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magouille et compagnie - Page 2371

  • Le harcèlement démocratique : c'est la gauche qui l'a inventé !

    Réaction de Marine Le Pen aux différentes manifestations organisées contre la dénaturation du mariqge :

    "Je condamne tout ce qui correspond à un acte de violence. Mais je remarque que tous ces gens de gauche - et M. Désir en premier - ils nous avaient théorisé le harcèlement démocratique. Vous vous souvenez ? C'était super! Il fallait empêcher Marine Le Pen ou Jean-Marie Le Pen de faire des meetings, il fallait venir à toutes les manifestations, hurler sa haine.

    Aujourd'hui évidemment, on n'apprécie pas le harcèlement démocratique quand on en est victime. C'est sûr que le harcèlement démocratique, c'est plus agréable du côté des harceleurs que du côté des harcelés. Je ne pouvais pas aller, pendant la campagne présidentielle, dans une université, sans avoir des énergumènes hurlant, menaçant. Ces gens de gauche, ils subissent des conséquences de choses qu'ils ont incitées, organisées et acceptées(...)

    Ceux qui ont manifesté contre elle [Caroline Fourest] sont des gens qui ne sont pas au Front national"

    Philippe Carhon

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Anti-mariage gay : la répression s’intensifie. Valls a fait arrêter ce soir des mères de familles et leurs enfants boulevard Saint-Michel à Paris[MAJ Vidéo]

    Manifestation spontanée au jardin du Luxembourg

    Environ 150 personnes étaient au jardin du Luxembourg cet après-midi. Certaines ont terminé au poste de police. Boulevard Saint Michel, en queue de cortège, des mamans sont encerclés par des gendarmes et sont forcées de monter dans un "bus" à salades ! Ainsi que des jeunes de 16 ans.


    Des mères embarquées par la police par Le_Salon_Beige


    14 avril : des gendarmes interpellent des mères... par Le_Salon_Beige

    AVEC HOLLANDE, LA HAINE DE LA FAMILLE, C’EST MAINTENANT !

    La suite sur Le Salon Beige

    Nous remercions Kto clip pour cette excellente vidéo.
  • France : liquidation totale

    Ce gouvernement restera comme celui qui aura tenté de finir d'achever la France.
    Chaque jour Ayrault et son équipe, avec le soutien de François Hollande évidemment, donnent l'impression de vouloir terminer le travail entamé depuis (au moins) Pompidou.

    Pulvérisation de la famille
    Depuis une quarantaine d'années, individualisme hédoniste aidant et féminisme en délire triomphant, la famille avait déjà sérieusement du plomb dans l'aile : multiplication des divorces, accroissement des familles monoparentales, 200 000 avortements pratiqués chaque année depuis l'adoption de la loi Veil, démographie faible.
    La loi Taubira relative au mariage des duos homosexuels et lesbiens (en langue française un couple suppose l'altérité) et à l'adoption des enfants arrive donc telle la cerise sur le gâteau. 
    De plus, c'est un secret de polichinelle mais dès que le mot "mariage" sera prononcé, avec la jurisprudence européenne, cela ouvrira immédiatement droit à la PMA et à la GPA.
    La loi Taubira est donc le dernier clou dans le cercueil de la famille.

    Oraison funèbre pour la souveraineté nationale

    Hollande aura également échoué, comme c'était absolument prévisible, à renégocier le traité sur la stabilité la coordination et la gouvernance (TSCG), ce super-Maastricht avec son lot d'atteinte insupportable à la souveraineté et principalement budgétaire à travers la "règle d'or" inscrite dès lors dans le marbre constitutionnel, un déficit autorisé qui ne doit pas excéder 0,5% du PIB et un mécanisme correctif automatique en cas de dépassement.
    En revanche, il n'aura pas hésité un instant à le faire ratifier par le Parlement.
    Consulter le peuple français par la voie référendaire sur un sujet aussi capital (comme le sujet précédent d'ailleurs), vous plaisantez cher Monsieur !
    La France ne maîtrisait déjà plus ses frontières et ne pouvait plus battre monnaie, son budget devra désormais passer sous les fourches caudines des eurocrates.

