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magouille et compagnie - Page 2457

  • Manifestation à Paris le 13 janvier ! Mais pas n’importe où…

     


    Attention, ne vous trompez pas de lieu de rendez-vous.
    Plusieurs cortèges partiront en effet cet après-midi du 13 et le gros des manifestants défilera plus ou moins sans le savoir « contre l’homophobie ».
    En effet, la réaction populaire contre le projet de « mariage » entre invertis a été scandaleusement détournée par des agitateurs sans repères : une « Barjot » adepte des nuits « gays » parisiennes, une militante de gauche et un militant homosexuel, tous partisans de l’« amour (sic) homosexuel ».
    Le discours de ce trio infernal reste en partie inacceptable, comme son choix de mettre en place un « char dansant gay », sa volonté de cacher les chapelets et les soutanes, d’interdire qu’en fin de cortège les associations catholiques fassent un défilé… normal.

    Les catholiques sont encore les dindons de la farce, à la remorque de la gauche, et alors qu’ils constituent le gros des troupes, ils feront pour beaucoup, dimanche, semblant de ne pas être catholiques pour tenter de plaire aux médias et au lobby homosexuel… Croient-ils obtenir un réel succès et le secours de Dieu de cette façon ?

    La manifestation qui débutera place Pinel sera, elle, une démonstration de normalité, de catholicité, ouverte aux Français de bon sens.
    Organisée par Civitas, elle est soutenue par diverses organisations : Renaissance catholique, SOS Touts-petits, Parti de la France, Renouveau français, etc.

    Contre-info invite ses lecteurs à y participer.

    Par ailleurs, la  paroisse St Nicolas du Chardonnet organise un rosaire qui sera récité près de l’Assemblée Nationale, square Edouard HERRIOT, le mardi 29 janvier de 20h00 à 22h00, pour demander l’échec du projet de loi.

    http://www.contre-info.com/

  • L'art contemporain et la titrisation du néant

    L’art contemporain ne serait-il pas aujourd’hui déjà la valeur fantôme d’un marché de zombies ?

    A l'heure où se tient la Fiac, à Paris, comment se porte le marché de l'art contemporain ? On peut constater qu'au cours des deux années écoulées, il a mieux résisté que lors du précédent krach de 1990. La leçon avait été retenue… Les collectionneurs d'art contemporain rationalisèrent dès lors leur spéculation en imitant les financiers et leur création de produits sécurisés « scientifiquement ». Ils s'organisèrent et fabriquèrent leurs « artistes spéculatifs » en réseau. Les acquéreurs, cooptés parmi les « too rich to fall », devaient désormais être entièrement propriétaires de l'oeuvre, afin de ne pas devoir être affectés par les crises. Par ailleurs, le réseau engloba, dans une sorte de trust, tous les stades de la valorisation de l'oeuvre : galeries, médias, institutions muséales, salles des ventes mondiales…

    En 2008, si le marché de l'art contemporain ne s'écroule pas comme en 1990, il perd cependant 75 % de sa valeur. A partir de mars 2009, on constate une remontée, suivant ainsi l'amélioration du marché financier. Dès le printemps, s'affirme une gestion rigoureuse de la crise de l'art contemporain par les maisons de vente. Christie's et Sotheby's en particulier, grâce à leur place hégémonique et stratégique dans l'International, fabriquent les événements du marché avec une stratégie très étudiée et en maîtrisent avec précision la communication.

    En observant la vente récente à New York et à Londres de la collection Lehman, on remarque les méthodes habituelles : estimations très basses des oeuvres par rapport à la cotation des années précédentes afin d'être vendues « au-dessus de l'estimation haute », citation des ventes positives, omissions des ventes négatives, diversions, comme la provocation de l'artiste-performer Geoffroy Raymond.

    Que se passe-t-il exactement ? L'art contemporain ne serait-il pas aujourd'hui déjà la valeur fantôme d'un marché de zombies ? Par ailleurs, sa valeur ne serait-elle pas aujourd'hui réduite aux services qu'il rend ? Vecteur de visibilité, moyen de communication efficace dans l'International, support de marques, occasion de rencontres régulières d'un milieu d'affaires mondialisé, facilités monétaires ? Dans ce cas, il ne disparaîtra que remplacé par un autre support.

