Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 2265

  • Convergence libérale-libertaire : Goldman Sachs, Monsanto et le lobby LGBT

    Dans les années 70, le philosophe Michel Clouscard expliquait dans son ouvrage Critique du libéralisme libertaire que la stratégie néo-capitaliste doit, sur le plan idéologique des principes, de la morale, des conduites de consommation – pour conquérir des marchés – casser, broyer les valeurs éthiques ; la « société d’abondance » doit promouvoir la liquidation des règles (ce « moralisme répressif à la papa ») afin de proposer un modèle d’une nouvelle consommation qui sera l’émancipation par la transgression.

    Mai 68, avec ses valeurs d’émancipation contre la « morale bourgeoise » fut en réalité le véritable cheval de Troie de ce mouvement néo-capitaliste. Les anciens étudiants se retrouvaient en effet aux postes décisionnaires, une fois intégrés au corpus économique (publicité, starts-up…) pendant les années Mitterrand, appliquant ainsi leurs « idéaux de jeunesse » aux nouvelles réalités économiques, et créant ainsi de nouveaux marchés pour la société de consommation.

    Récemment, le patron de la Goldman Sachs, Lloyd Blankfein, avouait soutenir financièrement le lobby LGBT [1], souhaitant sans doute passer pour un progressiste auprès des médias, mais qui reste surtout attaché aux revenus des dividendes des nouveaux marchés que le lobby LGBT permettra de conquérir une fois ses revendications appliquées dans la politique. En cassant le mariage traditionnel, on pourra créer des nouvelles modes très « gender » toujours en accord avec les magazines, eux aussi vendus dans cette optique, qui les mettront en avant, comme le montre le premier Salon pour les époux homosexuels qui vient de s’achever, et ce, malgré son insuccès.

    Mais ce n’est pas seulement la grande banque de Wall Street qui avoue mettre le lobby LGBT dans ses prérogatives. L’entreprise Monsanto travaille aussi dans le sens de « l’égalité des droits homosexuels » en finançant ce même lobby [2].

    Une convergence libérale-libertaire devenue aujourd’hui doxa du néo-capitalisme, dans un échange de « bons procédés » propice dans tous les cas aux dividendes du Marché, qui se crée lui-même son avant-garde en interagissant avec le politique et la société via les lobbies qu’il finance.

    Par Simone Choule http://www.egaliteetreconciliation.fr

    notes:

    [1] http://www.businessinsider.com/goldman-sachs-ceo-speaks-up-for-same-sex-marriage-2012-2

    [2] http://www.monsanto.com/newsviews/Pages/monsanto-recognized-as-a-best-place-to-work-for-lgbt-equality.aspx

  • Chiffres de la délinquance : un mensonge d’Etat

    Chiffres de la délinquance : un mensonge d’Etat

    PARIS (NOVOpress) – L’insécurité relèverait-elle d’un phantasme chez les Français puisque les chiffres sont formels : on compte 670.000 délits de moins depuis 2002 et le taux d’élucidation des infractions est en hausse de douze points ? Problème : ces chiffres sont faux !

    Dans son ouvrage « Un mensonge d’Etat, l’imposture sécuritaire » (photo), Jean-François Impini consacre notamment son enquête aux outils de manipulation de la statistique. Le lecteur découvre « l’affligeant spectacle d’un appareil statistique transformé en telle machine à dénaturer la réalité, ici sous-estimant l’activité criminelle et là surestimant l’efficacité policière, que l’on peut pratiquement parler à son sujet de mensonge d’Etat », souligne l’auteur.

    Qui paie cash ce trucage des statistiques par le ministère de l’Intérieur ? Les Français, à qui on transmet des données ne correspondant pas à la réalité qu’elles étaient censées décrire ; les victimes directes de la délinquance, bien sûr, souvent dissuadées de se faire connaître. La police et la justice, « déconsidérées par l’inévitable décalage entre le triomphalisme officiel et la perception citoyenne quotidienne ». Le tout prend la forme d’une « faillite démocratique n’ayant d’égale que celle des élites à qui il appartenait de la dénoncer ».

