Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 2322

  • [Vidéo] Delanoë, vers la dictature gay ?

    Tous les matins, il fait mourir de rire les auditeurs (et ses collègues) d’Europe 1 dans « La revue de presque ». Seulement voilà, l’imitateur Nicolas Canteloup, sans doute un poil trop audacieux, commence à dépasser les bornes — repeintes en rose — du politiquement correct. « Victime » de l’humoriste, le maire de Paris jugerait, d’après L’Express, son imitation « homophobe et caricaturale ».

    En même temps, qualifier une imitation de caricaturale, c’est dire qu’un antifa est « radical ». Philosophiquement, on n’avance guère. Quant au côté « homophobe », ce qui en 2013 veut presque dire « nazi », n’exagérons pas : Canteloup ne fait que forcer le trait un peu folasse de sa majesté Bertrand. Pas de quoi fouetter un gay.

    Mais que voulez-vous, la liberté d’expression, dont le champ se rétrécit à vue d’œil, peut encore perdre une petite parcelle de terrain.

    Évidemment, devant le mini-buzz causé par cette déclaration, Bertrand Delanoë a rapidement fait une mise au point dans les médias : non, il ne se plaindra pas auprès de la direction d’Europe 1. Ce mercredi, l’entourage du maire de Paris a infirmé à 20 Minutes l’information de L’Express. [...]

    Joris Karl - La suite sur Boulevard Voltaire

    Avec La Faute à Rousseau

    "Tu l’as voulu, Georges Dandin !..." : puisque Delanoë n’aime pas l’humour de Canteloup, voire pense peut-être à le "faire taire", régalons-nous de son imitation...

    ...écoutons-la, diffusons-la, faisons en sorte qu’on en parle le plus possible, puisqu’ "on" ne voudrait plus qu’il parle ; et, puisqu’ "on" cherche à étouffer cette voix, faisons en sorte qu’on l’entende au maximum...

    http://www.actionfrancaise.net/

  • Les impostures du marketing territorial

    Les territoires à l’encan.
    La part de la dette publique liée à la dette de l’Etat s’élève en France à plus de 80%. La quote-part des collectivités, néanmoins substantielle dans notre histoire, ne doit pas faire oublier cette réalité. Il n’en reste pas moins que dans un contexte où doit régner le leitmotiv de la maîtrise des dépenses publiques et où les caisses des inter-communalités, départements et régions se vident désespérément, on ne peut que s’étonner de certaines dérives. A titre d’exemple, à grands coups de millions, certains opérateurs du « marketing territorial » donnent dans le pseudo-identitaire et abusent les élus avec des créations d’une pauvreté affligeante. Les quelques images qui illustrent le texte donnent un aperçu de cette pauvreté, en comparaison des blasons traditionnels.
    J.H. d’Avirac fait le point pour Polémia.

    Territoires à vendre
    Depuis trois décennies, les « territoires » cherchent à se vendre… se vendre à des investisseurs, des touristes ou des populations actives candidates à la migration, se vendre à leurs administrés. Cette hystérie marketing masque en fait un défaut de légitimité des collectivités, qui ont tendance à en rajouter d’autant plus en matière de communication que leur ancrage est faible et leur histoire inexistante. C’est évidemment le cas pour bon nombre de régions administratives françaises.
    Rappelons simplement à cet égard que notre beau pays jacobin doit être le seul au monde à avoir confié, à la fin des années 1950, à un haut fonctionnaire commissaire général au Plan le découpage (depuis Paris) de nos belles provinces… évacuant de facto toute considération culturelle ou identitaire vécue comme contre-productive d’un point de vue administratif et économique, voire suspecte d’un point de vue politique. La création de collectivités « jeunes », désincarnées, artificielles a immédiatement suscité chez les élus, toujours prompts à saisir un drapeau même vide de sens, une volonté de création de notoriété, matérialisée par des budgets colossaux en matière de communication. Quelques années après… bis repetita, les intercommunalités, fraîchement collées entre les départements et la commune, venaient rajouter leur couche de gras au millefeuille hexagonal, avec les mêmes dérives, les mêmes réflexes, les mêmes logos et la même rhétorique. Enfin, quelques strates supplémentaires, pays et, plus récemment, métropoles ont progressivement saturé le paysage et les espaces de communication publique au risque de diluer les identités réelles encore bien enracinées chez nos concitoyens.En 2011, les seules régions ont dépensé jusqu’à 150 millions d’euros en communication, avec des pointes à 10 € par foyer fiscal, sans parler, bien évidemment, des dépenses cachées (plus du double selon certaines sources) des multiples associations subventionnées moyennant la mise en place du logo et de la signature « corporate » de l’institution régionale et des opérations de relations publiques/politiques faisant partie du package.

