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magouille et compagnie - Page 2261

  • Les Hommen devant l'Institut Pasteur : "Non aux enfants cobaye" !

    Les Hommens et une fille du groupe "ni à vendre ni à louer" manifestaient ce soir devant l'Institut Pasteur contre le vote du projet de loi autorisant la recherche sur les embryons humains : 

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    Hms4

    Ils ont été rejoints et encouragés par Béatrice Bourges :

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les nouveaux censeurs de l'Etat socialiste

    D'Ivan Rioufol :

    "Attention ! La France, symbole de la Liberté (c’est le premier mot de sa devise), devient une nation muselée, tenue en laisse. L’ordre moral est agité par les censeurs, à l’affût de l’idée non homologuée. Tout est prétexte à poursuites et interdictions. Aucune sécurité juridique n’existe plus contre ceux qui participent au débat public. Derniers exemples : des associations vont porter plainte contre le maire (UMP) de Nice, Christian Estrosi qui, parlant des gens du voyage, a déclaré vouloir "mater" les "délinquants". Un élu municipal (UMP) de Nîmes est semblablement menacé pour avoir publié sur son compte Facebook la photo de la promotion d’un produit Carrefour pour le ramadan, avec ce texte : "Spécial ramadan de Carrefour. Notre République est-elle toujours laïque ? Tout fout le camp !" Cette traque permanente défigure la démocratie.

    La répression contre les opposants au mariage homosexuel est le signe le plus clair du sectarisme qui a pris souche. Mardi, la cour d’appel a libéré Nicolas Bernard-Buss, militant de la Manif pour tous, après trois semaines d’une détention à caractère plus politique que juridique. Mais il est stupéfiant de constater le peu de réactions à ces atteintes aux libertés. Les inquisiteurs, qui réclament toujours plus de « répression républicaine » contre les dissidents, affichent un totalitarisme débridé, avec l’aval tacite de l’État socialiste. Or ces "démocrates" violent la Déclaration des droits de l’homme de 1789 (art. XII) : "La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement." Les nouveaux Saint-Just terrorisent la liberté."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • En France, on peut entraver la liberté d'expression des défenseurs de la famille mais pas celle des blasphémateurs

    Revenons sur quelques faits des dernières semaines. Un jeune garçon, Nicolas, étudiant bien noté, casier judiciaire vierge, a été condamné à quatre mois de prison dont deux fermes et jeté en cellule à Fleury-Mérogis pour avoir manifesté contre la loi Taubira lors de l'intervention télévisée de François Hollande sur M6.
    Trente-deux personnes, bons Français sans histoire, ont été condamnés à des amendes, parfois lourdes (jusque 2.000 euros), pour avoir simplement exprimé leur indignation durant des représentations d'un spectacle subventionné au cours duquel on déversait un liquide symbolisant les excréments sur le portrait du Christ, odeur artificielle à l'appui. Leur "délit" relève de "l'entrave à la liberté d'expression".
    Le Dr Xavier Dor a été envoyé devant les Tribunaux et un magistrat a évoqué la nécessité pour l'inculpé de se faire soigner psychiatriquement, au motif qu'il avait offert une paire de chaussons à une femme enceinte entrant dans un centre de planning familial.
    Des "veilleurs debout" ont été arrêtés par la police pour être restés immobiles et silencieux, chacun tel un reproche vivant, devant l'Elysée.
    Giorgi, un Rom arrêté à Arles pour avoir agressé une dame de 85 ans, a obtenu la relaxe devant le tribunal de grande instance de Tarascon.

    En France, on peut insulter Dieu mais on ne peut pas critiquer la loi Taubira ni chahuter un ministre.
    En France, on peut entraver la liberté d'expression des défenseurs de la famille mais pas celle des blasphémateurs.
    En France, mieux vaut voler, piller, agresser, incendier des voitures, que défendre le Christ ou la Famille.

