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magouille et compagnie - Page 2505

  • Goldman Sachs finalise sa prise de contrôle économique sur l’Europe

    A la surprise générale, le chancelier de l’Échiquier britannique, Georges Osborne, a annoncé lundi 26 novembre la nomination de Mark Carney, 47 ans, actuel gouverneur de la Banque centrale du Canada, au poste de gouverneur de la Banque d’Angleterre. Le nouveau patron de la Bank of England (BoE) doit succéder à l’actuel gouverneur Mervyn King en juin 2013.

    Mark Carney a fait des études à Harvard et Oxford, puis travaille treize ans pour la compagnie Goldman Sachs International à Londres. Il s’impliquera notamment dans l’économie post-apartheid de l’Afrique du Sud ainsi que dans les opérations de Goldman Sachs liées à la crise financière russe de 1998 , en conseillant la Russie de parier contre la capacité du pays à rembourser sa dette.

    La nomination de Carney survient à peine six mois après sa participation à la conférence du Groupe Bilderberg de 2012 à Chantilly, en Virginie, une réunion annuelle de plus d’une centaine de personnes les plus puissantes de la planète, qui usent régulièrement de leur position afin d’imposer certains choix … ou nominer certains hommes.

    La présence de Carney à la réunion du Bilderberg de cette année lui a sans aucun doute permis de gagner les faveurs des membres du groupe pour le poste de gouverneur de la Banque d’Angleterre, tout comme pour d’autres sommités, comme Herman Van Rompuy, qui a été choisi comme président de l’Union européenne, quelques jours après avoir assisté à un dîner avec le Groupe Bilderberg.

    L’ascension de Mark Carney à la tête de la Banque d’Angleterre représente également la dernière pièce du puzzle pour le contrôle de Goldman Sachs sur pratiquement toutes les grandes économies à travers le continent européen.

    L’an dernier, c’est l’ancien commissaire européen Mario Monti qui avait été choisi pour remplacer Silvio Berlusconi, le premier ministre italien. Monti était connu pour être un conseiller international de Goldman Sachs, président européen de la Commission Trilatérale et également un membre éminent du Groupe Bilderberg.

    « Il s’agit des mêmes criminels qui nous ont mené vers cette catastrophe financière. C’est comme demander à des pyromanes d’éteindre le feu », a commenté Alessandro Sallusti, rédacteur d’Il Giornale.

    De même, lorsque le Premier ministre grec George Papandreou a osé suggérer la possibilité pour le peuple grec de s’exprimer lors d’un référendum, il fût remplacé quelques jours après par Lucas Papademos, ancien vice-président de la BCE. Il a notamment été gouverneur de la Banque de Grèce qu’il occupera jusqu’à ce qu’il prépare son pays au passage à l’euro en 2001. C’est sous son mandat qu’a commencé le trucage des comptes publics de la Grèce, au moyen d’instruments financiers proposés par la banque d’affaires Goldman Sachs, qui a conduit à la crise de la dette publique. Aujourd’hui, c’est lui-même qui est à la tête du gouvernement grec pour mettre en place une politique d’austérité supposée résoudre cette crise.

    Papademos et Monti ont été nommés en tant que dirigeants non élus pour la raison précise qu’ils « ne sont pas directement responsables aux yeux du public », souligne le Time Magazine, illustrant une fois de plus le caractère autoritaire et antidémocratique de l’Union Européenne dans son ensemble.

    Peu de temps après, Mario Draghi – ancien vice-président de Goldman Sachs International – a été nommé en tant que président de la Banque Centrale Européenne.

    Le géant bancaire international, connu pour sa corruption et ses délits d’initiés, a désormais une influence énorme sur presque toutes les grandes économies occidentales.

    Source : Le journal du Siècle  http://www.contre-info.com

  • L’UMP implose, le Système est en train de Mourir ? Vive la France !

    Nous avons souvent cité ici la formule heureuse de l’homme politique israélien Shimon Peres: « les sondages c’est comme le parfum, il faut les humer mais ne pas les boire ».Bref,  la photographie, plus ou moins floue qu’une enquête d’opinion donne à un instant donné,  doit être analysée avec le recul nécessaire. Selon celle réalisée par l’institut BVA et publiée cette semaine, il se trouverait encore 30% des Français, toutes tendances politiques confondues,  pour estimer que François Fillon - fort du prestige lié à ses fonctions d’ex Premier ministre ? - est actuellement le meilleur opposant à François Hollande. Il devancerait ainsi de 11 points Jean-François Copé, de 13 points  Jean-Luc Mélenchon, de  15 points Marine le Pen.

