Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 2314

  • Le devoir d'inventaire ( Partie 2): la délinquance

    « Faits divers.

    L'agresseur a réussi à rapidement prendre la fuite sans être identifié...

    Alors qu'il effectuait samedi une mission vigipirate dans le quartier d'affaire de La Défense (Hauts-de-Seine), un militaire a été poignardé à la gorge par un homme qui a réussi à prendre la fuite, révèle leparisien.fr. Le militaire, en tenue, qui se trouvait en patrouille Vigipirate, a reçu un coup de cutter au cou. Son «pronostic vital n'est pas engagé», a affirmé une source policière, sans donner de précisions sur l'agresseur ou ses motivations. Le militaire blessé a été soigné par les pompiers avant d'être évacué. » (1)

    Si je poursuis mon devoir d'inventaire en octroyant le second chapitre à la délinquance, ce n'est pas le fait du hasard où de l'actualité brûlante. Dans les faits, la délinquance occupe un rôle majeur dans ce que l'on a coutume d'appeler la mouvance, ce au point d'occulter des problématiques bien plus essentielles. Je crains d'ailleurs, non sans raison, que la délinquance est la raison majeure permettant d'expliquer la sympathie dont nous disposons dans une partie de plus en plus grande de l'opinion.

    Il ne s'agit pas de minimiser un problème qui commence véritablement à devenir préoccupant dès la seconde partie des années 70. Dans le quotidien, le phénomène est insupportable pour de plus en plus de Français et de façon plus générale pour les occidentaux. Il m'apparaît donc nécessaire, dès lors où l'on veut appréhender la nature du problème, de ne pas se contenter d'énumérer les différentes agressions commises sur l'ensemble du territoire. Là encore et comme presque toujours, la déduction prime l'induction. S'interroger par exemple sur le pourquoi de la montée du phénomène spécifiquement sous le septennat giscardien: pourquoi pas avant ou après ? Je pense, tout en sachant que l'ouvrage sérieux sur le fait est à écrire, que l'explosion de la délinquance est une des conséquences de la postmodernité. Je suis persuadé que la plupart des maux qui touchent la France mais aussi l'Europe d'aujourd'hui sont imputables à cette postmodernité même si cette période s'annonce bien plus tôt, la seconde guerre mondiale marquant probablement une ligne de démarcation. A destination du lecteur de formation philosophique, j'ose écrire que la postmodernité que l'on présente souvent - les très fameux spécialistes - comme une rupture d'avec la modernité, c'est à dire le 17 ème siècle, est à mes yeux déjà présente chez Descartes. La place me manque ici puisqu'un simple article ne peut suffire à lui seul à justifier: comme bien souvent, il faudrait écrire un ouvrage.

    A la source.

    Chacun sait que l'homme s'inscrit dans la chaîne du vivant. L'éthologie est la discipline qui se préoccupe de l'étude comparée des comportements animaux et vivants. Si Schopenhauer (2) est peut être bien le précurseur de la discipline, c'est certainement Konrad Lorenz (3) qui l'a faite connaître au grand public. Etudier l'homme directement, c'est fatalement être confronté à de très importante difficultés au motif de la complexité de l'être étudié. En revanche, passer par l'entremise de l'animal, c'est se favoriser la tâche puisque les animaux ont à bien des égards des comportements humains qu'on peut qualifier de caricaturaux. Ces animaux, on le sait, se situent à différents stades de l'évolution; ainsi par exemple, les reptiliens qui disposent d'un cerveau éponyme, leur permettant de survivre: ainsi par exemple la survie proprement dite face à un danger mortel, le fait de se restaurer, d'acquérir un environnement bien à soi et enfin de posséder une femelle à des fins de procréation. Evidemment, il existe des animaux plus évolués comme les mammifères et ce à des degrés divers. C'est ainsi qu'existent les formes limbiques, qui permettent l'obtention de la mémoire, qualité que n'ont pas les reptiles par exemple.

    L'éthologie a déjà été partiellement abordé sur Voxnr dans le cadre d'un article précédent intitulé « Ensauvagement et décivilisation » (4), article qui a été par la suite repris par plusieurs sites. Il y est montré le retour à l'animalité de nombre de nos contemporains dont il serait erroné de croire qu'ils sont nécessairement très ciblés. Afin d'aller plus avant, on peut noter que dès lors où l'on se préoccupe de la pensée, fatalement on finit par s'initier aux sciences du vivant. La pensée n'est pas une simple émanation, issue qu'elle est de notre cerveau, lui bien matériel: d'où la nécessité de savoir, dans la mesure du possible, comment comment celui ci fonctionne.

