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magouille et compagnie - Page 995

  • Claude Rochet : Le monde d'après devra se faire sans eux. (EDLQ #6)

  • Marine Le Pen dénonce la faillite idéologique du système

    9609-20200506.jpgEpidémie de coronavirus oblige, le traditionnel hommage rendu chaque 1er mai par le RN à sainte Jeanne d’Arc a pris cette année une forme un peu particulière. Loin évidemment de rassembler les foules habituelles, cloîtrées chez elles en raison des restrictions liées au confinement, il n’en aura pas moins été l’occasion pour Marine Le Pen de dénoncer avec beaucoup de justesse la « faillite idéologique » du système à tous les niveaux et d’appeler à un renouveau de notre pays basé sur la souveraineté, l’indépendance et l’unité.

    Jeudy pris en flagrant délit de désinformation

    Tôt dans la matinée, la présidente du RN, masquée et accompagnée de son vice-président Jordan Bardella, s’était quand même rendue devant la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides à Paris, pour déposer aux pieds de la sainte une gerbe de fleurs, comme elle le fait chaque année. N’en déplaise au grand désinformateur de Paris Match Bruno Jeudy qui, jamais avare de « fake news », n’a pas hésité à qualifier ce déplacement de « cinéma » en affirmant que « Marine Le Pen, qui ne célébrait plus guère ces dernières années Jeanne d’Arc pour se distancier du FN de son père, la redécouvre en 2020 pour mieux se mettre en scène en masque » ! Une affirmation particulièrement stupide, parce que chacun aura pu vérifier sur Internet qu’elle était mensongère, mais à laquelle Marine Le Pen s’est contentée de répondre : « Vous voyez pourquoi vous avez un problème sérieux de crédit auprès des Français »…

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  • UCHRONIE A LA FRANÇAISE

    13625420.jpgFranck Buleux 

    L’heure est à la préparation du déconfinement, pas au déconfinement lui-même mais à sa préparation. Le pouvoir avance masqué, sans réelle ligne politique.

    Si les masques sont en nombre insuffisant, ils sont facultatifs, s’ils sont en nombre suffisant, ils deviennent obligatoires. Tant que les tests seront en nombre insuffisant par rapport au nombre de nos concitoyens, ceux-ci seront facultatifs. C’est la politique de Gribouille mise en place par le président de la République et le premier ministre, assisté du ministre Olivier Véran et du scientifique Jérôme Salomon, l’homme du décompte morbide. La gouvernance n’est donc plus l’art de prévoir, comme l’indiquait Émile de Girardin en 1852, mais de l’empirisme pur et simple. Pour cela, il n’est nul besoin d’élus, il suffit de gestionnaires de stocks, une bonne formation de manager commercial et vous voilà promu ministre de la Santé. Rien de péjoratif ici, bien au contraire, un bon gestionnaire de stocks saura commander (et à qui surtout… et dans quels délais !) lorsque les stocks vont baisser. Un rapport d’équilibre entre les acquis et les besoins, se fondant sur un éventuel déficit sera mis en place.

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  • Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire

    Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire

    C’est une analyse que l’on découvre dans le Washington Times du 28 avril. Extraits

    Le nouveau coronavirus est réel.

    La réponse au coronavirus est médiatisée. Et avec le temps, ce battage médiatique sera révélé comme un canular politique. En fait, COVID-19 sera considéré comme l’une des plus grandes exagération du monde politique, la plus honteusement exagérée, excessivement et irrationnellement gonflée avec des réponses faussement trompeuses à un problème de santé.

    Les faits sont les suivants: COVID-19 est une véritable maladie qui rend malade certains, se révèle mortelle pour d’autres, surtout les personnes âgées – et ne fait rien à la grande majorité.
    C’est ça.

    En un mot, c’est tout.

    Ou, selon Dan Erickson et Artin Massih, médecins et copropriétaires de Accelerated Urgent Care à Bakersfield, en Californie: rouvrons le pays – et maintenant.

    «Avons-nous encore besoin d’un abri sur place? Notre réponse est catégoriquement non. Faut-il fermer des entreprises? Non catégoriquement. … [L] es données montrent qu’il est temps de lever ».

