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magouille et compagnie - Page 922

  • Les journalistes et leurs interdits

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    Ingrid Riocreux a publié il y a deux ans un livre précieux qu'en tant que linguiste elle a intitulé La langue des médias (éd. du Toucan). Pour elle, les interdits des journalistes se trouvent dans leur langue, avant même qu'on ne les découvre dans leur parole. C'est la langue qui est formatée d'avance.

    Entretien par l'abbé G. de Tanoüarn

    Ingrid Riocreux, alors que le Président Macron annonce un contrôle des « fake news » sur Internet, vous qui êtes une spécialiste des médias, pensez-vous que cette censure existe déjà dans le monde des médias ?

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  • Déficit de la Sécurité sociale : les seniors seront-ils encore spoliés ?

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    Le magazine Capital a interrogé Cyrille Isaac-Sibille, député MoDem du Rhône, rapporteur pour la partie assurance-vieillesse du projet de la Sécurité sociale qui sera voté avant la fin de 2020. Selon ce député, il est encore trop tôt pour évaluer les pertes de cotisations sociales en 2021 liées à la crise sanitaire et les dépenses supplémentaires, surtout qu’on ne connaît pas l’évolution de la pandémie.

    Selon Les Échos, en 2020, le déficit propre à la Sécurité sociale serait de 50 milliards alors que, fin 2019, on ne prévoyait que 5,6 milliards. Le trou accumulé serait, en 2024, de 130 milliards d’euros avant une éventuelle stabilisation. De ce fait, le prélèvement de la CRDS (0,5 % sur tous les revenus) qui ne sert qu’à rembourser le trou de la Sécurité sociale et qui aurait, en principe, dû se terminer en 2024 (mais on a rarement vu des impôts disparaître…), sera prolongé au moins jusqu’en 2033, sinon plus, si nos comptes sociaux ont du mal à se rétablir. Objectivement, il s’agit de la création d’un nouvel impôt alors que M. Macron et son gouvernement avaient juré qu’ils ne feraient pas payer la crise aux Français.

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  • « Les jugements de Cours vous feront blancs ou noirs »

    Maître Frédéric Pichon avocat au Barreau de Paris, a été l’un des défenseurs qui a le plus souvent plaidé en faveur des manifestants anti-mariage pour tous. Il a bien voulu répondre à nos questions sur l'étrange pouvoir des juges.

    Entretien par l'abbé G. de Tanoüarn

    En tant qu'avocat de toutes les causes et parce que, comme chrétien, vous acceptez de défendre les clients les plus compromettants, je veux dire par exemple ceux qui sont politiquement incorrects, pensez-vous, cher Maître, que, dans certains domaines idéologiquement sensibles, la même loi puisse être appliquée de différentes manières selon les justiciables ? Auriez-vous des exemples à proposer ?

    La question n'est pas nouvelle. En son temps La Fontaine pouvait déjà dire « Selon que vous serez puissants ou misérables, les jugements de cours vous feront blancs ou noirs ». Ces cours, ce ne sont pas des cours princières, ce sont des cours de justice, ce sont les tribunaux de l'époque que vise le fabuliste. Certes les juges sont impartiaux, par définition. Mais dans la réalité, tout dépend de quel côté vous vous trouvez. Aujourd'hui qu'ils soient de gauche ou de droite, les gouvernements subissent la pression du politiquement correct notamment par la voie de lobbies puissants (féministes, antiracistes, LGBT, etc.) Lorsque je soutenais il y a plus de 20 ans mon mémoire à l'école du Barreau sur le thème « La liberté d'expression et le respect des croyances religieuses », je relevais déjà l'incroyable inéquité entre les atteintes aux symboles chrétiens tolérés au nom de la laïcité, et la répression qui frappe les atteintes aux autres religions. Les choses n'ont pas changé depuis. Ainsi les Femen ont-elles été relaxées, alors qu'elles ont volontairement dégradé l'une des cloches de Notre Dame (photo) et dans le même temps un agent de sécurité de la cathédrale a été condamné pour violences, simplement parce qu'il a tenté de les expulser ! Dans le même registre, on a vu ces jeunes identitaires qui étaient montés sur le chantier en construction de la mosquée de Poitiers -mosquée appartenant à l'UOIF branche française des frères musulmans - condamnés, pour cela, à des peines de prison avec sursis, à une amende incroyablement élevée ainsi qu'à 5 ans d'interdiction civique. Je crains que les choses n'aillent en s'aggravant.

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  • Gouvernement des juges et des notables... Gouvernement contre le peuple.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le Conseil constitutionnel, au nom des sacro-saintes "libertés publiques" vient d'invalider la loi imposant un suivi des djihadistes à leur sortie de prison.
    Cette loi, par la faiblesse de son contenu et la timidité des mesures qu'elle instaurait - bracelet électronique, obligation de pointer chaque semaine dans un commissariat ou une gendarmerie, devoir de signalement d'un changement d'emploi ou de résidence, sans oublier l'incontournable, dérisoire et toujours hilarant "suivi psychologique en vue de déradicalisation" - relevait, certes, de la cautère sur une jambe de bois (le traitement clinique le plus efficace étant, selon nous, l'expulsion pour les étrangers et pour les binationaux après déchéance de la nationalité,  et peine de mort dans les cas les plus graves).