    Un  constat que ne partage pas forcément l’hebdomadaire conservateur Valeurs Actuelles (et ses lecteurs) qui titre dans son dernier numéro de ce jeudi -« Sarkozy reviens !Ils sont devenus fous… »- sur les raisons de l’échec  de l’UMP. Implosion en cours  illustrée par la série d’ultimatums que se sont lancés les deux clans hier,  celui de Copé refusant d’organiser un référendum sur un nouveau vote, celui de  Fillon persistant dans la volonté de créer un groupe parlementaire dissident.

    Rappelons que dans un entretien accordé à France Soir le 23 avril dernier, Bruno Gollnisch  prédisait  un éclatement de l’UMP en cas d’échec de Nicolas Sarkozy à la présidentielle -http://www.gollnisch.com/2012/04/23/bruno-gollnisch-si-sarkozy-est-battu-lump-ne-survivra-pas/.

    Dans ce chaos, les commentateurs sont  nombreux à prédire que les principaux bénéficiaires de cette crise seront le Front National et le nouveau parti centriste de  Jean-Louis Borloo, l’UDI. Les adhésions au FN ont en effet significativement progressé ces derniers jours. Elles émanent  non pas tant  d’(ex) adhérents de l’UMP –les désillusions, la colère  suscitées par cette guerre interne doivent être d’abord « digérées »   par  ces derniers – que de Français de « droite »  non encartés,  écœurés  par ce lamentable spectacle et qui comprennent que désormais l’alternative au socialo-mondialisme se trouve au Front National.

    Selon un sondage de l’institut CSA pour BFMTV publié aujourd’hui, beaucoup de nos compatriotes auraient intégré cette montée en puissance de la crédibilité de l’opposition nationale.  Interrogés pour savoir « à qui profite le plus la crise que traverse aujourd’hui l’UMP », 38% des sondés  ont mentionné le FN, très loin devant l’UDI (20%) et  le PS (17%). 25% des personnes interrogées sont sans opinion.

    Ce qui n’est pas étonnant puisque étude après étude, les commentateurs pointent la porosité grandissante des électeurs, des sympathisants de l’UMP avec de nombreuses  idées défendues par le Front National.

    L’étude menée par l‘Ifop du 6 au 8 novembre  et publiée  dans le  JDD le démontrait amplement : «  sur l’assistanat, les chômeurs, l’immigration ou l’islam, la convergence (entre électeurs FN et UMP, NDLR) est presque totaleFrédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop expliquait dans les colonnes de ce journal qu’ «Entre les sympathisants UMP et ceux du FN, il n’y a plus grand-chose.»

     Significativement, toujours selon ce sondage,  si 84% des sympathisants UMP et 97% des sympathisants FN pensent qu’il y a «trop d’immigrés en France»,  50% des sympathisants de droite souhaitent que l’UMP et le Front National passent des accords électoraux pour les élections locales (municipales, cantonales, régionales…).

     Lundi dernier sur « Le Plus », un blog hébergé par le Nouvel Obs, le contributeur « sympathisant d’extrême gauche » Philippe Sage expliquait sans grande originalité que  le « duel Copé – Fillon » ouvrait  «  un boulevard pour le Front National de Marine Le Pen. »

     Dans sa chronique, M. Sage rappelle  ce que disait  déjà il y a deux ans  le directeur général de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) ,  Dominique Reynié.

     « Dans une tribune publiée par le quotidien Le Monde en date du 3 août 2010, (M. Reynié) écrivait que la droite était menacée d’un séisme en 2012. « Soit une implosion de l’UMP, avec la renaissance d’un parti centriste plus fort qu’aujourd’hui, récupérant une partie des forces passées à l’UMP en 2002 (ce que nous observons avec, donc, l’UDI de Jean-Louis Borloo) et comme de bien entendu, un grand vainqueur, voire même le seul, j’ai nommé : le Front National. »

     « il prédisait, qu’une nouvelle poussée de l’extrême-droite scellerait ainsi le sort de l’UMP dans le cadre d’une recomposition ne lui permettant plus de concevoir son avenir autrement que comme une force parmi d’autres dans une coalition à laquelle le FN finirait par prendre une part active. »

     Même angoisse d’un « Alain Juppé, dimanche matin, sur Europe 1 :Si nous n’arrivons pas à rétablir la paix, la sérénité au sein du mouvement, nous risquons d’aller vers l’éclatement de l’UMP et qu’est-ce que ça veut dire ? Aux prochaines élections municipales, le parti qui arrivera en tête, c’est le Front National. »

    « Le drame dans cette histoire poursuit cet article, c’est que ni l’UMP, ni le PS, n’auront su trouver le bon positionnement (…) pour enrayer cette poussée de l’extrême-droite. Au passage, ce n’est pas spécifiquement français, puisqu’on observe le même phénomène, soit une montée du national-populisme dans toute l’Europe. Et si cette montée est possible, c’est parce que nos principaux responsables politiques manquent de courage, de volonté, de force, et oublient l’essentiel : faire preuve de pédagogie. »

    Au risque de décevoir ce « Philippe Sage  sympathisant d’extrême gauche » qui aimerait tant que les socialo-libéraux fassent preuve de pédagogie pour ramener le troupeau  dans le bercail euro mondialiste (l’extrême gauche n’est plus ce qu’elle était !), il se trompe lourdement.