    On observe aussi la démonétisation de l'art contemporain. Le public comprend jour après jour un peu mieux sa nature hybride : il n'est pas une avant-garde de plus mais un système de pouvoir doublé d'un produit financier.

    Le fait est que Murakami dans la Galerie des Glaces à Versailles en 2010 pose plus de problèmes que Jeff Koons en 2008. Il n'échappe plus au grand public que « l'élite » culturelle et administrative française n'arrive pas à avancer un seul argument qui tienne pour justifier une certaine privatisation de Versailles.

    Viendra le moment, mais n'est-il pas déjà là, où un mégacollectionneur, possédant le réseau le plus complet comprenant en particulier une salle des ventes internationale, doublée des services d'un Etat, aura la tentation de « tirer les marrons du feu » avant qu'ils ne brûlent.

    Mais en 2010, il fera cela de nuit et masqué. Il vendra dans la foulée de chaque événement prestigieux, comme à Versailles, ses produits dérivés toxiques. Mais personne ne saura que c'est lui. Les collectionneurs sauront qu'ils sont ruinés, mais bien plus tard !

    Aude de Kerros
    Les Echos
    22/10/2010

    L'art de la titrisation culturelle

    puis Aude de Kerros dans Les Echos : la « titrisation culturelle » va bon train. La titrisation consiste initialement à noyer des produits financiers toxiques au milieu de produits sûrs : c’est une des pratiques du mercantilisme mondial qui a engendré la Crise de 2008. Elle se pratique aussi dans l’Art Financier, à tous les niveaux : Versailles, valeur sûre, se voit farci en Koons et Murakami ; les collections nationales, comme l’or de la Banque de France, sont la garantie des œuvres contemporaines (proposées à la vente par ailleurs) : Koons ou Murakami vaudraient autant que le joyaux de l’histoire séculaire d‘un peuple, ils créeraient le patrimoine du futur…

    Mais la titrisation se joue aussi à l’échelon d’une galerie, comme le révélait la visite de la Fiac ou de ses émules. Une galerie expose un beau Soulages des années 50, par exemple, soit il n’est pas à vendre, soit il vaut très très cher (il faut le conserver pour rééditer ce genre d’opération). Mais à côté ou pas très loin, on expose un second couteau de l’Abstraction lyrique, une œuvre moyenne, même époque, même mouvance, mais avec un prix beaucoup plus abordable. L’astuce consiste à mettre en appétit l’acheteur avec une pièce maîtresse pour qu’il se rabatte sur ce qu’on veut lui fourguer… Beaubourg expose régulièrement Jean Prouvé : normal, cet architecte, ingénieur et designer présida le jury du concours international qui choisit…. l'architecture du Centre Pompidou. La Monnaie de Paris vient de lui rendre hommage et Prouvé a également une exposition à l’Hôtel de Ville de Boulogne, ajoutons à ce tir groupé, la Maison Ferembal remontée aux Tuileries, le temps de la Fiac. Or l'événement de la rentrée, l'arrivée du roi new-yorkais du marché de l'art international, Larry Gagosian, débute comme par hasard… avec une expo Prouvé (en association avec la galerie Seguin) au 4, rue de Ponthieu. Là, dans le nouveau White Cube du maître du Financial Art, on ne s’étonnera pas de trouver le plus ennuyeux, le plus standard, de l’industrieux et industriel Prouvé. Les plus belles pièces sont en musée… avis aux cobayes de la titrisation culturelle !

    On s’étonnera en revanche de voir le catalogue de l’autre exposition d’ouverture de Gagosian, celle de Twombly, rédigé par Mme Marie-Laure Bernadac, par ailleurs conservateur chargée de l’Art contemporain au Louvre. Il y a 25 ans, on chapitrait les élèves de l’Ecole du Louvre : il est strictement défendu à un conservateur, agent de l‘Etat, d’avoir une activité liée au privé, au commercial. Ceci afin d’éviter les conflits d’intérêt… Au fait, cette loi (fort sage) a-t-elle été abrogée ? Un poste confortable dans le giron de l’Etat, qui permet d’abriter des activités lucratives, la titrisation de la culture a pignon sur rue (de Ponthieu).

