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magouille et compagnie - Page 2320

  • La résistance de salon, c’est terminé

    La résistance de salon, c’est terminé

    Interrogé sur Radio Notre-Dame, un Hommen déclare :

    "Rétrospectivement, était-ce une bonne idée d’intervenir pendant la finale de Roland-Garros ?

    Aujourd’hui nous sommes dans une situation où le gouvernement empêche le peuple opposé majoritairement à la loi de s’exprimer. Il camoufle les manifestations, et les médias n’ont que peu d’accès aux vraies informations. Il est indispensable de libérer la presse, en particulier à l’international, comme cela s’est vu lors de Roland-Garros. Rétrospectivement, certaines personnes n’étaient évidemment pas certaines du bien fondé de cette action. Mais cette grogne n’a duré qu’une heure environ sur les réseaux sociaux et puis ils ont compris. Ils ont compris que la résistance de salon, c’est terminé.

    Aviez-vous envisagé d’être interpellé après cet acte ?

    Oui évidemment. On sait le deux poids deux mesures sur ce sujet en France.  Même si juridiquement on ne risquait pas grand chose. C’était sans compter les mensonges du gouvernement et de la justice. En Tunisie, là où 4 Femen étaient en attente de jugement, elles risquaient 6 mois de prison ferme au maximum. En France, les Hommen sous contrôle judiciaire risquent au maximum 7 ans de prison.

    Pensiez-vous que les suites judiciaires de cette affaire seraient si importantes ?

    L’action des Hommen à Roland-Garros a été volontairement manipulée par le gouvernement. Le fumigène dans une main s’est transformé en « violence avec arme par destination ». Le problème c’est que le monde entier a vu les images. On a voulu nous faire peur. Le pouvoir a chargé les chefs d’accusation au maximum. Mais cela ne devrait pas tenir devant un tribunal. La réponse le 18 juillet prochain [Date à laquelle les 4 Hommen placés sous contrôle judiciaire seront jugés NDLR]. [...]

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La Famille en danger : Hilaire de Crémiers à Bordeaux le 20 juin

     

    Conférence-débat
    20 juin 2013
    Avec Hilaire de Crémiers
    La crise, Déclin ou Printemps Français.
    À l'Athénée Municipal,
    Place Christoly à 20H30 à Bordeaux
    Entrée libre.
     
    Invité par les Rencontres d'Amitiés Françaises, Hilaire de Crémiers est journaliste, directeur de la publication de « Politique Magazine » et délégué général de la Restauration Nationale.
    Dans ses articles d'analyse politique comme dans ses conférences, Hilaire de Crémiers annonce depuis plusieurs années déjà la crise telle qu'elle se présente, crise de l'Europe, crise des dettes souveraines, crise économique et sociale, crise du système, en particulier du régime institutionnel français. Ses analyses politiques sont aussi originales que percutantes. C'est que ses analyses vont au fond des débats réels qui ne sont jamais abordés ailleurs : elles n'hésitent pas à poser la question des institutions et les questions de civilisation. Hilaire de Crémiers a donné également des études et des conférences sur Louis XVII, l'enfant martyr du Temple.
  • Affaire Méric : Autopsie d’une manipulation

    Tribune libre de Paysan Savoyard

    Le régime en place, organisé au plan politique par le consortium UMP et PS, s’efforce de façon permanente de manipuler l’opinion. On peut dire même que la manipulation constitue pour lui un principe de fonctionnement.

    La manipulation peut poursuivre des objectifs différents. Il s’agit tantôt de conduire l’opinion à partager les positions et les analyses de l’oligarchie. Tantôt de dissimuler les faits et gestes du régime, les mauvais résultats obtenus ou les conséquences catastrophiques des décisions prises. Tantôt encore de discréditer l’opposition. Tantôt enfin de créer un climat de menace et de tension destiné à dissuader le peuple de manifester son mécontentement ou son désaccord avec les orientations suivies.

    Pour manipuler l’opinion, le régime dispose de tous les relais et vecteurs qui exercent une influence sur les différents secteurs de la société : les politiciens bien sûr, mais aussi les médias, le cinéma, le monde artistique, la publicité, les intellectuels organiques, l’université, les écoles, les groupes de pressions, les associations subventionnées…

    Dans le cadre de l’affaire Méric, plusieurs de ces vecteurs ont été mobilisés.
    Nous avons déjà eu l’occasion de mettre en évidence certaines des manipulations mises en œuvre par le régime (voir notamment la tribune libre précédente). L’affaire Méric constitue une illustration supplémentaire et significative, qui mérite que l’on s’y arrête.

    • Le régime a d’emblée matraqué à grande échelle  la version officielle

    Le régime a d’emblée diffusé dans tous les médias cette version : « un militant anti fasciste  a été sauvagement assassiné par des skins d’extrême droite ».