    L’identité revue et corrigée par des communicants-idéologues
    Disons-le tout net : les blasons, les patois et autres traditions embarrassent quelque peu les publicitaires de tout poil, qui se penchent sur les problématiques de communication des territoires comme on se penche sur une nouvelle marque de dentifrice. C’est bien d’un embarras culturel qu’il s’agit : rompus aux techniques de communication lessivière, à la néophilie (nouveauté pour la nouveauté), au « faire-moderne », ces Parisiens inquisiteurs impitoyables de la ringardise provinciale franchissent parfois le périphérique pour aborder « les territoires » comme on découvre la Yakoutie, le Kamchatka ou la Terre Adélie. Nouveaux évangélistes, détenteurs du vrai, du beau et de la branchitude, ils viennent moderniser la province pour la rendre présentable sur la scène internationale. Leurs anglicismes impressionnent l’élu local, leur dégaine Yamamoto amuse mais force le respect, leur accent crée des complexes à l’Occitan de souche. Quant à leurs théories labellisées sciences-po, grande école de commerce ou Boston Consulting Group, affichées sous format power point dernier cri abondamment illustrées, elles ne peuvent être contestées par un élu local, qui affiche au mieux un bac+3 et qui, selon l’un de ces pubards parisiens, sera « surtout sensible aux images ». Et puis il y a ces postures marketing dégoulinantes de prétention, telle la « disruption », anciennement défendue par l’agence BDDP aujourd’hui reprise par TBWA, qui finissent par aboutir à des signatures institutionnelles dont la juxtaposition confine au ridicule : « Only Lyon », « Nantes Just Imagine », « L’Aisne it’s open », « Strasbourg Europtimist », « So Toulouse », « I’Amsterdam », « Montpellier unlimited »… pour faire branché, faire anglais et en mettre plein la vue à l’élu qui, de toute manière, ne comprend rien. Si une démarche réellement identitaire et parallèle voit le jour, tel que ce fut le cas en Bretagne ou en Alsace, on s’en inquiétera comme s’en inquiéta Joshua Adel (directeur du pôle lobbying et communication politique de TBWA Corporate), qui parle d’ « irruption d’un repli identitaire et de régionalisme »…Le patron de cette agence, qui a pourtant pignon sur rue, n’hésite pas, du reste, à en rajouter en matière idéologique. N’est-il pas, sur d’autres fronts, le délégué général de la Forge, « think tank » fondé par Benoît Hamon et Noël Mamère, au lendemain de la défaite de la gauche en 2007, pour réfléchir à une alternative dans un esprit gramsciste… la conquête des esprits devant précéder l’action politique ! On se pince !
    Voilà donc distillés au plus profond de nos provinces ignorantes, sous couvert de marketing territorial, de l’humanisme à deux balles, de la vigilance sur l’évidence et les menaces fantômes, de l’antiprovincialisme et de l’universalisme à tous les étages. L’identité devient diversité, les 4×3 valorisent les minorités, l’anglais stérilise le discours au nom de la quête de l’investisseur international, le différenciant s’efface devant le même. Un marketing de masse donc, qui s’oppose à un marketing de l’offre, qui, à l’inverse, partirait des incontournables spécificités des territoires pour nourrir un discours identitaire de simple bon sens, plus fédérateur pour les populations concernées, plus insolite et fascinant pour des publics-cibles extérieurs : une occultation organisée au nom d’une idéologie bien typée qui s’accommode fort bien d’un clientélisme des plus basiques.