    Vers une citoyenneté au rabais
    Même si ce funeste projet semble pour le moment enterré, le droit de vote des étrangers aux élections locales finirait d'entamer le rapport qui devrait être indissociable entre citoyenneté et nationalité. Principe normalement intangible qui a déjà été mis à mal par les élections européennes ouvertes aux ressortissants communautaires.
    Mais ce n'est pas le seul élément qui met à mal le principe de citoyenneté.
    Le consentement à l'impôt est un élément constitutif du sentiment d'appartenance à la citoyenneté française. Or, depuis l'affaire Cahuzac ce consentement à l'impôt est  désormais beaucoup moins évident pour nombre de contribuables. Voir le ministre en charge du Budget (ou ce qu'il en reste, voir paragraphe précédent) et de la lutte contre l'évasion fiscale s'affranchir lui-même des règles communes, tricher et mentir ne va certainement pas aider à réconcilier les Français avec les Finances publiques.
    D'autant que l'agacement était déjà grand de voir une très grosse partie des prélèvements partir dans le tonneau des Danaïdes du remboursement d'une dette illégitime, dans l'aide médicale d'Etat (AME) réservée aux clandestins, dans des subventions accordées à des associations ne représentant qu'elles-mêmes ou encore dans le paiement de bombes que l'on vient déverser sur les populations libyennes.
    Alors que dans le même temps des hôpitaux ferment, des crèches n'ouvrent pas, des services publics sont supprimés dans les campagnes (et largement dans les villes désormais), des transports ne circulent plus par "souci de rentabilité" à partir de certaines heures etc.

    La fin d'un modèle social
    L'accord national interprofessionnel (ANI) signé par le MEDEF et les syndicats minoritaires (CFDT, CFE-CGC et CFTC),  syndicats qui n'ont rassemblé aux dernières élections prud’homales que 38,7% des voix, sera repris très probablement dans sa quasi-intégralité par la représentation abusivement qualifiée de "nationale".
    Ce texte met fin au CDI tel qu'il fut jusqu'alors. Un texte qui ferait presque passer le CPE de triste mémoire pour une mesure progressiste !
    Que contient ce texte ?
    Il sera désormais possible de baisser les salaires jusqu'au niveau du SMIC et d'allonger le temps de travail en cas de difficultés économiques dans l'entreprise (si accord d'entreprise il y a). En cas de refus : licenciement.
    La mobilité forcée d'un site à l'autre sans limitation dans le temps et dans l'espace est inscrite. En cas de refus : licenciement.
    Les licenciements sont facilités (contournement de la loi et de la justice prud'homale), les délais de recours sont réduits pour le non-respect du contrat de travail, la contestation de licenciement et les salaires impayés ou minorés.
    Mais cet accord c'est aussi l'extension du contrat à durée indéterminée intermittent.
    En clair : on vous embauche en durée indéterminée mais on vous fait travailler quand on en a besoin, les périodes non-travaillées ne donnant pas droit à l'allocation-chômage...
    Comme l'explique très bien notre ami Adrien Abauzit, l'ANI relève de tout sauf d'un hasard du calendrier. Il s'inscrit parfaitement dans le cadre du marché transatlantique prévu à l'horizon 2015 et si souvent évoqué par Pierre Hillard.
    Les conditions de travail des Français et plus largement des Européens devant s'aligner sur celles des travailleurs d'outre-Atlantique.
    Autre mesure marquée du sceau de la régression sociale : la baisse des allocations familiales. Outre que sur un plan symbolique cette décision est un vrai désastre, cette baisse des alloc' risque de peser fortement sur les naissances.
    Quel projet se cache derrière ce sale coup encore porté à la famille française ?
    Logique comptable court-termiste ou dessein beaucoup plus inavouable ?
    Et les retraites complémentaires dans tout ça ?
    Là aussi, il y a eu "accord" entre les partenaires sociaux. Avec le regard bienveillant et complice du gouvernement, qui ne s'est pas mêlé des discussions entre le MEDEF (décidément choyé et gâté comme jamais) et les syndicats. 
    Outre la CFDT, la CFTC et FO ont décidé de signer. Depuis le 1er avril, les retraites complémentaires sont moins revalorisées que l'inflation, ce qui amputera le pouvoir d'achat des 11 millions de retraités concernés. Les pensions seront ainsi augmentées de +0,8% pour l'Arrco (retraite complémentaire des salariés du privé) et +0,5% pour l'Agirc (retraite complémentaire des cadres du privé), alors que l'inflation a été revue à +1,2% par le gouvernement pour 2013. (1)