    Tout le Système s’y est mis, sans procéder à des vérifications préalables. Prenons l’exemple du Monde, le journal de référence de l’oligarchie. Sur son site internet, le journal fait défiler les Une suivantes : « Un jeune frappé à mort à Paris : la marque de l’extrême droite » (6 juin 10 h 54) ; « L’agression de Clément Méric ravive les tensions que le mariage pour tous a suscité » (6 juin 13 h 16) ; « Le militant antifasciste Clément Méric est mort » (6 juin 17 h 34) ; « Clément Méric, élève modèle, tué pour ses idées » (6 juin 18 h 00).

    Les politiciens de tout bord (le FN excepté) ont été dans le même sens. Par exemple M. Delanoë a dénoncé « l’agression mortelle perpétrée par des militants d’extrême droite ». M. Désir : « c’est toute la république qui est meurtrie lorsqu’un jeune homme est lynché par des individus aux méthodes fascisantes ». M. Copé a condamné « avec la plus grande force l’agression barbare dont a été victime un jeune homme de 18 ans en plein Paris ». M. Valls a déclaré que l’agression de Clément Méric « porte la marque de l’extrême droite ». M. Ayrault Premier ministre a annoncé son intention de « tailler en pièces… ces mouvements d’inspiration fasciste et nazie ». Un élu UDI en est même venu à éclater en sanglots à la télévision.

    Divers témoignages sont venus compléter le tableau : « Les agresseurs avaient des poings américains ; leurs tatouages étaient des croix gammées ; certains skins portaient un tee-shirt du Front national… ». 

    • La version officielle est pourtant éloignée de la réalité

    Moins de vingt quatre heures après la mort de Clément Méric (annoncée le 6 juin, au lendemain de la bagarre à Paris rue Caumartin), les éléments recueillis par les enquêteurs, tels que la presse elle-même a dû les signaler, ont montré que la thèse officielle était éloignée de la réalité des faits :

    - Il paraît ainsi établi que la rencontre entre les deux groupes, les « skins » et les « antifas », était fortuite.

    - Les skins prétendent avoir été provoqués d’abord verbalement et attaqués ensuite. Il semble qu’un témoignage important (celui du vigile du magasin) tende à confirmer la thèse des skins.

    - Les skins nient avoir utilisé un poing américain.

    - L’auteur des coups (1 m 80 pour 66 kg) n’est pas le colosse évoqué initialement par les médias.

    - Il est établi que la victime faisait elle-même partie d’un groupe violent, qui cherchait le contact avec les skins. Ce groupe avait notamment  provoqué un début de bagarre dans un cortège de « la manif pour tous » (Clément Méric était alors présent)

    - Affirmant avoir été agressés, les membres du groupe antifa n’ont pourtant pas, au vu des informations disponibles à ce stade, porté plainte contre leurs agresseurs.

    - Le juge a mis en examen le responsable présumé de la mort de Clément Méric pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Il a écarté ce faisant la qualification  d’« homicide volontaire » que le procureur réclamait.

    L’enquête établira ce qu’ont été les faits. Les skins nient avoir été les agresseurs et affirment avoir au contraire été attaqués. Si la version des skins est exacte, s’il apparaît en outre qu’ils se sont battus à main nue et qu’ils ne se sont pas acharnés sur la victime, il faudra alors en conclure que les skins étaient en état de légitime défense et qu’ils n’ont rien à se reprocher.

    Il semble en tout cas d’ores et déjà certain, en l’état actuel des informations diffusées, que la thèse officielle matraquée pendant deux jours par le régime ne correspond pas à la réalité au moins sur trois points essentiels :

    - La victime n’a pas été assassinée ni même tuée intentionnellement (juridiquement le meurtre est un homicide volontaire ; l’assassinat est un homicide volontaire avec préméditation) : elle a été victime de coups échangés dans une bagarre ;

    - La victime n’a pas été pourchassée par une horde fasciste : la bagarre résulte d’une rencontre fortuite.

    - La victime n’est pas un agneau innocent : elle était un membre actif d’un groupe violent qui recherchait le contact avec ses adversaires.

    • La manipulation comme moyen de gouvernement

    Cette affaire fait apparaître sous plusieurs angles la malhonnêteté du régime et ses entreprises de manipulation de l’opinion.

    Premier élément. Lorsque les témoignages incontestables (celui du vigile du magasin en particulier) ont fait apparaître au bout de vingt-quatre heures que la thèse officielle ne correspondait pas à la réalité, le régime a dû baisser d’un ton et interrompre le matraquage : l’affaire Méric a alors été brusquement reléguée au deuxième ou troisième rang.

