magouille et compagnie - Page 951
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URGENCES BIENTÔT PAYANTES – LES MUTUELLES À LA MANŒUVRE ?
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Ces défenseurs du bien-être animal qui défendent leurs intérêts financiers…
Nicolas Gauthier
En finir avec l’élevage intensif et les mauvais traitements infligés à nos amies les bêtes ? On a connu idée plus saugrenue. D’ailleurs, Cédric Villani (député ex-macroniste) et Matthieu Orphelin (député écologiste) ne pensent pas forcément à mal avec leur proposition de loi relative au « bien-être animal ». Mais ils ont juste négligé ce petit détail : éleveur, c’est un métier.
Ainsi est-il question d’interdire de confiner les animaux dans des cages, hangars, boxes et autres stalles. Sans surprise, du côté de la FNSEA, syndicat ayant plutôt tendance à prôner agriculture et élevage intensifs, ça freine des quatre fers : « À la lecture de leur texte, nous leur avons fait part de leur grande incompétence par rapport à l’ensemble des mesures qu’ils proposent pour l’élevage », affirme le vice-président Étienne Gangneron, cité par Le Figaro du 8 octobre dernier.
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Apprendre l’arabe à l’école pour combattre l’islamisme ?, par Francis Bergeron
Vendredi, Macron avait tenu son discours contre le « séparatisme », sifflé par la gauche, et applaudi par une partie de la droite. Mais le débat se prolonge sur un point précis de son intervention, qui pourrait ruiner le côté « droit dans ses bottes » du discours : c’est l’idée qu’il faudrait développer en parallèle l’apprentissage de l’arabe, à l’école et dans le cadre périscolaire.
On croyait pourtant que la majorité avait tourné le dos à la pratique si confuse et paralysante du « en même temps ». Darmanin, le dur de dur sur ces questions, Blanquer, le Jules Ferry du XXIe siècle, applaudissent pourtant des deux mains. -
Nos impôts financent la grosse presse
La Lettre A évoque le financement croisant du “pluralisme de la presse”, à savoir les médias en ligne (mais Le Salon beige, d’accès gratuit, en est exclu) et la presse papier comme Libération, La Croix et L’Humanité (pour Présent, le ministère se pose la question…) :
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Comment se financent les associations véganes :
Des groupes financiers américains financent les associations végan anti élevage, les associations anti chasse et les lobbys anti agricoles.Grâce à des multinationales et des milliardaires américains qui veulent produire de la viande artificielle et investissent dans des usines et filières destinées à éliminer la production de viande authentique naturelle. C’est ce que révélait l’enquête du journaliste Gilles Luneau, paru il y a plus d’un an dans la revue We Demain.Le journaliste d’investigation a dernièrement enquêté sur ces mouvements dont un des buts est de préparer l’humanité à une alimentation totalement industrielle. Adieu l’agriculture et l’élevage sur lesquelles on pouvait avoir une traçabilité…Cette nourriture que l’on nous prépare, peut bien entendu non seulement rapporter gros mais aussi nous rendre totalement dépendant de ces industriels américains.Voir le reportage sur l’enquête de Février 2019, mais qu’il est intéressant de revoir alors que L214 a encore récemment publié une vidéo sur une exploitation dans le Morbihan.Source Breizh infos cliquez ici -
I-Média n°317 : Zemmour face à la haine politico-médiatique
01:14 L’image de la semaine
L’image de la semaine c’est celle de cet enfant se disant transgenre sur le plateau de Quotidien…
03:29 Zemmour face à la haine médiatico-politique
Les attaques contre Eric Zemmour sont violentes après un prétendu dérapage. Mensonges médiatiques, spectacle politique, appels à la censure… Rien ne lui aura été épargné.
24:05 Revue de presse
37:16 Trump : l’aveu de France Info
Alors que Donald Trump est toujours violemment attaqué par les médias à quelques semaines des élections, un journaliste de France Info a fait un aveu inattendu.
https://www.tvlibertes.com/i-media-n317-zemmour-face-a-la-haine-politico-mediatique
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Plus d’islam pour combattre l’islamisme : un consternant projet de politique de Gribouille
Bernard Antony communique :
Emmanuel Macron avait choisi de faire de son discours aux Mureaux devant ministres et notables un acte fondateur d’une affirmation de renouvellement politique face au « séparatisme islamiste ».