    A titre d'exemple, il est à mes yeux deux erreurs que l'on commet bien souvent: se réclamer du spiritualisme ou du matérialisme. Pour se réclamer du matérialisme, il faudrait savoir ce que sont les constituants les plus intimes de la matière; or à ce jour, aucun scientifique ne le sait. D'où le ridicule à s'en réclamer. A ce titre, l'idée de Leibniz (5) postulant que la matière est d'essence spirituelle – la monade (6) - n'est toujours pas à écarter. Réciproquement, postuler l'Esprit au sens où on l'indique habituellement n'est pas plus pertinent d'un point de vue intellectuel; en effet, ils sont nombreux les neurobiologistes contemporains à considérer que l'Esprit n'est qu'un stock d'informations situé dans le cerveau.

    « Si j'aime ceux qui se posent des questions, je me méfie de ceux qui trouvent. » François Mitterrand, L'abeille et l'architecte.

    Il est une tradition majeure dans l'histoire de la philosophie occidentale qui consiste à réduire l'homme à sa pensée; la réalité est malheureusement toute autre. Si nous disposons bien d'un néo-cortex qui nous distingue de nos amis les animaux (7), il ne faudrait pas en déduire que nous sommes divins, détachés de notre corps ainsi que de la partie reptilienne de notre cerveau. Cela, le Catholicisme l'a très bien perçu et notamment Saint Augustin qui met bien en exergue notre propension naturelle, voire notre fascination – l'adjectif est important – à faire le mal. L'expérience que j'ai d'un demi siècle de vécu ainsi que la lecture de milliers d'ouvrages m'incitent à penser que l'homme ment. Dans ses dires, dans son comportement et très probablement aussi dans le regard qu'il porte sur lui même. Les psychologues mais aussi les moralistes, spécialistes de la nature humaine, ne sont eux pas dupes et nous écrivent la vérité que nous ne voulons surtout pas voir: le néo-cortex nous sert très majoritairement à satisfaire des pulsions dont l'origine est reptilienne. Le Catholicisme, quant à lui, nous invite je le crois, à utiliser notre néo-cortex afin de museler nos aspirations reptiliennes. Pascal (8) n'était pas dupe quant à la dualité de l'homme. Quant à «l'imitation de Jésus-Christ» (9) on y trouve des sentences assez éclairantes comme par exemple: «celui qui se connaît bien se méprise.». Ce que je veux signifier par là, c'est que l'homme, y compris celui qu'on qualifie d'honnête, ne l'est pas totalement.

    Je vous laisse imaginer ce qu'il peut y avoir dans la tête des moins civilisés des humains...

    Depuis l'agression commise à l'encontre du militaire dont il est question, les supputations vont bon train. Ainsi:

    « François Hollande, interrogé à Addis Abeba sur l’agression au cutter dont a été victime un militaire près de Paris, a déclaré qu’« à ce stade » aucun lien n’était établi avec le meurtre d’un soldat britannique par deux islamistes radicaux à Londres, mais « nous devons regarder toutes les hypothèses ».

    « Nous ne connaissons pas encore les conditions et les circonstances exactes de l’agression, ni même la personnalité de l’agresseur, mais nous devons regarder toutes les hypothèses et nous n’en négligeons aucune », a déclaré le président de la République en confirmant devant la presse française qui l’interrogeait cette agression d’un soldat « présent à la Défense dans le cadre de l’opération Vigipirate ».» (10)

    Bien évidemment, ni vous ni moi, ne savons ce qu'il s'est exactement passé et sur le pourquoi de cette agression. La France étant devenue très nettement puissance occidentale avec ce que cela suppose de renoncement à notre essence, il peut être intéressant pour les gouvernements français de fustiger l'islam: vieille tactique au demeurant que de détourner l'attention du Peuple des problèmes intérieurs majeurs et réels au motif d'événements extérieurs dont on ne sait que très peu (Staline devenu soudainement patriote par exemple suite à l'attaque allemande)... La détestation du phénomène islam si dénoncé par les occidentaux, mon Lecteur n'est pas dupe, allant de pair avec le soutien et le financement de groupes islamistes particulièrement inquiétants par ces mêmes occidentaux. (Le fameux printemps arabe ou la déstabilisation tentée en Syrie par exemple).

