Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/
magouille et compagnie - Page 2324
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Luc Chatel pour une fédération franco-allemande au sein de l'UMP
Luc Chatel, alors qu’il était ministre de l’Éducation nationale sous Sarkozy, avait déjà inscrit la théorie du « gender » dans les programmes et supprimé Charles Martel, Louis XI, Louis XIV et Napoléon au profit de « l’étude des empires africains ». Comme quoi les socialistes ne sont pas les seuls à détruire la France et nos racines.Anti-national notoire, fédéraliste européiste, il préside aujourd’hui le courant « France moderne et humaniste » au sein de l'UMP, et défend le projet d'une union budgétaire et d'une fédération franco-allemande devant les Français dans la perspective des élections européennes de 2014. Ce qui n’empêchera nullement ce triste sire de faire jouer la fibre patriotique lors de ces mêmes élections. Des fois que ça marche…
Alors que le principal parti d'opposition organise une convention, la semaine prochaine, pour débattre de son projet européen, l'ancien ministre de l'Éducation nationale de Nicolas Sarkozy était, mardi, au Parlement européen à Strasbourg pour une réunion sur le thème provocateur : "Y-a-t-il encore une place pour les Européens à l'UMP"."Nous devons porter l'image d'un nouvel idéal européen qui fasse rêver, mais qui soit pragmatique", a-t-il dit devant quelques dizaines de parlementaires nationaux et européens."Si nous ne hissons pas haut le drapeau européen, il n'y en a pas beaucoup d'autres, au sein de l'UMP, qui le feront à notre place", a-t-il ajouté.Le député de la Haute-Marne, qui est aussi vice-président délégué de l'UMP, prône, pour sortir de la crise "une nouvelle étape de l'union politique avec une union budgétaire" et, au-delà, "aller vers une fédération franco-allemande au moment où notre pays tourne le dos à la relation franco-allemande".Luc Chatel estime que François Hollande est responsable de cette situation, en dépit de son ralliement, la semaine dernière, au projet d'Angela Merkel d'union politique et de gouvernement économique de la zone euro."C'est lui qui a mis la relation franco-allemande dans une situation de défiance, c'est lui qui a parlé de tension amicale, c'est lui qui a laissé faire le parti majoritaire dans une véritable agression vis-à-vis de la chancelière allemande", a-t-il dit à des journalistes après la réunion."Le Parti socialiste est beaucoup plus divisé sur les questions européennes que nous le sommes", a-t-il estimé.Alain Lamassoure, fédéraliste convaincu et pilier de la délégation de l'UMP au sein du Parlement européen, a toutefois invité les "Européens" de l'UMP à répondre aux préoccupations plus immédiates de l'opinion dans une situation de crise."Si nous donnons systématiquement raison à Angela Merkel contre François Hollande, nous finirons par avoir quelques problèmes avec nos concitoyens", a-t-il averti.Il a aussi invité l'UMP à prendre à "contrepied" les socialistes, qui revendiqueront la nécessité d'une Europe sociale, en reprenant à son compte le principe d'une "Europe de la solidarité".Ces gens-là aiment bien jouer avec les mots… -
Insultes, déni du réel, duplicité : le Système dans le texte…
Le calamiteux Léon Blum déclarait qu’il était du devoir des «races supérieures d’imposer la civilisation aux autres races » ; le très sectaire Jules Ferry clamait pareillement que « le devoir des peuples civilisés (est) de mettre dans leurs rapports avec les peuples barbares plus grande longanimité, celle d’une race supérieure qui ne conquiert pas pour son plaisir ». Ces deux modèles de la gauche droit-de-l’hommiste et colonialiste, sûre d’elle-même et dominatrice, célébrés par François Hollande, seront-ils chassés des bibliothèques du parti? L’Assemblée nationale a adopté jeudi 16 mai une proposition de loi du Front de Gauche supprimant le mot race de la législation française. Le groupe PS a souligné qu’il s‘agissait d’une première étape puisque François Hollande s’était en effet engagé pendant la campagne présidentielle à supprimer le terme race de la Constitution.
Le rapporteur de la proposition, Alfred Marie-Jeanne, a fait valoir que le mot race, « ce concept aberrant, ayant servi de fondement aux pires idéologies, n’a pas sa place dans notre ordre juridique ». Les députés socialistes ont fait aussi adopter un amendement affirmant explicitement, dans l’article premier, que « la République combat le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie. Elle ne reconnaît l’existence d’aucune prétendue race ».
