Emmanuel Macron vient de reconnaître que l’avocat algérien Ali Boumendjel a été torturé et assassiné par l’armée française en 1957, lors de la guerre d’Algérie.
Cette déclaration du président de la République n’est ni un bon geste ni un geste d’apaisement : c’est un geste irresponsable. Loin d’apaiser les tensions, les ressentiments entre la France et l’Algérie, les propos du chef de l’État vont raviver des haines et des blessures des deux côtés !