel Valls » in FigaroVox, le 8 mars 2015, http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/03/08/31001-20150308ARTFIG00094-la-reponse-de-michel-onfray-a-manuel-valls.php#

    [2] “Something is rotten in the State of Denmark“, W. Shakespeare, Hamlet, Marcellius, acte I, scène 4

    [3] Lancelin A., « BHL en flagrant délire : l’affaire Botul », le Nouvel Observateur, 21 février 2010, http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20100208.BIB4886/bhl-en-flagrant-delire-l-039-affaire-botul.html

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    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EukypFuFuyYAnXKAtw.shtml