Les faits se sont produits le 18 décembre sur la commune de Saint-Just-et-Vacquières, près d’Alès (Gard) : des militants écologistes ont tenté de scier un morceau de pylône supportant une ligne à très haute tension. Un acte qu’ils ont revendiqué dans un communiqué anonyme adressé le 23 décembre au média en ligne Reporterre, spécialisé dans les questions environnementales. Pour le Réseau de Transport d’Electricité (RTE), “c’est un acte très rare car compliqué à mettre en œuvre. Heureusement, il n’y a eu aucun impact sur le réseau, ni de coupure d’alimentation“.
magouille et compagnie - Page 419
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Sabotage écolo-gauchiste dans le Gard : des militants ont tenté de scier un pylône électrique à haute-tension
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Libye : le cri des esclaves étouffé par les ONG au Festival des Droits Humains
Des associations de défense des Droits de l’homme ont empêché la diffusion d’un documentaire sur l’esclavage en Libye. C’est que la Jamahiriya arabe libyenne de Mouamar el-Kadhafi avait lutté contre l’esclavage et était parvenue à dépasser des siècles d’affrontements entre les arabes et les noirs. Mais lorsque l’Otan a écrasé la Jamahiriya et assassiné Kadhafi, l’esclavage a été rétabli.
La projection du film documentaire Le Cri sur le drame des migrants esclaves en Libye, que son réalisateur Michelangelo Severgnini avait été invité à présenter au “Festival des Droits Humains” à Naples, a été interrompue après une vingtaine de minutes par les représentants des ONG parmi lesquelles Open Arms (Bras Ouverts…), qui se sont déchaînés contre le film, en le qualifiant de “saloperie”, et en insultant à maintes reprises le réalisateur sans lui laisser la possibilité de répondre.
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Financement étranger et groupuscules violents : la réplique du RN sème la panique
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Effondrement du système de santé…et du reste! – par Patrick de Casanove
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Hôpital : au moins 23 décès sur un brancard depuis le 1er décembre
Selon le syndicat SAMU - Urgences de France, plus d’une vingtaine de personnes seraient mortes aux urgences en décembre, faute d’avoir été prises en charge rapidement. Plus précisément, au 28 décembre, 23 patients seraient décédés sur un brancard, en attendant d’être soignés. Ces décès sont qualifiés d’ « inattendus » par le syndicat. « Majoritairement, il s’agit de patients âgés qui arrivent aux urgences sans signe de gravité mais qui meurent après avoir attendu 6, 7 ou 8 heures », explique au JDD Marc Noizet, le président du SAMU – Urgences de France.
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Aileen Getty : ces enfants de milliardaires qui financent les écologistes radicaux
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L’Europe a payé l’hostilité avec la Russie avec mille milliards de dégâts, par Olga Samofalova
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Macron, « hypervigilant » sur la sécurité, ouvre « en même temps » les vannes de l’immigration venue du Maghreb
Quelques jours après l'attentat au cours duquel un vieux monsieur, animé d'une « haine pathologique » des étrangers, a tué trois Kurdes, le gouvernement sort les grands mots. C'est normal, c'est le seul symbole qu'il lui reste, puisque les lois impuissantes et l'argent magique ne fonctionnent plus. Ainsi, un poids lourd de la Macronie aurait déclaré que le Président était « hypervigilant » et que la situation, si elle était mal maîtrisée, pourrait donner du fil à retordre à la police. C'est que la communauté kurde n'a pas l'habitude de baisser la tête face à l'adversité. Elle n'a même connu que l'oppression dans son histoire récente. Alors, forcément, on ne peut que déplorer les voitures qui brûlent « en marge des manifestations ». Ainsi, à Marseille, le 24 décembre, « à l'arrivée du cortège au niveau de la préfecture, les manifestants ont jeté de nombreux projectiles sur les forces de l'ordre » et « deux véhicules de police stationnés devant le commissariat de Noailles ont été incendiés et le commissariat a été caillassé », rapporte France Info.
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“La nourriture, c’est de la merde” : au Mesnil-Amelot (77), les clandestins du centre de rétention administrative ne sont pas contents du tout de leurs conditions de vie
Le député écologiste Julien Bayou a visité de manière inopinée le centre de rétention administrative (CRA) alors que le gouvernement a lancé l’adoption d’une nouvelle loi sur l’immigration
(…) Ici Julien Bayou, député Nupes-EELV de Paris, qui a le droit de visiter de manière inopinée un CRA en emmenant des journalistes. En ce mardi après-midi de fin décembre, nous sommes donc cinq journalistes à l’accompagner au Mesnil-Amelot, en Seine-et-Marne. Le ciel est d’un gris uniforme et il pleut, histoire d’enlaidir un peu plus le bâtiment d’un étage aux tuiles orangées. La visite inopinée permet d’éviter que les autorités ne cachent la poussière sous le tapis, mais la commandante de la police aux frontières (PAF) qui gère le site n’est pas déstabilisée pour autant, elle qui reçoit « 2-3 visites par semaine ». D’ailleurs, elle semble rodée dans son rôle de guide et emmène la petite troupe dans ce CRA qui dispose de 120 places pour hommes.
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SNCF : Excédés, des usagers lancent la « grève des billets »