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magouille et compagnie - Page 956

  • De la viande achetée 3,8 € le kilo aux éleveurs est revendue 42,10 € en supermarché

    Même en tenant compte de la chaîne de la viande, c’est difficilement justifiable.

    « « On n’est pas considérés », c’est ainsi que Nicolas Mazilly résume la situation.
    L’éleveur, installé à La Rochepot, en Côte-d’Or, a de plus en plus de mal à boucler ses fins de mois. Il est d’autant plus amer qu’il voit les bénéfices que d’autres font sur son travail. Il montre la photo d’un tournedos vendu au rayon boucherie d’une grande surface de l’agglomération de Dijon.

    De la viande achetée 3,80 euros le kilo aux éleveurs est revendue 42,10 euros en supermarché

    « Ils vendent ce tournedos 42,10 euros le kilo. Moi, ce morceau-là, je l’ai vendu 3,80 euros. Ca a de quoi énerver, car on se rend compte que notre produit est noble, qu’ils font une marge bénéficiaire exceptionnelle et que nous on n’est pas considérés. »

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  • La Sécurité sociale avance le nombre de 609.000 cartes Vitale en trop circulant en France… deux jours après que sa directrice ait admis sous serment l’existence de 2,6 millions de cartes Vitale surnuméraires

    La Direction de la Sécurité sociale avance le nombre de 609.000 cartes Vitale en trop circulant en France. Annonce qui survient deux jours après que sa directrice ait admis, sous serment devant le Parlement, l’existence de 2,6 millions de cartes Vitale surnuméraires. Retour sur un miracle administratif qui masque un tabou français.

    Certains multiplient les pains, d’autres divisent les fraudeurs. Mathilde Lignot-Leloup, à la tête de la direction de la Sécurité sociale (DSS), a admis mardi 11 février, devant la Commission parlementaire sur la fraude aux prestations sociales, qu’«environ» 2,6 millions de cartes Vitale en trop étaient en circulation dans l’Hexagone. En somme, une carte Vitale sur douze en France serait potentiellement utilisée par un fraudeur.
     
    (…) Sputnik
  • Le décolonialisme, une idéologie de collabos

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    Mon collègue Driss Ghali signe, dans les colonnes de Causeur, un bel article sur l’idéologie décoloniale. Il dit, en résumé, que le décolonialisme ne sert à rien. Philosophiquement, je suis d’accord : le décolonialisme n’est pas un raisonnement ou un questionnement, mais une pure assertion victimisante. Il n’est construit sur rien de sérieux et ne peut rien construire de sérieux. Il n’a pas d’avenir philosophique, mais il a une logique politique.

    En effet, il est certain que les philosophies victimisantes enferment ceux qui les croient dans une impossibilité d’action, parce que la base de toute action est une responsabilisation : un retour sur soi, une analyse de ses erreurs et une décision de corriger. Si le discours est « On ne me doit rien et personne ne m’attend, donc je vais le faire », l’action peut être efficace. Elle est motivée et motivante parce qu’elle s’enracine dans une vraie liberté. Si, par contre, le discours reste « On me doit ça parce que je suis ça », le sentiment de « dignité offensée » fera croître une certaine forme de contentement de soi, avec une haine du monde et des autres qui poussera à l’enfermement et à l’inaction. C’est le principe même de l’aliénation, et cela est vrai pour toutes les philosophes victimisantes, y compris celles qui touchent, aujourd’hui, les femmes et toutes sortes de minorités. La victimisation est un piège.