    Consensus et soupe tiède
    Dans les services connexes du marketing territorial, les professionnels du genre ont un outil choc appelé « concertation », qu’ils servent à l’envi aux politiques locaux, tétanisés à l’idée deLyon regrouper sous un même drapeau l’évêque et le marchand, les élus de tout bord, les territoires de tous niveaux, les associations et les institutions, les chambres consulaires et les francs-maçons, les agriculteurs et les femmes, les jeunes et les vieux, la presse et les amis politiques, toujours plus compliqués à gérer que les ennemis déclarés. C’est ainsi que des réunions-fleuves se mettent en place à grand renfort d’honoraires, aboutissant à une soupe tiède mais consensuelle… ce fameux consensus dont une illustre figure féminine de la politique britannique, récemment décédée, disait judicieusement qu’il est « ce que personne ne rejette, mais que personne ne croit ».
    Comment en est-on arrivé à ce niveau d’amnésie qui prive nos provinces de leur capital identitaire et les conduit à accepter les lieux communs les plus éculés du politiquement correct ? A titre d’exemple, et ce sera le dernier, était-il absolument nécessaire que l’agence de développement de Midi-Pyrénées, comme bon nombre de ses consœurs, utilise dans les salons professionnels un visuel mettant en scène la frimousse, du reste bien charmante, d’une petite fille noire évoquant plutôt spontanément la France d’outre-mer ? Au cas où vous ne l’auriez pas compris, ce qui doit primer en l’occurrence sur l’identité, c’est bien ce fameux message d’ouverture à la « diversité », censé incarner la marque de fabrique d’un territoire moderne. Ceci au risque de faire disparaître les aspérités, les typicités, les richesses et l’ADN d’une terre et de ses hommes, qui ont façonné notre pays… leur légitime fierté étant, par la volonté de quelques prétentieux experts, devenue suspecte.
     J.H. d’Avirac http://www.polemia.com
    13/06/2013

  • “Il serait plus courageux de dissoudre l’Union Racaille”, Renaud Camus

    <i>“Il serait plus courageux de dissoudre l’Union Racaille”</i>, Renaud Camus

    Comment avez-vous perçu les réactions de la classe politique et des médias à l’annonce de la mort du militant d’extrême gauche Clément Méric ?

    Comme de la farce greffée sur de la tragédie, ce qui doit être la définition du mélo, non ? Mélenchon est notre Robert Macaire, il ressuscite le boulevard du Crime. Évidemment, par curiosité, on aurait aimé voir ce qui se serait passé si, trente secondes plus tôt ou trente secondes plus tard, un poing « antifa » avait renversé et tué malencontreusement un pauvre jeune « fa ». En tout cas, c’est bien la première fois que les belles âmes de gauche, et celles de la droite remplaciste, daignent verser des larmes sur la mort d’un p’tit gars bien de chez nous, tué par un immigré (1). N’était le chagrin qu’on éprouve de cette mort idiote, on se réjouirait presque de voir ça…

    […]

    "Il serait plus courageux de dissoudre l’Union Racaille", Renaud Camus

    Renaud Camus

    De toute façon, les violences skinhead et antifa, qui font un mort tous les dix ans et qui affolent si fort le gouvernement, sont une douce plaisanterie auprès de la violence encapuchonnée, qui gâche quotidiennement la vie de la moitié de la population, attaque les trains, fait régner la terreur dans les rames, pratique le nettoyage ethnique dans les quartiers, abolit les confins entre grand banditisme et guérilla urbaine, arrache à la République des pans entiers du territoire et, par sa haute main sur l’économie parallèle, contribue à l’hébétude générale presque aussi efficacement que ne le font l’école et son enseignement de l’oubli, l’industrie culturelle et l’imbécillisation programmée, la ruquiérisation des esprits. Ah oui, Serge Ayoub, voilà vraiment un adversaire à la taille de Manuel Valls ! Marseille et le 9-3 peuvent dormir tranquilles, leur indépendance n’est pas menacée !

    […]

    Quand on étudiera la situation présente de la France, dans deux ou trois siècles, […] ce qui importera sera de savoir qui s’est dressé contre la substitution ethnique, le Grand Remplacement, le changement de peuple, la conquête musulmane, et qui y a collaboré par bêtise, par inconscience, par lâcheté ou par intérêt. Remplacistes et antiremplacistes sont dans tous les camps, même s’il faut reconnaître que, pour le moment, les premiers sont plutôt à gauche, ce qui est un comble si l’on veut bien songer à ce que promet le Grand Remplacement, et les seconds plutôt à droite.