    Christine Sourgins
    Historienne de l’Art
    www.magistro.fr

    Correspondance Polémia – 09/11/2010

  • Nigel Farage: l'euro est une dictature rampante et émergente.

  • Comment Marine Le Pen est revenue à la raison

    Première alerte pour la présidente du FN.

    Ça, c’est fait. Suite à la pression exercée sur la direction du Front national depuis la parution du dernier numéro de « Minute », mercredi dernier (1), pression qui n’a cessé de monter en puissance, le bureau politique du FN a adopté une motion claire et nette en faveur de la participation à la Manif pour tous de dimanche. Plus fort encore : Louis Aliot et Steeve Briois ont annulé leurs galettes des rois pour y être ! Merci qui ?

    Marine Le Pen a certes ses défauts mais elle a aussi des qualités, notamment celle de sentir venir… les emmerdes. Or un avis de forte tempête, de force 11 sur l’échelle de Beaufort – le dernier stade avant l’ouragan –, était annoncé sur le Carré, le siège du FN à Nanterre, pour lundi matin 10 heures, soit l’heure fixée pour la réunion du bureau politique. A l’origine de cette alerte politico-météorologique : les atermoiements de la présidente du FN au sujet de la manifestation nationale de dimanche contre le mariage homosexuel et l’autisme de son conseiller numéro un, Florian Philippot, qui, pour paraphraser Alain Juppé parlant alors du pape Benoît XVI, « commence à poser un vrai problème ».

    Un front interne trop puissant pour Marine

    Chacune de leur côté, les différentes figures légitimes du FN avaient prévu de monter au créneau pour réclamer un engagement clair, net et carré du FN, non seulement contre le mariage des homosexuels mais en faveur de la participation à la manifestation. A cet égard, le communiqué publié vendredi par Marine Le Pen, mi chèvre mi chou, qui avait pour but de régler l’affaire en mettant le bureau politique devant le fait accompli, a plutôt eu pour effet d’envenimer les choses.

    La présidente du FN, tout en affirmant son opposition au mariage homo et à tout ce qui en découle et en soutenant, du bout des lèvres, les frontistes qui entendaient participer à la « manifestation citoyenne » (sic) de dimanche : 1. dénonçait une « instrumentalisation » de ces défilés par l’UMP et le PS (?); 2. rappelait qu’elle était favorable à un référendum sur le sujet (ben non, quand c’est « non », c’est « non »!); 3. dénonçait encore un « enfumage sociétal de la part de l’UMP et du PS […] visant à détourner l’attention des Français des questions urgentes que sont la sécurité, la prospérité », etc.; 4. indiquait qu’en conséquence, elle n’irait pas à cette manifestation.

    Ce communiqué surprise en forme de coup de Jarnac, limite coup de force, alors qu’il avait été officiellement annoncé que la ligne du parti serait fixée par le bureau politique du 7 janvier, a été extrêmement mal perçu en interne. D’autant que l’inspiration « philippotiste » du texte n’a échappé à personne. Or, plutôt que de se résigner une fois de plus, le moment de colère passé, chacun a décidé d’agir. De sorte que, sans concertation entre les différents clans, une sorte de front… unitaire était en train de se constituer qui aurait pu aboutir à un « Tous ensemble! » du plus mauvais aloi.

    Dimanche, alerte rouge chez Marine Le Pen !

    En arrivant lundi matin au Carré donc, où « Minute » était sur toutes les lèvres, Bruno Gollnisch était bien décidé à passer à l’offensive. Ainsi que Marion Maréchal- Le Pen, député du Vaucluse, qui n’avait pas digéré de s’être fait souffler dans les bronches – une fois de plus… – par sa tante qui lui avait expliqué, à elle qui avait dit dès le départ qu’elle serait à la manifestation, qu’elle ne comprenait rien à la politique! Ainsi que Louis Aliot, compagnon de Marine mais farouche adversaire du mariage homo.