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  • L’affaire Griveaux et la gluante comédie mélodémocratique

    L’affaire Griveaux et la gluante comédie mélodémocratique

    Author: Pierrick Tillet

    Quand est sortie ce matin la nouvelle de la sextape de Benjamin Griveaux en Rocco Siffredi de série Z, je me suis dit que cette affaire vaseuse allait donner l’occasion  à un personnel politico-médiatique déconsidéré de se redonner une vertu à bon compte. Bingo !
    Entendons-nous, je me fous de “la bite à Griveaux” comme d’une guigne.
    Une histoire de cul ne concerne que le propriétaire du cul (et celles ou ceux avec qui il le partage). Dans une société saine, une petite branlette devrait juste faire rire, et même rassurer sur la santé de celle ou celui qui s’y adonne.
    Et bim, c’est quand Griveaux nous prouve la sienne qu’il tombe !
    J’avoue avoir éprouvé une certaine frustration de voir cet imbécile tomber pour une vidéo privée même pas bandante, alors que ce sont ses moult égarements précédents, sur les hommages aux victimes du Vel’ d’Hiv’, sur la délocalisation de la gare de l’Est, sur les fréquentations d’un musée Carnavalet fermé pour cause de rénovation, qui auraient dû instantanément l’expédier dans la fausse commune des salopards.
    Une classe polico-médiatique dégoulinante jusqu’à l’écoeurement
    À peine ce pâle vermisseau humilié, la classe politico-médiatique se mit à dégouliner à n’en plus finir sur la démocratie bafouée ?
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  • Benjamin Griveaux jette l’éponge à Paris : La République en marche s’ébranle…

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    Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

    C’est le gag matinal de ce vendredi 14 février. Benjamin Griveaux est l’invité d’Alba Ventura sur RTL. Et Yves Calvi d’annoncer que l’entretien a été annulé au dernier moment pour raison de « vidéo à caractère sexuel » impliquant l’ancien porte-parole du gouvernement et prétendant à la mairie de Paris.

    Enquête faite dans les heures qui suivent, la vidéo existe bel et bien. Elle est très explicite. Mais, comment dire… Manifestement filmée sur téléphone portable, le principal incriminé, fort d’un réveil triomphant, s’y livre à un assez joli exercice de tirlipompon sur le chihuahua. Un polissage de chinois ; en plein coronavirus, ça tombe à pic. Un cinq contre un, si vous préférez. On n’y voit, certes, pas son visage, mais l’essentiel y est, dira-t-on.

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  • Trafic de migrants, 200€ pour passer d’Italie en France

    Ils demandaient 200€ pour un passage clandestin en France. Le payement, auquel il ne fallait pas que manque un seul centime sous peine de se voir laisser sur place, était anticipé. 10 passeurs ont été arrêtés hier à la frontière de Vintimille, au cours de l’opération baptisé Sciarun, le nom arabe de Charon, le fameux passeur de l’au-delà dans la mythologie antique. Ils sont accusés d’avoir favorisé l’immigration clandestine.

    Parmi les arrêtés, se trouvent des Algériens et des Tunisiens mais également une femme albanaise et un homme français. Les « clients » étaient tous des « migrants » de diverses nationalités, mais surtout des Africains, repérés par les trafiquants dans des quartiers et des bars de Vintimille fréquentés par les clandestins. Le passage d’Italie en France se faisait en voiture, train ou autobus.

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  • Le libéralisme : à l’origine de toutes les gauches.

    2737274333.10.jpgNotre ami Christian Vanneste écrivait ici, il y a quelques jours, que le libéralisme n’est pas une idéologie parce qu’il y a un grand nombre de courants en son sein. Mais il en va de même pour le socialisme, pour le nationalisme ou pour le conservatisme, ce qui n’ôte rien à leur caractère idéologique.

    Les libéralismes ont un socle commun, l’individualisme ; or, c’est précisément l’individualisme, lequel est au cœur du libéralisme depuis ses origines au XVIIe siècle, qui pose problème parce qu’il affirme que les communautés (dont les communautés nationales) sont des illusions.