    Le régime n’a pas renoncé pour autant à la manipulation et a continué à distiller, mezza voce, des affirmations mensongères ou douteuses :

    - Les médias continuent à parler de meurtre et d’assassinat. Par exemple le présentateur de France-culture parle lundi matin 10 juin, puis de nouveau mardi matin 11 juin, tantôt du « meurtre » tantôt de « l’assassinat » de Clément Méric.

    -Le régime évoque sans discontinuer la nécessité de procéder à la dissolution des groupuscules d’extrême droite (voir notamment les déclarations du premier ministre). La décision de dissoudre le groupe JNR, dont les skins impliqués étaient proches, est semble-t-il acquise. La dissolution du groupe violent d’extrême gauche antifa n’est pas envisagée. Elle n’est même pas évoquée (voir notamment ce  tweet de Mme Touraine ministre du gouvernement de M. Hollande).

    Deuxième élément. Dans le traitement judiciaire de l’affaire, le régime a fait preuve jusqu’ici d’une partialité nette :

    - Les activistes de gauche, qui sont accusés d’être à l’origine, n’ont été ni interpellés ni gardés à vue. La presse n’a pas fait état de ce qu’ils aient même pour l’instant été interrogés.

    - Le procureur, qui applique les ordres du gouvernement, a requis une mise en examen pour « homicide volontaire », en contradiction avec les faits d’ores et déjà établis (il n’a d’ailleurs pas été suivi par le juge, qui, lui, est statutairement un magistrat indépendant du gouvernement).

    Enfin troisième élément qui atteste la malhonnêteté du régime. Dans les heures mêmes où se déroulaient les faits conduisant à la mort de Clément Méric, deux autres tragédies similaires se sont produites.

    A Châlons-en-Champagne, un jeune de 22 ans, élève ingénieur des arts et métiers, est mort le 4 juin après plusieurs jours de coma. François avait été frappé au visage, en marge d’une fête étudiante. Le parquet a évoqué d’abord « un différend amoureux » puis « une affaire de cigarette ». L’auteur des coups a été appréhendé : c’est un individu de type nord africain, sans emploi, connu des services de police, qui s’était incrusté dans la fête étudiante.

    A Rennes un jeune de 25 ans est mort le 7 juin après plusieurs jours de coma là encore. Kylian, très connu dans le milieu des festivals culturels, avait été frappé au visage après avoir « demandé des explications » à celui qui, semble-t-il, venait de le bousculer. L’auteur des coups, qui a peut être employé un poing américain, est en fuite.

    Le gouvernement, les politiques et les médias n’ont pas dit un mot de ces deux décès.

    Ils présentent pourtant l’un et l’autre des similitudes fortes avec l’affaire Méric : dans les trois cas un décès, survenu aux mêmes dates, à la suite de coups au visage, après une période de coma. Certes les affaires de Châlons et de Rennes n’impliquent pas des militants politiques. Elles sont pourtant significatives parce qu’elles attestent d’une situation d’insécurité élevée. Elles illustrent également, au moins dans le cas de Châlons, le lien étroit qui existe entre immigration et délinquance.

    Personne n’en a dit un mot. L’opinion a été chauffée à blanc à propos de l’affaire Méric : elle a été laissée dans l’ignorance concernant les morts de Châlons et Rennes. Nous sommes bien en présence d’une manipulation de l’opinion.

    • L’objectif majeur de la manipulation est d’atteindre le Front national

    Il faut maintenant en venir à l’objectif majeur de la manipulation en cours à propos de l’affaire Méric. La manipulation a un objectif essentiel : atteindre le courant « d’extrême droite » et le parti qui le représente, le Front national.

    Ce ne sont pas en effet les groupuscules qui sont en eux-mêmes les cibles du régime. Comptant quelques dizaines de membres et ne se livrant pas à des actes terroristes, ils ne constituent pas un danger. Le Front national, qui a réuni, il y a un an, 6 millions et demi d’électeurs, constitue en revanche une menace majeure pour l’oligarchie.

    Le régime a utilisé l’affaire Méric, instantanément et avec l’intensité maximale, pour diffuser dans l’opinion les messages suivants :

    - L’extrême droite est violente et dangereuse. Elle peut en outre s’attaquer à n’importe qui. L’étudiant tué était un jeune garçon au visage enfantin : tous les parents peuvent craindre que l’extrême droite ne s’attaque à leurs enfants.

    - Second message. Il y a en France des fascistes et la France court un risque fasciste. Pour preuve le jeune était un anti fasciste et il en est mort. L’extrême droite menace la république : il est donc légitime d’interdire les groupes qui appartiennent à cette mouvance.

    - Dernier message. Le Front national a une responsabilité dans la mort de Clément. D’abord parce qu’il a des liens avec les groupuscules. Ensuite parce que les idées  dangereuses des skinheads sont partagées par toute l’extrême droite, des groupes activistes au Front national, en passant par les tenants de la manif pour tous (c’est ainsi qu’un ministre du gouvernement, Kader Arif, a déclaré qu’il craignait qu’il n’y ait un lien entre l’agression de Clément et la manif pour tous. De même M. Ayrault a estimé que le décès de Clément Méric rendait nécessaire la lutte contre « les mouvements racistes, antisémites et homophobes » ).