    Tropisme américano-anglophile éhonté

    Le projet de loi Peillon-Fioraso est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
    Ce projet de loi présenté en conseil des minsitres le 20 mars étend la possibilité de dispenser dans l'enseignement supérieur des cours en anglais plutôt qu'en français.
    Jusqu’ici, la loi Toubon de 1994 posait comme principe qu’en France, dans n’importe quelle école ou université publique ou privée, tous les enseignements devaient être dispensés en français, la langue de la République. A deux exceptions près : pour les cours de langues et lorsque l’enseignant est un intervenant étranger.
    Là encore il s'agit de fondre la France dans le magma du mondialisme americanomorphe.

    Ce gouvernement est donc bel et bien un gouvernement de destruction nationale.
    Il s'est donné pour unique tâche de "réussir" là où les précédents gouvernements avaient "échoué". Et le moins qu'on puisse dire c'est que pour le moment il y parvient parfaitement.
    Les Français font aujourd'hui face à un gouvernement composé d'extrémistes et d'idéologues fanatiques (Taubira, Vallaud-Belkacem, Peillon...) accompagnés de carriéristes sans foi ni loi (Valls) et de bateleurs d'estrade prêts à renier toutes leurs convictions dans l'espoir de conserver leur portefeuille ministériel (Montebourg).
    Jusqu'où ce gouvernement pourrait-il aller ?
    A voir la façon dont des enfants, des personnes âgées et des familles ont été aspergés de gaz lacrymogènes lors de la manif pour tous du 24 mars dernier, les Français ont un début de réponse.
    Maurice Gendre http://www.scriptoblog.com/

    (1) Par ailleurs, les taux des cotisations, acquittées à 60% par les entreprises et à 40% par les salariés, seront augmentés de 0,1 point en 2014, comme en 2015.

  • Printemps français : afin que chacun puisse ouvrir sa gueule

    Alors que le texte sur le mariage pour tous sera de retour devant l’Assemblée nationale mercredi prochain, Béatrice Bourges, le porte-parole du « Printemps français », revient sur la genèse de son mouvement et ses futurs combats au sein de la société.

    Elle en appelle aussi et surtout à l’unité en tendant la main à Frigide Barjot, qui lui a reproché ses actions coup-de-poing.

    Comment présenter le « Printemps français » ?

    C’est un mouvement spontané du peuple, de la France qui ne s’exprime pas, des gens qui sont indignés par ce qu’ils peuvent voir. Ils ont cet objectif commun de préserver la dignité humaine et de protéger l’Homme. À l’occasion de mes conférences et au gré des différentes rencontres que j’ai pu faire dans toutes les régions de France, j’ai senti comme une fracture entre le monde silencieux et le monde de ceux qui nous gouvernent. Ce peuple, longtemps méprisé, est enfin prêt à se lever et à s’élever contre des décisions qui l’humilient. C’est dans cet esprit de ras-le-bol généralisé et de résistance pacifique qu’est né le « Printemps français » ; afin que chacun puisse ouvrir sa gueule. Notre leitmotiv n’est pas de mettre à bas un régime mais de combattre une idéologie de terrorisme intellectuel en vertu de laquelle on ne peut rien dire sans se faire traiter de fasciste. On va dire que Robert Ménard est d’extrême droite, que je suis catholique intégriste et cela suffira pour nous enfermer dans un tiroir à triple tour et nous bâillonner ! Vous savez, les Français ne sont pas des imbéciles et se rendent bien compte qu’ils se font manipuler. Simplement, aujourd’hui, ils n’en peuvent plus et décident de sortir des clous pour se faire entendre. [...]