Alors, nous le notions en mars 2012 si ce n’est pas en cassant le thermomètre que l’on fait baisser la fièvre, ce n’est pas en supprimant un mot que disparaît la réalité qu’il recouvre. A moins de se complaire dans la pensée magique propre aux sociétés primitives, d’instruire des procès en sorcellerie, d’emprunter le chemin de la démonologie, il est vrai souvent parcouru par la gauche.
S’il s’agit de dénoncer le racisme, il n’en reste pas moins que les races existent bien évidemment, qu’elles ont une réalité qui vient démentir le discours officiel, le négationnisme gaucho-mondialiste.
L’éminent docteur es génétique et docteur es Sciences, professeur à l’Ecole d’Anthropologie de Paris, spécialiste des marqueurs génétique – il est à l’origine de la découverte des variants ADN du chromosome Y et de leur utilisation en anthropologie moléculaire- le professeur Gérard Lucotte le rappelait sans langue de bois: « La biologie tout entière est contre cette notion que les races n’existent pas. Au contraire, et de nombreux travaux vont dans ce sens, on étudie les particularismes ethniques (…). »
Mais constate Bruno Gollnich, l’affirmation par un Français, un Européen de son identité non seulement physique, mais aussi culturelle, civilisationelle , semble toujours insupportable, suspecte, une épouvantable provocation aux yeux des gardiens du dogme égalitariste et « antiraciste. »
En 1959, le Général De Gaulle constatait en parlant des Français que « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne »
Que de chemin parcouru, dans son programme présidentiel de juillet 2006, Nicolas Sarkozy, écrivait l’inverse affirmant qu’il « (pensait) que les Français attendent une France d’après (…), une France où l’expression Français de souche aura disparu » et donnait comme cap politique, à l’instar de la candidate socialiste Ségolène Royal, la réalisation d’une société intégralement métissée.
Restons dans le registre sémantique, puisque le choix des mots utilisés par les adversaires du FN pour le qualifier, lui ou ses dirigeants, éclaire aussi particulièrement leur nature profonde.
Réagissant à la fracture (très douloureuse, mais fort heureusement sans conséquence grave) subie par Marine la semaine dernière, l’ex notable socialiste et toujours partisan de l’immigration et de l’euro, Jean-Luc Mélenchon, a commis ce tweet d’une kolossale délicatesse : « En attendant, je me casse le cul pour les ouvriers pendant qu’elle se casse le cul dans sa piscine. »
Encore plus immonde et comme l’a rapporté le site Infos-Bordeaux, le mélenchoniste Alain Bousquet, un des responsables du Parti de gauche en Gironde, conseiller municipal de Villeneuve d’Ornon, s’est fendu sur son blog d’un article d’une violence ahurissante contre Marine Le Pen. Le sans-culotte Bousquet s’est réjoui de sa chute, a appelé « à lui briser les os », la comparant à une « truie » dont le « squelette (…) charpente une masse informe, qui répand la haine et la confusion ».
Il est vrai que M. Mélenchon traitait déjà la présidente du FN –arrivée en tête des votes chez les ouvriers…- de « semi démente » pendant la campagne présidentielle, faisant écho au député UMP Jean-Claude Goasguen affirmant que « le FN est un parti de primates. »
Qu’il s’agisse de renouer avec les vieux tics communistes consistant à dénier toute raison à ses adversaires, comme les opposants au régime de Brejnev internés en hôpital psychiatrique, ou de ravaler l’adversaire au rang de l’animal, de lui refuser toute réelle humanité –Bruno Gollnisch a subi aussi ce type de traitement!-, nous sommes là en plein dans la logorrhée propre aux systèmes totalitaires.
Un FN frappé d’indignité républicaine » par la caste comme a tenu à le rappeler dernièrement le porte-parole du PS, David Assouline, mais aussi symboliquement Jean-François Copé et Nathalie Kosciusko-Morizet qui ont refusé de serrer la main de Marion Maréchal-Le Pen lors de la séance inaugurale de la nouvelle session parlementaire l’année dernière….
A cette aune, c’est bien la même mentalité, les mêmes intérêts, peu ou prou la même vision du monde que partagent la plupart des dirigeants des partis du Système.
Certes, ici ou là, on s’essaye mollement de nous faire croire le contraire. Ce fut encore le cas dimanche avec la déclaration conjointe du vice-président copéiste de l’UMP et ex catastrophique ministre de l’Education, Luc Chatel, et de la bobo NKM candidate à Paris (dans l’indifférence générale).