    Pour faire bonne mesure, les médias ont diffusé pendant les premières heures un témoignage selon lequel l’un des agresseurs skin portait un tee-shirt du FN (ce témoignage est manifestement sans fondement ; pour autant il n’est pas envisagé semble-t-il de poursuivre son auteur). Dans le même registre le journal Charlie Hebdo vient de lancer une pétition pour la dissolution du Front national.

    Le régime a sauté sur l’affaire Méric pour s’efforcer de ruiner l’entreprise de dédiabolisation initiée par Marine Le Pen. Il s’agit d’obtenir que l’opinion associe Front national et violence et qu’elle intériorise le message suivant : « Si vous votez Front national et que ce parti arrive au pouvoir, vous aurez la violence, les bandes fascistes et la peur s’installera pour tout le monde ».

    Le régime constate en effet qu’il parvient difficilement à contrer le discours du Front national sur les sujets majeurs : immigration insécurité, mondialisation, les faits validant les analyses de « l’extrême droite ». Il reste à l’oligarchie la possibilité d’agiter la menace et la peur, peur du fascisme, peur de la violence, peur du chaos : « Attention ce n’est pas parce que les faits paraissent donner raison au Front national qu’il faut voter pour lui : avec le FN vous aurez une violence accrue et la situation sera pire encore ».

    Marine Le Pen a beau déclarer qu’elle « s’associe à la peine de ceux qui ont milité avec (Clément Méric) » , qu’elle condamne la violence, que les groupuscules n’ont pas de lien avec le Front national, que les violents en ont été exclus, que le Front national a toujours participé aux élections, qu’il souhaite un recours accru au référendum, procédé démocratique par excellence, rien n’y fait : les attaques contre ce parti, accusé d’être potentiellement violent et fascisant, restent efficaces.

    • Un régime d’essence totalitaire, sans doute prêt à tout pour faire prévaloir ses Valeurs

    Le régime utilise la mort malheureuse de ce jeune militant Clément Méric pour manipuler l’opinion : il a diffusé délibérément des informations mensongères ; il persiste, alors même que leur caractère fallacieux est établi. Ces méthodes illustrent deux réalités.

    D’abord elles indiquent la ferme volonté de l’oligarchie UMP et PS de conserver le pouvoir, par tout moyen. Mais on peut aller au-delà de ce constat banal et poser ce diagnostic : cette volonté de se servir du mensonge, en méprisant les faits, pour manipuler l’opinion est la marque des régimes totalitaires. Le régime en place, qui se réclame et se gargarise des « valeurs républicaines », est un régime à tendance totalitaire.

    Il pense incarner le camp du Bien, être en charge des Valeurs supérieures, être l’acteur de la marche du Progrès. Confronté aux forces du mal que sont les idées réactionnaires, il s’estime moralement autorisé à utiliser tous les moyens pour éradiquer « la bête immonde ». Dans cet esprit, il lui est licite de recourir au mensonge et à la manipulation. Les « idées d’extrême droite » doivent être expulsées du débat public.

    Dans le cas de l’affaire Méric, l’enquête montrera peut être que les antifas n’ont pas été agressés mais qu’ils étaient au contraire les agresseurs. Cela ne changera rien pour autant aux analyses du régime : même agresseurs, les antifas n’en seraient pas moins fondamentalement dans leur bon droit ; même agressés les skins resteraient dans leur tort et doivent être pourchassés.

    Pourquoi ? Parce que les idées de « l’extrême droite », sans doute partagées par les skins, sont en soi illégitimes. Elles incarnent le mal. Elles sont les ennemis de la liberté et du vivre-ensemble. Dès lors il est justifié d’agresser des « fascistes ». On peut d’ailleurs penser que si un skinhead avait été tué dans la bagarre, non seulement on ne lui aurait pas rendu hommage, mais on l’aurait condamné, ses idées nauséabondes le rendant par nature coupable de la violence qu’elles engendrent.

    On peut dans la même perspective souligner ce dernier point. On l’a vu, la mort des deux jeunes décédés en province à la suite de coups au même moment que Clément Méric a été passée sous silence. Faut-il en conclure que, dans l’esprit des oligarques, les vies de François et Kylian avaient moins d’importance que celle de Clément ? La question ne se présente pas de cette façon. La vraie dimension de l’affaire Méric est en effet la suivante.

    Ce n’est pas Clément lui-même qui a fait l’objet de l’hommage unanime rendu par les politiciens et les médias. Ce devant quoi les oligarques et les serviteurs médiatiques du système se sont inclinés, ce n’est pas la personne de Clément mais l’idéologie qu’il défendait.