    Pendant ce temps, les parlementaires continuent durant cet été d'échafauder leurs mauvais coups : proposition de loi autorisant la recherche sur l'embryon et les cellules souches embryonnaires, travaux préparant les offensives en faveur de l'euthanasie, de l'idéologie du genre,...
    Marseille, capitale estivale des invertis

    Et la dissolution des moeurs s'installe à l'aide de l'argent du contribuable.
    Comme à Marseille qui s'apprête à accueillir du 10 au 20 juillet "l'EuroPride", grand rassemblement LGBTQI (pour... LesBiGayTransQueerIntersexe). Marseille dont le sénateur-maire Jean-Claude Gaudin, est chef de groupe UMP au Sénat. De quoi se souvenir de la façon dont les élus UMP, après avoir paradé à la Manif Pour Tous, avaient pratiqué l'entente cordiale avec la gauche lors du vote de la loi Taubira.
    Mais revenons à Marseille et l'EuroPride. L'Office de Tourisme de Marseille publie sur son site : "L'événement EuroPride Marseille Méditerranée 2013, fortement soutenu par les collectivités locales et territoriales, est labellisé Marseille-Provence 2013 Capitale Européenne de la Culture". Voilà une petite phrase qui retient doublement notre attention.
    1° D'abord au sujet du fort soutien des collectivités locales et territoriales. Traduisez : l'argent du contribuable subventionne cette méga-sauterie homosexuelle. Des subventions de plusieurs centaines de milliers d'euros accordées via l'entremise de la Ville de Marseille, du Conseil Régional PACA et du Conseil Général des Bouches-du-Rhône. Et ce alors que cette fiesta LBGTQI peut aussi compter sur de nombreux et importants sponsors et partenaires (Crédit Mutuel, Air France, Kronenbourg, Ricard, NRJ,...).
    2° Mais à quoi va servir tout cet argent ? Au programme de l'EuroPride : village associatif, plage privatisée, conférences, festival cinématographique, expositions, défilé dans les rues de Marseille et beaucoup de soirées "électro sexe" avec "Pornos Stars" à l'affiche.
    Et c'est ce genre d'événement qui mérite un label Marseille-Provence 2013 Capitale Européenne de la Culture !!!

    Notons que les organisateurs avaient initialement annoncé que cette EuroPride serait l'occasion de 2013 "mariages" d'homosexuels français et de l'étranger. La provocation de trop ? Une mise au point précise : "Dans un but de rassemblement de toutes les dynamiques, en concertation avec les principaux protagonistes, la célébration des 2013 mariages sera remplacée par un acte fort" dont la teneur n'est pas encore rendue publique.
    Signalons encore que les organisateurs ont voulu mettre "en avant la multiculturalité de Marseille" et donner à leur sauterie une dimension "Euro-Méditerranéenne", invitant pour l'occasion des homosexuels du Liban, de Palestine, du Maroc, de Tunisie, d'Algérie, d'Egypte, etc. Il est notamment prévu d'évoquer le 17 juillet les "dynamiques LGBT dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord". Qu'en pensent les musulmans installés dans la cité phocéenne ?
    Mais on ne lâche rien !

    Quelles que soient les tentatives d'intimidation du régime et malgré toute la puissance du rouleau compresseur totalitaire auquel il faut faire face, la résistance des défenseurs de la Famille ne faiblit pas, multiforme, imaginative et dynamique.

    C'est à ce titre que j'insiste sur la nécessité de profiter de cet été pour saisir les opportunités de se former et d'oeuvrer à la mise en place des nouvelles ripostes de la rentrée. Des combats essentiels s'annoncent, notamment contre l'idéologie du genre. Ne manquez pas de vous inscrire au plus vite à la session d'été que Civitas organise à ce sujet, du 26 au 29 juillet à Unieux. Toutes les informations sont ici..

    Alain Escada,
    président de CIVITAS

  • Une préférence étrangère

     

    immigration-konk.gifAprès DSK affirmant il y a quelques jours sur une chaîne américaine qu’il n’a pas de problème avec les femmes,  c’est au tour de François Fillon de nous dire que lui en a un avec les hommes. En l’occurrence ceux qui soutiennent  Nicolas  Sarkozy au sein de l’UMP  et avec  l’ex chef de l’Etat qui a précipité son retour  depuis la décision du conseil constitutionnel d’invalider ses comptes de campagne. Un Sarkozy « qui en cinq ans, de 2007 à 2012, a perdu toutes les élections intermédiaires »  mais « qui a été fêté comme une rock star par la centaine de militants ameutée à cet effet devant le siège de l’UMP »  lundi  rappelait Michèle Cotta dans Le Point .  Ce qui a contraint «François Fillon a contre-attaqué jeudi : Pas d’accaparement de l’UMP par un homme providentiel, pas de recours ou de retour automatique, pas de piédestal, pas de traitement de faveur… »  a-t-il déclaré à l’adresse de son rival. Traitement  de faveur que  la droite et la gauche  aux affaires  réservent en général aux étrangers au détriment des Français.