Ils ont fustigé de concert un François Hollande coupable de « faire monter le Front National » avec l’annonce du retour du débat sur le droit de vote des étrangers non communautaires, après les municipales de 2014, alors qu’une nette majorité de Français y est opposée.
Tout aussi désopilant, le très antifrontiste Geoffroy Didier, cofondateur du courant de l’UMP la Droite forte (sic) , avec Guillaume Peltier, a fustigé de son côté le « cynisme électoral (de la gauche) pour faire monter le FN ».
M. Didier n’en était pas moins un des piliers de La Diagonale, club de sarkozystes de gauche qui défend le mariage homosexuel et le droit de vote des immigrés. Mais bon, au diable les convictions, il faut savoir prendre la vague porteuse coco !
Parlons clair: pendant une décennie l’UMP au pouvoir disposait de la majorité à l’Assemblée comme au Sénat. Jamais il n’est venu à l’esprit de nos indignés d’abroger le droit du sol, le regroupement familial, d’en finir avec l’immigration et les régularisations massives qui fabriquent des Français de papier et partant, des électeurs…
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Concert à la Bastille pour fêter la loi Taubira : bide complet !
[ALERTE ENLEVEMENT] On recherche les partisans du « mariage » gay, prétendument « majoritaires » en France !
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Les CRS se comportent comme des sauvages - Manif et Camping pour Tous aux Invalides
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Agression policière contre la Ligue du Midi
COMMUNIQUÉ “Ils sont devenus fous” : agression sauvage des forces du désordre contre la Ligue du Midi
Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, était convoqué, jeudi 16 mai, au commissariat de police de Montpellier pour être entendu suite à une plainte de Hussein Gourgi, secrétaire départemental du Parti Socialiste. On notera au passage que les plaintes du Parti Socialiste contre un jet de crottin de cheval avancent plus rapidement que lorsque une mamie se fait arracher son sac ou quand un étudiant se fait agresser dans l’Écusson.Une vingtaine de sympathisants de la Ligue du Midi, dont la moitié de plus de 60 ans et de femmes, étaient venus soutenir leur président et s’étaient positionnés à l’extérieur du commissariat sur la rampe d’accès aux locaux, devisant calmement et sans gêner le passage. Richard Roudier avait pris soin de prévenir 48 h à l’avance les services de police de la présence de cette délégation indiquant qu’il y aurait un drapeau occitan et une banderole de la Ligue.
Dès son arrivée, Richard Roudier était conduit dans les étages pour son “audition” et après avoir produit son identité, et comme la loi lui en confère le droit, refusait de donner des détails sur “l’affaire” des jets de crottin du P.S. et demandait à être autorisé à quitter les lieux. Nous estimons en effet que la disproportion est trop grande entre les exactions commises contre la France par le Parti Socialiste et les reproches faits au Président de la Ligue du Midi. Richard Roudier examine par ailleurs avec son conseil l’opportunité d’une plainte contre Hussein Bourgi. Tout le monde a en effet en mémoire les dérives maffieuses de ce gang : affaires Navarro, Pradilhes, Guerini, Fabius, Cahuzac, Teulade, Trierweiler, etc, etc, etc, etc, etc, etc…On peut s’interroger sur le lien qu’il pourrait exister entre le mutisme du président de la Ligue, attitude dont le parquet était informé en temps réel, et les évènements graves qui étaient en train de se dérouler à l’extérieur du commissariat. En effet au même moment un groupe de 20 policiers en tenue, commandés par un officier, se jetaient sans avertissement ni sommation contre les adhérents de la Ligue du Midi : étranglements, clefs de bras, balayages qui ont entrainé des blessures avec ITT – on entend distinctement sur la vidéo les coups de rangers portés à un militant à terre-.... on a même vu un policier déchainé casser la hampe du drapeau et piétiner celui-ci. Évidemment la scène a été filmée par une équipe de la Ligue du Midi et une cinquantaine de clichés de très bonne qualité, sur lesquels on reconnait les agresseurs, étaient pris par le Colonel Hamilton (E.R), présent sur les lieux. Un petit voyou qui passait par là, écarquillait les yeux en s’exclamant : “Ils sont devenus fous”.Lors d’un briefing organisé dans la foulée sur les berges du Lez, une riposte a immédiatement été mise en place en plusieurs étapes:- Examens des blessés par un médecin- Lettre au préfet de région demandant une audience ainsi qu’une enquête administrative sur ces évènements- Large diffusion des documents vidéos et photos à la presse- Plaintes au procureur de la République- Information du Conseil de l’Europe et du parlement européen pour dérive autoritaire des méthodes policières en France- Demande d’une enquête de l’IGPN (Inspection Générale de la Police Nationale)À noter que, dès la nouvelle diffusée, trois adhésions de jeunes étudiants ont été enregistrées.Ligue du MidiMembre du Réseau-identitésBP 1-711430912 – Nîmes cedex 2Tel: 04 34 40 41 29 / 06 83 25 36 10 -
Exorcisme sémantique sur la race. Changer les mots pour nier les faits
Nous sommes dans une société totalitariste d’apparence. Le pouvoir politico-médiatique tente d’imposer une société virtuelle pour ne pas affronter la réalité. Parfois d’ailleurs, cela marche. Cela passe cependant par une hypocrisie sémantique permanente. Ainsi en supprimant le mot race de la législation, on croit supprimer le racisme. On cède en fait partiellement au lobby anti raciste qui manipule cette notion pour imposer ses vues métissées à une société encore rétive.