    Si les coups portés à Méric révulsent les maîtres du régime en place, c’est avant tout parce que les skinheads ont attaqué des Idées, des Valeurs, les valeurs de la République et celles du Vivre ensemble. La quasi-totalité des politiciens qui ont condamné l’agression de Clément l’ont affirmé : « C’est la République qui est attaquée ». C’est la raison pour laquelle les morts de François et Kylian ne revêtent pas le même intérêt et ne méritent pas qu’on s’y arrête.

    Dans leur cas, il s’est agit de morts ordinaires, malheureuses mais banales.  Dans celui de Clément tout au contraire, les valeurs autour desquelles le régime s’est construit étaient en cause. C’est pourquoi François et Kylian resteront confinés au registre de la PQR, dans la rubrique des faits divers : Clément lui, tel un nouveau Guy Môquet, a accédé sans détour au Panthéon des militants de l’antifascisme et des héros de la république.

    **

    Cette affaire illustre les méthodes et les principes d’action que mettent en œuvre depuis deux cents ans les tenants des conceptions « modernes », qu’elles soient républicaines ou communistes. La Fin comme justification des moyens employés. Les faits qu’il convient d’écarter s’ils s’opposent au sens de l’Histoire. Le primat des Idées, qui relèguent à l’arrière plan la vie des personnes concrètes. Le refus de la liberté pour les adversaires des Valeurs, désignés comme « ennemis de la liberté »…

    Selon des témoignages, Clément Méric aurait en substance déclaré quelques minutes avant la rixe fatale que « les skins ne devraient pas avoir le droit de vivre »…

    L’affaire Méric, nouvel épisode de la guerre civile française.

    http://www.fdesouche.com

  • Agression d’un militant de droite à Angers : silence des médias et de la classe politique

    ANGERS (NOVOpress) — Le blanc-seing accordé aux groupuscules « antifas » par Valls et Taubira, suite au décès tragique de Clément Méric, aurait-il été perçu comme une autorisation de tuer ? On peut légitimement s’interroger suite à la violente agression dont a été victime un militant de Génération Identitaire à Angers ce vendredi 14 juin après midi dans le centre ville d’Angers.

    Il est 18h30 lorsqu’un groupe de cinq jeunes militants patriotes sortent d’un immeuble dans une rue commerçante et animée du centre-ville, ils sont alors pris à partie par quatre personnes se revendiquant « antifas » pour les avoir reconnus à une soirée des Veilleurs à Angers. Un des jeunes militants présents sur les lieux témoigne : « Ils nous ont insultés : nous leur avons demandé qui ils étaient, ils ont refusé de nous répondre, l’échange en est resté là. Moins de deux minutes après, dans la même rue, une vingtaine de personnes nous sont tombées dessus, armées de planches à clous, de battes de base-ball, ainsi que de poings américains et de couteaux. » Le choc est bref et violent, le jeune identitaire qui tente de faire face est violemment frappé à la tête par un des antifas, armé d’un manche en bois hérissé de clous, par un coup porté à l’arrière du crâne, sa tête heurte la lunette arrière d’un véhicule en stationnement, brisant celle-ci.

    "En prenant le premier coup ma tête à heurté une vitre de voiture qui a éclaté sous l’effet du choc"

    “En prenant le premier coup ma tête à heurté une vitre de voiture qui a éclaté sous l’effet du choc…”

    Sonné, le militant tombe au sol et son agresseur le frappe encore à la tête. Par miracle, le jeune identitaire s’en tire sans trop de mal, il témoigne aujourd’hui : « Je m’en tire avec des douleurs aux côtes, deux impacts de planches de 5 cm de long : Un sur le crane et le deuxième sur la nuque (avec un trou de clou). En prenant le premier coup ma tête à heurté une vitre de voiture qui a éclaté sous l’effet du choc, je me suis retrouvé par terre, mon agresseur en a profité pour me mettre un autre coup sur la nuque. J’ai eu beaucoup de chance, je pense que ces coups auraient pu être mortels. »

    Des coups mortels comme pour Clément Méric. Mais cette fois avec préméditation puisque tout laisse à penser qu’il s’agissait d’un guet-apens, les agresseurs étaient surarmés et les coups portés à la tête, y compris sur un homme à terre, témoigne d’une intention de tuer ou, tout du moins, de blesser gravement… La cible ce soir là semblait être Jean-Eudes, le responsable départemental FNJ, qui faisait partie du petit groupe d’amis pris à partie, et qui déjà été menacé à plusieurs reprises jusque chez lui !

    Alertée par des témoins, la police intervenue rapidement sur les lieux a interpellé celui qui serait l’auteur des coups. Il est mineur, aurait déjà un passé judiciaire chargé et serait fils d’enseignant, comme Clément Méric… Au contraire de l’affaire Clément Méric, par contre, cette agression fait à ce jour l’objet d’un silence de plomb dans les médias locaux et bien sûr des autorités politiques locales.

