Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 952

  • Twitter supprime 7000 compte jugés conspirationnistes, liés à la mouvance pro-Trump

    7 000 comptes jugés conspirationnistes sur Twitter ont été rayés de la toile, et plus de 150 000 autres devraient être affectés par ces suppressions, indique le porte-parole de Twitter.

    Selon les informations de BFMTV, les comptes visés seraient liés à la mouvance « Qanon », un mouvement pro-Trump, qui répandrait apparemment des théories du complot… Pour eux, les Etats-Unis seraient dirigés depuis des années par une organisation criminelle impliquant les familles Rothschild, Clinton, Obama, des stars hollywoodiennes ou encore le milliardaire hongrois George Soros.

    Pour rappel, en février dernier, un rapport démontrait d’ailleurs la mainmise du réseau d’ONG de George Soros sur la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), qui impose à l’Europe son idéologie d’une “société ouverte”, rappelait Valeurs actuelles.

    Valeurs actuelles

    https://www.tvlibertes.com/actus/twitter-supprime-7000-compte-juges-conspirationnistes-lies-a-la-mouvance-pro-trump

  • Port du masque obligatoire : la révolte s’organise…

    mask-5008670_960_720-845x475.jpg

    Depuis le début de cette semaine, nous sommes contraints de porter le masque dans tous les lieux publics clos. Il faut, désormais, l’enfiler pour aller acheter sa baguette de pain, privant de notre sourire la boulangère masquée-gantée derrière sa vitre en plexy. Au rythme où vont les choses – je veux dire les injonctions sanitaires –, on va se retrouver en combinaison étanche avec les premiers frimas…

    Quand on vit dans les contrées ensoleillées où le thermomètre est plus souvent au-dessus de 30° qu’en dessous, le masque est une torture. Ça gratte, ça irrite, on a le visage qui ruisselle, on se sent étouffer sous la buée des lunettes… Ah ah ! fait le médecin plastronnant au journal de 20 heures, que diriez-vous si vous étiez chirurgien ? Je dirais, cher monsieur, qu’il fait toujours très frisquet dans les blocs opératoires. Pour peu qu’on passe quelques heures sur la table, il arrive même qu’on y prenne froid.

    Lire la suite

  • « Grand Reset, le sujet central de la dette » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    Ce que l’on appelle le « great reset », ou la grande réinitialisation, est un processus à plusieurs dimensions.

    L’une de ses dimensions est environnementale ou écologique si vous préférez, avec la nécessité d’organiser le ralentissement des activités humaines, ce qui sera croyez-moi, assez désagréable.

    Une autre des dimensions de cette grande réinitialisation, de cette grande remise à zéro est évidemment celle de l’endettement.

    Quelle est la limite de la dette ?

    On pose et l’on se pose souvent cette question.

    Quelle est la limite à l’endettement ?

    Là de très nombreux points de vue, expriment généralement l’idée que l’endettement, finalement, n’aurait pas franchement de limite à partir du moment où les banques centrales décident de payer ou d’annuler les dettes en rachetant les obligations émises, et en ne demandant plus aux Etats le remboursement.

    Dans un tel monde, que l’on va appeler la Théorie, et si tous les pays du monde font la même chose, alors, cela pourrait durer un certain temps puisque dans un monde de changes flottants, si toutes les monnaies baissent en même temps, alors… elles sont stables les unes par rapport aux autres !!!

    Lire la suite

  • La République des coquins

    La République des coquins
  • La défaite en chantant

    polo 2 pp.jpg

    La crise qui se dessine risque d'être pour la France un pas de plus vers la perte de ses capacités productrices. Analyse de Natacha Polony sur ce qui s'est réellement passé à Bruxelles lors de la négociation de la dette. L'Allemagne, comme d'habitude s'en tire bien. Les Pays-Bas n'en parlons pas. Pour ce qui concerne  la France, Emmanuel Macron est un joueur aux petits pieds.

    Lire la suite ICI

  • L’insécurité en France n’est pas qu’un sentiment, c’est une réalité !

    insecurite-france-sentiment-realite-800x450.jpg.webp

    Une gendarme écrasée par une voiture conduite par un récidiviste, un jeune poignardé par un toxicomane, un conducteur de bus battu à mort par des marginaux, une jeune femme trainée au sol par une voiture pendant plus de 800 mètres… Au début du mois de juillet, des agressions d’une rare sauvagerie à Aiguillon, Bayonne et Sarcelles ont de nouveau mis en lumière l’existence d’une autre France. Une France que le journaliste Laurent Obertone appelle « la France Orange mécanique ». Ces faits divers tragiques s’inscrivent dans un contexte plus général marqué par l’augmentation de la délinquance et le laxisme des autorités. L’analyse des informations disponibles à ce sujet conduit à un constat évident : le gouvernement assure de moins en moins la sécurité des citoyens.