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  • Griveaux : quand la République cannibale dévore ses valets.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Un peu plus d'un an après avoir courageusement fui de son ministère lors d'une manifestation des Gilets jaunes, Benjamin Griveaux, tout à la fois méprisable petit marquis poudré et roquet aboyant de la macronie, doit être à nouveau exfiltré : cette fois, de sa campagne municipale parisienne.
    Décidément, l'ancien Porte parole du gouvernement n'a guère de chance avec les engins élévateurs...
    Benjamin Griveaux n'est, pour autant et quelques soient ses frasques, que l'enseigne blème d'un régime décomposé, d'un Système liquéfié, d'un État décadent et corrompu, d'une République agonisante devenue — transparence oblige, réseaux sociaux commandent et règlements de comptes exigent — cannibale de ses propres valets.
    Non l'affaire Griveaux n'est pas une menace mortelle pour la démocratie comme le répète depuis ce vendredi matin la voix officielle du totalitarisme bienpensant. 
    C'est, au contraire ce que la Caste au pouvoir nomme démocratie qui est la mort des peuples.
  • L’affaire Gabriel Matzneff : pas un scandale, une chasse à l’homme…

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    « Certains même doivent applaudir ses éditeurs – parmi les plus prestigieux de France – qui, du jour au lendemain, semblent découvrir ce qu’ils ont imprimés et diffusés : Oh zut ! la boulette… »

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Que vous inspire le scandale autour de l’écrivain  Gabriel Matzneff ?

    Soyons précis : ce n’est pas un scandale, mais une chasse à l’homme… Cela aurait été un scandale si on avait « découvert » que Gabriel Matzneff est pédophile, qu’il était passé à l’acte et avait tout fait pour le dissimuler comme c’est en général (toujours ?) le cas avec les prédateurs sexuels ; en ce qu’il le concerne, c’est exactement le contraire : cela fait plus d’un demi-siècle que non seulement il défend, à qui veut le publier ou l’inviter à s’exprimer, sa conception de l’amour – autant sentimentale que physique – avec les « moins de seize ans » ; jusqu’à en avoir fait le titre, pour le moins explicite, d’un de ses livres.

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  • Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants, s’est acharnée à traîner Donald Trump dans la boue, avec la procédure d’impeachment, qui a échoué au Sénat. Lors du traditionnel discours sur l’état de l’Union, le 5 février, à la fin de l’allocution, Nancy Pelosi a déchiré ostensiblement le texte du discours.

    Le lendemain, Donald Trump a publié une vidéo visant à critiquer ce geste médiatique. Intitulée « De puissantes histoires américaines réduites en pièces par Nancy Pelosi », elle dure cinq minutes et enchaîne plusieurs extraits du discours. On y voit, entre autres, Donald Trump rendre hommage à des soldats américains, saluer la baisse du chômage chez les Afro-Américains, annoncer à une jeune fille qu’elle disposera d’une bourse pour ses études et révéler à une femme en larmes que son époux militaire est de retour du terrain, le tout accompagné d’une musique larmoyante. Chacune de ces séquences est ponctuée de l’image de Nancy Pelosi déchirant le discours du président américain.

    Voir le Tweet

    Pris au piège, le clan Pelosi a tenté de censurer cette vidéo. Mais ni Facebook, où la vidéo a engrangé plus de 3 millions de vues, ni Twitter (près de 10 millions) n’ont accepté de retirer la vidéo. Un porte-parole de Facebook a publié cette réponse :

    « Excusez-moi, prétendez-vous que le président n’a pas prononcé ces mots et que [Nancy Pelosi] n’a pas déchiré le discours ? »  « Si je vous demande si les choses qui apparaissent dans cette vidéo ont bel et bien existé, c’est parce que cela est central dans nos règles qui encadrent ce type de contenus. »

    Twitter a également refusé de bannir la vidéo. Tim Murtaugh, un des porte-parole de la campagne de Donald Trump, a ajouté :

    « Si Nancy Pelosi craint les images d’elle déchirant le discours, alors c’est qu’elle n’aurait pas dû déchirer le discours ».

    https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-ridiculise-nancy-pelosi/