    Cette agression fait monter encore d’un cran la tension à Angers où les groupuscules gauchistes entretiennent un climat tendu depuis quelques semaines : soirées des Veilleurs perturbées, présence de manifestants masqués ou cagoulés, menaces de morts envers des militants nationaux. Face à cette apparente impunité des bandes armées gauchistes, militants du FNJ, jeunes de Génération identitaire, défenseurs de la famille font front commun avec calme et détermination.

    François Hollande voulait une France apaisée, force est de constater que, même dans la ville du bon roi René, la légendaire douceur angevine n’est plus.

    Crédit photo : DR Angers http://fr.novopress.info

  • 15-16 septembre: université d'été de LMPT

    Ludovine de La Rochère, présidente de « La Manif pour tous », est interrogée sur le blog de L'Homme nouveau. Extraits :

    "[...] « La Manif pour tous » entend-elle prendre une dimension politique ?

    RNon, il ne s'agit pas de se constituer en mouvement politique, mais d'agir auprès des élus pour peser dans le débat public. Nous sommes convaincus, en effet, que c'est notamment notre indépendance qui fait notre force.

    Justement, que comptez-vous faire pour les maires qui sont déjà et seront de plus en plus confrontés aux demandes de mariages homosexuels ?

    Nous mettons en place la structure nécessaire pour les aider, du point de vue juridique, de la communication, etc. Nos avocats travaillent en ce moment sur les textes de loi qui leur permettront de défendre les maires qui refuseront, en conscience, de célébrer le « mariage » de personnes de même sexe. Il ne faut pas oublier que la liberté de conscience est censée être l’un de nos fondamentaux, garanti par la Déclaration des droits de l’Homme !

    Ne craignez-vous pas un essoufflement de la mobilisation pendant les vacances ? Que comptez-vous organiser ?

    « La Manif pour tous » ne se bat pas seulement contre la loi Taubira, mais aussi contre ce qui est en est à l’origine, c’est-à-dire l’idéologie du Gender, et bien sûr contre la PMA (Procréation Médicalement Assistée) pour tous et la GPA (Gestation Pour Autrui ou mère porteuse). En fait, la tâche est immense pour nous tous qui voulons défendre le mariage et la filiation, c’est-à-dire l’enfant et la famille ! Nous allons annoncer et proposer trois types d’actions : informer et sensibiliser encore et toujours plus largement sur ce qui se joue actuellement, organiser des actions de rue, des actions juridiques et des actions auprès des politiques français et européens. Nous souhaitons aussi former sur ces sujets, car il y a urgence ! C’est dans cette optique que nous organisons une université d’été les 15 et 16 septembre en région parisienne. D’ici là, des actions sont bien sûr prévues, à commencer par la pétition pour la liberté de conscience des maires, très importante pour la suite, à signer sur le site officiel de « La Manif pour tous ». [...]

    Michel Janva 

  • "Messieurs Hollande et Valls, vous venez en un quart d’heure de perdre une centaine d’électeurs"

    Un journaliste est témoin d'arrestations violentes samedi soir dans le quartier latin de jeunes qui venaient de manifester au Conseil constitutionnel. Il raconte :

    "Il est 20h30 samedi, je rentre de dîner avec un ami dans un restaurant du carrefour de l’Odéon. Nous marchons rue Saint-Sulpice quand, derrière nous, des cris, deux motos de la police à fond, une personne, un homme très jeune,  court sur le trottoir. Il s’arrête fait demi-tour, reprend sa course. La première moto pile, fait demi-tour à son tour, monte sur le trottoir et fonce. La seconde la suit. On se dit, avec mon ami, qu’il s’agit d’un voleur de sac. Et que les policiers ont l’air très énervés.

    Sur le même trottoir, courent vers nous deux autres jeunes hommes et une jeune femme puis ils s’arrêtent tous essoufflés. On leur demande ce qui se passe.

    - « Une manif anti-mariage gay », nous dit un garçon, genre propre sur lui, souriant, pas du tout l’air d’un casseur.

    Je lui demande pourquoi les flics… mais il n’a pas le temps de répondre, deux voitures de police, puis trois, foncent dans notre direction, bloquent le croisement avec la rue Mabillon. Tout va très vite.

    Les policiers sortent des voitures, sautent sur un des jeunes, le ceinturent, le poussent brutalement vers une voiture. La fille sort son portable pour prendre une photo. Elle est immédiatement ceinturée et emmenée à son tour. D’une voiture banalisée sortent deux hommes, qui foncent sur un autre jeune, et le jettent par terre avec violence.

    D’autres voitures passent à fond, freinent à mort, des policiers en sortent, attrapent d’autres jeunes.