     Le Maine Libre  indiquait cette semaine le cas de cette «  mère de sept enfants d’origine Tchadienne (qui)  a fraudé 35 831 euros à la Caisse d’Allocations Familiales (CAF). La femme de 39 ans était retournée à deux reprises avec ses enfants au Tchad pendant plusieurs mois, en omettant de prévenir les services sociaux. Elle a donc continué à percevoir les aides, sans en avoir le droit (…) Elle a reconnu les faits et a avoué un oubli de sa part ». Bien sûr cette somme ne sera jamais remboursée et ce  comportement de prédation ne suscite pas l’indignation de la gauche morale  qui préfère se mobiliser pour faire barrage au FN.

     Les Français-vaches-à lait sont  invités à financer encore et toujours  l’immigration de peuplement des duos   Fillon-Sarkozy  et Ayrault-Hollande. A titre indicatif,  la Caisse nationale d’allocations familiales (Cnaf) affirme d’ailleurs  que grâce à une amélioration des méthodes de contrôle,  les fraudes détectées  ont augmenté de 20% en 2012 , soit  110 millions d’euros, tandis que 18.000 personnes ont dans ce cadre  fait l’objet d’un redressement de la Sécurité sociale.

     Si la proportion des fraudeurs allogènes n’est pas communiquée,  l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) s’est livré à une étude relayée  il y a peu dans Le Figaro sur «  la part des étrangers  dans les «multimises en cause pour crimes et délits» à l’aide du «  fichier des antécédents judiciaires (STIC) du ministère de l’Intérieur».

     A été ainsi scruté et analysé  « un large échantillon d’environ 1500 personnes mises en cause pour cinq infractions ou plus ayant eu lieu en 2009 et 2010 à Paris ou dans sa proche couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne. »

     Est-ce une surprise, et ce taux grimperait encore si l’on y incluait les Français originaires des pays maghrébins et africains, «  On y découvre qu’ils (les étrangers, NDLR) pèsent un tiers des multimis en cause dans l’agglomération parisienne. Et encore ces chiffres ne sont-ils pas rapportés à ce que représente dans la population globale du Grand Paris chaque communauté, Français, d’un côté, forcément les plus nombreux, et étrangers, de l’autre. »

     L’auteur principal de cette étude scrupuleuse, Étienne Perron-Bailly, constate que «les étrangers multimis en cause présentent une part d’atteintes aux biens supérieure à celle des Français (76,4%, à comparer à 58,6%)». 

     Alors qu’au 1er janvier 2014 les Roms pourront venir  s’installer sans plus aucune entrave chez eux chez nous, il est indiqué que «  Chez les étrangers mis en cause au moins cinq fois par les agents (450), ceux de nationalité roumaine représentent plus de la moitié de l’effectif (231). Parmi ces derniers, 89,6% sont mineurs: 37,7% de garçons et 51,9% de filles (…) ».

      « Quel que soit l’âge des étrangers plusieurs fois mis en cause, sur les 450 cas isolés par les statisticiens comme représentatifs, selon eux, après les Roumains et les ressortissants des Balkans viennent les étrangers du Maghreb (105 cas), d’Afrique (63 cas) et de Chine (12 cas). Les autres nationalités représentent 39 cas (…) ».

      L’ONDRP  précise encore que « les hommes mineurs d’Afrique hors Maghreb sont assez souvent mis en cause pour atteintes volontaires à l’intégrité physique, c’est-à-dire de faits de violence. »

     Toutes choses qui préoccupent infiniment plus nos compatriotes affirme Bruno Gollnisch, que la guéguerre Fillon-Sarkozy, a fortiori  au regard du calamiteux bilan qui est le leur dans le domaine  de l’insécurité  et de l’immigration  entre 2007 et 2012.

    http://www.gollnisch.com

  • Faire peur

    Si les opposants à la loi instituant un mariage homosexuel continuent de subir une répression démesurée, d’autres personnes souffrent également des ordres à caractère politique donnés à la police. Quand l’exécutif joue avec le feu...