    Et il n’y a pas d’espoir de renouveau avec le laxisme de l’Etat socialiste…

    http://fr.novopress.info

  • La pression intolérable exercée par le ministre de l’Intérieur

    Madame Clotilde Lebreton, maire de Challain la Potherie dans le Maine-et-Loire, a été saisie d’une demande de « mariage », en application de la « loi » Taubira. La paire concernée avait poussé le militantisme et la manipulation jusqu’à demander une messe (des défunts) le jour de leur « union » civile, logiquement refusée par le diocèse d’Angers (communiqué du 17 juin).

    Madame Lebreton a lu hier publiquement un communiqué dans lequel elle donne les raisons de sa revendication de l’objection de conscience et de son refus de « célébrer » une parodie de mariage. Le communiqué a été lu en présence d’une foule nombreuse venue soutenir madame Lebreton, des représentants LMPT 49 et 44, d’un représentant de l’association Objection et de nombreux officiers d’état civil (dont neuf maires) : Messieurs Michel Villedey maire de Thorigné d’Anjou (49), Jean-Yves Clouet maire de Mésanger (44), Jean-Daniel Lécaillon maire de  St Sulpice des Landes (44), Daniel Gendry maire de Niafles (53), Stéphane Belley, maire de Peuton (53), Marcel Pichavant de Bécon les Granits (49), Hubert Derouet  maire de Chazé sur Argos (49), Christian Baron maire de St Augustin des bois (49)  accompagné d’une adjointe, monsieur Stéphane Bouillé, adjoint de Challain la Potherie et monsieur Eric Gilles conseiller municipal d’Angrie (49) et madame Maryline Boivin maire de La Jaille-Yvon (49), empêchée.

    Communiqué du maire :

    "Le 17 juin 2013, un dossier a été déposé à la mairie, en vue d’obtenir des officiers d’état civil de notre commune une « célébration de mariage », selon les nouvelles dispositions prévues par le texte promulgué le 17 mai dernier. Cette demande est régulière au regard des conditions fixées par la « loi Taubira ». Elle me pose cependant en ma qualité d’officier d’état-civil un douloureux problème de conscience. Je pourrais me taire mais je me sens redevable, vis-à-vis de vous, mes concitoyens, et de vous tous aujourd’hui présents, d’une explication transparente que vous méritez, sur mon objection de conscience s’agissant d’une telle union, que je ne peux consentir à célébrer. Je veux rester fidèle aux principes les plus fondamentaux de ma conscience, que le Président de la République avait, devant les maires de France, officiellement promis de protéger. Il ne s’agit pas là d’une simple opinion ou d’émotions passagères et encore moins d’un jugement sur les personnes qui ont déposé la demande. Il s’agit de justifications rationnelles et objectives qui me conduisent à réaffirmer aujourd’hui ma fidélité au mariage, union d’un homme et d’une femme, qui a pour première finalité l’accueil et l’éducation d’enfants, dont la conception relève naturellement de l’altérité sexuelle des époux.

    Parmi les élus régulièrement présents en conseil municipal aucun n’a pu ou n’a souhaité célébrer ce mariage. La liberté de conscience est garantie par notre Constitution. Cette liberté devrait donc me permettre aujourd’hui d’user de mon droit inaliénable à l’objection de conscience. Pour la demande du 13 juillet, c’est finalement l’un de mes adjoints, à son initiative et pour m'éviter des sanctions, opposé lui-même à la « loi Taubira », qui accepte de « célébrer » cette union, compte tenu de la pression intolérable exercée par le ministre de l’Intérieur. Cela n’empêchera pas les officiers d’état-civil de continuer à revendiquer résolument la liberté d’objection de conscience. Pour ma part, et avec tous les officiers d’état civil qui partagent mes opinions, je continuerai à prendre une part active aux actions qui seront organisées afin que la liberté d’objection de conscience soit reconnue pour tous, dans le respect des opinions de chacun. Par respect pour le mandat qui m’a été confié, cette communication m’a paru indispensable pour que ma position soit connue et comprise de tous."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les charmes de la diversité culturelle…

    Le commissaire européen Michel Barnier a déclaré récemment sur LCI : « Quand on défend la diversité culturelle, [...] on est dans un combat d’avenir. » Corollaire : quand on critique la diversité culturelle, on est dans un combat du passé. Cela s’appelle la dialectique…

    Il se trouve que la seule diversité culturelle palpable consiste en un brassage forcé et subi de populations européennes et extra-européennes dans le cadre d’une « construction » européenne elle-même inscrite dans une « mondialisation », le tout agrémenté de flux migratoires notoirement hors de contrôle. Sous couvert de diversité culturelle, cette idéologie vise à forcer les cultures « d’accueil » à renoncer à toute exigence d’intégration ou d’assimilation à l’égard des cultures « arrivantes », faute de temps, d’argent et surtout de courage politique. [...]