    Ainsi, également, que Steeve Briois, le secrétaire général du parti, mariniste certes et depuis longtemps, mais lui aussi opposé au dit mariage. Ainsi, enfin, que Jean-Marie Le Pen, lequel avait redonné espoir aux vieilles troupes en déclarant, la veille, que, absent de Paris, il participerait « mentalement » à la manif, ajoutant: « Je crois que le bureau politique de lundi va quand même étudier la question, peut-être faire revenir la présidente sur sa décision de non-participation. »

    Alerte rouge donc dimanche chez Marine Le Pen. Elle qui avait méprisé « Minute » – alors que, de l’aveu de nombreux cadres, ce numéro a « libéré la parole en interne » –, qui n’avait pas tenu compte des nombreux appels de militants courroucés au standard du FN, qui avait dédaigné de répondre aux vives inquiétudes de responsables départementaux, a tout de suite com pris, quand elle a lu les propos du président d’honneur, ce qui lui pendait au nez. Un fait inédit dans les annales du parti; un séisme politique à l’onde de choc immaîtrisable : une mise en minorité par « son » propre bureau politique!

    Et elle allait se retrouver avec, pour seuls soutiens, les plus improbables des alliés par rapport à la « modernité » qu’elle entend incarner: deux fervents « cathos tradis », Wallerand de Saint-Just, le trésorier du FN, et un conseiller régional hostile à toute participation à une manifestation soutenue « par l’Eglise conciliaire » (sic), selon ses propos tenus lors du bureau politique du 7 décembre; et un gaullo-chevènementiste, Florian Philippot. Auxquels il faut ajouter, pour être complet, son « conseiller spécial » – et ancien directeur de cabinet – Eric Domard, mais pour un autre motif: il est, lui, favorable au mariage homo.

    La meilleure défense étant… le repli stratégique sur une position bricolée la veille à la hâte, c’est tout sourire que Marine Le Pen est arrivée au bureau politique. Le Pen (père) était lui aussi d’agréable humeur ainsi que Florian Philippot, qui a même pris la peine de serrer des louches, fait assez rare pour être signalé. Et la guerre n’a pas eu lieu… « Il y a longtemps que je n’avais pas assisté à un bureau politique aussi serein », nous confie l’un des participants, propos confirmé par un autre: « Ce fut très consensuel. »

    Repli stratégique sur une position bricolée la veille

    Et pour cause… Marine Le Pen avait fait préparer une motion qui ne pouvait que faire consensus… de tous ceux qui s’apprêtaient à batailler contre sa position. Et c’est d’ail leurs, de façon tout à fait exceptionnelle, sous le titre « Motion du bureau politique du Front national » que le communiqué de presse a été envoyé, comme cela avait été le cas… lors de chacune des crises internes.

    Que dit ladite motion? Que le FN « a toujours fait de la défense de la famille un pilier de sa politique », que son opposition au mariage homo et à l’adoption est « historique », que le FN « condamne l’insolence et le mépris avec lesquels ce gouvernement entend imposer une modification aussi radicale des règles fondatrices et plurimillénaires de notre société et de notre civilisation », et que le parti « appelle » tous ceux qui veulent manifester leur opposition à ce projet de loi à se retrouver dimanche. Bref, une motion comprenant très exactement les mots qui étaient attendus mais qui n’étaient pas parvenus à sortir de la bouche de Marine Le Pen depuis des semaines… Une fois quelques lignes ajoutées pour donner un lieu de rendez- vous (porte Maillot, en bas de l’avenue de la Grande Armée), le texte a été adopté à l’unanimité.

    Un défilé frontiste organisé par Nicolas Bay

    Après quoi la présidente du FN s’est lancée dans une de ses diatribes contre « le véritable ennemi » (« le mondialisme ») et contre les médias qui lui veulent tant de mal (« Le Monde » et « Minute » étant mis dans le même sac, avec une mention particulière pour nous puisque nous serions « appelés à disparaître ». Jean- Marie Le Pen a rappelé qu’il serait de bon ton de ne pas oublier le problème vital de l’immigration – à bon entendeur… Et Steeve Briois a annoncé la nomination de deux nouveaux responsables départementaux, faisant sourire l’assemblée en disant qu’il allait mettre « deux ex-mégrétistes homosexuels » – en fait non, un père de famille de sept enfants et une mère de famille de trois enfants –, tandis que certains, qui n’avaient pas encore lu « Minute » à cause des fêtes, se le refilaient discrètement.