    La suite sur Boulevard Voltaire

    Voir également la vidéo de l’émission de Paul Amar où elle est face à un LGBT.

    http://www.actionfrancaise.net

  • La radicalité contre la dictature des minorités -Tribune de Jean-Yves Le Gallou

    La radicalité contre la dictature des minorités -Tribune de Jean-Yves Le Gallou

    Chaud, chaud, chaud ! Le printemps sera chaud. Car les majorités se révoltent contre la dictature des minorités. Dictature des minorités sexuelles, associatives subventionnées, ethniques et religieuses, financières, médiatiques, parlementaires.

    Minorités sexuelles

    Il y a, selon l’INSEE, 100.000 couples homosexuels en France, soit 0,3% de la population ; et 10.000 enfants – 0,003% de la population – vivent au domicile de ces couples homosexuels. Une minorité de ces minorités réclame qu’on change des règles multimillénaires pour les adapter à leur situation individuelle ou à leurs caprices. Il est normal que cela suscite une forte exaspération des majorités !
    En vérité les homosexuels devraient être reconnaissants aux familles traditionnelles qui défilent contre la dénaturation du mariage : ce sont leurs enfants qui paieront leurs retraites…

    Minorités associatives subventionnées

    Les associations LGBT, minorité agissante de la minorité revendicative des minorités sexuelles, veulent régenter le débat public. Au nom de la lutte contre une prétendue « homophobie », il s’agit d’interdire toute prise de position jugée politiquement incorrecte ; en fait, d’empêcher toute critique du mariage homosexualiste à l’image de ce qu’ont réussi les associations « antiracistes » censurant tout débat sur l’immigration. Le tout avec l’argent des contribuables. C’est insupportable au pays de Voltaire.

    Minorités ethniques et religieuses

    Elles cherchent à imposer dans l’espace public comme dans l’espace privé leurs exigences vestimentaires et leurs interdits alimentaires : refus du porc, abattage hallal pour tous – ce qui suscite la réaction des amis des bêtes et de la France profonde. C’est à Guéret, dans la Creuse, qu’on se mobilise contre la construction d’un abattoir hallal voulu au nom de médiocres intérêts commerciaux, quoique contraire à la loi européenne, aux traditions françaises et à la sécurité sanitaire.

    Minorités financières

    Elles imposent des réglementations conformes à leurs intérêts mais non à l’intérêt général. Quand les banques, les grandes entreprises et les hyper-riches échappent à l’impôt (tout en bénéficiant des infrastructures techniques, des services publics et des systèmes de protection sociale des Etats), ce sont les classes moyennes qui payent. Ces classes moyennes sont doublement victimes : des excès de l’Etat-providence qu’ils payent mais aussi de la finance-providence qui échappe à l’impôt.

    Minorités médiatiques

    Moins de 50.000 journalistes, qui informent de moins en moins et qui conditionnent de plus en plus ; qui ne cherchent pas à distinguer l’exact de l’inexact, ni le vrai du faux, mais qui prétendent dire où est le « bien », où le « mal », en louant les « gentils » et en dénonçant les « méchants ». Avec un grand sens de l’à-propos, les personnes manifestant le 28 mars devant France Télévision, protégée par les forces de l’ordre, criaient : « CRS, retourne-toi, la racaille est derrière toi ! » Sans commentaire.

    Minorités parlementaires

    Moins de 1.000 personnes prétendent avoir le monopole de la fabrication de la loi sans tenir compte du peuple. C’est, certes, la logique de la démocratie représentative mais celle-ci est, hélas, de moins en moins représentative :