    Dimanche 23 juin : à l’issue d’une manifestation devant la préfecture de police de Paris pour protester contre l’incarcération de Nicolas Bernard-Buss (dont la peine a été muée le 9 juillet à 3000 euros d’amende, après trois semaines de prison...), la foule se dispersait vers le quartier Saint-Michel. Deux jeunes filles du mouvement des ’Salopards’ (qui effectuent des actions habillés en salopette rose) rentraient chez elles. Une discussion s’engageait, durant laquelle elles expliquaient qu’un policier en civil était venu les voir sur le lieu du rassemblement, leur demandant ce qu’elles faisaient là, cherchant à savoir si elles avaient préparé un « flash-mob » (une action de rue dansante). Puis il était reparti comme il était venu... « On se fait souvent contrôler », ajoutaient-elles. Du simple contrôle d’identité à la garde à vue, certains des opposants les plus actifs à la loi Taubira ont subi plus de trente interpellations en quelques mois.

    Une crainte savamment distillée [...]

    La suite sur Politique Magazine

    http://www.actionfrancaise.net

  • Malaise des commissaires face à la répression commandée par Manuel Gaz

    Lu dans Le Figaro :

    "Il y a quelques jours, les CRS s'indignaient, dans un tract du syndicat Alliance, de leur mission «ridicule» contre les «veilleurs debout». Aujourd'hui, c'est chez les commissaires de police que la colère gronde. Dans le dernier numéro de la Tribune du commissaire, deux des trois «tribunes libres» sont consacrées au «malaise grandissant» de l'institution policière face à la répression des manifestations anti-mariage gay.«Du jamais vu!», commente un membre de ce syndicat, qui représente 60 % des commissaires, et qui a toujours été très légitimiste. «Cela montre l'ampleur du mécontentement».

    Signé «un collectif de commissaires de police», le premier article évoque «une vidéo ayant circulé sur Internet», «qui montre deux de nos collègues remettant en liberté des personnes portant un vêtement assorti du logo d'une association engagée dans un débat de société, après un simple contrôle d'identité». «S'il apparaissait que des instructions ont été données à toute la chaîne hiérarchique policière d'interpeller des personnes sur ce seul motif, soulignent les auteurs, les commissaires de police qui ont décidé de les élargir honorent le Corps de Conception et de Direction». Et de conclure: «il était temps de prouver que notre Institution n'est pas une police d'opinion».

    Le deuxième texte - une tribune «poignante», juge le secrétaire général du SCPN, Emmanuel Roux - est une lettre d'«un commissaire de police attentif à l'actualité» à un «cher collègue». Vraisemblablement pied-noir, il lui parle de sa grand-mère, Eugénie, qui «aimait beaucoup la France, bien qu'elle n'y soit jamais allée avant que le sens tragique de l'Histoire ne la contraigne (…) à quitter pour toujours notre terre natale il y a 51 ans». Un jour, raconte-t-il, «elle commit l'acte fou de brandir un drapeau français à sa fenêtre». Des uniformes «déboulèrent», «défoncèrent sa porte», à la recherche du drapeau.

    Aujourd'hui, le petit-fils d'Eugénie est commissaire divisionnaire. «Depuis plusieurs mois, le pays gronde, poursuit-il. Je vois des uniformes, de jeunes manifestants que l'on colle contre le mur. J'en ai vu qui tombaient, d'autres que l'on conduisait vers des fourgons, le regard perdu mais fier». Avant d'asséner: «Je ne serai jamais l'un de ces officiers. J'aime trop ma grand-mère».

    Emmanuel Roux admet avoir hésité avant de publier ces «collègues qui parlent avec leur tripes». Mais il a reçu plusieurs appels dans le même sens, et a voulu jouer son «rôle de syndicat, lieu de parole». «Je n'ai pas eu connaissance de pratiques policières qui auraient été différenciées selon les manifestants, tempère-t-il. Mais l'ordre public, c'est une alchimie complexe…»

    Au sein du SCPN, on affirme toutefois que «beaucoup ne se reconnaissent absolument pas dans les méthodes appliquées». «C'est pas qu'on soit pro ou anti mariage gay, témoigne un commissaire signataire du premier article. On est simplement choqués. On voit une distorsion énorme entre ce qui se passe avec les voyous récidivistes et des gamins pacifiques qu'on met en garde-à-vue simplement parce qu'ils portent un tee-shirt! Parfois, il faut avoir la force de dire «non». Notre message, c'est que l'on refuse d'être une police politique, quel que soit le pouvoir»."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Nous devons lui dire merci…

     