    Faut-il dissoudre les Jeunesses nationalistes révolutionnaires ?
    À mon avis, il serait plus courageux, politiquement, de dissoudre l’Union Racaille ou le Mouvement des Jeunesses Sensibles. Ils sont dix mille fois plus violents, ils font au quotidien infiniment plus de dégâts et la peur qu’ils inspirent affecte bien davantage la vie des gens.

    Renaud Camus

    Source et article complet sur Boulevard Voltaire.

    (1) Note de Novopress : Estaban Morillo qui a fait cette rixe avec Clément Méric, est né en Espagne d’une mère française et d’un père espagnol.

    Crédit photos : DR.http://fr.novopress.info

  • Mariage gay : Manuel Valls met la pression sur les maires et les Préfets

    Exclusif. Alors que de nombreux élus se demandent comment ils pourront exercer leur « liberté de conscience » pour ne pas célébrer de mariages homosexuels - François Hollande l’avait promis devant l’association des maires de France (AMF) avant de se rétracter sous la pression du lobby LGBT-...

    ...le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, vient d’envoyer une circulaire aux Préfets, intitulée « conséquences du refus illégal de célébrer un mariage de la part d’un officier d’état civil ». Pour leur indiquer comment faire face à ces refus.

    La circulaire, que Valeurs Actuelles a pu consulter, est à la fois étonnante et brutale.

    Avant de rappeler que les maires refusant de célébrer un mariage entre deux personnes de même sexe s’exposent à des poursuites pénales (5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende), le ministre écrit que « le juge des référés peut donner injonction au maire de procéder à la célébration sans délai, éventuellement sous astreinte ». Ce n’est plus la « liberté de conscience » qui est cette fois mise en cause dans le paragraphe mais bien la liberté individuelle du maire ou de ses adjoints qui seront obligés, sous la contrainte s’il le faut, de célébrer un mariage entre personnes de même sexe. Comme si ce n’était pas suffisant, le ministre de l’intérieur précise que « le refus de célébrer un mariage par le maire (…) peut constituer (…) une atteinte grave portée à une liberté fondamentale ».

    Les préfets, arbitres du mariage gay

    Enfin, et ce sont les plus lignes les plus sévères, Manuel Valls évoque la possible révocation par décret en conseil des ministres des élus récalcitrants. Ce qui pose de réelles questions sur le fonctionnement de la démocratie : que se passe-t-il si tout un conseil municipal est révoqué ? Cette situation serait inédite. Le ministre l’indique clairement aux Préfets, il suivra personnellement cette affaire : « je vous demande de me tenir informé, des situations dans lesquelles certains officiers d’état civil refuseraient de célébrer des mariages entre personnes de même sexe ».

    Ci-dessous des extraits de la circulaire adressée le 13 juin par Manuel Valls aux Préfets.

    Merci à Valeurs Actuelles 

    http://www.actionfrancaise.net

     
  • BIENTÔT LE 14 JUILLET, LE TOUR DE FRANCE, … LES INQUIÉTUDES DU POUVOIR…

    La-Fête.jpg

    Le « On ne lâche rien » des défenseurs de la famille commence à inquiéter les tenants de la loi Taubira. Le gouvernement espérait bien qu’une fois la loi sur le mariage homosexuel votée, les familles rentreraient dans leur trois pièces/cuisine de province. Malheureusement, il n’en est rien pour lui. Malgré une répression de plus en plus visible et hargneuse, les opposants ne lâchent rien, ni les ministres en « goguette » sur le territoire, ni la trêve estivale. Au contraire l’été c’est le moment des grands rendez-vous : Roland Garros, défilé du 14 juillet, Tour de France…

    Ainsi le site Genteside feint de s’inquiéter de la détermination de ce qu’il appelle « un groupuscule de manifestants » à venir défendre ses idées lors de la Grande Boucle.

