Résumons : donneurs de leçons depuis des décennies, « conseillers » occultes puis officiels des éminences, éminences eux-mêmes, voilà quarante ans que ceux-là, de ministères en instances internationales, plongent nos économies dans le chaos et ont envoyé par le fond des millions de gens dans le monde.
Sauf un DSK, rattrapé par les errements de sa sexualité débridée, aucun d’eux n’a jamais quitté la scène publique. Pire : ce sont toujours eux qu’on consulte, eux qui tirent les ficelles en coulisses et se piquent de vouloir, aujourd’hui comme hier, régenter la marche du monde.
Vendredi matin, la chronique de François Lenglet, sur RTL, a piqué mon attention. Il dit qu’un nouveau mot est apparu dans le paysage des économistes : le jubilé.
« Dans les traditions anciennes, et dans la Bible en particulier, le jubilé, c’est l’annulation des dettes. Et selon cette prescription, il faut faire table rase des engagements financiers tous les 49 ans de façon à nettoyer et le système économique et la psychologie des hommes de toutes les scories du passé. »