    • - En raison des lois et du calendrier électoral, une partie importante de l’opinion n’est pas représentée ; et les socialistes qui ont, à eux seuls, la majorité de l’Assemblée nationale n’ont recueilli que 16% des électeurs inscrits, lors du premier tour des élections législatives de juin 2012. Un peu court comme majorité pour transformer un homme en femme !
    • - Le Sénat a voté le projet de loi Taubira à la sauvette. Une loi dont la garde des Sceaux a dit qu’elle portait un « changement de civilisation » mais dont, faute de scrutin public, on ne sait pas individuellement qui l’a votée et qui l’a refusée. Un formidable déni de démocratie voulu par tous les groupes politiques de la majorité comme de l’opposition. Une belle manœuvre qui permet de faire adopter la loi, qui autorise les sénateurs à se faire passer pour « progressistes » auprès des médias parisiens tout en leur permettant individuellement de dire à leurs électeurs d’outre-mer ou des campagnes françaises qu’ils n’ont pas approuvé le « mariage gay ». Belle manœuvre, vraiment, mais qui indigne à juste titre les adversaires de la loi Taubira et tous les démocrates sincères.
    • - Plus généralement, les hommes politiques les plus en vue représentent de moins en moins leurs électeurs car ce sont des médiagogues, des hommes et des femmes qui cherchent à plaire aux médias plus qu’au peuple, à coups de surenchère politiquement correcte. Telle est la principale cause du discrédit de la démocratie représentative.

    Or toutes ces minorités se tiennent et se soutiennent. C’est contre elles que la révolte gronde. Moins d’un an après l’élection de François Hollande la probabilité d’une crise politique majeure est devant nous : la dissolution de l’Assemblée nationale ou la démission du président de la République ne changeraient pas grand-chose. Ce qu’il faut c’est rendre la parole au peuple. Par le référendum d’initiative populaire national et local. A partir de la demande de 500.000 électeurs au plan national et ce sans censure prétendument constitutionnelle. A partir de 7,5% des électeurs au niveau local, sous la seule réserve qu’il s’agisse d’une délibération locale. Bien sûr, ceci devrait s’accompagner d’un rétablissement de la liberté d’expression, de l’arrêt des subventions aux grands lobbys politiquement corrects et du retour au pluralisme des médias.

    Le printemps français doit trouver un débouché politique autour de thèmes forts : référendum et démocratie directe ; liberté d’expression et pluralisme des médias ; dénonciation de la dictature des minorités et respect de la majorité populaire. Quant aux manifestants ils ne doivent pas avoir peur de la radicalité car seule la radicalité s’attaque aux racines du mal et propose un ressourcement créateur.

    Jean-Yves Le Gallou
    14/04/2013

    Voir aussi :
    Eloge de la radicalité (11/2013)