    Pour les sympathisants du Printemps français, il ne s’agit pas de « saboter » ni de perturber le déroulement de l’épreuve sportive, comme le laisse entendre perfidement le site Genteside, mais de profiter au maximum de la couverture médiatique d’un tel évènement.

    Mais ce que redoute par dessus tout le pouvoir socialiste et Manuel Valls, c’est la descente par François Hollande des Champs Élysées, sous les sifflets des d’opposants à la loi Taubira, lors défilé du 14 juillet. Le défilé s’avère être un véritable casse tête pour la préfecture de Police. En effet comment interdire l’accès de l’avenue ou réprimer les « irrévérencieux » placés tout le long du parcours alors que des milliers de touristes étrangers seront présents sur place, avec la presse du monde entier. Si jamais les anti « Mariage pour tous » réussissaient leur coup à cette occasion, le gouvernement perdrait la bataille de l’image. Les « services » (Intérieur, Défense) s’activent donc pour découvrir le nombre et le plan de bataille des manifestants pour ce jour là.

    source: Le nouveau NH

    http://fr.altermedia.info

  • 20 juin : conférence sur le gender à Champigné (49)

    6a00d83451619c69e20192aadc2e40970d-800wi.png


     

  • 2013, en République bananière française

    Devant l'immense soulèvement du peuple français contre la Loi Taubirator instaurant une mascarade de mariage "pour tous" (et toi François, c’est pour quand ?), le pouvoir socialiste s'est déchaîné, montrant par la même occasion son vrai visage : celui d'une dictature oppressive et répressive.

    Petit florilège...

    ***
    Toute dictature a sa police politique
  • Les parents face à l'idéologie du gender à l'école

    La fin de l’année scolaire approche et avec elle des nouveautés dans les enseignements qui seront proposés aux enfants à la rentrée 2013. Les instituteurs vont recevoir du « matériel pédagogique » pour inculquer la théorie du genre à vos enfants, contre l’avis des parents et des professionnels de l’enfance.

    Parents, il est important que vous sondiez l’équipe enseignante de votre école pour savoir si vos enfants y seront confrontés, et que vous les en protégiez le cas échéant.

    La théorie du genre (initialement « queer theory ») a été inventée dans les années 90 par des militants gays pour légitimer les comportements qui sous-tendent la prostitution, la pornographie et la pédophilie (pudiquement appelée « sexualité infantile » ou éphebophilie). Elle consiste à gommer la différence homme/femme en confondant les sexes pour les remplacer par la notion de « genre » (gender) interchangeable, qui mène à la « transsexualité ». L’orientation sexuelle devient un marché comme un autre.

    Les pays qui ont tenté d’appliquer cette théorie en sont pourtant revenus. C’est le cas de la Norvège (ce reportage est éclairant).

    En France, sous la poussée des lobbies LGBT, la théorie du genre a été intégrée dans les lycées dès 2011 aux programmes de SVT de 1ère. Voir ici une synthèse des débats.

    Cet enseignement est complété, pour tous les niveaux, par le dispositif « Ligne Azur » soutenu par le Ministère de l’Éducation nationale, qui a pour objectif de « sensibiliser les élèves et leur procurer des outils d'aide et d'accompagnement contre le rejet de la différence et l'homophobie ». Le Ministre de l’Éducation Nationale, dans la circulaire de janvier 2013 destinée aux recteurs d’académie, les incite à la fermeté : « Je souhaite que vous accompagniez et favorisiez les interventions en milieu scolaire des associations qui luttent contre les préjugés homophobes (...). Je vous invite également à relayer avec la plus grande énergie, au début de l’année, la campagne de communication relative à la « ligne azur », ligne d’écoute pour les jeunes en questionnement à l’égard de leur orientation ou de leur identité sexuelle. »

    Pour la rentrée 2013, le gouvernement s’est engagé à « s’appuyer sur la jeunesse pour faire évoluer les mentalités ». Une nouvelle étape prévoit donc une mise à jour des programmes d’éducation à la sexualité, du primaire au lycée. Ainsi, dès la 6ème, les enfants seront incités à se poser des questions sur leur orientation et leur identité sexuelle, en prenant connaissance de diverses orientations et pratiques sexuelles possibles ou bien en lisant des témoignages effarants.