Ce discours, dont nous avons attentivement analysé le verbatim intégral publié par le Figaro est simultanément marqué par une conception foncièrement archéo-jacobine et totalitaire de l’État et par une grave méconnaissance de la réalité de l’islam.
De plus, sous le couvert de la lutte contre l’islamisme, M. Macron a manifestement tenu à pouvoir désormais se glorifier d’avoir été le premier chef de l’État français à mettre sur le même plan « la liberté d’expression, la liberté de conscience, le droit au blasphème ».
Ceci, sans aucunement prendre en considération le fait que le blasphème est toujours ressenti comme une injure par une partie de la communauté nationale et que, pour le moins, il n’est pas un facteur de respect mutuel et de concorde civique.
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Crise sanitaire : qui sont les gagnants ?
La pandémie de Covid-19 a montré à quel point un virus respiratoire peut bouleverser les mœurs sociales. Du reste, elle a révélé le vrai visage des sociétés libérales et démocratiques, tant leurs points forts que leurs points faibles. Puis on comprend mieux de quelle manière la mondialisation fonctionne : via la haute finance totalement déconnectée de l’économie et de l’industrie. La preuve : dès le mois de mars, les banques centrales étaient promptes à se porter garantes des dettes d’État, notamment à l’endroit des pays européens, particulièrement impactés par ce virus chinois. Comme en 2008, le procédé reste le même : la production massive de liquidités. Voilà pourquoi les marchés ont continué à opérer sans difficulté durant les périodes de confinement.
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Martine Wonner : « On n’a jamais eu aussi peu de décès en France depuis cette année, arrêtons cette stratégie de la peur ! »
Martine Wonner est médecin et députée. Elle a été exclue au mois d’avril du groupe LREM pour avoir critiqué la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement qui, selon elle, pose des actes anticonstitutionnels.
Son intervention dans l’Hémicycle, il y a quelques jours, n’est pas passée inaperçue : doute sur la reprise de l’épidémie de Covid-19, inefficacité des masques et aveuglement du gouvernement sur les traitements à administrer. Au point que Libé et Le Monde mettent en doute la véracité de ses propos.
Voici un entretien très intéressant paru sur Boulevard Voltaire.
Les villes de Marseille et de Strasbourg se sont dotées de leur propre conseil scientifique et social. La ville de Paris pense avoir le même dispositif. Comme si les territoires tentaient de s’émanciper de la tutelle nationale. Comment l’interprétez-vous ?
La ville de Strasbourg a été la première à se doter d’un tel conseil scientifique. Les citoyens n’y voient absolument plus clair. Avec des informations contradictoires en permanence, les territoires souhaitent aujourd’hui accompagner les agences régionales de santé dans des mesures sanitaires les plus adaptées aux préoccupations du moment. On sait que les chiffres de la Covid évoluent extrêmement vite. Les médecins et les scientifiques des territoires ont très très envie de pouvoir être forts d’analyse, forts de proposition et de conseils auprès du préfet sanitaire.
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Budget 2021 : immigration plus !
La France, étouffée par la gestion aberrante d'une crise sanitaire/alibi, sombre dans la récession. Des dizaines de milliers d'entreprises sont menacées entraînant un effondrement tragique de l'emploi. Les services hospitaliers sont bamakoïsés. L'ensauvaugement se répand comme une traînée de poudre noire. La survie de certains services publics essentiels à la vie de la Nation et au quotidien des Français n'est encore assurée que par le recours massif et exponentiel à l'emprunt qui nous soumet à la finance étrangère. Une crise sociale sans précédent se prépare.Le plan budgétaire présenté lundi par le ministre de l'économie et des Finances, Bruno Le Maire, relève, quant à lui, de la plus sombre insincérité puisqu'il repose sur une prévision de croissance de 8% l'année prochaine, prévision qui ne se fond que sur le recours embrumé à la méthode célèbre du fameux pharmacien Coué.Peu importe. Les priorités du gouvernement sont fixées: le budget 2021 prévoit une hausse de 2% des crédits "Immigration, asile et intégration" et la création de 4 000 places supplémentaires pour l'accueil des réfugiés tandis que l'Aide médicale d'État (AME) accordée à tous les migrants y compris clandestins augmentera de 97 millions pour friser le milliard d'Euros.Plan de relance ? Oui. Plan de relance des pompes aspirantes de la déferlante migratoire.