    Source : Polémia – 14/04/2014

    http://fr.novopress.info

    Image : le Printemps français se radicalise, DR

  • Le vide attire la violence – par Le Crieur du Cœur

    « La nature a horreur du vide ». Encore un bon vieux proverbe, qui s’applique aussi bien aux mauvaises herbes qu’aux vides politiques. Mais il explique aussi comment, sinon pourquoi, la pénurie de mots dans un cerveau primitif ou inculte, peut, la plupart du temps, inciter à une réponse violente lorsqu’ aucun mot ne parvient à extérioriser une frustration.
    L’idée anarchiste étant, dans la plupart des cas, incitatrice à éviter toute étude poussée (suspectée de véhiculer des idées d’oppressions diverses), elle ne peut qu’être retrouvée et souhaitée dans toutes les variantes de cette tendance simpliste et néfaste.
    Néfaste, le summum de l’aveuglement des anarchistes l’est d’autant plus qu’il prend des chemins et des slogans allègrement stupides, et d’autant plus énormément stupides qu’ils sont vomis par des esprits supposés « éclairés » mais gangrénés par la pratique réitérée de slogans irréfléchis. Mais l’erreur devient crime dès que les fauteurs  de telle ineptie se posent en défenseurs de la justice et de l’intelligence. Mais lorsque ces fauteurs attaquent les structures sociales et sociétales, leur action prend les aspects d’une attaque contre la Patrie, soit presque la caractéristique de la trahison, d’autant plus haute qu’elle vient de haut !!!
    Comment peut-on croire qu’un immigré, quelle que soit son origine, arrive l’esprit et le cœur vides ? Jamais ! Donc, si l’on souhaite qu’il change son idéologie et ses mœurs, ce doit être pour prendre et se fondre dans d’autres valeurs. Exactement ce que l’anarchie est fondamentalement incapable de lui proposer. Lui proposer d’oublier toute référence historique, tout attachement à une patrie, pour remplacer sa culture par un vide informe, c’est non seulement idiot mais aussi inefficace et incitateur de mépris donc de rejet donc d’opposition culturelle donc d’inadaptation sociale donc de violence, et finalement d’un retour exacerbé aux mœurs de son pays et de sa culture d’origine. Et la conclusion de ce processus est le refus de toute obligation envers la morale du pays où il se trouve.
    Car l’anarchie, même habilement masquée par un discours au simplisme alambiqué, ne peut promouvoir qu’un désordre absolu donc éminemment dangereux, et mener en retour à une dictature d’autant plus violente qu’elle aura eu à supprimer – par les textes et par les actes – tous les débordements nés et développés par le laisser-aller moral et la désorganisation de la cité, maux renforcés par l’inondation du flot des contradictions très particulières, toutes présentées comme des « droits » à mépriser les droits sociaux.
    À long terme, le plus grand danger à terme est évidemment celui qui touche l’avenir, donc celui qui nie les droits naturels des enfants et de leurs enfants, qui n’ont jamais été sujets à marchandage – sauf dans les sociétés où régnait l’esclavage – ou dans les sociétés « progressistes » : les dictatures où la folie d’uniformisation faisait régner les tentatives démoniaques d’eugénisme, comme ce fut le cas sous Staline et sous Hitler...
    Mais quels repères psychologiques normaux pourra avoir un enfant conçu par « T », puis enfanté par « S », puis élevé par « X+Y », ensuite éduqué par « Z », et finalement embrigadé par le néant d’une foule informe aux relents de paresses, de gabegies diverses, d’égoïsmes développés et de stupre permanent ??? Mais le mor « repère » aura été lui aussi, ringardisé  par les individualismes débridés - non : déchaînés !!! Veuillez m’excuser, je vous en prie : mais malgré un vocabulaire que j’ose prétendre étendu (mais pas encore « étendu pour le compte » !!!) je ne trouve qu’un seul mot pour définir le spectacle qu’offrira ce triste résidu de ce qui aura été une société civilisée : un immonde bordel !!!
    Et, n’en déplaise aux marchands et aux achetés de cet avenir que l’on nous construit sans restreinte, je reste, tant que je le pourrai, Le Crieur du Cœur.

  • Syrie: 20.000 mercenaires financés par l'argent de la drogue afghane

    Jusqu'à 20.000 mercenaires opérant en Syrie sont financés avec l'argent provenant du trafic de drogue afghane, a déclaré jeudi aux journalistes le directeur du Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSKN) Viktor Ivanov.

    "Les groupements criminels transnationaux sont en mesure de financer avec l'argent de l'héroïne l'afflux d'un grand nombre de criminels et de mercenaires de différents pays vers n'importe quel point du monde. Entre 15.000 et 20.000 mercenaires [financés par ces moyens] sont déployés en Syrie, où ils déstabilisent le pays", a déclaré le responsable russe lors d'une rencontre avec une délégation de l'Université militaire pakistanaise chargée du développement de la coopération bilatérale dans le domaine de la lutte antidrogue.  .

    http://fr.rian.ru

  • La répression judiciaire est en marche

    Communiqué d'Hervé de Lépinau :

    "Deux pères de famille sont en garde à vue à la brigade de gendarmerie d'Orange depuis samedi après midi. Le procureur de la République d' Avignon semble leur reprocher pour l'un d'avoir exercé des violences sur des gendarmes et pour l'autre des faits de "rébellion" lors du rassemblement spontané qui a eu lieu jeudi 11 avril devant la mairie de Courthezon (Vaucluse) pour accueillir le sénateur UMP Alain Milon, lequel a voté pour l'article 1 de la loi Taubira et s' est pitoyablement abstenu lors du vote scandaleux au Sénat vendredi matin.