    Sous prétexte de « lutter contre l’homophobie », cette théorie s’immisce déjà dans les écoles primaires par les manuels scolaires, les interventions d’associations subventionnées (attention images choquante) et certains syndicats enseignants (voir les documents PDF en bas de l’article, c’est hallucinant !). Tout cela sans l’avis des parents, premiers responsables de l’éducation de leurs enfants, a fortiori en matière de morale et de sexualité. Cette propagande généralisée a tout l’air d’une nouvelle religion que certains idéologues tentent à tout prix d’inculquer à nos enfants, faute de convaincre les parents. On en retrouve d’ailleurs les bases doctrinales dans le projet de réforme des rythmes scolaires

    Cette théorie n’est fondée sur aucune base scientifique sérieuse mais est pourtant promue par le gouvernement qui ne s’embarrasse pas ici du principe de précaution…. Il y a donc fort à parier qu’il fera tout pour l’introduire rapidement avant qu’il ne perde le pouvoir. Sinon, l’Europe s’en chargera, ou l’UNESCO qui prône aussi la masturbation des enfants dès 5 ans.

    Récemment, face à une mobilisation citoyenne, Barbara Pompili, la présidente du groupe écologiste à l’Assemblée a finalement décidé de retirer son amendement litigieux mais ne désarme pas. Elle promet de « continuer le combat, mais plutôt à travers des associations qui porteront le débat dans les écoles. »

    À la rentrée prochaine, Vincent Peillon souhaite rendre obligatoires des cours d’éducation sexuelle pour tous les élèves à partir de 6 ans. Une partie de cet enseignement sera confiée à des associations LGBT (Lesbienne, Gay, Bisexuel, Transsexuel), dont certaines ont déjà annoncé que leur objectif était de « dépasser la binarité historique entre masculin et féminin ». Sic ! Les manuels scolaires risquent également de devenir de véritables outils de propagande de la théorie du genre. Un groupe « d’experts » favorables à cette thèse s’est constitué pour valider les futurs manuels scolaires.

    Cette idéologie qui nie la différence sexuelle et prétend que l’appartenance à la catégorie Homme ou Femme n’est basée que sur un simple sentiment d’appartenance, indépendamment de toutes données anatomiques, se développe également en dehors de l’éducation, dans notre droit, et chez nos magistrats. Nous n’en avons donc pas fini avec ces apprentis-sorciers qui souhaitent utiliser nos enfants comme cobayes de leur idéologie…

    Il serait bon de rappeler aux professeurs cette recommandation de Jules Ferry, Lettre aux instituteurs, circulaire du 17 novembre 1883 :

    « Si parfois vous étiez embarrassé pour savoir jusqu'où il vous est permis d'aller dans votre enseignement moral, voici une règle pratique à laquelle vous pourrez vous tenir : avant de proposer à vos élèves un précepte, une maxime quelconque, demandez-vous s'il se trouve, à votre connaissance, un seul honnête homme qui puisse être froissé de ce que vous allez dire. Demandez-vous si un père de famille, je dis un seul, présent à votre classe et vous écoutant, pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu'il vous entendrait dire. Si oui, abstenez-vous de le dire ; sinon, parlez hardiment, car ce que vous allez communiquer à l'enfant, ce n'est pas votre propre sagesse, c'est la sagesse du genre humain, c'est une de ces idées d'ordre universel que plusieurs siècles de civilisation ont fait entrer dans le patrimoine de l'humanité. »

    Si vous souhaitez creuser le sujet, outre les nombreux liens fournis ci-dessus, voici d’autres articles intéressants :

    Face à cette intrusion de l’état dans l’éduction sexuelle de vos enfants, ne lâchez rien !

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Violence de l'oligarchie : quand les puissants méprisent le pays réel.