    C’est justement , note Bruno Gollnisch,  cette pédagogie-propagande  cosmopolite, antinationale, faisant fi de la volonté des peuples et  assenée depuis des décennies qui est rejetée de plus en  plus en France comme dans le reste de l’Europe. Ce Système à bout de souffle  a été rattrapé par le  principe de réalité et il en meurt.  Les Français, les Européens exigent la vérité. Nous continuerons à la clamer.

    http://www.gollnisch.com/

  • Une association appelle les pays arabes à reconnaître leur passé esclavagiste

    La traite négrière orientale a été la plus meurtrière, un véritable génocide : 17 millions de morts, déportés, castrés par les musulmans. Tidiane N'Diaye, un musulman sénégalais, anthropologue et économiste, est l'auteur du livre « Le génocide voilé », une enquête historique.

    Clip de la campagne de la Fondation du Mémorial de la Traite des Noirs


    À quelques jours de la Journée Internationale de l'Abolition de l'Esclavage, le 2 décembre, la Fondation du Mémorial de la Traite des Noirs appelle les pays arabes à reconnaître leur rôle dans la traite des Noirs et l’esclavage.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • “La Grande Récession (depuis 2005)”, de Jean-Luc Gréau

    Amateurs de discours lénifiants s’abstenir. Pour Jean-Luc Gréau, l’hypothèse d’une nouvelle dépression dans le sillage de la “grande récession” est “plausible“. Ce texte, en partie inédit, rassemble des articles parus dans la revue Le Débat entre 2008 et 2012. Economiste, ancien expert du Medef, M. Gréau est l’auteur, entre autres, de La Trahison des économistes (Gallimard, 2008). Il y plaidait notamment pour un protectionnisme raisonné aux frontières de l’Europe.

    Désordre et improvisation. Tels sont les mots qui, pour l’auteur, résument les actions volontaristes que les Occidentaux ont conduites, depuis la crise de 2008 (qui a commencé, selon lui, en 2005). D’où le sentiment que l’horizon est bouché. “Le fardeau total de la dette, écrit-il, atteint partout des montants excluant que l’on puisse les ramener à un niveau acceptable dans un futur prévisible (…). Il n’y a pas de problème plus crucial et apparemment moins soluble que celui de l’accumulation spontanée des dettes privées et publiques en Occident.“Comment en est-on arrivé là ? C’est la principale valeur ajoutée de ce livre que de parvenir à conceptualiser de façon particulièrement éclairante cette “bifurcation historique“, qui rend définitivement obsolète la régulation de papa.

    L’histoire des vingt dernières années, analyse Jean-Luc Gréau, est celle d’une expérience d’inclusion dans la concurrence mondialisée et d’autorégulation par les marchés financiers. La première conséquence en a été un endettement “voulu” ou “subi” par les Etats. Ensuite, on est passé du marché où le vendeur faisait la loi au “marché de l’acheteur“.


    Mais ce passage s’est fait si graduellement qu’il a été pendant longtemps presque invisible. De sorte que l’organisation néolibérale du marché tend à apparaître comme une création sui generis de l’évolution économique.

    Pour les entreprises françaises, ce basculement a généré trois handicaps : une faiblesse capitalistique (notamment des petites et moyennes entreprises), une subordination des fournisseurs vis-à-vis de la grande distribution, une protection insuffisante, enfin, contre la contrefaçon et le piratage. Ainsi, le dogme de la concurrence est-il fatal à l’industrie européenne, déplore l’auteur, pour qui “la politique industrielle a été bannie de l’agenda européen“.

    Aujourd’hui, trois risques menacent le système mondialisé : le déclin de l’investissement en Chine, la dette de l’Occident, la fragilité de l’euro. A tort ou à raison, écrit Jean-Luc Gréau, domine en Europe “le sentiment que la fin de l’euro signifierait la fin du projet européen qui a surdéterminé toute notre après-guerre sur le Vieux Continent“.