    Au final, et comme quoi il est des décisions faciles à prendre pour peu qu’on le veuille bien, Louis Aliot, qui avait commis une grosse, grosse boulette en disant qu’il passerait une tête à la manifestation de Perpignan, qui n’existe pas, a annulé sa présence à la galette des rois organisée à Castres dans le Tarn – à deux heures et demie de Perpignan, soit dit en passant – et manifestera dimanche à Paris. Steeve Briois, qui devait de son côté présider une galette des rois à La Roche-sous- Foron, en Haute-Savoie, a également annulé sa venue et manifestera lui aussi dimanche à Paris. Avec tous les élus du FN qui auront fait le déplacement, dont Nicolas Bay, conseiller régional de Haute-Normandie et désormais secrétaire général adjoint du FN, qui a la charge d’organiser le défilé frontiste.

    Ne manquera à l’appel que Marine Le Pen, qui campe sur sa ligne personnelle et dont Louis Aliot a pris la défense en ces termes: « Ce n’est pas la place d’un dirigeant d’un parti d’opposition » que de défiler dans la rue. Jean-François Copé, Christine Boutin, Philippe de Villiers, Frédéric Nihous ou encore Carl Lang ne seront donc pas à leur place dimanche.

    Antoine Vouillazère http://fr.novopress.info

    (1) Disponible sur : www.minute-hebdo.fr

  • [Vidéo] Martinique – Raymond Occolier (maire PS) ne mariera jamais des homosexuels

    Raymond Occolier, maire du Vauclin en Martinique, était interrogé au JT de la télévision M1re. Il se positionne clairement contre le mariage homosexuel et affirme qu’il ne mariera jamais des personnes du même sexe. Raymond Occolier est une figure locale du parti… socialiste !

    « Nos grands intellectuels n’auraient jamais proposé une chose comme ça. Nos grands-parents nous ont transmis des valeurs et nous devons transmettre ce flambeau à nos enfants ! » [...] « Je ne désobéirai jamais au commandement de Dieu sur cette affaire-là ! »

  • Najat a la censure qui la démange !

    Pauvre Najat Vallaud-Belkacem ! Tellement pleine de bonnes intentions, tellement soucieuse de faire plaisir « aux associations », comme on dit sur les médias traditionnels. A comprendre, en tête : le MRAP, l’UEJF, SOS Racisme et la Licra, rassemblés hier matin devant le tribunal de Grande instance de Paris ...

    ...pour y poursuivre Twitter afin que soient bloqués les échanges honteux sur des hashtags « racistes, antisémites ou homophobes ».

    Pauvre Najat Vallaud-Belkacem, tellement pleine de bonnes intentions (bis). Elle qui voudrait tant que le monde soit beau, gentil, et propre sur lui, qu’elle est prête à couper les doigts de tous les malpolis à l’humour malséant qui pianotent en continu leurs sales blagues de lapins crétins.

    Sans même peut-être en être consciente, notre belle brune vertueuse appartient à la race des despotes. Tous ces exaltés qui veulent faire notre bien à coups d’interdits, ces rééducateurs dans l’âme qui sont prêts à toutes les extrémités pour nous faire entrer dans le crâne leur notion du Bien et du Mal. On en a connu, de ces bienfaiteurs de l’humanité, des Robespierre et des Saint-Just, des petits Pol Pot et des grands Mao, ces gentils organisateurs de camps de redressement pour déviationnistes. [...]

    Marie Delarue - La suite sur Boulevard Voltaire

  • Manifestation du 13 : Barjot dérape !

    Frigide Barjot, responsable de la manifestation pour tous, était hier l’invitée de la radio RTL. Elle a déclaré (cliquez pour écouter l’interview ), qu’il y aurait bien un char homosexuel lors de la manifestation qu’elle organise !

    L’annonce n’est pas nouvelle, mais on avait fini par croire qu’elle avait renoncé à ce projet. Les autres organisateurs avaient en effet pris leur distance : Xavier Bongibault en dénonçant le caractère « clivant » d’un tel char, réduisant en effet les personnes à leur orientation sexuelle, et Tugdual Derville en évoquant un « dérapage » verbal. Puis silence sur le sujet. Hier, soit à trois jours de la manifestation,  Mme Barjot est revenue sur ce thème, confirmant la présence d’un char « gay » lors du défilé du 13 janvier. Sans concertation préalable avec les autres organisateurs.