    Quelques monarchistes du Groupe d’Action Royaliste étaient lundi soir à Paris pour manifester contre cette fameuse théorie du genre qui nie l’altérité sexuelle naturelle et que certains, au nom d’une idéologie égalitaire destructrice du réel, voudraient imposer dès la plus tendre enfance aux nouvelles générations, par le biais de l’école et, pour ceux qui ne comprendraient pas le message, par le Droit et la répression… Il y avait là quelques milliers de manifestants et, parmi eux, de nombreux amis, anciens et nouveaux, ceux des années « Génération Maurras » et ceux rencontrés au hasard des défilés de cette année 2013, voire lors des veilles ou des échauffourées des Invalides (entre autres) : des générations différentes, des parcours divers et des opinions ou des engagements parfois éloignés des miens, mais tous rassemblés autour de quelques refus simples et de quelques principes fermes sur la famille, sur les bases de la société, voire de la civilisation : en somme, « plutôt Antigone que Créon ! ». Les manifestations du printemps et leurs suites sous des formes variées ont créé de multiples liens et nous connaissons quelques couples qui sont nés de ce printemps tourmenté, sur le bitume des parcours et dans les fumées des lacrymogènes : un baiser échangé devant une rangée de gardes casqués a sans doute une saveur toute particulière, et apparaît comme une réponse sentimentale, certes, mais heureuse et pacifique aux discours parfois violemment outranciers des amis de M. Valls et de Mme Taubira…

    Ce lundi, je suis venu à la manifestation avec en tête les mots de cet assistant parlementaire socialiste qui prônait l’usage du canon, comme Bonaparte devant l’église Saint-Roch, contre les opposants au mariage homosexuel : ils me rappelaient les propos tout aussi incendiaires de M. Bergé qui expliquait sur la toile qu’il ne serait, en somme, pas fâché de voir une bombe dévaster les rangs des manifestants le 24 mars dernier… Ces quelques phrases qu’il n’est pas indécent de qualifier de haineuses me font mal : autant j’apprécie la polémique et le pamphlet, et je me souviens de l’empressement que j’avais, au début des années 90, à me procurer « L’Idiot international » de Jean-Edern Hallier dès sa parution pour y goûter l’alcool fort des diatribes de l’écrivain breton (on n’était jamais déçu, côté exagération et colère parfois fort juste, à la lecture du génial trublion…), autant je déteste cette haine poisseuse des puissants à l’égard de qui ne se plie pas à leur redoutable suzeraineté ! Je suis d’une tradition où la force du statut donne plus de devoirs qu’elle n’autorise d’insultes à l’égard d’autrui, et surtout des plus faibles : quand les puissants du jour, qui demain ne seront peut-être plus que des déshérités des médias et de la fortune du Pouvoir (que l’on médite le sort de MM. Dominique Strauss-Kahn et Cahuzac, hier si respectés, voire adulés, parce que craints…), méprisent et « assassinent » (virtuellement, heureusement) par le verbe gras de leur suffisance, j’ai tendance à élever, de colère, la voix, et à me révolter, éternel chouan du pavé (que l’on foule, bien sûr…) et du mot bien ajusté (enfin, autant que faire se peut…).

    Face aux gardes de l'oligarchie, ce pays réel qui souffre et se bat...

    C’est cette arrogance verbale des partis au pouvoir et de leurs maîtres ou vassaux (et je compte là-dedans une certaine presse plus indigne que libre…) qui, aujourd’hui, est la plus grosse charge explosive dans notre pays, et non les agitations des manifestants du printemps, qu’ils soient opposants au mariage homosexuel ou ouvriers de Good-Year ou de Florange : une arrogance abritée derrière des grillages et des boucliers, et qui disparaît assez vite quand, par hasard, le réel s’invite à table ou lors d’une réunion des dirigeants du Parti socialiste, comme ce fut le cas il y a quelques mois à Paris, au grand dam d’un Moscovici désavoué publiquement par les salariés syndiqués de PSA-Aulnay…

    L’arrogance est un triste défaut des oligarchies et, parfois, elles en meurent car elles ne savent plus écouter les bruits du dehors, de cette réalité qu’elles croient pouvoir éternellement acheter et subvertir avec quelques journaux ou chaînes de distraction massive : les socialistes et les libéraux qui, aujourd’hui, paradent dans les couloirs du Pouvoir parisien ou dans les bunkers de Bruxelles, feraient bien de ne pas oublier qu’il est des colères que l’on ne peut indéfiniment susciter et provoquer sans, qu’à un moment ou à un autre, elles ne renversent les certitudes bien établies et les tranquillités sécurisées à grands frais policiers.