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  • CULTURE DE MORT : AVORTEMENT L’objectif de l’amendement sur l’IMG pour détresse psychosociale est d’ouvrir une brèche pour obtenir un élargissement du délai légal de l’IVG

    L’objectif de l’amendement sur l’IMG pour détresse psychosociale est d’ouvrir une brèche pour obtenir un élargissement du délai légal de l’IVG

    Analyse d’Antoine Pasquier (journaliste à Famille chrétienne) sur l’amendement au projet de loi bioéthique, élargissant le recours à l’IMG :

    L’amendement sur l’IMG pour détresse psychosociale, adopté dans le cadre de la loi de bioéthique, ne vient pas de nulle part. Son idée court depuis plusieurs semaines, et son objectif est bel et bien d’ouvrir une brèche pour obtenir un élargissement du délai légal de l’IVG. Explications.

    1. Mars dernier. En raison du confinement, le Planning familial s’inquiète du grand nombre d’avortements ne pouvant être pratiqués en France. Il a demandé au gouvernement la possibilité d’allonger le délai légal de deux semaines. Ce dernier s’y oppose, ne voulant pas ouvrir un débat brûlant en pleine crise sanitaire.

    2. Toutefois, le 23 avril, en réponse à un courrier adressé par plusieurs parlementaires, le ministre de la santé Olivier Véran annonce dans une lettre qu’en cas de recours tardif à l’avortement, il serait désormais possible d’utiliser la notion de “détresse psychosociale” de l’interruption médicale de grossesse (IMG) pour avoir recours à une IVG par aspiration.

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  • Bordeaux : des militants pro-vie dénoncent l’amendement sur l’IMG ajouté à la loi de boéthique

    Bordeaux : des militants pro-vie dénoncent l’amendement sur l’IMG ajouté à la loi de boéthique
  • Traitement du Covid-19 : le virus des incohérences n’a pas de répit

     
    Beaucoup d’incohérences et de décisions incompréhensibles ont eu lieu, ces six derniers mois, concernant la gestion de la crise sanitaire, et nombre de citoyens se sont demandé, comme moi, ce qui pouvait conduire à autant de choix aux antipodes de ce que la logique semblait exiger.

    Des incohérences répétées ont fleuri sur le sujet, allant parfois jusqu’à refuser la généralisation des tests de dépistage en plein cœur de l’épidémie ou la sollicitation des laboratoires vétérinaires à cette fin, ni même des cliniques privées pour prendre en charge les malades, ou encore jusqu’à déclencher un confinement généralisé en l’absence totale d’études et analyses sérieuses sur le sujet…
    Les journaux aiment à répéter que s’attarder sur toutes ces incohérences et tous les questionnements qu’elles suscitent n’est rien d’autre que du complotisme, terme désormais plus que galvaudé pour désigner toute remise en question de la doxa qu’ils nous prodiguent.

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  • Il fait trop chaud et ils étaient confinés… il faut les excuser !

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    « Pourquoi les îles de loisirs franciliennes connaissent-elles une flambée de violences cet été ? », c’est la question que se pose, naïvement, Le Parisien après l’épisode survenu, samedi, sur la base de loisirs d’Étampes, et que le journal ne qualifie même pas d’incivilité mais seulement d’une « bousculade » d’environ deux cents personnes.

    À vrai dire, les images largement visionnées sur Internet de cette baston généralisée entre « jeunes » évoquent, toutefois, plus les sombres heures du Rwanda que le métro aux heures de pointe, et les policiers ont dû avoir recours aux gaz lacrymogènes pour disperser les combattants. Avant d’en venir aux arts martiaux en plein air, « les jeunes, chauffés par le soleil, ennuyaient les familles présentes, les obligeant à quitter les lieux, et draguaient outrageusement les jeunes femmes », raconte un policier. Mais que fait donc #MeToo ?

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  • Le maire de Montpellier subventionne fièrement SOS Méditerranée qui a fait entrer 30.000 immigrés en Europe

    Voilà un acte qui donne clairement l’orientation générale de la nouvelle équipe municipale de Montpellier. Michaël Delafosse a fait le choix d’attribuer « symboliquement » sa première subvention en tant que maire à l’accueil des migrants.

    Bien que cela ne soit pas vraiment une surprise pour un maire socialiste, Michaël Delafosse a voulu marquer le coup. Alors que ces dernières semaines, la ville de Montpellier a connu une explosion des agressions, dans lesquelles des immigrés clandestins ont très régulièrement été impliqués, le nouveau maire a décidé que la première subvention de son mandat irait aux migrants.

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