    Le droit naturel, à l’échelle individuelle ou à l’échelle sociale, en éthique ou en politique, ne se divise pas : manifester pour le défendre en politique, et le nier en éthique par la promotion de l’homosexualité, voilà qui n’a pas de sens. Pour le moins, nous aurions pu nous mettre d’accord en rappelant que la politique ne s’intéresse pas à la vie sexuelle et privée des individus -et c’est bien la raison pour laquelle le mariage, qui a une fonction sociale, ne saurait être la simple reconnaissance d’un amour : et dans ce cas, évitons d’évoquer les comportements privés lors d’une manifestation contre le « mariage » homosexuel, en n’exposant pas ostensiblement, par exemple, des personnes en raison de leur orientation sexuelle. La personne ne s’identifie d’ailleurs pas à ses pulsions sexuelles : une telle réduction ne grandit pas l’homme…

    Quoiqu’il en soit, les élucubrations de Mme Barjot, qui tente d’obtenir un brevet de respectabilité en donnant des gages de bonne volonté à la caste gaucho-médiatique, discrédite totalement sa démarche. Rendez-vous donc dimanche 13 janvier, à 13 heures, dans le XIIIe arrondissement de Paris, place Pinel (métro Nationale), pour se rendre place Vauban !

    http://www.contre-info.com/

  • Minable, vous avez dit minable ?

    Ce texte est anonyme et circule actuellement sur Internet. Il nous a été transmis par Martine, une fidèle lectrice du Gaulois. Néanmoins, neuf mois après l’élection d’un président minable, beaucoup de Français s’y reconnaitront.
    Quand on vit de la naissance à la mort avec de l'argent public, comme MM. Hollande, Ayrault, Sapin et quelques millions d'autres, que l'on ne paie pas ou peu de cotisations sociales, qu'on bénéficie d'un système de retraite réservé à sa seule catégorie, d'un système de placement financier défiscalisé, et qu'on n'a jamais investi un euro dans une entreprise mais tout placé dans des résidences secondaires, on doit à minima avoir l'honnêteté de ne jamais prononcer le mot Egalite, ni d'exiger des autres fussent-ils devenus riches, plus de solidarité qu'on ne s'en impose à soi-même”.
    38 ministres et ministres délégués qui se goinfrent (le mot est faible) à nos frais, n’est-ce pas cela qui est VRAIMENT minable ? Demander aux contribuables de payer plus d’impôts pour financer 4 personnes au service de la concubine de Hollande, n’est-ce pas minable ? Duflot et Filippetti qui bradent des Légions d’Honneur à tous leurs copains, n’est-ce pas minable ? Un premier ministre qui veut un nouvel aéroport plus grand, à sa gloire, alors que personne ne prend l’avion à Nantes grâce au TGV. Des ministres sans aucune exemplarité dont certains ont été condamnés ou devraient l’être..., un gouvernement incompétent et non coordonné qui gesticule au gré du vent, n’est-ce pas minable ?
     

    Insulter un homme qui a choisi de s’expatrier, alors que nous sommes censés être libres de nos mouvements dans ce pays, n’est-ce pas minable ?..., sachant que Depardieu a rapporté à la France des centaines de millions d’euros, directement et indirectement ! Combien coûtent ces donneurs de leçon du gouvernement et du PS, qui passent leur temps à nous culpabiliser mais ne veulent surtout pas réduire leur train de dépenses, alors qu’ils détruisent la France, ses emplois et ses valeurs ? N’est-ce pas minable ?

    Un premier ministre qui sort de son devoir de réserve et sans aucune dignité, insulte un citoyen illustre, talentueux et créateur d’emplois, n’est-ce pas minable ?

    Que veut dire l’expression "la citoyenneté française est un honneur" quand une personne veut acquérir la citoyenneté belge ?

    Que la citoyenneté belge est une honte ?...

    A-t-on oublié les accords d’Helsinki qui permettent à toute personne de franchir les frontières ?

    A-t-on oublié le principe européen du droit de s’installer là où l’on veut en Europe ?

    A-t-on oublié l’existence de la citoyenneté européenne ? Le Gouvernement veut-il créer un incident diplomatique avec la Belgique ?

