Que des numéro bis dans sa team. Le gouvernement de Jean Castex est enfin au complet après la nomination de onze secrétaires d’Etat, dont six nouvelles personnalités, annoncée tardivement ce dimanche 26 juillet par l’Elysée.
magouille et compagnie - Page 950
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Castex complète son casting : onze secrétaires d’Etat nommés au gouvernement
Le gouvernement de Jean Castex est enfin au complet après la nomination de onze secrétaires d’Etat ce dimanche 26 juillet. -
Un réalisateur américain veut faire un film sur les horreurs des terroristes du Kosovo
En 1999, l’Armée de libération du Kosovo a fait le commerce d’organes humains. Les terroristes albanais, qui étaient soutenus par les États-Unis pendant la guerre, ont terrorisé la population locale. Les victimes étaient principalement des Serbes et des Roms. Ils ont été arrêtés sous prétexte de collaborer avec l’Etat, puis leurs reins et leur cœur ont été vendus, en Europe, en Israël et en Turquie. Les opérations ont eu lieu dans le nord de l’Albanie.
C’est cette histoire scandaleuse que le réalisateur américain Paul Kampf (photo) entend raconter avec le soutien du Serbian Cinematic Center dans son film Harvest.
Kampf a déclaré que l’idée de créer un tel film lui est venue après avoir lu le livre « Le cœur serbe de Johann » de Veselin Dzheletovich. Basé sur de vrais événements, l’histoire raconte l’aventure d’un Allemand qui a reçu le cœur d’un Serbe assassiné. Après l’opération, il est confronté à des visions et se rend au Kosovo pour trouver des réponses à ses questions.
«J’ai commencé à étudier l’histoire de ces événements, à lire des articles, à regarder des documentaires»
Kampf a admis que l’histoire du Kosovo est extrêmement difficile pour les Américains, mais il a lui-même promis d’être impartial dans la création de son œuvre.
«Je vais découvrir où se trouvait l’OTAN à ce moment-là, où la Russie et les États-Unis regardaient, et pourquoi nous n’avons pas réagi à ce qui se passait là-bas».
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Etats-Unis : médias menteurs lourdement condamnés
Tels sont pris qui croyaient prendre…
Nos lecteurs studieux se souviennent peut-être de l’affaire de Covington en Amérique. Le 18 Janvier 2019, à la fin de la Marche pour la Vie, un groupe d’étudiants pro-vie venus de l’école supérieure de Covington (Kentucky) était en train de se disperser. Un indien « natif » clochardisé du nom de Nathan Phillips s’enfonça parmi eux en battant du tambourin sous le nez d’un jeune catholique du nom de Nicholas Sandmann. Le garçon sourit aimablement.
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Indécent
Le Premier ministre Jean Castex a publié une tribune dans Ouest-France, dans laquelle il affirme la priorité écologique de sa politique
[…] Dans mon discours de politique générale, j’ai proposé qu’à partir des initiatives qui – et parfois depuis longtemps – ont germé un peu partout en France, l’ensemble des acteurs d’un territoire se réunissent pour bâtir un véritable plan de transition écologique autour d’éléments aussi concrets que la rénovation thermique, les circuits courts, les pistes cyclables, les économies d’énergie, l’artificialisation des terres, les énergies renouvelables… abordés à l’échelle de leur ville ou de leur village. Dans un cadre concerté, ce plan devra fixer des objectifs précis, chiffrés et mesurables. Belle façon d’impliquer les plus jeunes qui verront là, chez eux, les moyens de s’engager personnellement dans la lutte contre le réchauffement climatique ! Chacun doit se sentir responsable et impliqué dans cette grande affaire parce que je crois que l’État seul ne peut rien. […]
Le 27 juillet, ce même Premier ministre engage à l’Assemblée nationale la deuxième lecture du projet de loi ni bio ni éthique, lequel prévoit notamment :
- une emprise croissante de la technique sur le corps des femmes, avec des bricolages procréatifs de plus en plus ahurissant, sans égard pour l’intérêt de l’enfant ;
- Plus de sélection des êtres humains au prix de l’exclusion accrue de ceux qui sont porteurs d’un handicap;
- La fabrication d’embryons chimères mélangeant des cellules humaines et animales et d’embryons transgéniques.
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Aux USA aussi la « cancel culture » est à l’œuvre
En France, on ne cesse de dénoncer avec raison le conformisme idéologique des médias et de ces pseudo intellectuels qui font régner un climat délétère qui n’est pas sans rappeler les belles heures du stalinisme. Il en va de même aux Etats-Unis comme en atteste ouvertement Donald Trump. Cette « cancel culture » comme on la dénomme débouche en France sur une abstention massive des citoyens aux élections, ce qui ne manque pas de poser la question de leur légitimité démocratique.
SN
Source : Le Monde 26/7/2020
Le 3 juillet, devant les visages des quatre présidents sculptés sur les flancs du mont Rushmore, Donald Trump a rompu avec l’esprit consensuel qui accompagne ordinairement la célébration de la fête nationale américaine. Il a en effet dénoncé « un nouveau fascisme d’extrême gauche » qui se développe notamment, selon lui, « dans nos salles de rédaction ».