    Silvio Molenaar - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Homophobie ? Non, prudence. (archive 2008)

    Article d'Yves Chiron dans Présent - 20 décembre 2008
    Dès que la France, en septembre dernier, a rendu public son projet de faire voter, par l’Assemblée générale de l’ONU, une déclaration sur les droits des homosexuels, l’observateur permanent du Saint-Siège à l’ONU, Mgr Migliore, a dit son opposition au projet. Il y voit, à juste titre, un moyen de pression politique : si une telle déclaration est votée, « les Etats qui ne reconnaissent pas l’union entre deux personnes de même sexe comme un mariage, seront mis au pilori et feront l’objet de pressions. »
    Comme l’a justement dit Jeanne Smits en publiant le texte du projet français, la « décriminalisation universelle » de l’homosexualité serait une voie ouverte à l’ « imposition universelle » des droits des homosexuels au mariage et à l’adoption (cf. Présent, 13 décembre 2008).
    La France a été, avec les Etats-Unis, pionnière dans cette voie. En 1973, l’American Psychiatric Association a exclu l’homosexualité de la liste des maladies mentales ; l’OMS prendra une position similaire en 1991. Entre temps, la France, aux premiers temps de la présidence Mitterrand, aura œuvré à la normalisation de l’homosexualité par diverses lois et dispositions : le 11 juin 1981, le ministre de l’Intérieur demande aux services de police de « renoncer aux fichages des homosexuels » ; le lendemain, le ministre de la Santé déclare que l’homosexualité ne sera plus considérée comme une psychopathologie. En 1982, est votée une loi qui dépénalise l’homosexualité « entre personnes consentantes à partir de 15 ans ».
    Il n’est pas nécessaire de rappeler les étapes suivantes, notamment la création du PACS et la loi du 30 décembre 2004 qui a institué la HALDE (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) et qui a créé un délit d’homophobie (même si le terme n’est employé tel quel).
    Pris dans son sens littéral, le mot « homophobe » ne veut pas dire grand chose : « la peur du même ». Le néologisme a désigné dès son origine, en 1971, autre chose : l’hostilité à l’égard des homosexuels. Dans ce sens péjoratif, l’homophobie a la même portée que la xénophobie.
    L’Eglise n’est pas homophobe au sens du néologisme, elle n’est pas « hostile » aux hommes et femmes qui ont une tendance homosexuelle. Le Catéchisme de l’Eglise Catholique demande : « Ils doivent être accueillis avec respect, compassion et délicatesse. On évitera à leur égard toute marque de discrimination injuste. » (CEC, 2358). Mais l’Eglise ne peut être ni « homophile » ni indifférente face aux diverses « orientations sexuelles ».
    L’inclination particulière à l’homosexualité n’est pas « en elle-même un péché », mais elle est « objectivement désordonnée ». Les actes homosexuels sont, en tous les cas, condamnables. Toute la Tradition de l’Eglise – de la Bible aux enseignements du Magistère – le dit. La Congrégation pour la doctrine de la Foi, à deux reprises ces dernières décennies, a rappelé cet enseignement. Le 29 décembre 1975, dans la déclaration Persona humana, « Sur certaines questions d’éthique sexuelle », et le 1er octobre 1986, dans la Lettre pastorale à l’égard des personnes homosexuelles.
    « Selon l’ordre moral objectif, les relations homosexuelles sont des actes dépourvus de leur règle essentielle et indispensable. Elles sont condamnées dans la Sainte Ecriture comme de graves dépravations et présentées même comme la triste conséquence d’un refus de Dieu » (Persona humana, 8). Les actes homosexuels « sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas » (CEC, 2357).
    Les justes discriminations
    Quand l’Eglise demande d’éviter toute « discrimination injuste » à l’égard des homosexuels, elle ne pose pas un principe absolu de non-discrimination. Elle considère que certaines discriminations sont justes parce que nécessaires et relèvent de la vertu de prudence.
    Le 23 juillet 1986, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, dirigée par celui qui allait devenir un jour Benoît XVI, avait rendu publiques des « Observations » sur la non-discrimination des personnes homosexuelles qu’il est utile de relire aujourd’hui.
    L’orientation homosexuelle de certaines personnes, rappelle le document, « fait naître une préoccupation morale particulière ». « Il y a des domaines dans lesquels ce n’est pas une discrimination injuste de tenir compte de l’orientation sexuelle, par exemple dans le placement ou l’adoption d’enfants, dans l’engagement d’instituteurs ou d’entraîneurs sportifs, et le recrutement militaire. »
    L’Eglise ne peut accepter la promotion de l’homosexualité ni non plus sa protection légale. « Il y a un danger qu’une législation qui ferait de l’homosexualité le fondement de droits puisse en réalité encourager une personne ayant une orientation homosexuelle à la déclarer publiquement ou même à chercher un partenaire afin de profiter des dispositifs de la loi. »
    Yves CHIRON http://yveschiron.blogspot.com/

