
Ils ne partagent pas l’avis général sur les processus thérapeutiques à mettre en œuvre contre le Covid. Leurs recherches médicales les met donc hors la loi : ce sont des complotistes ou des obscurantistes à bannir au sens propre du terme.
Il faut d’abord faire un constat : la censure que l'on rencontre de manière à peu près constante dans de très nombreux pays a les mêmes priorités, mais elle n'est pas un bloc. Elle vise le plus souvent la contestation des mesures anti-Covid, la dénonciation des dangers des vaccins développés à la hâte, la mise en cause des tests de contamination ou du calcul des morts liés au virus SARS-CoV2, la mise en avant de traitements prophylactiques ou thérapeutiques efficaces. Et sur un autre plan, la critique de l'utilisation politique de la pandémie à des fins idéologiques, telle la « grande réinitialisation » (Great Reset) pourtant clairement annoncée par des institutions internationales publiques et privées.






