magouille et compagnie - Page 783
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Catholiques, commerçants... Même combat.
L'avis de Jean-François TouzéL'interdiction pour les Français de participer au sacrifice de la messe ne sera pas levée avant la mi-décembre, voire avant Noël. Si, toutefois, Noël nous est autorisé par le Robespierre de l'Elysée et le père Combes de Matignon.En prenant cette décision, Castex se livre à un abus de pouvoir et enfonce la France spirituelle dans une fosse d'obscurité.Faudra-t-il bientôt pour pouvoir dire la messe de toujours que nos prêtres, sous peine d'être déclarés réfractaires et de subir la persécution, jurent leur fidélité à la Constitution civile et sanitaire de la République ? Du laïcisme anti-clérical a l'application de la terreur, n'oublions jamais qu'il n'y a qu'un pas.Dans le même temps, le régime, en tuant nos commerces de tradition, livre une part entière de notre économie à Amazone.Dans les deux cas, c'est l'identité française qui est visée.Pour la république macronienne la messe est une cérémonie non-essentielle, une manière d'habitude désuète et, pour tout dire, un loisir du dimanche. Pour nous elle est une convocation du Seigneur. Le "Vous ferez ceci en mémoire de moi" n'est pas une invitation optionnelle.Dans toutes les grandes villes de France des rassemblements s'organisent pour exiger le libre accès de tous à la messe, comme se multiplient les manifestations de commerçants pour la réouverture des magasins de proximité. Ces combats, s'ils ne sont pas de même nature, participent d'une même volonté : la préservation de ce que nous sommes.S'il devait s'avérer que la résistance française au totalitarisme progressiste et à la dictature sanitaire trouvât sa source, son expression et sa force, d'une part dans la liberté fondamentale pour notre peuple de vivre sa foi, d'autre part dans la défense des commerçants et des petites entreprises, alors rien, non rien ne serait perdu pour notre pays. -
Sécurité globale : une proposition de loi contre les français
La proposition de loi « sécurité globale » (et non projet comme présenté par France Info) n’en finit plus de faire polémique. Débattu mardi à l’Assemblée Nationale, il vient compléter l’attirail sécuritaire sur lequel le pouvoir en place entend s’appuyer.
Le texte est issu d’un rapport parlementaire de septembre 2018 des députés LREM Alice Thourot et Jean-Michel Fauvergue. Une avocate et un ancien patron du Raid, ce qui permet au moins de faire sérieux auréolant le texte du glaive et de la balance. Il vise à contrer la montée de l’insécurité dans le pays.
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Un nouveau front, poujadiste ?, par Michel Corcelles.
L’establishment est ébranlé : de crise sanitaire en menace sécuritaire, de montée du chômage en paupérisation, le système et son socle idéologique sont soumis à rude épreuve.
Dans un tel contexte peut paraitre dérisoire la réflexion sur un phénomène daté et contemporain d’une société que modernité et post modernité semblaient avoir définitivement enterré : le poujadisme. Et pourtant !
Le Mouvement des gilets jaunes a été qualifié de « poujadiste » , terme commode pour désigner tout mouvement des classes moyennes inférieures trop liées au « système » pour basculer dans un gaucho/syndicalisme post marxiste mais suffisamment marginalisé par le « système » pour basculer dans une contestation violente. Une révolte « petite bourgeoise » pour reprendre la terminologie léniniste, située à l’intersection des artisans/commerçants, des laissés pour compte de la société d’abondance et, pour l’avoir constaté sur les ronds-points « des petits blancs déclassés » avec en prime une dominante rurale.
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L’Etat laïciste tente une troisième spoliation des catholiques
Discours de Maître Jérôme Triomphe, lors de la manifestation pour la liberté du culte à St Maur des Fossés.
Catholiques de France ! Vous connaissez la situation :
Le gouvernement nous a interdit de nous rassembler dans nos églises que l’Etat nous a déjà volées deux fois en 1790 et en 1905. Au mépris de la laïcité, ce gouvernement a décrété que les funérailles étaient plus importantes que la communion eucharistique. Ce 7 novembre, le Conseil d’Etat a validé cette interdiction d’assister à la messe dans nos églises contrairement aux avis du conseil scientifique.
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Macron annonçait 9.000 patients en réa à la mi-novembre ; ils ne sont pas 5.000…
Tant mieux, mais...
Le 28 octobre dernier, lorsqu’Emmanuel Macron s’adressait à la nation pour lui annoncer qu’il allait falloir nous confiner de nouveau, 3.036 personnes étaient en réanimation, selon les chiffres de Santé publique France. Trois semaines après, où en sommes-nous ? Le 14 novembre, 4.854 patients étaient en réanimation.