    L'Islam en lui même, puisque beaucoup l'associent à la délinquance, est devenu un terme fourre-tout. Rappelons la loi d'origine musulmane permettant la section de la main du voleur. Si d'aventure cette loi venait à être appliquée, ni mon Lecteur, ni moi, n'en seraient personnellement concernés. J'en connais d'autres qui en revanche... Je me dois aussi de rappeler (10) que l'Islam, contrairement au Catholicisme, ne dispose pas d'une autorité suprême: les doxa sont donc multiples. Il en est de même des différentes communautés vivant en France, peu ou prou musulmanes, qui ont un rapport différent avec la délinquance. Comment exprimer le choses afin de nullement froisser les susceptibilités ? Les Turcs, par exemple, même si on pourra trouver des contre-exemples, ne sont pas spécialement délinquants. Vous avez compris ? Nous sommes au moins deux...

    En tant que tel, on peut en déduire que l'Islam n'est pas le facteur occasionnant la délinquance. Bien au contraire, la pratique religieuse monothéiste, quelle qu'elle soit, insiste sur l'honnêteté.

    Autre aspect, même si l'argument a été utilisé de façon trop caricaturale par la gauche de naguère, c'est à dire lorsqu'elle était encore de gauche, il est vrai que l'aspect social joue un rôle essentiel en matière de délinquance: ce n'est pas un diplômé d'une grande école d'ingénieurs qui subtilisera le sac d'une personne âgée; ce qui ne l'empêchera pas d'ailleurs de pratiquer un éventuel détournement fiscal ou comptable: l'appartenance sociale détermine donc la propension à la délinquance et le type de délinquance. Et fatalement, la partie la moins diplômé de la population, bien souvent la moins éduquée, bien souvent la moins employée, est la plus apte à sombrer dans la délinquance. Or, on le sait, c'est la délinquance visible qui sensibilise le plus la population.

    Quant aux délinquants issus de l'immigration récente dont on sait très bien qu'ils jouent un rôle majeur dans la délinquance (9 détenus sur 10 sont issus de ce terroir là), il faut être lucide: au tout début des années 80, moins d'un jeune sur dix entrait dans l'enseignement supérieur et beaucoup arrêtaient leurs études dès la fin de la première année. Il y avait pourtant beaucoup d'étudiants étrangers, issus de différentes races et religions, surtout dans les disciplines scientifiques. Nous nous considérions comme égaux, seules les notes obtenues faisant une différence. Point de délinquance. Là encore, le fait social intervenait: ces étudiants étrangers étaient presque tous issus de milieux sociaux particulièrement favorisés. Ces étudiants que je fréquentais à l'époque au quotidien, principalement arabes (Maghreb, Liban, Syrie) avaient des rapports assez tendus – c'est un doux euphémisme, une litote pudique - avec certains jeunes arabes français. Un étudiant tunisien avec lequel j'avais des accointances certaines s'en était alors expliqué avec moi: « Tu ne croyais quand même pas que pour aller vider vos poubelles, on allait vous envoyer nos élites. » Dès le départ donc, les dés étaient pipés. Une population de faible niveau, donc avec peu de capacités d'adaptation, que l'on soumet à une langue différente, à une ethnie différente, à un climat différent, à une langue différente avec de plus un alphabet différent, à une religion différente, à une mentalité différente...

    Tout cela, nos politiques de l'époque qui vantèrent l'immigration le savaient pertinemment. Je me souviens très bien que ce que l'on appelait à l'époque, les années 70, « l'extrême droite », reprochait aux immigrés d'envoyer leur solde dans leur pays d'origine, ce que les autres tendances politiques niaient avec la plus grande mauvaise foi. Pour autant, et Giscard, et son premier ministre Chirac, en avaient conscience; d'où l'idée de faire venir toute la famille étrangère en France - le fameux regroupement familial - afin que l'argent soit dépensé ici.

    L'immigration est AVANT TOUT un fait économique. Les importateurs d'immigrés ont agi pour DES RAISONS FINANCIERES. Les immigrés ne sont pas venus travailler en France par amour du pays mais bien pour DES RAISONS FINANCIERES. Si d'aventure on s'installe en France afin de percevoir des avantages sociaux que l'on ne trouve pas dans son pays, c'est encore pour DES RAISONS FINANCIERES.

