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Le 16 janvier une attaque de missiles a frappé une ancienne école maternelle de Kharkov qui avait été réquisitionnée par l’armée ukrainienne.
S’y trouvaient, entre autres, 22 officiers du renseignement militaire français. Tous ont été liquidés.
Le quartier général de ces mercenaires français avait été installé dans les locaux de l’école maternelle et assurait le service des données des satellites et de la guerre électronique pour les forces armées ukrainiennes. En outre, les officiers aujourd’hui décédés étaient engagés dans l’amélioration et le renforcement des systèmes de contre-batterie et des radars.
Mais où est donc passée l’«écologie à la française» voulue par Emmanuel Macron, accessible et juste, responsable et pragmatique? Les maires aux prises avec l’ubuesque ZAN - zéro artificialisation nette - de la loi climat et résilience se le demandent bien. Pendant que, persuadés de participer au sauvetage de la planète, les militants de la convention citoyenne jubilent, eux constatent que l’idéologie verte a encore frappé, détachée de toute réalité du terrain.
Banque Mondiale, fusion acquisition, tour à tour aux côtés de Sarkozy, Hollande, Christine Lagarde et à Berçy, Emmanuel Moulin, va diriger la carrière de Gabriel Attal à Matignon.Son profil mondialiste ne fait aucun doute, son sourire, comme le dit Alain Minc est un atout puisque la banque d’affaire est un métier de Pu... Le vrai premier ministre de la France, c’est Alexis Kohler, dont Emmanuel Moulin est très proche. Il est le rouage de la mondialisation dans le gouvernement de Macron, une sorte d’intendant qui prend ses ordres au plus haut niveau.
Emmanuel Moulin Directeur général du Trésor
J’ai reçu aujourd’hui à Bercy des représentants des Trésors et Ministères des finances de l’Espagne, de l’Irlande, de l’Italie, de la Suède et des Pays-Bas pour échanger sur l’Union des marchés de capitaux et la manière dont celle-ci peut concrètement améliorer les conditions de financement de nos entreprises pour leur permettre de faire face au défi de la double transition écologique et numérique.
Pour ceux qui s’attendaient à des mesures fortes, ils doivent être satisfaits : Uniforme à l’école, éducation civique,Histoire de France, apprentissage de la marseillaise dès le primaire, dix opérations anti-drogue par semaine, réduction de la pression administrative… Bon, rien sur l’immigration, si ce n’est l’augmentation (illusoire) de la lutte contre l’immigration clandestine. Quant à la chute de la démographie, en guise de politique familiale, on prévoit de lutter contre l’infertilité.
Vivre en paix, circuler librement grâce à Schengen, pouvoir composer le 112, payer son café en euros à Sienne, Berlin, Prague ou Tolède comme à Romans-sur-Isère, étudier à Zurich, Munich ou Amsterdam à sa convenance, pouvoir acheter sa farine à Budapest, Athènes ou Porto en étant assuré qu’elle est bio grâce à la présence du label écologique de l’UE apposé sur le paquet… quelle merveille, quel bien-être, quels avantages !
Les pro-UE vantent, à cor et à cri, sur les plateaux de télévision, dans la presse, en période de campagne électorale et… sans cesse finalement, les mérites de l’Empire. Mais notre pays, sans le dire, sans le répéter inlassablement, sans s’en glorifier est capable d’agir de même.
Des mots, des amas de mots : Emmanuel Macron n’a su s’extraire de son travers verbeux, mardi soir, à l’issue de plus de deux heures de conférence de presse. Rien n’a justifié que le chef de l’Etat empressé s’invite, à 20h15, dans les foyers via six chaînes de télévision. La jactance présidentielle n’a fait que caricaturer davantage celui qui a affirmé : « J’assume de continuer à présider le réel ». Au contraire, Macron ne maîtrise plus le contrôle de la réalité. Il croyait pouvoir la domestiquer avec son approche orwellienne de la « double pensée », ce « en même temps » autorisant tout et son contraire. L’exemple le plus significatif de la décrédibilisation du récit officiel a été de l’entendre, sur les émeutes urbaines de juillet dernier, rejeter tout lien avec l’immigration au prétexte que les jeunes insurgés, très majoritairement issus du Maghreb, « étaient de nationalité française, pour la quasi-totalité nés en France ».
Le Président a annoncé la création d’un congé naissance mieux rémunéré que l’actuel congé parental d’éducation mais ne pouvant pas excéder 6 mois au prétexte que l’actuel dispositif éloigne les femmes du marché du travail et qu’ il va ainsi relancer la natalité.
L’hypocrisie est totale : relancer la natalité en obligeant les femmes à retravailler dès les 6 mois du bébé ? On croit rêver mais non ce n’est pas un cauchemar c’est bien ce qui a été dit.
Ce faisant, il a mécontenté tout le monde car tant la gauche que les verts hurlent à l’instrumentalisation du ventre des femmes car le Président a évoqué le “fléau de l’infertilité”. S’agirait-il d’une maladresse ou d’une provocation volontaire? Leur avortement sanctuarisé ne leur suffirait -il pas? Jusqu’en 1944, les femmes françaises étaient privées du droit de vote car considérées par les hommes politiques de la III ème République comme trop conservatrices.
Elles disent avoir agi par solidarité familiale ou par humanité : deux mères de jihadistes qui ont envoyé de l’argent à leurs enfants en Syrie et deux journalistes ont vigoureusement nié mardi devant le tribunal correctionnel de Paris avoir participé au financement du terrorisme. Les fonds transférés étaient destinés “non pas à l’Etat islamique, mais à ma fille”, a ainsi soutenu Valerie B., 60 ans, au deuxième jour de ce procés de six personnes. La justice lui reproche d’avoir envoyé plus de 6.000 euros sur les terres du “califat” autoproclamé. Sa fille Cléa, convertie à l’islam et radicalisée, n’avait pas encore 17 ans lorsqu’elle est partie en Syrie, fin 2013. Elle y est morte dans un bombardement en 2019, avec ses enfants nés sur place.