     

  • Affaire Snowden : les médias suivent la voix de leur maître

    Tribune de Michel Geoffroy.
    La façon dont les médias rendent compte actuellement du scandale du système d’écoute mondial américain Prism révèle une nouvelle fois leur grande indépendance et nous éclaire aussi sur les rouages de la désinformation ordinaire.
    Michel Geoffroy fait le point pour Polémia.

    Un nouveau scandale mondial
    En effet, le scandale porte non seulement sur les écoutes en elles-mêmes, mais aussi sur le fait que les majors de l’Internet et de la « société de l’information » américains ont, – en application, au surplus, « d’injonctions judiciaires secrètes » – remis au gouvernement américain toutes leurs données en provenance de l’étranger. Les révélations d’E. Snowden montrent aussi que tous les pays anglo-saxons ont été mobilisés dans ces écoutes et au premier chef en Europe nos chers amis anglais.
    Au moment où l’Union européenne négocie un énième traité commercial avec l’Oncle Sam, ces révélations tombent évidemment bien mal.
    Mais, comme par enchantement, voici que nos braves médias décident de nous « éclairer » sur cette ténébreuse affaire. A leur façon.

    Tout le monde complice ?
    D’abord, l’argument se répand que finalement ce ne sont pas des révélations car tout le monde « savait » depuis l’affaire du réseau Echelon. C’est par exemple le sens de la tribune de Michel Riguidel dans le Monde du 26 juin 2013 (« Edward Snowden n’a révélé qu’un secret de Polichinelle »). Voilà un argument plaisant. Le fait que l’on « sache » que des voleurs et des criminels existent suffit-il à légitimer le vol et l’assassinat ? A les banaliser, peut-être, mais sûrement pas à les légitimer.

    Tout le monde ferait pareil ?
    Une seconde approche consiste à expliquer que finalement tout le monde écoute tout le monde. Telle est, par exemple, l’analyse éclairante d’André Glucksmann dans sa tribune « Le cyber-espionnage nous projette dans une ère de confrontation sans limites » (le Monde du 3 juillet 2013).
    Que nous dit finalement, en effet, notre « philosophe » ? Que les écoutes américaines ne doivent pas nous faire oublier l’espionnage chinois ni « les sorties kaguébistes de Poutine » (sic). Le Monde du 5 juillet publie d’ailleurs un article sur les « grandes oreilles » mondiales de la DGSE.

    Semer la confusion
    On connaît bien ce type de désinformation par confusion. Il consiste à mettre sur le même plan des données de portée différente afin de relativiser le fait principal.
    Ainsi, par exemple, les médias nous entretiennent périodiquement de la montée « des » intégrismes religieux : ce qui permet de mettre  sur le même plan les traditionalistes catholiques et les islamistes. Et donc de banaliser ces derniers.
    Dans le cas de Prism l’idée sous-jacente est, bien sûr, de relativiser ce réseau mondial : finalement tout le monde écoute tout le monde, et il se trouve seulement que les Américains font cela en grand. Quoi de plus normal en effet pour cette grande nation ?
    Curieusement, en outre, nos commentateurs ne vont pas au bout de leur argument : car si tous les gouvernants espionnent les citoyens d’une façon totalitaire, c’est que les libertés régressent partout, et notamment en Occident.
    Ah bon ? Vous croyez ?