    Mais ni les Etats-Unis ni la Chine, au moins à court terme, n’ont intérêt à voir s’affaisser les économies européennes. Car dans le système mondialisé, la défaillance d’une région entière menacerait toutes les régions partenaires.

    La Grande Récession (depuis 2005), de Jean-Luc Gréau. Folio, 256 pages, 8,60 euros.

    Le Monde  http://fortune.fdesouche.com

    La suite=>

  • Les vérités de Gérard Jugnot sur Hollande, Mélenchon, la culture, les subventions, France 3…

    ou là

    http://youtu.be/-dWkbk1lBUM

    Par le 28 nov, 2012
    Interrogé lundi par la Radio suisse romande, Gérard Jugnot se lâche la politique fiscale de François Hollande (« Je fais partie de ces gens qui morflent parce que je suis aisé (…) Je ne trouve pas ça très efficace. (…) Je crois et j’espère qu’il va redevenir social-démocrate. »), Jean-Luc Mélenchon (« un mec dangereux »), la culture (« de gauche depuis De Gaulle »), les médias de l’État (« France 3 a toujours été communiste, (…) si on n’avait pas la carte du PC, on ne passait pas à France 3… ») et s’en prend aux subventions. Tout cela, « je peux le dire en Suisse, pas en France », regrette l’acteur, réalisateur, scénariste et producteur français.

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/28-11-2012/les-verites-de-gerard-jugnot-sur-hollande-melenchon-la-culture-les-subventions-france-3

    http://francaisdefrance.wordpress.com/

  • Marion Maréchal Le Pen revendique 600 adhésions par jour (Vidéo + MàJ sondage BFM)


    La crise UMP profite au FN, selon une majorité de Français

    38% des Français considèrent que la crise qui secoue l’UMP profite majoritairement au Front national, selon un sondage CSA pour BFMTV.



    Marion Maréchal Le Pen, députée FN du Vaucluse, a assuré jeudi sur LCI qu’il y avait, avec la crise à l’UMP, une « explosion » des adhésions à son parti, au nombre de « 600 par jour ». Interrogée sur les déchirements au sein du principal parti d’opposition, la benjamine de l’Assemblée nationale les a jugé « inévitables », eu égard à « une fracture idéologique et une fracture des ego ». « Ce n’est plus tenable », a-t-elle dit. [...]

    Europe 1  http://www.fdesouche.com

  • Soutien aux Identitaires

    Depuis quelque temps, je suis en panne d'inspiration.

    Un brin de recul repris dans les montagnes, doublé d'un vieux dégoût des paroles inutiles et d'un ras-le-bol de l'inaction forcée dans un système totalitaire soft qui nous tient par les couilles avec la peur, pour les dissidents, de se retrouver clochards après des poursuites pénales iniques qui leur feraient perdre leur boulot, leur toit, voire leur famille.

    Alors que les « divers » peuvent quasiment tout se permettre, ne risquant même pas de perdre leurs allocs quels que soient leurs crimes, nous sommes, nous, pieds et poings liés dans notre honnêteté native, obligés d'assister en fulminant, en bouillonnant de rage contenue, à la grande braderie, au massacre quotidien de notre peuple, de notre pays.

    La haine, oui la haine, ne peut que monter contre les ordures, le plus souvent des compatriotes, qui sont les auteurs et les responsables de cette situation ; une haine qui ne sert à rien mais qui permet de tenir, jusqu'à la délivrance tant espérée, en rêvant stérilement de régler leur compte à ces traîtres, de les éliminer comme ils veulent nous éliminer, car ce sont nos ennemis mortels et ils ne méritent rien de moins.

    Enfin... Les patriotes sont de braves gens, des gens de coeur. Ils ne sont pas cruels et jamais, j'en suis sûr, même quand nous parviendrons à renverser ces oligarchies stupides et autistes (qui se seront probablement écroulées d'elles-mêmes), il n'y aura d'épuration massive. Quelques pendus pour l'exemple suffiront à purger la vindicte populaire.

    Mais pour en revenir à ce blog, que dire que je n'ai pas déjà dit, qui n'ait pas été dit ailleurs ? Ecrire, parler, c'est bien joli, mais même si ça peut aider à ouvrir quelques yeux et déclencher quelques remises en question, ça ne satisfait pas une envie d'action, une envie de concret cadenassée par la dictature.

    A quoi bon parler si le « Système » reste désespérément le même ?

    C'est dans ces sombres ruminations de taulard frustré (les mêmes, à peu près, que celles de bien des camarades connus et inconnus) que j'ai eu vent, avec un frisson d'enthousiasme et d'admiration, de l'acte de résistance de l'année.