    Jean-Philippe Chauvin http://www.actionroyaliste.com/

  • Un « passage » obligé qui en dit long… NKM chez les franc-maçons

    Cet « exercice » ne date pas d'hier. Puisse-t-il éclairer toutes les oies blanches qui caquettent « démocratie » « démocratie » « démocratie »... Le mardi 11 juin 2013 à 19 heures 30, le « gratin » de la Franc-maçonnerie recevait Nathalie Kosciusko Morizet.

    « Tenue Blanche fermée » pour NKM ! En d'autres temps il se disait que la « politique » se faisait à la « corbeille. Seuls les sots persistent à le croire...

    Quant à ceux qui croyaient que « NKM » était en proie à une crise de conscience lors du vote de la loi portant sur le « mariage » de personnes de même sexe, qu'ils se rassurent...
    Il ne s'agit là que d'un petit épisode, qu'un petit maillon d'une longue chaine.
    Le 24 juin 2003, dixit N. Sarkozy « La Franc-maçonnerie est ici chez elle au ministère de l'intérieur»
    « Un Ministre de l'Intérieur ne peut gouverner que par les relations qu'il entretient avec la Franc-maçonnerie. Jean-Pierre Raffarin, premier ministre, avouait, «jamais je n'aurais pensé que les francs-maçons étaient aussi puissants».
    Longue histoire disons-nous, il suffit d'entendre Paul Gourdot, Grand Maître du Grand Orient de 1981 à 1985,au plus fort du conflit sur la question des « écoles » : « «Dans le domaine de la laïcité de l'État, notion inscrite dans la Constitution de la République, nous exprimons fermement le désir de voir prendre rapidement les mesures destinées à la construction d'un grand service unifié et laïque d'éducation, par l'intégration des établissements scolaires qui ne pourraient continuer à bénéficier de l'aide de l'Etat qu'en perdant leurs caractères propres».
    Et de poursuivre...
    «Les propositions du gouvernement pour l'ouverture des négociations que vient de présenter le ministre de l'Éducation nationale ne sont pas de nature à nous rassurer sur cet aspect. Nous nous sommes inquiétés, au surplus, de l'entorse faite au principe de laïcité de l'Etat par la présence officielle de deux ministres de la République au siège de la catholicité, à Rome, pour assister à des cérémonies qui tiennent du caractère spirituel de l'Etat du Vatican, caractère exclu du champ des relations inter-états».
    Vous ne manquerez pas de lire la suite... L'intégralité de l'allocution de Nicolas Sarkozy, lors du 275 ème anniversaire de la naissance de la franc-maçonnerie Française vaut son pesant d'or ! Pardon, de voix...

    http://memoireetmoderniteradicales.com/nosrubriques/dossiershistoriques/dossiers/lafm_dossier18a24.pdf

    Ainsi donc la chaine se déroule... « NKM » n'est qu'un petit maillon.
    Anne Hidalgo, son adversaire socialiste, pour la conquête de la mairie de Paris, a pris un peu d'avance :
    Elle a été l'invitée de trois loges du   Grand Orient de France, le 27 mars 2013 et a pu ainsi présenter sa vision du « devenir de Paris et de sa métropole face aux défis de la mondialisation ».... Renforçant des liens anciens...

    2010 ?

    franc-macons-fabius

    « Lorsqu'il a dévoilé la plaque et coupé le cordon d'accès au nouveau Musée de la franc-maçonnerie, Pierre Lambicchi, grand maître du Grand orient de France, la première obédience forte de 50 000 frères, était bien entouré. Etaient présents à l'inauguration, l'ancien Premier ministre PS Laurent Fabius, le président PS de la Région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, la 1ère adjointe PS au Maire de Paris Anne Hidalgo et le président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis Claude Bartolone. »

    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/des-politiques-en-franc-maconnerie_848158.html

    Et pour vous détendre un peu, n'hésitez pas !

    http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/tag/philippeguglielmi/

    Une conclusion ?
    Tout va bien du côté des « Loges »... Du côté de la France, c'est une toute autre affaire. L'un ne va pas sans l'autre ?
    A bon entendeur...

    Léon Areva http://www.lesmanantsduroi.com