    Comment la ministre de la culture (ou plutôt de l’inculture) ose-t-elle faire un procès d’antipatriotisme à Depardieu, elle a oublié semble-t-il que pendant la campagne, elle parlait de la France "rassie et moisie", déclarant en même temps son amour aux immigrés à qui elle attribuait la libération et la construction de la France ! C’est sûr que côté patriotisme, elle en connait un rayon !

    Comment osent-ils parler de patriotisme alors qu’ils ne rêvent que de brader la nationalité française en la donnant contre un bulletin de vote...

    CE "PRÉSIDENT" ET SES "MINISTRES" SONT LA HONTE DE LA FRANCE.

    Ce pays qu’ils sont en train de détruire est devenu la risée du monde entier.
    Bravo Depardieu, d’avoir quitté la France et d’avoir créé un débat sur la fiscalité confiscatoire du à tous ceux qui vivent au crochet de l’État.

  • Questions de société : la droite court derrière la gauche…

    La droite, frileuse et trop perméable au politiquement correct, incapable de se libérer de l’asservissement idéologique de son adversaire, finit toujours par rattraper la gauche. Elle n’a finalement qu’un train de retard sur la gauche. Un exemple : le PACS. La droite parlementaire s’y oppose durant le vote au parlement, puis s’y rallie, et entend enfin poursuivre son amélioration. Une preuve ? En image !

    http://www.contre-info.com/

  • Résistons !

    Anna Cabana journaliste au Point expliquait ce matin dans sa chronique  sur BFM TV que si  « les élus UMP donnent de la voix pour dire tout le mal métaphysique et sociétal qu’ils pensent du mariage gay », ce  n’est qu’un « bruit de fond. » « Aucun discours ne se détache. Ce n’est pas faute de tenter d’instrumentaliser l’événement, selon l’expression d’un proche de Copé, qui explique que l’UMP doit se servir du mariage homosexuel comme d’un prétexte miraculeux pour ressouder des troupes déboussolées par les guerres d’ego psychodramatiques des derniers mois. Encore faudrait-il incarner cette lutte, non pas des classes, mais des mœurs ». Une impossibilité qui tient  déjà au fait, comme nous l’avons souligné dans nos articles récents, de la politique antifamiliale menée avec constance  par tous les gouvernements dit  de « droite » depuis quarante ans,  qui,  sous l’influence des idées progressistes,  ont  largement  renoncé à défendre les valeurs fondatrices de notre civilisation.

    Si le lobby LGBT au sein de l’UMP ne manifestera bien évidemment pas dimanche prochain, d’autres personnalités,  soutenant François Fillon ou Jean-François Copé, ont annoncé leur refus de toute participation.  Outre  M. Fillon, Alain JuppéFrançois Baroin, Christian Estrosi,  Nathalie Kosciusko-MorizetBruno Le MaireRachida Dati, Luc Chatel, ou encore Jean-Pierre Raffarin  resteront à la maison pour regarder Michel Drucker.  Tout  comme le député filloniste  Jérôme Chartier qui  explique que s’il ne défilera  pas c’est au nom de « la responsabilité conférée au parlementaire »  de représenter  les Français «  sur les plateaux de télévision   et dans l’hémicycle ». Nous sommes priés d’admirer l’intelligence de la justification…

    Unanimement  opposé au mariage et à l’adoption  pour les couples d’un même sexe, le Front National est le seul mouvement politique d’envergure qui, non pas pour des motifs trivialement politiciens, mais au nom de l’essence même de la philosophie politique qui est la sienne,  s’oppose à ce projet. Le Mouvement  national, et les Français le comprennent instinctivement, même ceux d’ailleurs qui ne votent pas  pour lui, est crédité d’une fermeté et d’une constance dans la défense des fondamentaux : identité, souveraineté, tradition, culture.  Et dans ce cadre la famille est aussi pour les cénacles mondialistes, un « verrou à faire sauter » pour instaurer ce monde gris, indifférencié, peuplés  d’individus interchangeables sans attaches ni racines, ou les communautés nationales  auront laissé place aux  masses manipulables  régies   uniquement  par leurs désirs  consuméristes.