    La délinquance, elle aussi, est principalement de même origine, puisque le voleur est mû par l'argent: DES RAISONS FINANCIERES. Et si on ne construit pas davantage de prisons malgré l'évidente nécessité ( surpopulation carcérale, une peine prononcée sur deux par les tribunaux n'est pas appliquée), c'est encore pour DES RAISONS FINANCIERES.

    Mon lecteur sait très bien que si d'aventure il vend des objets dans le cadre d'une braderie, il est de son intérêt de vendre au plus cher. Mais si d'aventure il confie son stand quelques minutes afin de lui même aller acheter, il aura tout intérêt à acheter au moins cher un même objet: RAISONS FINANCIERES.

    Ce n'est pas là phénomène humain mais reptilien... Où l'on revient à l'éthologie et à la neurologie... (11).

    Pourquoi Cher lecteur, pensez vous que Nicolas Sarkozy ait augmenté la solde du président de la république de 140% dès son accession au pouvoir ?

    Pourquoi Cher lecteur, pensez vous que les parlementaires de gauche freinent autant au sujet du non cumul des mandats ?

    « La crise est dans l'homme ». (12) Et le sachant, il est criminel de la part des gouvernements successifs d'avoir mis l'homme dans des situations où fatalement, il allait faillir...

    Alain Rebours http://www.voxnr.com

    Notes :

    (1) Journal Ouest France – samedi 25 mai 2013.

    (2) Schopenhauer (1788,1860).

    (3) Konrad Lorenz (1903,1989).

    (4) http://www.voxnr.com/cc/politique/EFyElkkZZyXhSsyOuf.shtml

    (5) Leibniz (1646,1716) ou Leibnütz mais pas Leibnitz .

    (6) Leibniz, La Monadologie, 1714, livre de poche (classiques).

    (7) « Les animaux sont mes amis... et je ne mange pas mes amis. » George Bernard Shaw (1856,1950).

    (8) Blaise Pascal (1623,1662), y compris dans les citations les plus célèbres: « L'homme n'est ni ange, ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête. ». « (Je) le contredis (l'homme) toujours, jusqu'à ce qu'il comprenne qu'il est un monstre incompréhensible. » Pensées, 420.

    (9) De imitatione Christi, fin XIV ème, début XV ème. Thomas a Kempis. A lire impérativement !

    (10) 20minutes.fr samedi 25 mai 2013.

    (11) Cioran (1911,1995) « L'homme secrète du désastre ».

    (12) Thierry Maulnier (1909,1988).

  • Allocations familiales françaises : maintenant c’est priorité aux Algériens !

    PARIS (NOVOpress) – Tous les médias s’accordent à le dire, la loi sur le mariage homo passée, la réforme des allocations familiales sera pour le gouvernement le prochain gros dossier chaud à traiter.

    Pour soi-disant rétablir l’équilibre financier de la branche famille, et trouver un milliard d’euros dès 2014, le gouvernement a plusieurs scénarios en main.

    Scénario envisagé : toujours plus à gauche
    Il a promis que ces décisions seront prises au nom d’une « justice sociale » accrue dans les prestations versées et seront complétées par des mesures «sur la petite enfance et l’accueil dans les crèches».

    Mais pour faire des économies, le gouvernement devrait adhérer au scénario préconisé par le rapport que lui a remis le président du HCF, Bertrand Fragonard, qui propose de mettre à contribution les ménages les plus aisés, en diminuant par exemple les allocations pour les ménages de deux enfants gagnant environ 5.000 euros par mois et à les diviser par quatre au-delà de 7.100 euros. En bref, la solution de facilité et la plus politiquement correcte, comme à l’accoutumée .

    Rééquilibrer les comptes par des économies, en taxant les foyers français « aisés », en temps de crise et de récession, cela peut toujours se discuter, mais ce que l’on sait moins c’est qu’une décision de la Cour de cassation en séance plénière du 5 avril dernier étend l’accès à ces aides pour les enfants algériens, y compris ceux nés à l’étranger !

    On nous aurait menti ?En effet, depuis cette date, tout parent algérien peut toucher des allocations familiales en France, au titre de ses enfants, nés en Algérie, et qui décideraient de rejoindre la France. Une information qui fait désormais le « buzz » au sein de la classe politique française, depuis sa révélation par l’hebdomadaire Valeurs actuelles.

    Selon le magazine, “l’Europe impose à la France d’étendre le bénéfice de sa politique familiale à tous les enfants d’immigrés, mêmes nés à l’étranger.” Nous pouvons à nouveau remercier l’Union européenne, car sa circulaire en question précise qu’un “ressortissant algérien résidant légalement dans un État membre doit être traité de la même manière que les nationaux de l’État membre d’accueil” et particulièrement en ce qui concerne “l’octroi d’une prestation sociale”.