    Les sondages en renfort
    Une autre désinformation intéressante consiste à commenter gravement des sondages qui montreraient, par exemple, que 62% des Américains se déclarent favorables à l’interception des communications afin de lutter contre le terrorisme (sondage effectué du 6 au 9 juin) ; ou, comme le fait Die Welt dans son édition du 13 juin, que 40% des Allemands y seraient également favorables. Des sondages français vont certainement sortir bientôt sur le même thème.
    Ah les braves gens ! Voilà la désinformation sociologisante à grand renfort de commentateurs experts !
    Mais on ne nous dit pas si ces sondages portent effectivement sur les révélations faites par E. Snowden ou si des questions plus génériques ont été posées. En outre, en quoi 62% d’opinions positives des Américains devaient-elles modifier l’opinion des Européens sur un système dont on nous dit, par ailleurs, qu’il a justement pour objet d’espionner les communications de ceux qui… ne sont pas américains ?
    Il s’agit là encore, bien sûr, de brouiller les perspectives.
    De nous faire voir la dure réalité au travers d’un prisme, justement.
    Michel Geoffroy 3/07/2013 http://www.polemia.com

  • Avec vos impôts, la France finance les lobbies LGBT en Côte d'Ivoire

    Lu ici

    "La Coopération française a octroyé une somme de 30 millions FCFA à une ONG ivoirienne pour la promotion de l’homosexualité. Une importante somme d’argent destinée à encourager les efforts fournis par ce pays dans le cadre de l’intégration des homosexuels dans sa société. Un modèle de référence qui vaut aujourd’hui à la Côte d’Ivoire l’appellation de « terre d’asile des homosexuels »

    30 millions FCFA (45.735 euros), tel est le montant dégagé le 25 juin par la Coopération française pour promouvoir et vulgariser les droits des homosexuels en Côte d’ivoire. Selon La dépêche d’Abidjan, la convention a été signée au siège de l’ONG Alternative Côte d’Ivoire, sis à Cocody-Angré entre cette ONG, présidée par Touré Claver, lui-même homosexuel, et la France.

    Selon le journal, le financement des activités des homosexuels de Côte d’Ivoire n’est pas nouveau. Le programme d’urgence du programme des États-Unis pour la lutte contre le sida (Pepfar) finance déjà les activités des minorités sexuelles".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Rejet des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy : pour l’UMP, est-ce (vraiment) la fin des haricots ?

    Rejet des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy : pour l’UMP, est-ce (vraiment) la fin des haricots ?

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – En décembre dernier, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques avait invalidé les comptes de campagne de l’ancien président pour l’élection présidentielle de 2012, estimant qu’il avait dépassé de 2,1 % le plafond autorisé, soit quelque 360.000 €. Saisi le 10 janvier dernier par Nicolas Sarkozy, qui contestait le chiffrage de la Commission, le Conseil constitutionnel, juge suprême de l’élection présidentielle, a confirmé jeudi le rejet des comptes de campagne 2012 de l’ancien président de la République.

    Ce rejet, définitif, prive l’UMP, qui a avancé les fonds, de la subvention de onze millions d’euros de l’Etat au titre du remboursement des frais de campagne de son candidat. En outre, selon le communiqué du Conseil, Nicolas Sarkozy devra à titre personnel restituer l’avance forfaitaire qui lui a été versée, soit 150.000 €. Il devra également verser au Trésor public le montant arrêté à quelque 360.000 € par la Commission, correspondant au dépassement du plafond des dépenses.

    Nicolas Sarkozy annonçait jeudi soir dans un communiqué sa démission immédiate du Conseil constitutionnel « Devant la gravité de la situation et les conséquences qui en résultent pour l’opposition et pour la démocratie ». En fait il s’agit d’un”coup” médiatique de N. Sarkozy, il ne peut pas démissionner du Conseil, il en fait partie de droit à vie comme tous les anciens présidents de la république, il peut seulement s’abstenir d’y siéger au coup par coup.

    De son côté, Jean‑François Copé, élu président de l’UMP dans les conditions que l’on sait, s’est exprimé jeudi soir en direct sur les chaînes de télévision.