    Au vu des réactions crypto-soviétiques déchaînées - par une simple demande de référendum ! - parmi les crapules subventionnées du totalitarisme ambiant, n'importe qui de sensé peut constater que Génération Identitaire a visé juste.

    Aux yeux des commissaires du peuple de la LICRA, du MRAP, de SOS Racisme, de l'UEJF, du PS, de l'UMP, du Front de Gauche, d'EELV et autres représentants autoproclamés de la décence et de la démocratie, quand il s'agit de réclamer qu'on demande enfin son avis au peuple français sur l'immigration et l'islamisation de son pays, une dizaine de tapis de prière mouillés par la pluie deviennent des martyrs objets de viles déprédations ; l'entrée pacifique dans le chantier de construction d'une mosquée non encore consacrée tourne à l'effraction et au sacrilège ; la revendication identitaire est baptisée incitation à la haine raciale ; des peines exemplaires sont exigées contre les fanatiques auteurs de ces véritables crimes contre l'humanité ; auteurs, qui sont réputés vivre il y a treize siècles selon certains arriérés congénitaux alors que, n'est-ce pas, notre submersion ethnique ne peut être que le summum d'une volonté de coexistence pacifique marquant un progrès insurpassable...

    De qui se moque-t-on ?!

    Chaque jour, la violence exercée contre notre peuple se fait plus intense. Chaque jour, nos droits sont un peu plus réduits, un peu plus rognés par une technocratie brutale et aveugle qui va jusqu'à nier notre existence, sans parler de notre identité. Chaque jour, les kapos délinquants (immigrés, pour l'essentiel) de cette technocratie tuent, violent, violentent, volent, squattent et dégradent bâtiments publics et privés, insultent, diffament et que se passe-t-il ? Rien, ou si peu. Ce doivent être les inconvénients normaux d'une intégration à laquelle plus personne, en réalité, ne croit... En réalité, nos stupides et autistes dirigeants cautionnent et entretiennent un communautarisme croissant, dans le but manifeste (mais illusoire) de substituer à un peuple qui pense mal, des immigrés que les connivences de circonstance ne rendront pas plus malléables.

    Tout cela, pour conserver leurs gamelles et leur position dominante.

    Deux poids, deux mesures.

    Les Identitaires ont publiquement démasqué, de manière simple et efficace, un des aspects principaux de la dictature que nous subissons, et dont les bien-pensants, apparatchiks du régime, voudraient faire croire qu'il s'agit d'une démocratie.

    C'est pour cela, et uniquement pour cela, que les salopards associatifs subventionnés, les médias du capital et les politiciens véreux hurlent à la curée soi-disant légaliste contre la dissidence soi-disant d'extrême-drouâte. Pas de liberté pour les ennemis de la liberté, air connu de tous les totalitarismes.

    Il faut donc poursuivre dans cette voie et continuer de démasquer, pour un peuple massivement convaincu du caractère excessif de l'immigration, la forfaiture de ses dirigeants. L'écho international de cette première action (Washington Post, El Mundo...) est par ailleurs encourageant, même s'il est bien sûr conformiste.

    Les Identitaires appellent à la résistance. C'est bien le mot.
    Boreas http://verslarevolution.hautetfort.com/

  • « Qui va payer la crise ? » de François Lenglet

    « Qui va payer la crise ? » : le Nord ou le Sud, la finance ou les contribuables, les jeunes ou les rentiers ? Jacques Georges, consultant européen, présente pour Polémia le livre du journaliste François Lenglet.
    Polémia.

    Dans Qui va payer la crise ? le journaliste François Lenglet développe avec des mots simples des idées fortes, qui peuvent plaire ou ne pas plaire, qu’on peut à loisir étiqueter « de droite » ou « de gauche », mais qui en tout cas méritent réflexion.

    Un pamphlet terrible

    Le livre commence comme un pamphlet terrible et quasi populiste et se termine par un plaidoyer raisonnable et raisonné en faveur de l’Europe et de l’euro. En voici quelques étapes, avant de proposer quelques réflexions et commentaires :