    Que ce ressortissant ait cotisé ou non, quelle différence ? D’autant que dans une logique d’« égalité » sociale, on ne voit pas pourquoi cette mesure ne serait pas étendue aux autres nationalités.

    Une véritable reconnaissance de la polygamie
    En effet, cette décision enterre la loi Pasqua de 1993, qui stipulait qu’”un ressortissant étranger qui vit en état de polygamie” ne pouvait alors pas obtenir de carte de résident de 10 ans ainsi que de faire bénéficier plus d’un conjoint du regroupement familial.

    Dans son article, Valeurs actuelles nous rappelle l’affaire tout à fait significative de Lies Hebbadj, un islamiste poursuivi en 2012 pour polygamie et escroquerie aux aides sociales et qui aujourd’hui ne devrait plus connaître de problèmes… On estime d’ailleurs à 80.000 le nombre de pères dans le cas de ce cher M. Hebbadj, d’après le ministère de l’Intérieur.

    Pour les Algériens polygames vivant en France, mais dont l’une des compagnes réside en Algérie, il suffira de faire venir celle-ci et de la déclarer comme parent célibataire pour que tous les enfants de cette « famille » aient droit à leur part du gâteau financé financé par vos impôts.

    Cette nouvelle risque de faire tâche, alors que Flan-Flan déclarait, il y a deux semaines encore, que les allocations familiales baisseraient bien, et à partir de 5.000 euros de revenus. Elle devrait surtout créer un véritable appel d’air pour inciter une nouvelle forme d’immigration massive.

    Voilà donc où seront réinvesties ces économies sur le pouvoir d’achat des familles françaises : poursuivre plus que jamais la logique du Grand Remplacement.

    Julien Lemaire http://fr.novopress.info

  • Scandale du fisc américain : les racines du mal

    La “malédiction du second mandat”, dont plusieurs présidents américains ont été victimes, menacerait-elle Barack Obama ? Le scandale de l’Internal Revenue Service (IRS ; le fisc américain) sera-t-il un jour comparé par les politologues à l’affaire Lewinsky pour Bill Clinton, à l’ouragan Katrina pour George W. Bush, voire au Watergate pour Richard Nixon ?

    Cette fois, l’affaire de l’IRS menace le président américain parce qu’elle met en cause deux idées-forces de sa campagne électorale victorieuse de 2012 : la confiance en l’Etat et l’honnêteté politique.

    En ciblant les groupes locaux du Tea Party désireux d’obtenir une exemption fiscale, l’IRS a fait montre, en 2011 et 2012, d’une volonté d’intrusion dans les milieux les plus conservateurs du Parti républicain, les plus hostiles à la réélection du président. Une discrimination politique dans un domaine – l’impôt – qui est un marqueur historique de l’histoire politique américaine. Le nom du mouvement Tea Party ne fait-il pas référence à la révolte de 1773 à Boston contre la taxation imposée par le colonisateur anglais ? L’affaire évoque en outre celle du Watergate, lorsque, dans les années 1970, Richard Nixon avait utilisé le même IRS pour abattre financièrement ses adversaires démocrates.

    Mais les retombées politiques potentiellement ravageuses de cette affaire masquent ses véritables racines : le déferlement sans précédent de “cash” dans la vie politique américaine depuis l’arrêt “Citizen United” de la Cour suprême. Une décision qui, en 2010, a supprimé toute limitation au financement par les entreprises des “Super Political Action Committees” (“comités d’action politique”, Super-PAC).

    La seule obligation de ces Super-PAC consiste à publier l’identité des donateurs. Leur succès a transformé ces entités en grosses cagnottes de la présidentielle 2012 qui, avec plus de 6 milliards de dollars (4,6 milliards d’euros), a battu tous les records, notamment en matière de publicité politique télévisée. Barack Obama, qui avait tempêté contre la décision de la Cour suprême, allant jusqu’à défendre l’idée d’un amendement à la Constitution pour l’infirmer, s’y est rallié de fait en acceptant que sa campagne 2012 soit financée par le Super-PAC créé par ses amis, “Priorities USA Action“.