    C’est la mine sévère et le verbe grave que M. Copé a admis que son parti était « Etranglé financièrement », et qu’il a annoncé le lancement d’une « Grande souscription nationale ». On relèvera un argument pour le moins curieux dans la bouche d’un avocat : un dépassement de 400 000 € n’en est pas vraiment un. C’est vrai, ça, quoi, pour 400 000 euros, de nos jours, t’as p’us rien…

    Mais il faut relativiser les malheurs financiers de l’UMP. La vente de son siège permettrait à l’ex‑parti présidentiel de dégager quelque dix millions d’euros, auxquels s’ajouteraient les vingt millions annuels de subventions publiques. De quoi voir venir… Plus inquiétant pour l’UMP est l’hémorragie sans précédent d’adhérents, déçus par l’absence d’opposition véritable de l’UMP à l’Etat‑PS et écœurés par la pitoyable guerre des chefs de fin 2012 — une guéguerre semble‑t‑il toujours d’actualité avec le départ en quasi‑campagne en France de François Fillon.

    Marine Le Pen a estimé hier que « Si l’UMP meurt demain, ce ne sera pas par manque d’argent, mais par manque d’idées », « Plaie d’argent n’est pas mortelle a‑t‑elle ironisé, en revanche, plaie d’idées l’est ». La présidente du Front national a fait valoir que son parti « Confronté, en 2007, à des difficultés financières bien plus graves que celles de l’UMP au regard de son actif a su rebondir plus haut que jamais parce qu’il a un projet politique solide à proposer aux Français, des idées patriotes que personne d’autre ne défend dans la classe politique française ».

    Commentant la prestation télévisuelle de Jean‑François Copé, Marine Le Pen a fustigé « Un bas exercice de victimisation », poursuivant : « L’UMP doit prouver qu’elle apporte encore quelque chose au débat d’idées pour espérer subsister ; et sur ce point, c’est mission impossible, tant la voix de l’UMP se confond avec celle du Parti socialiste ».

    http://fr.novopress.info/

  • Racket des automobilistes : Hollande poursuit la politique de Sarkozy

    Le périphérique parisien se dote de huit nouveaux radars

    Les associations d’automobilistes s’indignent de ces implantations, qu’elles estiment injustifiées.

    Une surprise attend les automobilistes franciliens cet été. Huit nouveaux radars vont être installés sur le périphérique parisien, doublant le dispositif mis en service en 2004. Ingrid Attal, avocate de l’association 40 millions d’automobilistes, s’indigne : « ce double parc de radars est inutile, le taux d’accidents sur le périphérique n’a jamais été aussi bas ». En effet celui-ci a baissé considérablement ces dernières années. Selon les chiffres de la préfecture de police (PP), 2012 a vu le nombre d’accidents diminuer de 8% et celui des blessés de plus de 9%. Une tendance qui se confirme sur les cinq premiers mois de l’année 2013 : les accidents reculent en effet de 14.8% et le taux de blessés de 10.6%.

    D’après la Fédération nationale des associations d’usagers des transports (FNAUT) ce sont justement les radars qui ont contribué fortement à inverser la tendance car « ce genre de mesure est assez forte symboliquement pour obliger les automobilistes à ralentir » estime Fabrice Michel, un porte-parole de l’association. C’est aussi l’avis de la Préfecture qui annonce une mesure « pour poursuivre la bonne tendance enregistrée ces derniers mois ». Cependant, avec quasiment un radar installé à chaque porte du périphérique, Ingrid Attal se demande si « le véritable but est vraiment d’améliorer l’aspect sécurité ». Même interrogation de Maître de Caumont, avocat en droit de l’automobile, qui dans des termes plus virulents dénonce une « pompe à fric destinée à renflouer les caisses de l’état ». Sans compter que de plus en plus de petits excès de vitesse sont flashés alors qu’ils ne sont pas à l’origine de gros accidents », insiste Ingrid Attal.

    Mais davantage que le double parc de radars en lui-même, c’est plutôt l’orientation de ceux-ci qui provoque des interrogations. « Ils flashent de dos », nous explique Maître de Caumont, « ce qui rend plus difficile la contestation de l’infraction. Ces radars sont donc bien un piège à fric et non un outil mis au service de la sécurité routière. » En 2012, les 4047 radars fixes déployés sur le territoire ont généré 750 millions d’euros de recette. Une centaine d’engins supplémentaires doivent être mis en service d’ici la fin de l’année.

    Le Figaro   http://www.actionfrancaise.net