![Les dealers et les acheteurs n’avaient pas leur attestation…](https://www.lesalonbeige.fr/wp-content/uploads/2020/09/maladies-mentales-mon-voisin-est-il-fou-2100x1200-1-scaled-1050x600.jpeg)
Le préfet de police des Bouches-du-Rhône ne semble pas savoir que le commerce de stupéfiants est illicite :
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Le préfet de police des Bouches-du-Rhône ne semble pas savoir que le commerce de stupéfiants est illicite :
Au sommaire de cette édition, la proposition de loi sécurité présentée par des membres de la majorité. Un texte liberticide que nous allons détailler dans cette édition.
Nous reviendrons ensuite sur la prestation de Jean Castex jeudi soir. Le premier ministre mise sur le statu quo et a annoncé la poursuite des mesures de confinement jusqu’au 1er décembre, au moins.
Enfin nous partirons en Chine ! Le pays estime pouvoir dominer l’économie mondiale d’ici à 2035. Un objectif audacieux pour lequel l’Empire du Milieu se donne les moyens.
https://www.tvlibertes.com/loi-securite-globale-tous-aux-abris-jt-du-vendredi-13-novembre-2020
Chronique de Paysan Savoyard (n°238 – novembre 2020)
Que Trump soit définitivement battu ou qu’il réussisse à renverser la situation sur le plan judiciaire, que sa défaite soit intervenue au terme d’un processus électoral régulier ou qu’elle soit le résultat d’une fraude massive, tout cela ne change rien à la situation qui est aujourd’hui celle des Etats-Unis : il y a deux Amérique, probablement irréconciliables. L’Amérique des Américains blancs de la classe moyenne et de la classe populaire, opposés à l’immigration et au libre-échange mondial qui ont bouleversé et dégradé leurs conditions de vie et détruit leurs emplois. Et l’Amérique de la classe supérieure, alliée aux minorités raciales, toutes deux favorables à l’immigration et à la mondialisation, par idéologie et parce qu’elles en tirent profit. Ces deux Amérique, l’Amérique populiste et l’Amérique progressiste, n’ont plus rien en commun. Elles pèsent le même poids démographique. Et elles sont face à face.
La situation est peu ou prou la même en France et en Angleterre. Elle est en train de devenir identique dans presque tous les pays d’Europe.
Alors que les médias de masse, perfusés à grands coups de subventions publiques s’investissent au plus haut point, dans l’opération de destruction du documentaire Hold Hup, il devient urgent d’en connaître les raisons ou surtout le réseau.
Après le bref éclaircissement sur le triste Tristan Mendès, c’est au tour du friand Fabrice Fries de venir se présenter...
Fabrice Fries, ancien magistrat à la Cour des comptes, mais aussi ex dirigeant de Publicis Consultants, détenant par ailleurs l’agence de presse Ella Factory dont le PDG Gérard Cicurel aura largement contribué à la victoire d’Emmanuel Macron, via Médiapart qu’il finance avec quelques amis capitalistes dont le “saint” média lanceur d’alerte à jouer les coupeurs de tête lors de la campagne présidentielle de 2017. Nous pensons bien évidemment à l’affaire du gauchiste Cahuzac et l’affaire du droitard Fillon.
Médiapart compte parmi ses partenaires capitalistes : Xavier Niel (Groupe Altice : Free, RMC, BFMTV…) et Maurice Levy (Publicis Consultants). Tiens donc ! encore Publicis Consultants… comme le confirme cet article de l’observatoire du journalisme.
100.000, c’est un nombre facile à retenir. Ça marque les esprits. Gérald Darmanin, chez Jean-Jacques Bourdin, le 2 novembre matin, annonçait, alors qu’on rentrait en confinement, que plus de 100.000 contrôles avaient déjà été effectués avec, à la clef, 5.000 verbalisations à 135 euros, soit 675.000 euros dans les caisses de l’État. Bon, à titre indicatif, la France s’endetterait de 2.665 euros par seconde, si l’on en croit le compteur de la dette publique. Faites le calcul : 675.000 euros, c’est l’équivalent, en gros, de quatre minutes d’endettement. Énorme. Sylvie Vartan et Carlos, c’était 2 mn 35 de bonheur. On progresse.
Encore 15 jours (minimum) de confinement. Le premier ministre Jean Castex l’a annoncé, les Français vont devoir encore attendre pour avoir une chance de revoir la liberté… Plus le temps passe, plus les populations s’attendent à être assignées à résidence éternellement… Une situation inquiétante tant sur le plan des libertés que sur celui de la santé.
Seule solution présentée par les dirigeants politiques : le vaccin… Une perspective qu’illustre bien l’annonce du laboratoire américain Pfizer présentant son vaccin contre le Covid-19 en cours d’élaboration comme « efficace » à 90%… Il n’en fallait pas plus pour que des responsables politiques sautent à pieds joints dans l’obligation vaccinale.