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  • L’offensive des immigrationnistes contre les centres de rétention administrative

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    La rétention administrative permet de maintenir dans un lieu fermé un étranger qui fait l’objet d’une décision d’éloignement, dans l’attente de son renvoi forcé. Ce lieu est le plus souvent un centre de rétention administrative (CRA), gardé par la police.
    Ces centres, dont l’existence et le fonctionnement sont indispensables au traitement des déboutés du droit d’asile et à la lutte contre l’immigration illégale, constituent des structures lourdes et onéreuses. Ils offrent un confort indécent à des délinquants lorsque l’on pense au sort des SDF français. Leur gestion est partagée avec des associations immigrationnistes qui sont loin de respecter le principe de neutralité qui leur est prescrit.
    On ne peut également pas dire que l’administration des CRA et l’éloignement des personnes retenues par le ministère de l’Intérieur constitue un modèle d’efficacité et de sérénité.
    Enfin, la pandémie du Covid-19 conduit les pouvoirs publics à vider les CRA des retenus qui sont ainsi largués dans la nature et contribuent au désordre public actuel.
    Même si le Conseil d’État a refusé de les fermer à titre temporaire, leur fermeture définitive demeure à terme un objectif des associations gauchistes et immigrationnistes afin de détruire un instrument de la lutte contre l’invasion clandestine.

    Éloignement et centres de rétention administrative (CRA)

    La loi permet au ministère de l’Intérieur de prendre des mesures d’éloignement forcé des étrangers illégaux ou déboutés du droit d’asile hors du territoire français. Leur application est généralement précédée d’un placement en CRA.

    Un CRA n’est pas un établissement pénitentiaire. La rétention ne doit durer que le temps d’organiser matériellement cette reconduite à la frontière.

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  • Déconfinés, mais surveillés et (au besoin) punis : la magie du «en même temps»

    Devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre a pensé que le refrain bien connu ferait illusion. Mais les Français ne peuvent être «en même temps» libérés et contrôlés, juge la philosophe Julia de Funès.

    Par-delà la difficulté de l’exercice, la justesse du ton et le bien-fondé probable des mesures prises, le discours d’Édouard Philippe devant l’Assemblée nationale fut l’incarnation de la pirouette terminologique qu’est le «en même temps». Le «en même temps» de la complexité ne prenait-il pas soudain quelques airs de duplicité?

    Nous serons déconfinés mais en même temps plus contrôlés. Nous passerons de l’enfermement à l’examen, de l’isolement à la surveillance: massification des tests, identification des cas-contacts, mises en place de brigades, plan de mise à l’abri, quadrillage géographique départemental, kilométrage limité. On troque une restriction de liberté physique contre une restriction de liberté psychologique.

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  • La CAF victime de fraudeurs fantômes

    Les prestations sociales ont toujours attiré les fraudeurs et ce n’est pas Charles Prats qui dira le contraire. Dans une interview accordée au Figaro, l’ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude affirme que de nombreux allocataires de la CAF frauderaient aux prestations sociales. Et Charles Prats va encore plus loin. En effet, il avoue qu’un grand nombre de ces fraudes seraient opérées par des étrangers. Selon des documents qu’il a transmis à la commission d’enquête parlementaire en cours sur le sujet, 12,4 millions de personnes nées à l’étranger ou dans un territoire d’outre-mer ont bénéficié l’an dernier de prestations sociales. Problème…. selon les chiffres de l’Insee et des organismes sociaux, il ne devrait en exister qu’un maximum de 9,9 millions. Ainsi, chaque mois, ce sont près de 2,5 millions de fraudeurs fantômes qui passent à la caisse et touchent des aides sociales.

    C’est donc un véritable pavé dans la mare que jette Charles Prats. L’ancien magistrat dit avoir transmis les données à l’Assemblée nationale début mars, mais il déplore, depuis, le silence du ministère des Affaires sociales.

    Il faut dire que le montant de cette fraude peut donner le tournis… 30 milliards d’euros par an. Et la facture totale pourrait être encore plus vertigineuse. Ces 30 milliards ne concernant que la fraude potentielle à l’immatriculation sociale, il faut potentiellement rajouter les autres types de fraudes sociales.

