"Je suis devant l'usine Konecranes en Saône-et-Loire qui délocalise en Chine avec 116 salariés sur le carreau... alors qu'elle est rentable ! Dans les médias, le Gouvernement parle de "souveraineté économique", mais sur le terrain l'Etat laisse faire les délocalisations insensées."
magouille et compagnie - Page 921
-
L'Etat laisse faire les délocalisations insensées !, par Nicolas Dupont-Aignan.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, l'emploi, magouille et compagnie, social 0 commentaire -
Le vaccin et la haine.
L'avenir dira si le vaccin russe contre le COVID-19 est efficace, fiable et performant.Mais le scepticisme aussi automatique que dégoulinant de haine contre Poutine affiché par les scientifiques de mes fesses qui pullulent depuis six mois sur les plateaux de télévision et font la pluie et le beau temps dans les coulisses du pouvoir, le doute janséniste des éditorialistes politiques uniformément formatés par les écoles de propaganda-journalisme, le mépris goguenard de ces "consultants" venus d'on ne sait où pour le plaisir de "consulter" la courbe d'évolution hebdomadaire de leurs piges, est ignoble.La détestation de ce grand pays résistant à l'ordre mondial autant que les pressions des laboratoires font que, par idéologie autant que par cupidité, le monde occidental et l'Europe, sont parfaitement capables d'inclure ce vaccin, même s'il s'avérait salvateur, dans la liste des produits interdits à l'importation dans le cadre des sanctions imposées à la Russie depuis sa légitime récupération de sa terre de Crimée.Le Système en est là... -
La gestion douteuse de Christophe Castaner à Forcalquier épinglée dans un rapport
Dans un rapport de 42 pages, la chambre régionale des comptes de Provence-Alpes-Côte d’Azur pointe des « irrégularités » dans la gestion des comptes publics de la ville de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) par son ancien maire, Christophe Castaner, et son successeur, Gérard Avril, durant la période courant de 2014 à 2018.
Une série « d’erreurs et d’incohérences »
Christophe Castaner, à la tête de cette commune de 5.000 habitants de 2001 à 2017, a été remplacé, lorsqu’il est devenu ministre, par son premier adjoint, Gérard Avril. Ils sont donc comptables des « irrégularités » citées par le rapport. Rendu public le 21 juillet, il mentionne notamment le « report systématique de congés non pris et des heures supplémentaires non récupérées ni monétisées » pour les agents municipaux de la ville, précisant que cela s’est fait « d’année en année, sans limitation dans le temps ».
-
La «Maison des médias libres» recalée à Paris : le bâtiment servira de centre d’hébergement pour migrants
-
deuxième vague COVID 19 Florian Philippot Le conseil scientifique agite la peur et le re confinement
-
Les catholiques et l’avortement
Dans la torpeur estivale et avec un hémicycle aux trois quarts vide, les députés ont voté la légalisation de l’infanticide avec des “garde-fous” si ténus que l’on peut dire que cette légalisation vaut en toute situation (je veux bien sûr parler de ce que la novlangue qualifier “d’interruption médicale de grossesse” pour “détresse psychosociale”).
Au même moment, un lecteur m’a fait découvrir un article universitaire relatif au débat sur la “dépénalisation” de l’avortement à titre expérimental (la loi Giscard-Chirac-Veil de 1974). Bien sûr, nous savons tous comment on est passé en 50 ans d’une logique de dépénalisation à une logique de “droit fondamental”, où ce sont désormais les défenseurs de la vie qui peuvent être sanctionnés par la “justice”. Mais il est fascinant – et terrifiant – de constater la responsabilité des catholiques dans le vote de la loi Veil. Alors que le vote fut serré, plusieurs théologiens de renom (et habitués, comme par hasard, des médias “bien-pensants”!) légitimèrent pas des arguties tordues une “réforme de la législation” et les évêques hésitèrent à rappeler nettement la doctrine catholique. Seule Rome parla clairement, mais elle était trop loin pour avoir une réelle influence sur le débat politique.
-
Un gendarme neutralise un chauffard multirécidiviste et positif à la cocaïne : il est en garde à vue !
Décidément, dans notre Sud-Ouest comme partout en France, on se demande jusqu’où il faudra aller dans l’escalade de la délinquance et dans le renversement des valeurs pour qu’enfin on remette les choses à l’endroit.
Les faits
Vendredi, sur l’autoroute, près de Montauban, un chauffeur routier « a refusé d’obtempérer suite à un contrôle routier, il a pris la fuite, a percuté un véhicule de la gendarmerie dans lequel se trouvait un gendarme. Un gendarme a fait usage de son arme, le chauffeur a été touché et le camion a pris feu. L’autopsie déterminera les causes de sa mort », selon le parquet.
-
Le gag de l’année : un « sous-journaliste » traite Zemmour de « sous-humain »
Parce que sa petite sauterie provençale avec Assa Traoré a fait l’objet d’un article publié dans Valeurs actuelles, le « journaliste » Taha Bouhafs a piqué une colère sur Twitter, arguant d’une violation de sa vie privée qui lui aurait valu un déferlement d’insultes.
C’est son droit de défendre sa vie privée, sauf que, pour rédiger leur article, les journalistes de Valeurs actuelles n’ont pas envoyé un paparazzi pister les vacanciers, ce sont eux-mêmes qui ont partagé leur villégiature sur Instagram. Le magazine conservateur n’a donc fait qu’exploiter une information publique.
-
« Rehoming » : les enfants d'occasion
Aux États-Unis, quand on désire adopter un enfant, vite fait bien fait, et pour pas cher, on se tourne vers le marché de l’occasion, un quart des adoptés y finissent entre troubles psychologiques, prédateurs sexuels et marchandisation, la réadaptions, c’est horrible.
Paru/Vendu ou Le Bon Coin, aux États-Unis, ne sont pas que pour les automobiles de seconde main ou les appartements pas chers. Dans le pays où tout s'achète et se vend, les enfants adoptés ont aussi droit à leur marché de l'occasion. Un marché florissant, avec agences spécialisées, catalogues et petites annonces sur Internet. Certains s'inspirent même des méthodes des sites de rencontre, avec défilé des enfants devant les potentiels parents puis « speed dating » pour décider de l'adoption en deux heures de conversation avec l'enfant et un éducateur.
-
« Non seulement ils empêchent les voitures des pauvres de circuler, mais c’est pour des raisons de pollution entièrement mensongères »
Paris appartient à la France et à tous les Français, dit-on. Et pourtant, cela devient de plus en plus compliqué, pour un provincial, d’entrer et de circuler dans Paris en voiture. Au point de s’y sentir « hors la loi » ?
Christian Combaz