    Le déferlement de fonds a été si massif qu’il ne s’est pas arrêté aux Super-PAC. D’autres supports, comparables aux “associations loi 1901″ françaises et baptisés “501 (c) (4)”, en référence à l’alinéa du code fiscal qui les exempte d’impôts, ont proliféré. Leur attractivité est double : exonérés d’impôts, ils sont aussi dispensés de publicité sur les noms de leurs donateurs. Et les avantages des deux formules se combinent ! Les associations “501 (c) (4)”, théoriquement consacrées au “bien-être général” (“social welfare“), peuvent financer… un Super-PAC qui, lui, soutient un candidat. Ce qui permet un financement à la fois illimité et anonyme, car seule l’appellation sibylline du “501 (c) (4)” apparaît alors au titre de donateur. Les deux candidats à la présidentielle 2012, Mitt Romney et Barack Obama, ont ainsi disposé de la combinaison de ces deux formules juridiques, chacun de leurs Super-PAC étant doublé par une association jumelle “501 (c) (4)” au nom presque semblable.

    Mais, alors que les Super-PAC sont placés sous le contrôle de la très discrète Commission électorale fédérale (FEC) chargée depuis l’affaire du Watergate d’éplucher les comptes de campagne, les associations “501 (c) (4)” ressortissent directement au fisc. D’où l’actuel scandale lié à ce moment de l’histoire juridico-politique qui a conduit des centaines de millions de dollars vers des entités conçues pour gérer des activités associatives. Et le fisc américain, à contrôler de facto des financements politiques, sans que personne n’en ait vraiment décidé.

    A l’origine, le statut “501 (c) (4)” et son privilège fiscal étaient réservés aux associations telles que les clubs sportifs, les groupes de pompiers volontaires ou de défenseurs de l’environnement, soit 44.000 structures au total. La célèbre National Rifle Association (NRA) ou la puissante association des retraités AARP en bénéficient.

    Les gestionnaires des campagnes électorales ont su tirer parti de l’incroyable flou qui entoure la “dose” de politique acceptée par l’IRS pour maintenir l’exonération fiscale. Aux yeux du fisc, les associations en question ne doivent pas être “principalement engagées” dans l’action électorale. L’ambiguïté de la formule est devenue un énorme problème politique depuis qu’en 2011, une débauche de “cash” a déferlé. C’est aujourd’hui le centre du scandale : tandis que l’IRS traquait les groupes locaux du Tea Party qui, sous couvert d’éducation du citoyen, faisaient campagne contre Barack Obama tout en demandant le bénéfice de l’exonération, le fisc restait coi face aux agissements des “grosses” associations politiques prétendument charitables. Celles qui, en réalité, brassaient les millions de dollars de la publicité électorale des deux candidats : non seulement “Crossroads GPS” créée par le stratège républicain Karl Rove, mais aussi “Priorities USA“, qui roulait pour le président.

    Barack Obama aura d’autant plus de mal à dénoncer les méfaits de la dérégulation dans ce domaine que “Organizing for Action“, la nouvelle entité qui gère son compte Twitter et son site Web, se présente comme l’une de ces associations vouées au “bien-être général“.

    Le Monde  http://fortune.fdesouche.com

  • Palme de plomb à Cannes : Abdellatif Kechiche émule de Pierre Bergé ?

    « La vie d’Adèle » une Palme de « plomb » selon des techniciens qui disent avoir été » traités comme des chiens »

    Au lendemain du sacre du réalisateur Abdellatif Kechiche qui a obtenu la Palme d’or, à Cannes, ce dernier est accusé d’avoir imposé des conditions de tournages très difficiles durant « La vie d’Adèle ».

    Sur la radio France Bleu Nord, un technicien a accepté de témoigner.

    Dès lundi, Abdellatif Kechiche qui a obtenu la Palme d’or, à Cannes, est devenu selon des techniciens qui ont participé au film, un réalisateur impitoyable qui imposerait des conditions de tournage très difficiles.

    Le terme de « harcèlement moral » est même employé par Le Monde.

    « cette palme n’était pas « d’or » mais de « plomb »" ( un technicien)

    Des témoignages d’ intermittents du spectacle qui ont participé au tournage ont été recueillis par un membre d’Atocan, l’association des techniciens et ouvriers du cinéma du Pas-de-Calais.

    Selon des techniciens cette palme n’était pas « d’or » mais de « plomb » et l’un d’eux confie avoir entendu « une grande détresse » de la part des gens qui travaillaient sur le film La vie d’Adèle.