    La réalité des faits n' est pas celle que veut imposer le ministère de la justice pour tenter de réprimer ce vaste mouvement d'expression populaire qui inquiète de plus en plus le gouvernement. Une centaine de personnes se sont réunies dans une ambiance bon enfant pour sensibiliser un sénateur UMP sur les conséquences de son vote, Alain Milon venant présider dans cette petite commune de Vaucluse un conseil communautaire.

    5 ou 6 gendarmes de la brigade de Chateauneuf-du-Pape sont venus en renfort de la police municipale pour empêcher l'accès à la salle du conseil (ce qui est un comble puisque les délibérations d' un conseil communautaire doivent être prises en séance publique!). Certains de ces gendarmes étaient très tendus.

    Alors qu'il n'y a pas eu de débordement,  des personnes ayant participé au "comité d'accueil" ont été entendues le lendemain par des enquêteurs lesquels leur ont précisé que deux pères de famille étaient "activement recherchés" pour des faits de violence sur des personnes dépositaires de l'autorité publique! Or, une centaine de témoins peuvent déclarer qu'aucun des gendarmes du dispositif n' a présenté de signe de défaillance ou aurait quitté son poste blessé, et pour cause puisqu'il n'y a pas eu de confrontation, le rassemblement s'étant terminé vers 19h30 dans le calme.

    Le pouvoir a manifestement décidé de faire "des exemples" puisque la mesure de garde à vue à été reconduite pour 24 heures avec très certainement une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel lundi matin, alors que rien ne justifie une telle sévérité de traitement. Sachant que chaque année en France, des milliers de procédures impliquant des voyous parfaitement identifiés sont classées sans suites ou subissent un traitement judiciaire allégé, que des centaines de manifestants pacifiques ont été victimes de violences policières totalement injustifiées le 24 mars à Paris, deux pères de famille qui n'ont fait qu'user de leur liberté d' expression, sont traités par le pouvoir comme des terroristes! On ne lâche rien!"

    http://lesalonbeige.blogs.com

  • Manifestations et actions coup de poing des anti-mariage pour tous

    Des opposants au mariage pour tous ont continué à manifester toute la journée de samedi, notamment à Nantes et à Bordeaux pour dénoncer le vote du projet de loi, la veille au Sénat, et l’annonce de l’accélération du calendrier – le texte reviendra dès mercredi à l’Assemblée, où il n’était pas attendu avant le 20 mai.

    Samedi matin déjà, à Paris, le co-président du groupe EELV à l’Assemblée nationale, François de Rugy avait indiqué avoir été réveillé par des manifestants, comme la sénatrice UDI Chantal Jouanno quelques jours plus tôt.

    Quelques heures plus tard, à Nantes, c’est la journaliste Caroline Fourest qui était prise pour cible alors qu’elle était venue participer à un débat dans le cadre des journées du Nouvel Observateur, une série de colloques organisés par l’hebdomadaire. Invitée, la ministre des droits des femmes et porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud Belkacem avait décidé d’annuler sa visite pour raisons de sécurité.

    Caroline Fourest a indiqué à l’AFP avoir été "traquée du matin jusqu’au soir". Dès son arrivée à la gare, elle a été accueillie par "une centaine de personnes", collées contre les vitres de sa voiture, "hurlant et vociférant", l’obligeant à quitter la gare en courant sous la protection d’un cordon policier, a-t-elle raconté.

    En début d’après-midi, 450 militants se sont rassemblés devant la Cité des Congrès, où se tenaient les débats. Environ 70 d’entre eux, âgés de 20 à 25 ans, ont ensuite tenté de forcer le barrage de CRS afin d’entrer dans l’enceinte du bâtiment, a-t-on appris auprès de la police. Une dizaine sont finalement parvenus à entrer dans une salle de conférence où la journaliste où elle débattait avec l’écrivain Tahar Ben Jelloun et le député PS Jean Glavany autour du thème : "Vers un islam moderne ?". Ils l’ont sifflée dès qu’elle a pris la parole, avant d’être évacués par le service de sécurité au bout d’une dizaine de minutes.