La proposition de loi du Front de gauche supprimant le mot «race» de la législation française a donc été définitivement adoptée, jeudi 16 mai, à l’Assemblée nationale.
La majorité PS s’est ralliée à cette proposition, soulignant qu’il s’agissait d’“une première étape”. François Hollande s’était en effet engagé durant la campagne présidentielle à supprimer ce terme de la Constitution. Certains députés se sont, quant à eux, abstenus. «Evidemment, votre proposition a du sens (…), mais supprimer ce mot dans la législation sans l’éliminer dans le bloc constitutionnel pose un problème juridique», a commenté Jean-Frédéric Poisson (UMP).
Le terme devrait ainsi disparaître prochainement de nombreux textes, parmi lesquels le Code pénal, le Code de procédure pénale ou encore la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
Comme l’a rappelé le Front de gauche, cette disparition du mot «race» devra aller de pair avec la suppression du terme dans la Constitution de 1958 et dans le préambule de la Constitution de 1946. Une promesse qui n’est pas «enterrée», selon l’Élysée. «On n’a pas renoncé à le faire durant le quinquennat. C’est un engagement auquel le président tient, mais il faudra prendre le temps de la conviction», a-t-on précisé auprès du chef de l’État.
La réforme divise aussi les juristes. Pour ses opposants, le texte entretient une confusion sur la nature même du droit : « la vocation du droit n’est pas de valider telle ou telle thèse scientifique mais de juger des comportements sociaux », explique le constitutionnaliste Bertrand Mathieu L’affirmation que les races n’existent pas est combattue par certains scientifiques mais également et surtout par un bon sens populaire. On reconnait les races dans la rue et certains traitements médicaux sont adaptés à des spécificités raciales, pour ne prendre que deux exemples. Mais combattre le racisme par les mots c’est bien dans le totalitarisme sémantique de nos sociétés. On croit que changer le mot, ne pas le nommer ou l’interdire peut résoudre le problème. Mortelle illusion. Elle est cependant bien française.
Un pays où, par peur de l’islamisme, on a abandonné l’Afrique pour courir le “Paris Dakar”. Mais comme on n’ose pas le dire on continue depuis des années à courir le “Paris Dakar”… en Amérique du sud. Tout est dit non ?
Jean Ansar http://fr.novopress.info
Source : Metamag.
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Ordre du jour n°1 du Printemps français
Du 20 mai :
"Le Printemps Français prend acte de l’ultime coup de force du gouvernement, qui a publié samedi 18 mai au Journal Officiel la loi établissant l’idéologie du genre dans le Code civil. Cette loi, qui dénie au mariage le caractère d’une institution pour en faire un simple contrat, permet à un couple unisexe de priver délibérément un enfant de sa filiation légitime, en reconnaissant le droit à l’adoption plénière. Contre les lois de la biologie et contre tout sens commun, la République affirme qu’un enfant peut avoir deux pères ou deux mères. Par ce mensonge d’Etat, le père ou la mère authentique de l’enfant adopté sera déchu de tout statut. Le droit de l’enfant à avoir un père et une mère est nié.
Derrière cet artifice imposé - sans débat digne de ce nom - se révèle une idéologie, qui prétend que la nature sexuée des individus est indifférente et ne créée aucune obligation ni aucun droit. Quand la loi prétend s’imposer aux réalités de la nature et de la société, elle conduit aux pires excès. L’histoire récente nous a montré les conséquences d’une loi qui prétendait fonder la société sur la supériorité d’une race, ou sur celle d’une classe. De ces deux cas, les pires totalitarismes sont sortis, provoquant la ruine de la civilisation. Il n’existe pas d’idéologies anodines… elles conduisent à l’asservissement des peuples!
