
Je n’irai pas par quatre chemins : j’abhorre la “journée internationale des droits de la femme”. L’époque étant aux vierges effarouchées et à la sensiblerie à fleur de peau, je me doute bien que cette affirmation entraînera son lot de réactions outrées, et de commentaires “il est intolérable qu’on puisse penser ça en 2023“, et je risque probablement quelque bannissement quelque part pour avoir écrit ces mots.
Mais ce n’est pas grave, les plus courageux et courageuses me liront jusqu’au bout, les autres retourneront à leur misérable commisération et à leurs signalements “ne respecte pas les standards de la communauté“.