    A la fin du débat, le public et les intervenants ont été escortés par les forces de l’ordre et ont été hués par les manifestants, qui criaient également des slogans comme "Hollande nazi", "Hollande fasciste", a constaté une correspondante de l’AFP. Quelque 200 militants, selon la police, se sont ensuite rendus à la gare de Nantes où ils ont bloqué pendant 40 minutes, en s’allongeant sur le ballast, le TGV à destination de Paris où avaient pris place les intervenants aux Journées du Nouvel Observateur.

    Une personne ayant jeté des pierres sur les forces de l’ordre a été interpellée et placée en garde à vue, a-t-on indiqué de source policière. A son arrivée, gare Montparnasse à Paris, la journaliste a été de nouveau accueillie par environ 200 manifestants, qui l’ont huée. Selon elle, les manifestants étaient des ultra-nationalistes et des intégristes qui avaient été appelés à cette journée d’action sur les réseaux sociaux. Elle a jugé cette action "délirante et hors de proportion. C’est au-delà du happening. Si j’avais été seule, je ne sais pas comment cela se serait terminé".

    Pendant ce temps-là, entre 200 et 300 personnes manifestaient à Bordeaux, déambulant sans incident au centre-ville avant de venir protester devant le domicile de la ministre Michèle Delaunay. Les manifestants, mélange d’habitués des rassemblements contre le mariage gay et d’adeptes du mouvement "Printemps français", se sont rassemblés en fin de journée place Pey-Berland, derrière des drapeaux tricolores et une banderole du "Printemps", avec des slogans s’en prenant à la loi, mais aussi au président François Hollande, et à la Garde des Sceaux Christiane Taubira.

    Le cortège, hétérogène, avec des familles, a ensuite progressé de manière assez improvisée dans le centre-ville, avant de se diriger vers le domicile de la ministre aux personnes âgées et à l’autonomie, Michèle Delaunay, réclamant sa démission, avant de se disperser.

    A Toulouse, les opposants au mariage homosexuel avaient opté pour le défilé en voiture. Un cortège de 150 véhicules a perturbé le trafic dans les rues de la ville. "On veut montrer la détermination de la population à lutter contre le projet de loi sur le mariage homosexuel", a déclaré le responsable de "la Manif pour tous" de Haute-Garonne, Romain Traissac. "On veut combattre le déni de démocratie que constitue la volonté du gouvernement d’accélérer le mouvement", a-t-il ajouté.

    Le Monde   http://www.actionfrancaise.net

  • Plusieurs centaines de manifestants contre le “mariage” homo à Bordeaux

     

    Plusieurs centaines de manifestants contre le “mariage” homo à Bordeaux

    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Des manifestations ont eu lieu hier dans plusieurs villes contre le mariage homosexuel. A Bordeaux ce sont environ 300 à 400 personnes qui ont manifesté dans les rues, demandant le retrait du projet de loi Taubira, ainsi que la démission des ministres, de la justice et du délégué aux personnes âgées, la bordelaise Michèle Delaunay.

    A l’origine de cette mobilisation, un sms envoyé avant-hier à quelques amis par un étudiant bordelais, donnant rendez-vous le lendemain après-midi place Pey-Berland. Alors qu’il s’attendait à retrouver quelques proches, ce sont plusieurs centaines de personnes qui ont répondu à cet appel.

    Après avoir arpenté la Place Gambetta et le Cours Georges Clémenceau, c’est dans une ambiance très combative que les manifestants sont passés devant le domicile de Michèle Delaunay (rue Duplessy), avant de terminer devant la permanence de celle qui a laissé son siège de député à Vincent Feltesse.

    Scandant « Hollande démission » ou encore « on veut du boulot pas du mariage homo », les manifestants ont promis de multiplier les actions coup de poing dans les prochaines semaines, avant la grande manifestation parisienne du 5 mai prochain.

    Plusieurs centaines de manifestants contre le "mariage" homo à Bordeaux

    Plusieurs centaines de manifestants contre le "mariage" homo à Bordeaux

    Crédit photos : DR. http://fr.novopress.info