    Pour mettre fin à ces pratiques, Charles Prats préconise de recertifier tous les numéros de Sécurité sociale en intégrant les empreintes digitales de chacun. Cependant, la lutte contre la fraude aux prestations sociales tétanise les responsables politiques et haute administration qui ne veulent pas être accusés de faire la chasse aux pauvres et aux étrangers.

    Thibault Bastide

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-caf-victime-de-fraudeurs-fantomes-thibault-bastide

  • La gestion de la crise sanitaire : réflexions sur les spécificités de l’incurie macronienne

    La gestion de la crise sanitaire : réflexions sur les spécificités de l’incurie macronienne

    La crise du coronavirus et sa gestion par le pouvoir politique donnent lieu à des commentaires souvent intéressants et pouvant être développés à l’infini. D’autant plus que, mondiale, elle autorise aussi des comparaisons instructives.

    Cependant, l’objectif de ce texte n’est pas d’étudier cette gestion de la crise en France au regard d’une situation inédite de privations de libertés considérées comme fondamentales ; ni de pointer les incohérences d’une action qui suffiraient à remplir plusieurs tomes épais, même en tenant compte d’une compréhensible progression dans découverte des caractéristiques du virus, juste au regard de ce qu’est le bon sens ; ni même de juger de la pertinence intrinsèque des actions décidées ; ni encore de prévoir des perspectives judiciaires promises par certains.

    Le but est l’analyse de ce qui sous-tend en France l’action politique depuis le début de la crise sanitaire, révélant par là-même des spécificités de l’exercice du pouvoir macronien. Révélant d’ailleurs aussi de quelques traits de la société française qui seront vus en conclusion.

    Premier aspect : l’usage du mot « guerre ». Les fameux « nous sommes en guerre » dans l’adresse aux Français de M.Macron le 16 mars 2020.

    Cet usage est une contrefaçon, bien sûr. Car il ne s’agit que d’une crise sanitaire. Nous employons le terme contrefaçon, car il peut recouvrir tout à la fois une erreur d’analyse (inconvenante venant de gens si subtils et intelligents, comme le dirait Gilles Le Gendre) et un besoin de mise en scène (beaucoup plus probable). Cela permet mieux à l’exhibitionniste qui nous gouverne de plastronner.

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  • Faudrait savoir : transports publics ou voitures particulières ?

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    Pieter KERSTENS

    Les automobilistes, nouveaux serfs du 21ème siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir. Téléphoner dans son auto est un délit et entraîne de fortes amendes. Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !

    Que ce soit à Bruxelles, à Madrid ou à Paris, les jours de « SMOG », il est interdit de dépasser les 50 km/h en ville ou les 90 km/h sur autoroute !

    De plus, les politicards ont même établi une circulation alternée, en fonction de l’immatriculation (plaques avec numéros pairs ou impairs) lors de « pics de pollution » et inventé une vignette payante « Air Pur » à coller sur votre pare-brise.

    Des dizaines de milliers de contraventions donnent lieu à d’innombrables protestations.

    Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon dans les Zones de Sécurité Prioritaires à forte densité d’immigrés.    Discrimination ?

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  • Génération Identitaire lance l’alerte, Castaner contraint de sermonner les imams, par Clément Martin

    Alors que la France n’en finit plus de compter ses morts, des musulmans profitent du confinement pour multiplier les provocations et occuper l’espace public. Les jeunes identitaires ne pouvaient pas les laisser faire sans réagir.

    Des appels à la prière islamique envahissent l’Europe

    Le 25 mars, jour de la fête de l’Annonciation, les évêques de France ont fait sonner les cloches des églises pour « demander à la Vierge Marie de remplir nos cœurs de foi, d’espérance et de charité » et plus généralement « pour manifester notre fraternité et notre espoir commun ». Au nom d’une prétendue solidarité interreligieuse et d’une forme d’égalitarisme, des islamistes en ont profité pour faire retentir l’appel à la prière musulmane (« l’adhan ») dans plusieurs villes de France.

    A Lyon, l’appel lancé depuis le minaret de la Grande mosquée a suscité l’indignation de nombreux internautes. Rappelons que lors de sa construction, les responsables du lieu de culte avaient affirmé que le minaret ne devait « pas diffuser d’appel à la prière » (L’Express, 22/09/1994)…

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