    • L’euro s’étant révélé, du fait même de sa conception (le « thermostat unique ») comme « une gigantesque machine à accroître les divergences économiques », son sauvetage s’apparente de plus en plus à un désastre annoncé (« le Sud ne peut plus payer, et le Nord ne veut plus payer, voilà l’équation de l’automne 2012 ») ; les pays du Sud s’épuisant comme des hamsters dans leur cage sous le poids d’un euro devenu « le CFA de l’Europe du Sud », l’Europe s’achemine vers une sorte de Guerre de sécession.
    • Cette fracture en cache une autre plus fondamentale encore : celle qui oppose « la finance », toujours gagnante, au contribuable, toujours perdant : « Derrière le tabou de la dette se joue la lutte entre les détenteurs de capitaux et les contribuables ». Plus profondément encore, une autre fracture sépare les classes d’âge démographiques : les jeunes contre les vieux ; les baby-boomers, ex-révolutionnaires devenus libéraux à tout crin, ayant pris l’Europe et l’euro en otages (« l’euro, c’est le coup de force des vieux contre les jeunes »), et devenus rentiers, contre les jeunes, les forces vives et le reste de la société.
    • Le salut par l’Europe fédérale n’est qu’une fausse promesse qui reproduit à plus grande échelle le drame italien. Basée sur un malentendu fondamental (« Le fédéralisme selon Berlin, c’est la prise de contrôle sur le budget et la politique économique de ses partenaires. Selon Paris, Madrid, Rome et Athènes, c’est la prise en charge des dettes par l’Allemagne »), elle risque en fait d’aggraver le mal plutôt que de le réduire (« Il y a fort à parier qu’un fédéralisme européen déboucherait, lui aussi, sur une envolée de la dette européenne »). Elle prendrait à volonté diverses formes, notamment les euro-bonds, pur produit de la « révolte des cancres de l’Europe », ou le puits sans fond toujours menacé du FESF-MES, ou encore les illusions d’une union bancaire destinée moins à sauver l’Europe qu’à sauver la City et Wall Street… sans compter que l’Europe fédérale n’est plus dans le vent et n’a pas ou plus la faveur des opinions publiques.
    • Les « vendeurs de repas gratuits » constitués par les « sécessionnistes » pour qui la sortie de l’euro réglerait toutes les difficultés et nous mettrait à l’abri de la dictature des marchés ne sont, comme les fédéralistes, que des idéologues, raisonnent faux, font valoir des exemples (Danemark, Suède, Suisse) qui sont tout sauf convaincants, et ne sont en définitive que des marchands de sable.
    • Dernière illusion : le thème répandu dans le Sud et jusqu’en France de « l’Allemagne paiera ! » est stupide, dangereux et moralement scandaleux. Quelle que soit la forme d’une monétisation de la dette européenne (euro-bonds, licence bancaire donnée au MES, intervention illimitée de la BCE), cette manœuvre serait à terme nuisible à tous et notamment à la France, pousserait l’Allemagne et quelques pays bien gérés à quitter l’euro, conduirait à l’hyperinflation et s’analyserait in fine comme un nouveau coup de force de la finance contre les peuples, et des rentiers contre l’économie.
    • Les issues miraculeuses de type forte reprise américaine doublée d’un renchérissement du dollar ou forte baisse de l’euro ayant peu de chances de se réaliser, nous sommes donc apparemment confrontés à une impasse, avec une union monétaire « bâtiment en feu sans issue de secours ». Ce n’est pas tout à fait vrai. Reste donc à choisir sans passion et sans exclusive la solution, ou le combiné de solutions partielles, le plus efficace.
    • En pratique, les pays du Sud, et la France elle-même, vont devoir choisir entre l’euro et leurs créanciers. La préférence de l’auteur va fortement à la seconde solution : « Il nous faut à nouveau euthanasier les rentiers pour nous libérer du fardeau que constituent des dettes excessives ». La bataille de l’épargnant et du contribuable, qui est aussi celle des générations, est légitime. C’est en définitive une solution à l’islandaise qui est préconisée, celle d’un pays véritable « laboratoire de la répudiation de la dette ».
    • Enfin, avantages et inconvénients de chaque solution bien pesés, l’auteur plaide pour les pays du Sud, à l’exception toutefois de la Grèce, et plus encore pour la France, en faveur d’une solution de maintien dans l’euro. La monnaie unique présente de forts avantages : développement des échanges commerciaux intra-zone, solidarité financière et monétaire, poids mondial accru en matière monétaire, diplomatique ou militaire. Ce maintien se ferait sans concessions à la pente française de la fuite dans la dépense publique et la dette : « Ni l’Allemagne ni la France n’ont intérêt à la mutualisation de la dette. C’est une fausse solution, qui ne s’attaque qu’aux conséquences de la crise européenne et non pas à sa cause… En contrepartie, il faut convaincre l’Allemagne d’assouplir le rythme de l’assainissement budgétaire et d’alléger la facture de la dette en faisant payer les créanciers ».

