"Sans énergie, rien ne peut se passer : pas de mouvement, pas de son, pas de lumière, pas de vie !". La citation de Lavoisier éclaire – sans mauvais jeu de mot – parfaitement bien la situation de la France.
magouille et compagnie - Page 420
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Le Samedi Politique avec Loïk Le Floch-Prigent - Énergie : Qui sabote le pays ?
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L’ukraine et la Russie : Les aveux majeurs du Département d’État des États-Unis
par Jean-Yves Jézéquel
Personne ne peut ignorer ces aveux ! Le Département d’État des USA a clairement exposé ses plans pour garantir la primauté mondiale de l’Amérique : il ne s’agit donc pas de « théorie du complot », mais de la réalité ouvertement déclarée.
S’exprimant devant la commission des relations extérieures du Sénat, l’assistant du secrétaire d’État pour l’Europe et l’Eurasie, Wess Mitchell, a déclaré que « les États-Unis punissent la Russie parce que Moscou empêche Washington d’établir sa suprématie sur le monde. »
Soyons donc clairs et honnêtes : les États-Unis, enfin, reconnaissent ouvertement la raison des sanctions contre la Russie parce qu’ils ne peuvent pas admettre que celle-ci puisse avoir un rôle majeur à jouer sur Terre. Tout ce qui est fait, organisé, déployé avec ou contre la Russie, n’a d’autre but que d’obtenir sa capitulation, car la suprématie mondiale des États-Unis est obligatoire mais impossible sans un contrôle total de l’Eurasie.
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Ils voulaient bien gouverner par la peur
The Telegraph a publié les 2,3 millions de mots échangés sur WhatsApp par des ministres du gouvernement et leurs conseillers concernant la gestion de la pandémie du Covid-19. Documents passés au journal par Isabel Oakeshott (rédactrice internationale chez la chaîne Talk TV), à qui l’ancien ministre de la santé Matt Hancock avait confié le matériel afin de l’aider à co-écrire son livre Pandemic Diaries. Malgré sa signature d’un accord de non divulgation, la journaliste a livré les messages WhatsApp au Telegraph, les jugeant d’intérêt public.
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Conférences annulées, menaces et agressions : l’impunité de l’ultra-gauche continue !
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17 octobre 1961 : le massacre qui n’a pas eu lieu
Le 17 octobre prochain, comme chaque année, les autorités françaises, les islamo-gauchistes et le « Système » algérien ont commémoré un massacre qui n’a pas eu lieu…
Sur ce blog, ayant périodiquement à la même date déconstruit l’histoire officielle de ce prétendu « massacre », je me contenterai de renvoyer au chapitre IX intitulé « 17 octobre 1961, un massacre imaginaire » de mon livre « Algérie l’Histoire à l’endroit » en ajoutant ici quelques éléments essentiels à la compréhension du montage culpabilisateur qui nous est imposé :
1) La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.
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Apologie de la drogue et de la violence, mobilier saccagé : un clip de rap tourné par des élèves de 5ème et leur surveillant dans le cadre des “vacances apprenantes” provoque une énorme polémique
Des doigts d’honneur, des scarifications, du mobilier saccagé. Un clip de rap, tourné par des élèves du collège Sophie Germain à Strasbourg et consulté par BFM Alsace, suscite une vive polémique au sein de l’établissement.
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Yvan Stefanovitch : « L’Etat a installé une sorte de mafia administrative du recyclage des déchets, en se défaussant de son organisation sur des entreprises privées » [Interview]
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Ce sénateur montre l’hypocrisie des politiciens votant la réforme des retraites
Victorin Lurel, sénateur de Guadeloupe, dénonce le fait que ses collègues qui soutiennent la réforme des retraites se gardent bien de toucher au régime spécial des retraites des députés et sénateurs.
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Soissons (02) : déjà condamné 19 fois, notamment pour deux viols, Vernon Mounkala agresse deux hommes alors qu’il est sous bracelet électronique
Auteur de deux agressions à Soissons en quelques jours, un trentenaire au casier judiciaire épais a été envoyé en prison par le tribunal, ce jeudi 9 mars. Deux sursis probatoire ont aussi été révoqués, ce qui porte la peine à trois ans et neuf mois de prison ferme.
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Les privilégiés du Sénat adoptent l’article 7 de la réforme des retraites repoussant à 64 ans l’âge légal de départ à la retraite