    Le site Polemia le rappelait parfaitement le 4 janvier dernier, « L’inscription dans le débat du mariage homosexuel relève  du leurre », « puisque cela n’est pas la préoccupation de l’immense majorité des Français (…) » et de «  la démarche idéologique aussi, puisqu’il s’agit d’une étape de plus dans la déconstruction des repères et des identités. On est ici au cœur de l’idéologie médiatique dominante fondée sur l’alliance du capital (attaché au mondialisme et à la suppression des frontières) et de la caste journalistique (attachée à la destruction des traditions). Après s’être attaqué à la nation (du latin « natio ) il est logique de s’attaquer à la naissance, au risque d’effacer les repères de la généalogie. »

     Gilles-William Goldnadel pointait  pareillement il y a quelques mois sur Atlantico, cette volonté de « déstructuration de la société française et même de l’individu attaqué non seulement dans son identité culturelle, nationale mais encore aujourd’hui sexuelle par l’élaboration des théories du genre », conjointe à cette attaque contre la famille.

    Le site Nouvelles de France a publié en exclusivité  jeudi  une remarquable tribune l’écrivain français et agrégé de philosophie Thibaud Collin (parue dans le livre Tous pour le mariage – Le mariage homosexuel en question). Il relève que « l’ouverture du mariage civil aux couples de même sexe porte nécessairement en elle la possibilité de la PMA  (procréation médicalement assistée) , de la GPA (gestation pour autrui)  et la levée de la monogamie. En effet, à partir du moment où le mariage s’est séparé de son référent dans un ordre naturel antérieur auquel son caractère institutionnel s’adossait, au nom de quoi limiter a priori les volontés contractuelles ? (…).  Au nom de quoi empêcher trois ou quatre adultes de créer une vie commune organisée par des droits et devoirs réciproques et leur permettant de réaliser des projets parentaux à géométrie variable ? »

    « L’ouverture du mariage aux couples de même sexe signifie donc sa radicale contractualisation puisque l’État n’a plus de référent externe pour déterminer des limites objectives. On entre ainsi dans la logique de l’arbitraire où seuls l’état des mœurs et la mentalité présente sont les critères momentanés du permis et de l’interdit. Le vote de cette loi illustrerait ce que l’on pourrait appeler un État libertaire. Autant dire que l’État nierait sa responsabilité de garantir les droits des plus faibles, en l’occurrence de certains enfants qui seraient privés de biens essentiels nécessaires à leur développement. »

    Figure emblématique du Système,   le milliardaire rose Pierre Bergé,  parrain et bailleur de fonds  de SOS racisme, du sidaction  et  du magazine Têtu, a d’ailleurs vendu la mèche en affirmant  le 16 décembre dernier  sur le site du Figaro : « Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA ou l’adoption. Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant ».

    Ce qui est vraiment  choquant, comme l’a rappelé Paul-Marie Couteaux sur  France 3  dans l’émission de Frédéric Taddéi,  c’est le risque assumé par les tenants de l’idéologie libérale-libertaire  d’une  « rupture anthropologique dans la civilisation »,   « le refus de la loi naturelle que protège toutes les transcendances », « une violence faite à la nature et qui coûtera très cher comme toutes les violences faires à la nature »

    Ce que nous voyons ici à l’œuvre est aussi du ressort de l’idéologie révolutionnaire, « faustienne »,  portée par un certain nombre de sectes  humanistes et autres clubs  et cercles de réflexions qui font profession de républicanisme mais certainement pas d’un attachement viscéral  à une réalité charnelle, la France, la plus vieille nation du monde avec la Chine.

    Il y a quelques années déjà,  l’écrivain Jean Raspail pointait le travail de sape du,  des lobbies antinationaux qui trahissent la France au nom d’une idéologie dite républicaine mais qui n’est en fait  que le faux nez de la folle et destructrice  utopie cosmopolite .

    « Ce que je ne parviens pas à comprendre » écrivait-il , « c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’éternelle qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française. »

     C’est au réveil, au sursaut salvateur que le FN convie le peuple français. C’est là sa raison d’être.  Marcher   le 13 janvier dans les rues de la capitale, notamment  aux côtés de Bruno Gollnisch, c’est aussi marquer son refus de cette  descente au tombeau de notre civilisation. A dimanche !

    http://www.gollnisch.com