Emmanuel Macron a dévoilé le 17 mars son « projet présidentiel ». 23 jours avant le premier tour de l’élection présidentielle, il était plus que temps qu’il présente sa feuille de route pour son prochain quinquennat s’il venait à être réélu. Derrière les formules creuses employées, le manque de volonté de l’actuel président de la République de maîtriser l’immigration extra-européenne transparaît entre chaque ligne. Les Français se feront-ils enfumer une deuxième fois ?
Nous vous livrons ci-après une lecture critique de la partie du programme présidentiel 2022-2027 consacrée à l’immigration.
Une analyse de Paul Tormenen.
magouille et compagnie - Page 647
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Projet présidentiel de Macron sur l’immigration : l’enfumage continue !
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Un bel exemple d’enfumage
Les soi-disant crimes de guerre à Boutcha.
Tous les médias mainstream y vont de leur couplet, et les Ukrainiens en rajoute dénoçant des « crimes de guerre ». Seulement voilà, la réalité semble bien différente.
Déroulé des évènements
30 mars : les Russes se retirent de Boutcha.
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Face au scandale McKinsey, le gouvernement fuit et s’embourbe
Quinze jours. C’est le temps qu’il aura fallu au gouvernement pour réagir de façon officielle, par une conférence de presse, au rapport de la commission d’enquête du Sénat sur l’affaire des cabinets de conseil, qualifiée par beaucoup de journalistes et de membres de l’opposition de « scandale d’État ». Une réaction gouvernementale que le Sénat n’a par ailleurs pas appréciée : par un communiqué du 30 mars, il indique : « Le Gouvernement continue de minimiser l’influence (avérée) des cabinets de conseil sur les politiques publiques. Pour les ministres, l’appel aux consultants resterait “modéré et justifié”, voire “ponctuel”. » La chambre haute réfute cette version des faits.
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Des dirigeants de Black Lives Matter ont utilisé les dons pour acheter une autre maison à 6 millions de dollars dans le sud de la Californie
Black Lives Matter a acheté une maison chic du sud de la Californie pour près de 6 millions de dollars en utilisant des dons en espèces, selon un rapport publié lundi.
Trois leaders du mouvement de justice sociale – Patrisse Cullors, Alicia Garza et Melina Abdullah – ont enregistré une vidéo en juin dernier devant la maison «secrètement achetée » tout en marquant le premier anniversaire du meurtre de George Floyd, a rapporté le magazine New York.
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Les « profs », la corporation toujours aux ordres, par Clément Martin
Le 13 janvier dernier, près de 78 000 personnes (source ministère de l’Intérieur), dont un grand nombre de professeurs, ont manifesté contre la multiplication des protocoles sanitaires entrant en vigueur à l’école. Près de 39 % des enseignants de primaire et maternelle étaient en grève, pour 62 % de grévistes dans le secondaire (source France 24[1]). Mais quelles étaient leurs revendications ? Mettre un terme à la tyrannie sanitaire qui sévit dans les écoles ? Reprendre le travail dans des conditions normales ? Rien de tout ceci ! Mais plus de masques et (comme toujours) plus de moyens. Encore une fois, la corporation des professeurs démontre de façon éclatante sa soumission politique et sa passivité complice avec le pouvoir.
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Piégés ! Des « conseillers » militaires américains et britanniques, plus des agents secrets français avec les nazis d’Azov à Marioupol maintenant piégés par les forces russes
4 avril 2022
Réseau InternationalÀ l’heure actuelle, ce qui reste du régiment AZOV de l’armée ukrainienne (le véritable régiment NAZI) est retranché dans la vaste zone industrielle d’Azovstal à Marioupol, en Ukraine.
Le groupe, qui compte 20 personnes – des conseillers militaires américains et britanniques ainsi que plusieurs conseillers du SBU (police secrète) ukrainien – est retranché, ainsi que les combattants d’Azov.
Bien qu’on leur ait offert plusieurs chances d’évacuer Marioupol, ils ont choisi de rester. Aujourd’hui, il est trop tard pour les évacuer car les forces russes pilonnent cette zone pour la dé-nazifier.
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Trafic de faux papiers : Des Comoriens condamnés à Rodez (12). L’un des accusés est le père de… 27 enfants
Au sein de la diaspora comorienne en France, tout le monde le connaît sous le surnom de “Dadi”. À 42 ans, ce colosse à la santé fragile – “J’ai toutes les maladies possibles, si ce n’est le Sida”, dit-il –, fut longtemps un chanteur renommé de son île, située dans le canal du Mozambique en Afrique australe. Mais comme beaucoup de ses compatriotes, plus que la scène, son rêve était de rejoindre la France. Il l’a fait dans les années 2000, à Marseille, l’autre capitale des Comores. Depuis, la justice française soupçonne l’artiste de s’être reconverti comme trafiquant de faux papiers. Et d’être le “chef d’orchestre” d’un vaste réseau, composé d’une trentaine de petites mains présentes sur tout le territoire français. En 2014, le tribunal d’Alès l’a déjà condamné à trois ans de prison pour ce “business” dont on dit qu’il serait “particulièrement lucratif”.
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Nouvelle idée farfelue des écologistes : installer des urinoirs sur une place classée au patrimoine de l’UNESCO à Lyon
À Lyon, les écologistes installent des urinoirs devant l’opéra.
Dans le cadre d’une expérimentation menée durant quelques mois, les écologistes ont installé des urinoirs masculins et féminins « hygiéniques et écologiques » sur la place Louis Pradel à Lyon, à quelques mètres à peine de l’opéra.
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Ce que cache l’affaire McKinsey ? Le Grand Remplacement de la fonction publique
Sur les réseaux sociaux, le hashtag McKinseygate n’en finit plus de grimper. « Le gouvernement a sûrement fait appel à McKinsey pour étouffer le scandale McKinsey ! » lance, à la cantonade, un twittos anonyme. Des photos de campagne détournées montrent un candidat Président dont on a pour partie changé le nom : Emmanuel Mackinsey. La syllabe commune tombe mal. Pour certains, par comparaison, le Penelopegate ressemblerait à une bluette provinciale : pensez, près d’un milliard d’euros, selon l’évaluation du Sénat, versé à une batterie de cabinets de conseil, le nom McKinsey donné à cette affaire étant une synecdoque.
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La provocation à Bucha a commencé un dimanche pour une bonne raison.
@MedvedevVesti poursuit sur le thème du jour, après qu'il ait expliqué plus tôt dans la journée que la ville de Bucha n'avait pas été choisie au hasard par les occidentalo-kiéviens, et qu'il voyait venir la création d'un tribunal international contre la Russie :« Bucha = Butch = Butchery = Boucher = Boucherie [comme Andreï l'avait pressenti]. Cela a traversé les médias occidentaux.
Le Sunday Times écrit que c'est le nouveau Srebrenica et que le monde devrait mettre en place un tribunal comme celui pour l'ex-Yougoslavie.
Et vous savez quoi ? Je suis sûr qu'ils créeront un tribunal. Oui, la Russie n'est pas la Yougoslavie. Mais il y aura un tribunal parce que les enjeux sont très importants. Ils nous briseront jusqu'au bout.
L'Occident travaille très collectivement. La provocation à Bucha a commencé un dimanche pour une bonne raison. Tous les articles sur le "massacre de Bucha" ont déjà été écrits, les journaux ont été soumis à l'impression, et le lundi matin, une vague de propagande mensongère sur les meurtriers russes sera diffusée aux masses à travers l'Europe. Avec toutes les conséquences. C'est-à-dire que tout est synchronisé.