    Selon lui ce film est « le contre-exemple de ce qu’on fait en matière de comportement envers une équipe technique » avec notamment des « horaires de convocations données en pleine nuit ».

    Un technicien raconte sur France Bleu Nord, des conditions de tournage pendant cinq mois, de mars à août 2012, du film qui a remporté la Palme d’or 2013.

    Le technicien explique avoir du abandonner le tournage du film comme une demi-douzaine de ses collègues selon lui et parle d’ »une pression permanente ».

    Il cite notament « une équipe de production qui apprend le matin même qu’elle a 150 figurants à gérer » et qu’ »il est arrivé de faire 13 jours de tournage d’affilés ».

    Selon un technicien, « Le réalisateur défend des options d’humanisme, de progrès social mais il fait exactement le contraire en plateau ».

    Il admet une grande « fierté » pour cette Palme d’or mais aussi un certain « dégoût » et dit regretter ses heures de travail où il a beaucoup donné de lui pour finalement « se faire traiter comme des chiens, c’est un cynisme abominable ».

    « Ce n’est pas une palme d’or, c’est un palme de plomb » estime des membres de l’ association de techniciens.

    Le syndicat des professionnels de l’industrie de l’audiovisuel et du cinéma, ( Spiac-CGT) dénonce même dans un communiqué des « manquements au Code du travail ».

    Le Mediascope

    Pour l’instant, aucune réaction de Caroline Fourest, l’égérie des lesbiennes. Pourtant cette palme d’or, film lesbien IMPLIQUANT UNE MINEURE dans le scénario, n’était-elle pas une pied-de-nez au million de Français réac qui étaient descendus dans la rue le même jour ?

    http://www.actionfrancaise.net

  • Violences policières - La racaille en uniforme - LMPT 26 mai 2013

  • Béatrice Bourges : «La présence de Copé hier est clairement une tentative de récupération politique»

    Dimanche 26 mai, la Manif pour tous a mobilisé plusieurs centaines de milliers de personnes à Paris. Au lendemain de ce baroud d’honneur des opposants à la loi Taubira, Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français, revient sur cette journée de mobilisation tout en condamnant un « État de plus en plus répressif ». Entretien avec NewsRing

    Quel bilan dressez-vous de cette dernière mobilisation ?

    Béatrice Bourges : C’est une véritable réussite dans la mesure où on y a trouvé des personnes plus déterminées que jamais. Le mouvement est resté très familial malgré les mises en garde excessives et la volonté de découragement de Manuel Valls et du préfet de police. Les manifestants ont bravé tout cela et se sont fait confiance pour protester de façon non-violente. Plusieurs dizaines de personnes ont pourtant été interpellées dimanche après-midi, mais aussi avant et après la manifestation.

    Pour ce qui est des arrestations qui ont eu lieu en amont de la manif, il faut dénoncer certains comportements des forces de l’ordre. Sur les Champs-Elysées, le député italien Luca Volontè, présent à Paris ce week-end, a assisté samedi soir à l’interpellation de plusieurs jeunes qui manifestaient contre la loi Taubira. Une personne qui lui expliquait ce qu’il se passait a même été arrêtée et mise en garde à vue. Le parlementaire italien s’est immédiatement étonné de ces violences policières en France. Parmi les personnes arrêtées dans la nuit de samedi à dimanche, il y avait aussi un avocat, présent pour filmer des arrestations abusives et des jeunes filles qui ont été malmenées par les forces de l’ordre ! On vit dans un Etat de plus en plus répressif.

    La suite sur NewsRing

    http://www.actionfrancaise.net

  • Coucou Manuel Gaz

    Les femmes interpellées près du lycée Buffon, au commissariat. De vraies nervies d'extrême-droite :

    3

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Invalides, 26 mai 2013 : les premières émeutes

    Une foule énorme qui se réunit à Paris contre la loi sur le mariage homo, un chiffre improbable de nouveau avancé par la Préfecture de police, cinquante jeunes interpellés la veille sur les Champs-Elysées pour port de drapeaux de la ’manif pour tous’, et des policiers en civil qui continuent de semer la peur...

    La situation était mûre pour des heurts avec les forces de l’ordre, déployées en très grand nombre en ce dimanche de mai.

    Des policiers en civil reviennent se protéger derrière les CRS d’une charge violente et soudaine. A l’extrême-droite de la photo, on distingue plusieurs d’entre eux cagoulés et sans brassards.

    Les racailles d’ "extrême droite" ? Des ripoux à la solde de Manuel ValSS !