« Si vous ne parlez pas sa langue, n’exécutez pas ses rituels, ne récitez pas ses mantras et ne suivez pas ses injonctions, vous serez alors censuré, banni, inscrit sur une liste noire, persécuté et puni », a assuré le président des Etats-Unis.
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Nicolas Dupont-Aignan, après l’attaque déjouée d’une église dans le 93 : « On est dans un déni de réalité… il faut nommer les actes antichrétiens et réagir »
Dimanche dernier, au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis, un forcené a menacé les fidèles d’une église, armé d’un fusil-mitrailleur, en criant « Allahou akbar ». L’attentat a été déjoué grâce à l’intervention d’un passant. L’auteur des faits comparaissait, ce jeudi 23 juillet, devant le tribunal de Bobigny. Le procès a été renvoyé au 14 août.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan, qui dénonce les actes antichrétiens, auxquels on « s’est habitué » en France. Pour lui, celui qui a évité le drame au Blanc-Mesnil mérite la Légion d’honneur.
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Sur C News, Michel Onfray : Tous ces gens là nous mentent !
"Chez certains on inverse le mal c'est le bien le bien c'est le mal où est la responsabilité personnelle, les responsabilités collectives c'est nazi", "un moment donné on se dit la loi c'est pour tout le monde", "castaner l'émotion fait la loi c'est terrible qu'un ministre de l’intérieur dise ça", "en gros si vous êtes dans le politiquement correct l'émotion est supérieur au droit sinon non", "la délinquance routière a explosé", "tous ces gens là nous mentent, il n'y a plus d'état, plus de chef", "quand on est en tête de la France on a des devoirs, on doit la protéger", "on rentre dans une espèce de sauvagerie et la dictature de l'émotion est promulguée".
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Mission sur la mémoire ? Non! Mission sur la repentance.
Emmanuel Macron vient de confier à l'historien militant Benjamin Stora une "mission sur la mémoire de la guerre d'Algérie".En choisissant Stora le Président de la République dont on se souvient de la déclaration sur les "crimes contre l'humanité de la France en Algérie" a désigné celui qu'il considère, selon son coeur, comme "the right man at the right place" pour finaliser le processus de repentance déjà largement entamé par ses prédécesseurs, contrition exigée par Alger, imposée par le progressisme planétaire et réclamée chez nous par les tenants de l'humiliation nationale.Rappelons que Benjamin Stora dont la dense bibliographie et les prises de positions anti-coloniales témoignent de sa proximité avec le régime d'Alger, fut, dès 1968, un militant particulièrement actif de l'Organisation communiste internationaliste (OCI), mouvement lénino-trotskiste dit lambertiste particulièrement influent dont il fut permanent et dirigea l'appareil pendant dix ans de 1974 à 1984. Rappelons également que sa thèse de doctorat était consacrée à l'immigration algérienne en France et qu'il présida le Conseil d'orientation du musée de l'immigration jusqu'en 2019.L'homme de la situation donc...Benjamin Stora a été officiellement missionné par Emmanuel Macron. Il aurait tout aussi bien pu l'être par le Président Algérien Abdelmadjid Tebboune. Les choses auraient été plus claires.Le jour venu, la France nationale rétablira dans sa vérité ce que fut l'œuvre française en Algérie, rendra hommage à ceux qui l'ont faite et ont du, un jour, se résigner au départ (la valise ou le cercueil) du fait de la trahison d'une République félone. Notre France retrouvée célébrera alors ceux qui se sont battus et ceux qui sont tombés pour l'Algérie française. -
Isabelle Surply : « Je suis choquée par la barbarie qui a tué Axelle Dorier mais aussi par la tournée des ministres »
Isabelle Surply, conseillère régionale RN en Auvergne-Rhône-Alpes, réagit aux annonces sur la sécurité de Jean Castex à Nice, après la mort d’Axelle Dorier, et dénonce une politique des paroles, sans réforme en matière de justice et d’immigration.
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Voici comment les Français rembourseront l’emprunt européen, même si Macron le nie
Sur TF1, Emmanuel Macron a affirmé que les Français n’auraient pas un euro à débourser pour rembourser l’emprunt européen de 750 milliards d'euros du plan post-Covid. Une affirmation bien audacieuse, selon l'essayiste Eric Verhaeghe .
Hier soir, c’est un Emmanuel Macron triomphal qui est apparu en duplex à l’antenne de TF1. L’obtention d’un accord à Bruxelles lui donne un peu de grain à moudre dans une actualité morose où les déconvenues, notamment sociales et économiques, ne vont pas tarder à s’enchaîner. Mais c’était aussi l’occasion de lancer quelques affirmations bien téméraires sur la «gratuité» des coronabonds pour le portefeuille des Européens, et singulièrement des Français.
Penser l’accord historique du 20 juillet 2020
Le président français ne pouvait évidemment manquer la célébration de ce «travail historique» qu’il a mené pendant plusieurs années en affrontant Angela Merkel pour imposer une étape nouvelle dans l’intégration budgétaire en Europe. Conforme à la doctrine en vigueur dans les élites françaises, l’achèvement de l’Europe passe par le dépassement d’une simple union monétaire, comme le conçoit l’Allemagne (héritière du Zollverein prussien), et par la mise en place d’une union budgétaire avec des impôts communs.