    Les passants s’émeuvent de ces comportements de cowboys. Je montre ma carte de presse, m’approche des voitures demande : « pourquoi les arrêtez-vous ? Qu’ont-ils fait ? ». Pas de réponse. Je brandis ma carte devant les yeux du motard qui semble un peu le chef avec ses trois galons, mêmes questions.

    Il s’approche très près, me parle les yeux furieux : « demandez au service de presse de la préfecture, nous n’avons rien à vous dire ». J’insiste, demande s’ils ont cassé quelque chose… « Demandez au service de presse» et comme je me retourne pour essayer de poser les mêmes questions à d’autres, il me poursuit, sans me repousser et ni me toucher, mais avec un ton qui monte' (suite).

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Libre-échange transatlantique : les Européens paieront !

    L’Europe paiera. C’est ce que pensent très fort et que disent – pas si bas que cela – les responsables de la négociation sur le futur accord de libre-échange transatlantique aux Etats-Unis. Avec un argument de base : l’Europe a désespérément besoin de croissance. Plus que les Etats-Unis, où la situation est meilleure sans être néanmoins brillante. L’Europe est demandeuse et doit donc payer, c’est-à-dire faire davantage de concessions.

    Et nos amis américains de faire la preuve par neuf et de demander des gages que la Commission n’a été que trop heureuse et prompte à donner dans le domaine agricole en particulier : les Etats-Unis ont posé un ultimatum en décembre, exigeant que l’Europe prouve sa bonne foi en acceptant, par exemple, la viande de bœuf d’animaux élevés et abattus dans des conditions sanitaires indescriptibles, mais nettoyés à l’acide lactique avant envoi aux consommateurs. Les prétendues contreparties que la Commission affirmait exiger de leur partenaire américain n’ont toujours pas été mises en œuvre.

    À lire les remerciements enthousiastes qui ont accompagné l’annonce du lancement des négociations par le Président américain dans son discours sur l’état de l’Union, en provenance des différents chefs de gouvernement européens, à voir l’empressement servile de la présidence irlandaise à faire avancer le mandat de négociation, on comprend que l’exercice est moins un dialogue d’égal à égal qu’un rapport de vassal à suzerain.

    S’il fallait une preuve supplémentaire, elle vient d’être donnée. En décembre dernier, le régulateur financier américain, la Réserve Fédérale, a publié de nouvelles exigences à l’encontre des banques étrangères – et européennes en particulier – qui ont deux conséquences : réduire mécaniquement le champ d’activités des banques européennes aux Etats-Unis, et rompre avec la tradition de dialogue avec les régulateurs européens. Deux conséquences qui s’inscrivent directement contre l’esprit de l’accord de “partenariat”, mot choisi par l’administration américaine, manteau de Noé pour couvrir un accord de libre-échange que le parti démocrate ne saurait voir.

    À ceux qui espéraient que le sujet pourrait être évoqué dans le cadre des négociations transatlantiques le négociateur américain a apporté un démenti cinglant devant le Sénat : il y aura, a-t-il assuré, une “exception prudentielle” pour les services financiers, et la question sera placée hors du champ des négociations. Une délégation de cinéastes européens a posé la question de cette exclusion à José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne n’obtenant pour réponse qu’un silence édifiant.

    C’est dans ce contexte que la question de l’exception culturelle prend tout son sens. Il en va bien sûr de la question du rapport entre commerce et culture, de la volonté – ou non ? – de l’Europe d’échapper au “tout marchandise” qui est la règle américaine, de défendre une identité et une diversité à l’opposé du monde hollywoodien. Mais il en va aussi, au-delà, du premier test de la volonté et de la capacité européenne d’échapper à l’oukase américain.

    Si, pour des raisons qui sont les leurs (un président de la Commission qui a déjà démontré sa capacité à rentrer dans la “coalition of the willing” chère à George W. Bush ; un commissaire – plus libéral tu meurs ; un français à la tête de la DG Commerce – on n’est jamais trahi…), la Commission met son drapeau dans sa poche, les citoyens français et les citoyens européens ont du souci à se faire.

    Demain, ce sont les lobbies agricoles américains qui exigeront l’ouverture des frontières européennes aux produits OGM. Le blé Monsanto, qui n’avait, parait-il, pas quitté les laboratoires pousse actuellement gaiement dans l’Oregon.

    Après demain, les multinationales de l’Internet exigeront que les Européens respectent les règlementations américaines en matière de protection des données. Autant dire que l’Agence de sécurité nationale américaine (NSA) aura un accès plus facile encore à nos conversations téléphoniques, nos échanges de courriels, et notre intimité.

    Non, l’exception culturelle n’est pas négociable. Car avec elle c’est l’art de vivre européen, ce sont les valeurs de notre continent qui seraient mises à l’encan.