    L’intégralité du reportage sur Politique Magazine

    http://www.actionfrancaise.net

  • Toutes les lois civiles sont réversibles et n’ont rien de sacré

    Mgr Tony Anatrella donne à Zenit ses impressions après La Manif pour Tous. Extraits :

    "L’homosexualité fut considérée il y a quelques années comme une maladie et maintenant on passe à un autre extrême en voulant la situer à égalité avec l’hétérosexualité. On s’empêche ainsi de réfléchir sur la nature de l’homosexualité et de savoir situer les gens qui vivent ainsi dans la société. Certains, perdus avec eux-mêmes, ont été récupérés et manipulés par des lobbys qui les ont instrumentalisés en leur faisant croire que leurs problèmes étaient liés à la discrimination et aux « inégalités ». Le mariage est ainsi apparu comme un certificat de reconnaissance pour tous alors qu’il ne peut pas être un facteur d’intégration des orientations sexuelles, et pas davantage une « union civile ». Une cruelle illusion dans laquelle les gens découvrent qu’ils sont bernés et la société entraînée dans un univers irréel. De nombreux homosexuels ne veulent pas de ce mariage car ils savent ce qu’est la famille en vérité.

    En même temps, des milliers de jeunes s’éveillent à une conscience politique pour lutter contre cette loi funeste et les « veilleurs » préparent dans le silence, la réflexion et la prière, l’avenir qui reste ouvert grâce à eux. Face aux bruits politico-médiatiques, leur silence est parlant, et c’est grâce à ce silence que des gens qui ne se parlaient pas jusqu’à présent peuvent commencer à le faire. [...]

    Cette manifestation n’est ni un baroud d’honneur, ni un dernier soubresaut mais la continuité d’une mobilisation des citoyens qui ne s’arrêtera pas. Le pouvoir politique a voulu accélérerla mise en place de cette loi face à la peur d’une prise de conscience des enjeux de la population et, de ce fait, de ses réticences. Il ne fallait pas que les gens réfléchissent trop à ce sujet. Cette précipitation signifie qu’il faut l’instaurer de force et au plus vite envers et contre tout. Le vote à main levé au Sénat avec la complicité de sénateurs de l’opposition est l’exemple le plus flagrant de la manipulation dans laquelle nous sommes. Les gens sont excédés par ce laxisme grandissant et déstructurant et sont saturés des excès de langage de ministres militants du gender et des LGBT quand ils affirment de façon consternante, comme l’a fait Mme Bertinotti, le ministre délégué à la famille : « Il ne suffit pas d’accoucher pour être mère ». On peut se demander si nos dirigeants actuels ont encore le sens de la réalité ou s’ils sont dans un monde d’asexués ? La maternité commence bien avec la grossesse et se poursuit par l’accouchement puisque la filiation et l’éducation commencent bien par l’engendrement entre un homme et une femme. Derrière ces malversations langagières avec ce type de slogan, se révèle la volonté d’ouvrir la voie à l’interdétermination sexuelle pour favoriser une pluriparenté à géométrie variable et justifier ainsi des pseudos filiations homosexuelles.  [...]

    Une limite a été franchie et la population en a assez de toutes ces injustices et tous ces manquements à la vérité. Dans ces conditions cette loi n’a rien de respectable. Elle est même illégitime puisqu’elle vole et détourne l’institution du mariage qui procède de la différence sexuelle pour l’attribuer à l’unisexualité. Le Pacs, le mariage et pas davantage une union civile ne peuvent concerner des personnes homosexuelles sauf à être dans le simulacre d’un pseudo couple qui n’existe pas. [...]

    Cette loi est injuste et les manifestants demandent à ce qu’elle soit retirée. Ce qui est tout à fait possible car elle n’est pas au-dessus des réelles nécessités et de la loi morale. Toutes les lois civiles sont réversibles et n’ont rien de sacré. Dans le contexte actuel où la loi civile n’est plus en rapport avec les réalités structurantes de la vie, elle devient une norme idéologique et ce type de norme peut être modifié si les responsables politiques en ont le courage. Le législateur peut très bien décider de ne plus marier à partir d’une certaine date, sans pour autant « démarier » les autres. De toute façon à long terme, cette organisation chaotique est vouée à l’échec et viendra s’écrouler sur le mur de la réalité comme ce fut le cas avec le Mur de Berlin. Lorsqu’une idéologie s’écarte des besoins et des nécessités humaines, elle secrète sa propre mort."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/