    Une crise globale

    On peut discuter diagnostic, grille de lecture et esquisses de remèdes, mais on doit reconnaître à cette thèse sa solidité, son honnêteté, son pragmatisme et une dose raisonnable de neutralité idéologique et trans-partisane. Voici quelques réflexions et questions proposées à votre réflexion et à celles de l’auteur s’il vient à nous lire :

    • Ce qui est traité est essentiellement la crise européenne. Celle-ci est un gros morceau d’une crise plus vaste née de la confrontation doucereuse sur trente ans d’un Sud jeune, travailleur, spartiate et épargnant et d’un Nord vieillissant, riche, aux emplois de plus en plus précaires, consommant à crédit « avec la complicité d’une industrie financière devenue experte dans l’art de dissimuler les risques et de faire passer des vessies pour des lanternes »(Thierry Pech, Alternatives économiques). On aurait aimé de plus longs développements sur cette crise globale, même à plusieurs reprises il en est fait mention.
    • On peut être surpris du décalage entre prémisses tonitruantes, à forts accents populistes anti-finance, anti-vieux, et même anti-euro, et conclusions finalement très prudentes (sortie ordonnée de la seule Grèce de la zone euro, confirmation du tandem franco-allemand sur la base d’une ligne monétaire et budgétaire très orthodoxe). On y trouvera, selon son goût, un peu de démagogie ou de défoulement gratuits, un plaidoyer hypocrite pour le statu quo en faveur d’une Europe allemande, ou – et c’est mon interprétation – la coexistence dans le même homme de pulsions contradictoires, d’une saine vitalité, d’une sincérité, où la raison finit toujours par l’emporter.
    • La « finance », bête noire de l’auteur, est sa part d’idéologie, d’irrationnel, de passion. On y trouve mêlés financiers calculateurs et cyniques, banquiers peu sympathiques, mais aussi ceux pour qui ils roulent, au moins en partie : bobos honnis de la génération de 1968, mais aussi épargnants comme vous et moi, et même veuve de Carpentras. A cette étape du livre, on craint un instant de tomber dans une version atténuée de populisme, frère inversé du vieux poujadisme, mais on est ensuite rassuré. Reste qu’il y a un zeste de hargne pro-jeune, anti-banquier et anti-veuve de Carpentras là-dedans.
    • La rage anti-bancaire, anti-finance de nombreux économistes indépendants trouve sa source dans le sentiment, sans doute légitime, que le pouvoir politique, et donc le contribuable, s’est fait berner dès l’éclatement de la crise des subprimes, en 2007. Se fût-il opposé par principe au renflouement des banques, quitte à les nationaliser ou à les adosser provisoirement aux Etats le temps qu’elles apurent leurs comptes et se recapitalisent, l’évolution des déficits et des dettes publiques eût été très différente dans de nombreux pays, à commencer par l’Irlande. Ce hold-up initial est d’autant plus regrettable qu’il n’a même pas eu l’excuse de régler le problème, mais au contraire de l’aggraver.
    • L’interprétation de la crise comme la résultante d’un conflit de générations entre soixante-huitards, ex-braillards gauchistes devenus rentiers égoïstes forcenés, identifiés de façon paradoxale mais convaincante comme la « génération libérale », et le reste de la société (entrepreneurs et jeunes notamment) est séduisante et d’ailleurs pas nouvelle (c’est l’une des marottes de l’auteur du présent article depuis 1968 ou presque…).
    • Les remèdes ne sont qu’esquissés (pages 139 et 201-202), ce qui est inévitable compte tenu de la complexité du sujet et de la nature de l’ouvrage. Ils tournent tous autour de la notion de restructuration (version dure) ou de moratoire (version soft) de dettes : prolongation de toutes les échéances de trois ans pour les pays les plus endettés, avec suspension ou annulation des intérêts, rééchelonnement de la dette sur vingt ans, période de grâce, etc. Certaines conséquences sont citées, notamment le rétablissement du contrôle des capitaux et des changes aux frontières de l’Union, mais presque rien n’est dit sur les dépôts bancaires, l’assurance-vie et la veuve de Carpentras. Il est vrai que, sur de tels sujets, on tangente immédiatement l’incitation à la panique bancaire.
    • Le « laboratoire islandais » est présenté honnêtement, mais positivement au global. Questions : une Islande dans l’euro aurait-elle pris le même chemin ? Quelle est donc la valeur de cet exemple pour une France ou un pays du Sud restés dans l’euro ? Et, surtout, que se passerait-il si tout le monde ou juste quelques gros ou simplement moyens pratiquaient la même politique ?

    Une remarque pratique pour finir : s’agissant de la genèse de la crise, on aurait aimé en annexe un rappel chronologique détaillé qui aurait ajouté à la solidité de la démonstration. Avis à l’auteur pour une prochaine édition augmentée, forte probabilité vu que le sujet risque de rester actuel très longtemps !