Mais l’histoire a aussi montré que ces idéologies ont été défaites. La France, en particulier, sait dans quels bas-fonds elle est tombée sous le joug d’une idéologie, mais aussi à quelle libération elle est parvenue par sa résistance.
Aujourd’hui, le Printemps Français proclame l’Ordre du Jour Numéro 1 d’une nouvelle résistance à l’idéologie. La France est actuellement soumise à des forces qui veulent l’asservir entièrement. La bataille ne fait que commencer. Elle se prolongera jusqu’à la victoire.
A l’aube de ce combat, des partis politiques annoncent déjà leur collaboration avec le pouvoir idéologique, en affirmant faussement que la loi Taubira ne pourra pas être abrogée. En se plaçant dans le camp ennemi, ils se désignent eux-mêmes comme des adversaires. Le Printemps Français énonce donc que seront tenus pour cibles :
- le gouvernement actuel et tous ses apendices,
- les partis politiques de la collaboration,
- les lobbies où s’élaborent les programmes de l’idéologie et les organes qui la diffusent.
Cet ordre du jour est immédiatement exécutoire."
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Le Père Goriot et la Mère Vauquer par Jean-François Mattéi
La littérature est décidément prémonitoire. Dans Le Père Goriot, Balzac décrit une pension parisienne, rue Neuve-Sainte-Geneviève, avec son allée bordée de lauriers roses. On y pénètre par une porte surmontée d’un écriteau sur lequel on lit : MAISON-VAUQUER, et dessous : Pension bourgeoise des deux sexes et autres.
L’auteur de La Comédie humaine est enfin exaucé. Sous la pression des associations Homosexuels, Bisexuels, Queer et Transgenres, les alternatives à la sexualité traditionnelle, qui avait pourtant fait ses preuves, permettent à la maison de Madame Vauquer de recevoir de nouveaux pensionnaires. On les traitera comme les habitués des deux sexes, plus même, on imposera à ces derniers de se mettre à l’école des nouveaux venus. Le terme d’« école » est justifié puisque cette institution a trop longtemps reconnu le primat des sexes masculin et féminin au détriment des sexes « autres ».
Ne voit-on pas encore parfois, sur de vieux linteaux, les inscriptions outrageantes « École de garçons » ou « École de filles » ? Comment concilier cela, même dans les écoles mixtes, avec l’obligation d’égalité entre les êtres ? On lit ainsi, sur le portail du Ministère de l’Éducation nationale (education.gouv.fr) : « Si les écoles et les établissements sont devenus mixtes dans les années 70, trop de disparités subsistent dans les parcours scolaires des filles et des garçons. L’éducation à l’égalité est nécessaire à l’évolution des mentalités ».
Les poupées pédagogiques de la garderie éducative Égalia, en Suède.
À l’évidence, elles évoluent très vite. On apprend ainsi que certaines crèches scandinaves ont supprimé les termes « fille » et « garçon » pour les remplacer par « enfant », un mot qui neutralise selon le vœu des gender studies, les distinctions héritées de la grammaire plus que de la biologie. Mais ce n’est qu’un début. Un établissement secondaire sélectif de Stockholm, le Södra Latins Gymnasium, a proposé de réaliser un vestiaire spécifique, ni masculin ni féminin, pour les élèves qui ne s’identifieraient ni comme hommes ni comme femmes. Il doit être inauguré le 6 mai à la demande de l’association HBQT du lycée. Les leçons de morale commenceront donc moins dans les salles de classe que dans les trois vestiaires destinées aux « deux sexes et autres ».
On a également appris, ces derniers temps et en divers lieux, que telle école ou telle famille n’habillait plus les enfants en fille ou en garçon, mais alternativement, tantôt en fille, tantôt en garçon, pour les dissuader d’avoir une identité sexuée. Mais le vêtement ne fait pas tout. Certains parents ont décidé de donner des prénoms qui n’auraient pas de coloration féminine ou masculine pour ne pas inciter leurs enfants à supporter une sexualité imposée par la langue. Ou alors ils ont donné des pronoms masculins, comme Jack ou Joe, à des filles, et des prénoms féminins, comme Élisa ou Joanne, à des garçons. L’État civil suédois reconnaît en outre officiellement 170 prénoms neutres.