Or, que disait le Président, dans cette allocution solennelle du 28 octobre ? « À ce stade, nous savons que, quoi que nous fassions, près de 9.000 patients seront en réanimation à la mi-novembre, soit la quasi-totalité des capacités françaises. » Nous sommes à la mi-novembre et nous sommes donc loin des 9.000 patients. Tant mieux, me direz-vous, et nous ne pouvons que nous réjouir que la prédiction présidentielle ne se soit pas réalisée. On pourra même dire que cela justifie, a posteriori, la stratégie gouvernementale. Mais au fond, le débat n’est pas là.
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Faudra-t-il choisir : mourir du Covid ou mourir de faim ?
« Combien de gens faut-il affamer pour désengorger les hôpitaux ? »
Bonne question, la seule qui vaille aujourd’hui, titre d’une tribune publiée dans Le Point, le 2 novembre dernier, jour des Morts…
C’est le Secours populaire qui décrivait, au début de ce mois, « une précarité jamais vue depuis la Seconde Guerre mondiale », expliquant que, pendant les deux mois du confinement de mars, environ 1,3 million de personnes avaient sollicité son assistance – dont 45 % jusque-là inconnues de l’association – contre « un peu plus de 3 millions sur l’ensemble de l’année 2019 ».
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Zoom – Pierre-Henri Leroy – Système monétaire : les banksters en prison !
Il y a dix ans, la crise des subprimes a donné lieu à une création monétaire sans précédent, en grande partie détournée par des intérêts privés. Depuis, les banquiers bénéficiaires ont conservé leurs immenses privilèges et poursuivent leurs activités spéculatives en augmentant l’endettement non productif. Conséquences de cela : vassalisation des Etats, gâchis écologique et chômage de masse.
Pourquoi les banques ne s’intéressent plus aux particuliers au profit exclusif des grands groupes ? Pourquoi ces grands groupes sont dispensés de payer les impôts ?
Face à ce système financier dévoyé par la mégalomanie, la cupidité et l’irresponsabilité des grands banquiers, Pierre-Henri Leroy, l’auteur de « La conjuration bancaire », propose le retour à une vraie séparation des fonctions bancaires, système en vigueur sous les 30 glorieuses.https://www.tvlibertes.com/zoom-pierre-henri-leroy-systeme-monetaire-les-banksters-en-prison
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Le formatage des journalistes sur l’immigration, un travail au quotidien
Alors que les flux d’immigrés extra-Européens arrivant dans notre pays ne font qu’augmenter, la couverture médiatique de l’immigration bénéficie d’une extrême bienveillance.
De récentes initiatives visant à orienter le traitement par les médias de ce phénomène nous montrent que l’establishment ne relâche pas la pression.
Une information orientée par le lobby immigrationnisteDans un récent article, nous soulignions les importants efforts faits par l’Union européenne pour inciter les journalistes à présenter sous un jour favorable l’immigration extra-Européenne. L’OJIM fait fréquemment la chronique du traitement totalement biaisé par les médias de grand chemin de l’immigration massive que notre pays connait, en dépit de nombreux problèmes que celui-ci rencontre (islamisme, quartiers de non-droit, etc.).
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Un ancien de Big Pharma remet en doute la 2e vague de covid-19
Même des pontes tels le docteur britannique Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 16 ans, remettent en cause la 2e vague de covid-19 et dénoncent des tests défectueux.
Ainsi Mike Yeadon, dans un entretien accordé la semaine dernière à News Uk Studios, affirme que des résultats faussement positifs provenant de tests COVID intrinsèquement peu fiables sont utilisés pour fabriquer une « deuxième vague » basée sur de « nouveaux cas ».
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La République en comité restreint, par Jean Bouër.
Hémicycles quasiment vides, lois votées en présence de peu d’élus, mesures décisives prises par l’exécutif : on savait que la politique désintéressait les citoyens, mais là, ce sont les élus qui s’en détachent. Analyse d’un phénomène inquiétant où l’apathie des masses est maintenant relayée par celle des élites.
Ces derniers mois, plusieurs décisions ont été votées en catimini. Non seulement au nez des citoyens mais à la barbe des élus eux-mêmes, lesquels découvrent dans les médias ou dans les réseaux sociaux des textes sur lesquels ils auraient dû être vigilants. Ainsi, l’interruption médicale de grossesse (IMG) pour des raisons psycho-sociales a été votée en pleine nuit du 31 juillet au 1er août 2020, lors de la discussion du controversée projet de loi relatif à la bioéthique.