    Enfin, ce livre est un plaidoyer raisonnable et sans illusion pour l’Europe et pour l’euro, expurgé de ses vices de construction les plus rédhibitoires. En tant qu’Européens de destin, dans la lignée des Drieu, des Jünger et des Denis de Rougemont, we can live with it.

    Jacques Georges  26/11/2012 http://www.polemia.com

    François Lenglet, Qui va payer la crise, Fayard, Collection Documents, septembre 2012, 216 pages.

  • Le monopole du bitume – par Philippe Randa

    S’il y en a un qui a retenu la leçon, c’est bien Jean-François Copé, actuel secrétaire général de l’UMP et candidat à la présidence de ce parti. Quelle leçon ? Celle qu’a érigé en modèle de conquête élyséenne Nicolas Sarkozy, le premier président de ce parti, justement.
    À défaut d’avoir brillé durant son quinquennat à la tête de notre pays, celui-ci était passé maître dans l’art de la communication, soit, pour parler comme les « djeuns » –et comme les moins « djeuns » d’ailleurs – de la manière de « faire du buzz ». Et pas seulement sur Internet.
    La déclaration-menace de JFC de faire descendre dans la rue « les Françaises et les Français qui s’indignent et qui s’inquiètent pour l’avenir de notre pays et des enfants de France » a fait mouche : toute la gauche s’est immédiatement étranglée d’indignation… et son rival François Fillon en est resté muet de stupéfaction ! 
    La droite dans la rue ! En voilà une idée ! Une idée saugrenue pour certains, jugée peu convenable par les plus bourgeois dans les rangs UMP… et carrément odieuse par la gauche qui voit là un véritable hold-up sur ses traditions.
    Car pour la gauche et ses ténors, elle seule est habilitée à occuper les rues pour brailler… Voilà maintenant plus de six décennies qu’elle s’est approprié le monopole du bitume et c’est au moment où elle contrôle la totalité des institutions politiques, qu’elle a réalisé le Grand Chelem des victoires électorales, qu’un malappris lui dispute son terrain de revendications habituels.
    Ceux qui ont quelques connaissances historiques savent qu’avant la dernière guerre mondiale, la rue était loin d’appartenir à la gauche… De l’Action française aux Croix-de-Feu, puis au Parti social français du colonel de La Roque, en passant par de multiples autres formations plus ou moins importantes, mais plus nationales que socialistes, c’était à celui qui tiendrait le pavé le plus haut… Et le 6 février 1934, il s’en est fallu d’un pont que les députés faillis soient « pendus à la lanterne »… D’un pont et d’un chef !
    Mais ce n’est sans doute pas à cette époque-là que songe Jean-François Copé. Ses connaissances historiques de la France ne vont pas s’y loin. Lui se contente de songer au défilé de 1984 contre le projet de loi Savary, à Versailles, où un million de personnes avaient manifesté pour la  défense de l’école libre. Le projet de loi visant à la création d'un grand service public de l'éducation, projeté par Alain Savary, alors ministre de l'Éducation nationale, fut alors retiré par François Mitterrand. La rue avait fait reculer le Pouvoir. 30 ans après, la gauche en fait encore des cauchemars.
    On imagine donc la terreur des caciques à la rose sous le nez desquels le responsable de l’UMP agite le spectre de manifestations possibles pour contrecarrer les projets de lois accordant le droit de vote aux immigrés ou le mariage des couples homosexuels et leurs droits à l’adoption d’enfants.
    Il est facile de brandir des sondages affirmant qu’une majorité de plus en plus grande de Français est favorable à ces deux mesures… Mais sans doute serait-il plus difficile d’ignorer des centaines de milliers de Françaises et de Français qui battraient le pavé pour affirmer leur opposition à de tels obsessions spécifiques d’une France d’en haut sortie de l’ENA ou des rangs trotskystes…
    Imaginons une manifestation contre le droit de vote des immigrés au premier rang de laquelle défileraient les ex-salariés d’Hermès-Métal, de Carrefour, de Viveo, de PSA, de Cofinoga, de la sidérurgie lorraine, etc., etc.
    Et une autre contre le mariage et l’adoption accordés aux couples homosexuels dans laquelle se côtoieraient catholiques, musulmans et juifs, tous unis, pour un jour et une cause, tous choqués pareillement en leur âme et conscience face à une réforme qui bouleversera la structure familiale, fera disparaître les notions de père et mère du Code civil et engagera l’avenir de milliers d’enfants…
    En mai 68, c’était sous les pavés, la plage… et désormais, sur le bitume, si c’était le peuple ? Chiche ! http://www.francepresseinfos.com/

    Philippe Randa est écrivain, chroniqueur politique et éditeur (www.francephi.com).