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    Un grand merci à Nicolas Bernard-Buss. N'a-t-il pas renvoyé dos à dos l'UMP et le PS, acteurs de la «déshumanisation ambiante» ? N'a-t-il pas justement dressé le constat de bien de nos maux terribles ? Employant des mots simples, compréhensibles par tous : «En République française, l'argent est roi, Dieu rejeté, et le peuple soumis»

    Nous ne connaissons pas Nicolas Bernard-Buss alias « Berns ». Si forte soit notre sympathie pour lui, nous ne lancerons pas des Nicolas à tous vents. Nous lui disons merci du fond du cœur. Nous ne sommes pas assez grand clerc pour dire de lui qu'il est un « martyr ». Nous ne savons pas plus si, prisonnier politique il est... Nous savons qu'il a été et qu'il est fort maltraité. Mais ce que nous percevons par-dessus tout, c'est sa lucidité.

    Il prend le soin de dire « En République française » et non pas « En République... ». Convenez qu'il fait preuve d'une grande finesse d'esprit ! D'une connaissance certaine de notre histoire...

    Sa phrase simple ne fait-elle pas écho à la réflexion du « vieux » poète de Martigues qui dressait lui aussi un constat ?

    « Quelques centaines de familles sont devenues les maîtresses de la planète. Les esprits simples qui s'écrient : « révoltons-nous, renversons-les », oublient que l'expérience de la révolte a été faite en France, il y a cent quinze ans ; et qu'en est-il sorti ? De l'autorité des princes de notre race, nous avons passé sous la verge des marchands d'or, qui sont d'une autre chair que nous, c'est-à-dire d'une autre langue et d'une autre pensée. Cet Or est sans doute une représentation de la Force, mais dépourvue de la signature du fort. On peut assassiner le puissant qui abuse ; l'Or échappe à la désignation et à la vengeance. Ténu et volatil, il est impersonnel. Son règne est indifféremment celui d'un ami ou d'un ennemi, d'un national ou d'un étranger. Sans que rien le trahisse, il sert également Paris, Berlin et Jérusalem. »
    http://maurras.net/textes/92.html

    Maurras-60-ans-apres

    Il se dit que Nicolas Bernard-Buss est un « Veilleur » de la première heure. Nombreux sont ceux qui louent cette belle réponse à la « déshumanisation ambiante » couronnée par une loi... Belle réponse donnée par toute une jeunesse française que personne n'attendait.
    En son temps, le poète de Martigues pressentait-il une telle réponse en nous disant :
    « Il suffirait de supposer qu'une lucide conscience du péril, unie à quelques actes de volonté sérieuse, suggère à l'Intelligence française, qui, depuis un siècle et demi, a causé beaucoup de désastres, de rendre le service signalé qui sauverait tout. » Charles Maurras- L'avenir de l'Intelligence.
    http://maurras.net/textes/92.html

    Oui, nous disons merci à Nicolas Bernard-Buss, un très grand merci ! A Nicolas Bernard-Buss qui s'insurgeait en lançant :
    «Quand est-ce que les forces prétendument de l'ordre cesseront-elles d'obéir à des ordres absurdes? Quand prendront-elles enfin conscience que les voleurs et les menteurs ne sont pas le peuple pacifiste en face d'eux, mais les vieillards malades au-dessus d'eux? C'est après cette oligarchie qui s'en prend aux enfants qu'il faut courir, Messieurs les policiers!»
    Source :
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/06/20/01016-20130620ARTFIG00745-nicolas-23-ans-anti-mariage-gay-deux-mois-de-prison-ferme.php

    Nicolas Bernard-Buss ne fait-il pas écho à celui qui lançait en son temps :
    «Enfants de France, ce n'est pas votre pays qui s'est écroulé sur vous, c'est le règne des vieux. Le règne des vieux s'écroule d'ailleurs partout dans le monde et les dictatures qui se vantaient d'être jeunes travaillaient aussi pour lui en exploitant et en déshonorant l'enfance. Le monde a failli périr d'une espèce d'usurpation universelle de l'esprit de vieillesse contre l'esprit d'enfance, voilà la vérité.» Georges Bernanos

    bernanos

    Le pire n’est jamais certain. Des « Enfants de France », d’instinct pourrions-nous dire, se lèvent et disent Non ! Nicolas Bernard-Buss est l’un d’eux. En lui disant merci, nous les remercions tous !