    Le Monde  http://fortune.fdesouche.com

  • Le bide capital de Hollande sur M6

    Seuls 2,8 de téléspectateurs en moyenne ont regardé hier soir, dimanche, l'émission "Capital" sur M6, dont Hollande était l'invité. Soit une part d'audience de 12,5%, a indiqué lundi l'institut Médiamétrie.

     

     

    Cette audience est loin des records de l'émission: le 3 février, le numéro de Capital intitulé "Gaspillage alimentaire : révélations sur un immense gâchis !" avait rassemblé 4,3 millions de téléspectateurs en moyenne, soit le plus haut score depuis 2009.

     

    Entre les reportages, qui rythmaient l'émission, le président de la République répondait en direct aux questions du présentateur Thomas Sotto, à la veille d'un sommet des dirigeants du G8 qui aura à son menu l'évasion fiscale. De quoi rire à gorge déployée !...

     

    Le thème de cette spéciale de "Capital", exceptionnellement sans coupures publicitaires, était "la France en panne : comment faire sauter les verrous ?". Tout un programme…

     

    Au gré des reportages de cette émission de plus de 2 heures, François Hollande, sans faire d'annonces spectaculaires, a défendu pied à pied le cap de son action.

     

    Durant l'émission, François Hollande a indiqué que Stéphane Richard resterait à la tête d'Orange et plaidé pour la réforme des retraites.

    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/

  • Barack Obama, le masque tombe – Par Fernand Jourdan

    PARIS (NOVOPress) – Les médias convenus, ceux qui nous assènent leurs vérités pour forger nos esprits, nous présentèrent le candidat Barack Obama, dès sa première campagne électorale en 2008, comme le président d’une nouvelle ère. On s’amuserait à relire les tirades enthousiastes de la presse de cette époque. En janvier 2009 depuis Washington, lors de l’investiture du président américain, Ségolène Royal n’eut pas la moindre crainte du ridicule en affirmant : “Oui, j’ai inspiré Obama et ses équipes nous ont copiés“.
    Il est vrai que Barack Obama avait tout pour séduire les bobos : démocrate, donc de gauche, métis de surcroît, bref toutes les qualités. Un Harlem Désir américain en quelque sorte.

     

    À peine neuf mois plus tard, alors qu’il vient tout juste de décider l’envoi de 30 000 soldats américains pour poursuivre la guerre d’Afghanistan, il reçoit le prix Nobel de la Paix. Rares étaient alors les esprits critiques qui s’étonnaient de cette nomination aussi soudaine qu’absurde.

    Obama est réélu en 2012 à l’issue d’une campagne électorale qui battit ses propres record de coût de 2008 : plus d’un milliard de dollars.

    Même pour les plus aveugles, ou les plus aveuglés, le masque Obama tombe peu à peu :

    • les agressions militaires menées par les États-Unis se multiplient avec notamment le recours important aux drones, et prennent un aspect arbitraire et secret
    • les actions de guerre sont le plus souvent menées par des sociétés privées
    • le conflit entre Israéliens et Palestiniens non seulement ne s’est pas arrêté, mais perdure et enfle
    • plus grave encore : Obama s’active pour que la Syrie tombe aux mains des Islamistes qu’il insiste pour armer ; il multiplie les pressions sur l’Otan, sur le roi de Jordanie qu’il a encore rencontré récemment afin d’assurer la logistique des livraisons d’armes aux mercenaires islamistes qui combattent en Syrie ; de concert avec le zélé François Hollande, il monte un artifice sur l’utilisation de gaz sarin par le régime syrien pour justifier ces livraisons d’armes

    Mais est-ce mieux sur le plan économique ? Eh bien non :

    • Obama accélère le rythme d’augmentation du plafond d’endettement des États-Unis, fixé depuis 1917 par le Congrès ; le dernier plafond établi en février 2013 à 16.697 milliards permet au pays de tenir jusqu’en septembre

    Et c’est pire encore sur le plan des libertés :

    • Obama a considérablement développé l’espionnage de toute la planète en interceptant avec la complicité des grands opérateurs américains (Google, Yahoo, Facebook, Apple par exemple) toutes les informations circulant sur internet
    • la prison de Guantanamo, à Cuba, qu’Obama s’est engagé à fermer, est toujours bien active
    • les prisons américaines hors du territoire des États-Unis ne sont toujours pas fermées non plus.

    Quelques esprits critiques voyaient dès 2008 le candidat Obama, sorti de nulle part et promu avec un budget record président des États-Unis, comme le pantin des groupes qui finançaient sa campagne : le complexe militaro-industriel, de concert avec les lobbies pétroliers, financiers et médiatiques. Pour eux Obama est un bon président : les conflits militaires se propagent, la finance prospère, les libertés se resserrent . Tout va bien.

    Fernand Jourdan pour Novopress http://fr.novopress.info/