Une option bien incertaine au vu de l’absence de recul possible sur ce fameux vaccin. Face à ce totem, un véritable désintérêt se dessine pour des solutions thérapeutiques. Le professeur Didier Raoult, qui propose un traitement que l’on rechigne à tester sérieusement dans des conditions conformes au protocole de l’infectiologue marseillais, est de son côté poursuivi par l’Ordre des médecins… Un Ordre des médecins qui semble plus timide quand il s’agit d’enquêter sur les conflits d’intérêts de certains praticiens médiatiques…
Dans cette hystérie globale, où ordres, contre-ordres, et mensonges se succèdent, les Français semblent perdus. Ils cherchent des réponses ailleurs, notamment dans le documentaire « Hold-Up »…
Le docteur Gérard Delépine, chirurgien oncologue et statisticien (auteur avec Nicole Delépine de Autopsie d’un confinement aveugle Ed. Fauves) revient pour nous sur une situation souvent incompréhensible rythmée par des choix politiques opaques.
[…] Depuis le 3, on s’est aperçu à la lecture de certains jugements que peu de juges de districts ou de cours d’appel osent avouer leur certitude qu’une fraude sournoise et efficace a transféré la victoire de Trump à Biden. Tout est là. Les avocats du président auront beau étaler devant la justice des preuves irréfutables que les urnes ont été bourrées, que des morts ont voté par milliers, que des non-inscrits sont parvenus à glisser un bulletin dans l’urne, s’ils ne déclenchent pas dans les esprits le ferment du doute, leurs efforts seront anéantis. Ce qui a manqué à Trump, en raison de la complicité unanime des gros médias et de la censure inouïe des réseaux sociaux, c’est la psychose d’une fraude massive. On est resté dans le pointillisme, l’occasionnel, l’accessoire. Oui, on a peut-être fraudé en Pennsylvanie, au Michigan et en Arizona, mais pas plus que les autres années. Les vociférations de Trump ne sont que les sanglots d’un perdant.
Car il y a eu un double piège. Le premier a enfermé Trump dans une spirale d’irrégularités qui l’ont empêché de riposter efficacement. Le second l’a condamné à l’attitude du mauvais perdant en ne réclamant qu’une chose : le compte des votes légaux. Ce simple bon sens a été perverti par la propagande ennemie. Biden, pantin jusqu’au bout de ses ficelles, en a profité le premier. Il poursuit, sous couvert de son prétendument officiel « bureau du président élu » (une invention d’Obama en 2008), le ficelage de sa transition vers une ère gaucho-globaliste. Mais déjà frappent à sa porte deux de ses anciens complices qui exigent des rôles actifs dans l’éventuelle perspective d’un nouveau régime : les banquiers de Wall Street – ils s’empressent de se réserver des places de choix dans les ministères clés de l’Economie, du Commerce et du Trésor –, et les dirigeants déchaînés de Black Lives Matter. Eux n’hésitent pas à clamer que « l’éviction de Trump n’aurait jamais eu lieu » sans leur concours et qu’une bonne dose de leur programme devra être injectée dans l’administration démocrate. Biden flanqué du capitalisme vagabond et du radicalisme révolutionnaire : le spectre d’une 46e présidence.
https://www.lesalonbeige.fr/joe-biden-pantin-des-banquiers-et-des-voyous-de-black-lives-matter/
Interrogé vendredi sur Franceinfo au sujet des « prières de rue » organisées par les catholiques qui demandent le droit d’assister à la messe pendant le confinement, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré que « la vie est plus importante que tout ». « Et la vie, c’est de lutter contre le coronavirus. Donc je ne souhaite pas envoyer les policiers et les gendarmes verbaliser des croyants devant une église, évidemment. Mais s’il s’agit d’un acte répété et qui est manifestement contraire aux lois de la République, je le ferai ».
Le Parisien / Lire aussi : Retour des messes : l’État et l’Église se parleront lundi
Les riches sont plus riches, les pauvres plus pauvres et plus nombreux, et ça ne va pas s’arranger. Des chiffres inquiétants et des perspectives économiques plus inquiétantes encore.
Face à cette question, on peut être tenté par le romantisme façon XIXe siècle ou bien encore par le complotisme, et l’annonce de l’apocalypse sociale façon XXIe siècle, il n’empêche que la question de la pauvreté se pose avec une acuité toute particulière en France “après” la crise sanitaire, probablement sans précédent depuis les lendemains de la seconde guerre mondiale. Parmi les demandeurs d’aides, 45 % étaient jusque-là inconnus, indique le Secours Populaire.
Par Frédéric Eparvier, cadre dirigeant d’un grande entreprise française à caractère stratégique ♦ Près d’une semaine après les élections américaines, le dépouillement des voix continue, alors que les couteaux des avocats s’aiguisent, car contrairement à ce que racontent les médias français (Gilles Bouleau au JT d’hier soir par exemple), Joe Biden n’est pas le Président « Élu », c’est-à-dire qui a gagné les élections, en attendant sa prise de fonction officielle. Il ne le sera qu’après le vote des Grands Électeurs prévu le 4 décembre, ou si Donald Trump devait reconnaître sa défaite auparavant, ce qui ne semble pas être dans la psychologie du personnage.