    Cela devient une habitude : à chaque fois que des leaders politiques dits « populistes » commentent un attentat terroriste ou une agression sauvage, les belles âmes de gauche et du centre crient à la tentative de « récupération » pour glaner des électeurs. Les agressions à Sarcelles, Aiguillon et Bayonne n’ont pas échappé à la règle. Pourtant, les faits divers qui émaillent l’actualité sont révélateurs d’une réalité cruelle : notre pays est de moins en moins sûr. Les réponses qu’apportent les autorités à la délinquance ne sont pas à la hauteur. Les chiffres que nous présentons en témoignent.

    Lire la suite

  • La France de Macron dindon de la farce bruxelloise

    macron-bruxelles.png

    Sur tous les médias, télés, journaux, radios, c’est le soulagement. Cocorico ! Macron a arraché, avec Merkel, un accord à Bruxelles à propos du plan de relance européen. Les journalistes annoncent la nouvelle un sourire aux lèvres, alléluia, nous sommes sauvés.

    En réalité, derrière les congratulations unanimes des observateurs autorisés se cache une réalité bien plus inquiétante pour la France. Ce plan de relance européen est, en effet, historique : c’est la première fois que l’Union mutualise des prêts et subventions à son niveau. Un peu comme avait réussi à le faire Hamilton, au XIXe siècle, achevant ainsi de fédéraliser les États-Unis, jusqu’alors en ordre dispersé. Sur les 750 milliards du plan de relance, dont 390 milliards de subventions et 360 milliards de prêts, précise LCI, certains vont beaucoup recevoir, d’autres peu ou pas du tout, mais tout le monde finira par payer.

    Lire la suite

  • Les réformes c'est bon pour les autres

    6a00d8341c715453ef0264e2e9f6ec200d-320wiCe 22 juillet, Jean-Yves Le Drian, chef de la diplomatie française, était attendu à Beyrouth. Sa venue s'inscrit dans une situation particulièrement dramatique pour ce pays autrefois charmant, héritier des Phéniciens de l'Antiquité, et dont la refondation comme État moderne remonte au mandat français de 1920.

    Les lecteurs de L'Orient Le Jour, excellent journal francophone, y reçoivent quotidiennement le message selon lequel Paris, non seulement va chercher à sauver les établissements d'enseignement où l'on dispense encore, chose devenue rare dans le monde actuel, la précieuse langue de Molière, mais également, semble-t-il, le pacte pluricommunautaire sur lequel est fondée cette nation elle-même.

    Or l'amitié, supposée indéfectible, que la France porte au Liban en tant que tel, se trouve instrumentalisée au travers du message global et des discours précis attribués à notre cher ministre des Affaires étrangères. Celui-ci ne manque pas d'être étiqueté comme ex-socialiste, et comme très laïc, il fait partie, avec la ministre des Armées Florence Parly, des rares membres du gouvernement qui ne passent pas pour ridicules, en dépit de leur provenance.

    Lire la suite

  • Barbarie, massacre, lynchage : Macron a parlé d' "incivilités", et... ça ne passe pas !

    lfar la-racaille-tue.jpg

    Il est absolument impossible de reprendre l'intégralité du raz-de-marée d'indignation et de révolte suscité par le scandaleux "incivilités" macronien pour parler de la mise à mort quasi quotidienne, dans des circonstances de plus en plus souvent atroces, d'honnêtes citoyens français. Demain, ce sera nous ! Par la folie migratoire criminelle du Système, qui laisse entrer en France n'importe qui depuis près de cinquante ans, nous sommes 66 millions de condamnés potentiels, en danger vingt quatre heures sur vingt quatre, sept jours sur sept et trois cent soixante cinq jours par an !

    Voici cependant quelques uns des messages postés depuis ce scandaleux "incivilités"...

    Lire la suite

  • Pour un Conseil de Défense sécuritaire.

    2020 07 SUFFIT.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Emmanuel Macron réunira vendredi un énième Conseil de Défense afin d'étudier la mise en place de mesures supplémentaires en cas d'aggravation de la crise sanitaire, demain, après demain ou à la Saint Glinglin...
    En revanche, pas de Conseil de Défense pour traiter en urgence de l'ensauvagement d'une France livrée à la violence de la racaille. Pas de Conseil de Défense pour prendre les mesures qui s'imposeraient pour enrayer la montée fulgurante de la barbarie qui ensanglante le pays. Pas de Conseil de Défense pour mettre au pas ceux qui crachent leur haine de la France et des Francais. Pas de Conseil de Défense pour en finir avec les trafics des maîtres allogènes des cités. Pas de Conseil de Défense pour extirper des caves des banlieues où elles sont entreposées les armes de guerre qui demain tueront les nôtres. Pas de Conseil de Défense pour préparer la riposte la plus sévère à l'explosion des banlieues qui approche. Pas de Conseil de Défense pour rétablir l'ordre public. Pas de Conseil de Défense pour définir les conditions d'un arrêt total de l'immigration et organiser le retour de ceux qui ne doivent plus rester sur notre territoire national.
    Le coronavirus circule, c'est entendu... On le dit en tout cas. Mais le crime, la violence brute, la volonté de détruire, de brûler, de blesser et de tuer, galopent et se répandent dans les rues de nos villes et nos campagnes. Sans masques.