André Bercoff reçoit Éric Zemmour, auteur de “La France n’a pas dit son dernier mot” aux éditions Rubempré.
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André Bercoff reçoit Éric Zemmour, auteur de “La France n’a pas dit son dernier mot” aux éditions Rubempré.
La chronique de Philippe Randa
Dernière (en date, hélas !) dinguerie : le déboulonnage de la statue de Napoléon à Rouen dont le maire voudrait bien qu’elle soit remplacée par une autre de la défunte Gisèle Halimi, icône de la gauche, militante féministe franco-tunisienne et avocate (tout un programme !).
Valéry Giscard d’Estaing est indéniablement le père de l’indépendance énergétique française grâce au nucléaire civil dont il a toujours soutenu le développement. Et pourtant, cette indépendance est largement remise en question par la folle politique énergétique de l’Europe pilotée par les lobbyistes verts allemands !
Francis Bergeron Présent cliquez ici
L’« humoriste » Gaëtan Matis, vous connaissez ? Probablement pas. Il a trouvé le moyen d’assurer sa promotion facilement et théoriquement sans risque. Dans un tweet envoyé ce samedi, il a écrit : « Si j’avais une machine à voyager dans le temps, je bookerai le Bataclan pour la soirée du 13 novembre 2015 afin d’y organiser une soirée de rencontre entre Eric Zemmour et son public. »
Le pouvoir politique vient d’installer une commission dite anti complotiste intitulée « les Lumières à l’ère numérique ». Elle est chargée de débusquer les fausses informations circulant sur Internet et de faire des propositions au gouvernement pour lutter contre le « complotisme ». Elle est composée de 13 « scientifiques » dont son président, le sociologue M. Bronner. [Parmi ses membres, j’en connais deux : un vétéran du journalisme omniprésent sur les médias et caricature du parfait lèche-bottes; et un historien dont je me souviens surtout qu’en 2017, il comparait très sérieusement le nouveau chef de l’Etat à Napoléon Bonaparte].
Aux yeux de l’électorat conservateur, Jean-Michel Blanquer était pourtant le meilleur. Son prénom, d’abord : si emblématique d’une époque que, sur les réseaux sociaux, il est devenu générique. Sa calvitie de bon aloi, façon Alain Juppé. Sa discrétion naturelle comme s’il n’avait jamais été briefé par aucun Jacques Séguéla. Sa façon débonnaire d’offrir les fables de La Fontaine aux enfants du primaire…
La Chine s’est fait remarquer ces dernières années – entre autres ! – par l’usage du crédit social. Celui-ci consiste à restreindre ou à supprimer l’accès des « citoyens » chinois, en fonction de la « note » reçue, à certains services : les transports en commun, les hôtels, les restaurants, les écoles privées pour leurs enfants et cela peut aller jusqu’au retrait du droit de vote. Celui-ci a toutefois peu de valeur dans un pays dont la Constitution le définit toujours comme « un État socialiste de dictature démocratique populaire, dirigé par la classe ouvrière et basé sur l’alliance des ouvriers et des paysans »… Depuis, le filon scénaristique du contrôle de la population a été exploité notamment par la série Black Mirror sur Netflix.
Jean-Marc Borello vient de voir son passé judiciaire ressortir. Le « monsieur social » d’Emmanuel Macron était accusé d’avoir « facilité le trafic de stupéfiants ».
Jean-Marc Borello vient de voir son passé judiciaire remis en lumière. En 1999, il avait été condamné à six mois de prison avec sursis dans une affaire liée au trafic de stupéfiants.
Emporté par un cancer le 3 octobre à l’âge de 78 ans, Bernard Tapie a certes eu mille vies, mais il a aussi eu mille visages. Alors qu’il n’avait pas été épargné dans les médias qui l’encensent aujourd’hui, il doit bien s’amuser des hommages unanimes qui lui sont adressés, y compris par le président Macron qui, gommant toutes les zones d’ombre, n’a pas craint de saluer en lui « une force. Une volonté. Une rage de vaincre » qui en font un exemple « pour toutes les générations à venir ».
Farm to fork est le nom de la déclinaison agricole du Pacte vert européen. Elle vise, d’ici à 2030, entre autres, à pousser à 25 % la part de l’agriculture biologique, à ramener à zéro les importations de soja, à baisser de moitié les usages de pesticides et d’antibiotiques vétérinaires et de 20 % les épandages d’engrais, et à diminuer de 10 % les surfaces cultivées sur le continent.