Du prénom, on passe allègrement au pronom. Toujours en Suède, les adeptes de la neutralité sexuelle, non contents d’égaliser les comportements des filles et des garçons, en attendant d’en finir avec ces termes infâmants, ont demandé de supprimer les pronoms masculins et féminins. L’Encyclopédie nationale suédoise a donc remplacé récemment il (han en suédois) et elle (hon) par hen, intraduisible en français sinon par çà. Ni lui ni elle : on reconnaît la double dénégation des déconstructeurs des années 60, le ni ... ni, qui, pour Jacques Derrida, définissait la dissémination de la langue. Car, au fond, ce n’est pas au sexe que l’on en veut, bien qu’il soit, horreur, naturel, alors que nous savons que tout est culturel. C’est à la langue, ni la meilleure ni la pire des choses, mais la matrice du phallocentrisme qui fonde toute notre tradition.
Pourquoi s’arrêter aux vestiaires de l’école et de la langue quand on peut aller aux toilettes ? La région du Södermanland, toujours en Suède, va débattre au Parlement d’une loi obligeant les hommes à uriner assis, comme les femmes, et non debout, ce qui souligne trop leur hauteur de vue. On ne demandera pas, notons-le, aux femmes de se lever et d’uriner debout ; on contraindra les hommes à s’asseoir et à faire pipi assis. La défécation ne fait pas encore objet d’une loi, comme la miction, car les deux sexes, et autres, semblent assis à la même enseigne. Il reste que la future loi conserve comme un relent de sexisme puisqu’elle laisse entendre que si les hommes peuvent uriner assis, les femmes ne peuvent uriner debout, ce qui, on en conviendra, est non seulement fâcheux, mais discriminatoire.
Les mauvais esprits se demanderont jusqu’où peut aller la folie de l’égalité quand elle se niche, non plus dans l’engagement républicain, mais dans la neutralité sexuelle. Elle revient à confondre, dans une même exigence d’indifférence, la Père Vauquer et la mère Goriot. Balzac en avait conscience : « La bêtise a deux manières d'être : elle se tait ou elle parle. » Doit-on alors lui laisser la parole ?
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Manuel Gaz interpellé par Bernard Debré à l'assemblée
Lors des questions au gouvernement :
"Monsieur le Premier ministre, une semaine après la mise à sac du Trocadéro par des bandes de casseurs, c’est toujours l’heure des comptes et des rappels historiques. Souvenez-vous : le 24 mars dernier, votre ministre de l’intérieur avait donné l’ordre de charger et de gazer des familles en poussettes, sans doute parce qu’elles envoyaient de dangereux nounours ou des biberons aux CRS ! Ces gens étaient alors traités de « dangereux casseurs » par Manuel Valls.
La semaine dernière, au Trocadéro, Monsieur Valls a cette fois donné l’ordre, irresponsable, aux CRS de reculer. Ils ont, sous les yeux des habitants et des commerçants, abandonné la place aux casseurs, aux barres de fer et aux tessons de bouteille. Ceux-là étaient de véritables casseurs, il ne s’agissait pas de simples mouvements de foules. Les témoignages des habitants sont accablants. Vous le sauriez, monsieur le Premier ministre, si votre ministre s’était rendu sur place constater lui-même les dégâts.
L’ordre public, cela ne peut être deux poids, deux mesures ! Le manque d’anticipation et la naïveté de M. Valls ont coûté cher : les commerces ont été saccagés, le mobilier urbain dévasté ; l’image de la France a souffert ! Paris a souffert ! Les Parisiens ont été meurtris et les commerçants traumatisés.
Depuis une semaine, ils doivent réparer vos dégâts. Les démarches auprès des assureurs seront longues. Il faut remplacer les vitrines, racheter les biens détruits, se faire indemniser des pillages et surtout reprendre une vie normale. Certains commerçants ont mêmes dû fermer plusieurs jours.
Qu’avez-vous prévu pour faciliter les démarches de ces hommes et de ces femmes qui ont investi parfois toute une vie dans leur commerce ?
Monsieur le Premier ministre, un an de fuite et de défaussement, cela suffit ! Prenez vos responsabilités maintenant."
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La Manif pour tous : dimanche 26 mai, Paris...
http://www.lamanifpourtous.fr/fr/
La Manif sera divisée en 3 cortèges, qui convergeront vers le centre de Paris depuis les points de départs suivants :
Porte Maillot
Porte de Saint Cloud
Place Valhubert