    Portemont

    nicolas-buss-2
    Lire :
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/07/01/01016-20130701ARTFIG00293--nicolas-bernard-buss-ce-prisonnier-qui-derange.php

    http://www.lesmanantsduroi.com

  • Débat sur l'embryon : simulacre de démocratie à l'assemblée

     

    Communiqué de la Fondation Lejeune :

     

    "Après l’échec d’une tentative des radicaux de gauche en mars, le gouvernement s’obstine et a remis à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la proposition de loi visant la libéralisation de la recherche sur l’embryon humain en France. Examiné depuis 23h hier soir, en catimini, à la veille des vacances parlementaires, le texte ne fait pas l’objet du débat qu’il mérite. Mutisme de la ministre et du rapporteur, réserve de vote, absence des partisans du texte sur les bancs de l’hémicycle : le débat est tronqué alors que le Parlement s’apprête à entériner le bouleversement du droit, celui de chaque être humain à être protégé dès le commencement de sa vie (art. du Code civil). Les opposants à la recherche sur l’embryon humain, députés ou simples citoyens, peuvent s’indigner de la tournure que prend le simulacre de débat à l’Assemblée nationale.

    Après avoir non seulement refusé de répondre à la seconde motion déposée par les défenseurs du régime actuel, la ministre a finalement décidé d’utiliser la réserve de vote pour vider de son intérêt tout examen des amendements. En effet, les opposants au texte ont le droit de défendre point par point chaque amendement à ceci près qu’aucun n’est plus soumis au vote. La manœuvre présente deux avantages que la ministre ne prend même pas la peine de maquiller : d’une part, elle permet à tous les partisans du texte de tranquillement quitter l’hémicycle et de se soustraire au débat puisqu’aucun vote n’aura lieu avant le vote solennel global de mardi, d’autre part, elle évite le risque qu’un des amendements ne soit adopté ce qui changerait, même à minima, le texte et obligerait à une navette avec le Sénat.

    Enfermée dans le mutisme et le refus du débat, la ministre ne répond pas à des questions posées à plusieurs reprises par les opposants au texte dans l’hémicycle, questions qui concentrent pourtant les enjeux de fond des discussions en cours :

    1. Peut-elle affirmer que l’embryon humain n’est pas un être humain ?

    2. La ministre a-t-elle reçu des représentants des lobbys de l’industrie pharmaceutique ?

    3. Puisqu’elle-même s’indigne des soupçons portés sur la proposition de loi, qui répondrait davantage aux attentes des industriels que des patients, pourquoi refuse-t-elle d’inscrire dans le texte que le recours aux embryons humains soit réservé aux équipes publiques de recherche, comme le proposent certains ?

    4. Une libéralisation de la recherche sur l’embryon ne mettra-t-elle pas à mal la clause de conscience des chercheurs qui refuseraient de détruire des embryons humains dans le cadre de leurs travaux ?

    5. Quel budget la France alloue-t-elle et prévoit-elle d’allouer à la recherche sur les cellules iPS qui focalisent les crédits et les ressources humaines dans certains pays, au Japon en particulier ?

    6. Comment ose-t-elle appeler à plus d’indépendance de l’Agence de la Biomédecine alors que l’ABM a été épinglée par la Cour administrative d’Appel de Paris pour une dérogation de recherche sur l’embryon accordée illégalement, d’autres recours étant en cours d’examen.

     

    La majorité socialiste franchit deux caps, dans cette affaire. Elle érige en normes des atteintes à la vie humaine qui n’étaient jusqu’à présent que dérogatoires. Elle stigmatise comme des ennemis ceux qui veulent garantir le respect de chaque être humain dès le commencement de sa vie. C’est peu dire qu’en livrant une guerre contre la vie des plus fragiles d’entre nous, une telle majorité a perdu toute légitimité. La Fondation Jérôme Lejeune participait aujourd’hui à une scénographie à côté de l’Assemblée nationale. Les participants, rassemblés par le collectif Un de nous, ont symbolisé et dénoncé la recherche utilisant des embryons humains.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 14 juillet pour tous…

    Invitez tous vos amis ! On continue !
    Le 14 prévoyez de venir suffisamment tôt pour être en première ligne sur le parcours du défilé ! Hollande tu vas nous entendre !

    http://fr.altermedia.info

  • Le 14 juillet 2013, on leur rend la Bastille, on ne lâche rien !