Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 995

  • Sur le blog de Michel Onfray : le slip français.

    Un effort de guerre national

    Dans les grands moments de son Histoire, la France eut les taxis de la Marne; au vingtième siècle, ce fut l’arme atomique dont chacun a toujours en tête les terribles images du feu nucléaire de l’Etat français qui se protégeait des Etats-Unis et de l’Union soviétique qui parlaient guerre nucléaire chaque matin que le diable faisait.

    Nous pouvons dire dès à présent qu’au XXI° siècle, face à ce qu’un chef d’Etat (dont le nom sera aussi connu que celui des présidents du conseils de la IV° République aujourd’hui) avait appelé «une guerre», la France eut le slip français !

    En des temps d’avant coronavirus, une boite fabriquait en effet des slips français, c’était ce que la nation faisait de mieux, avec des marinières - on avait alors le Grand Siècle qu’on pouvait… Un soir de rigolade pas bien fine, deux membres de cette entreprise s’étaient grimés en noir - péché mortel dans notre civilisation loqueteuse… "Le Slip français" avait été sous les feux de la rampe pendant plusieurs jours, il avait défrayé la chronique et, à longueur de plateaux télé, sur les chaînes d’info continues, les questions étaient : Blâmable ? Condamnable ? Louable ? Punissable ? Déplorable ? Attaquable ? Contestable ? Avant qu’une autre question chasse celle-ci et qu’on laisse les deux guignols et leur patron faire résipiscence… Le Tribunal révolutionnaire moral avait été généreux en évitant le goudron et les plumes, il avait écarté le pilori sur la place publique pendant trois jours, il avait décliné le gros plan sur un visage transpirant nous expliquant qu’il ne comprenait pas « pourquoi il s’était comporté d’une façon inappropriée… », etc.

    Lire la suite

  • Vers un gouvernement de concorde molle ? – Olivier Frèrejacques

    Le monde d’après s’organise… Alors qu’Emmanuel Macron avait fait de la rupture superficielle son arme de guerre électorale, il pourrait rejouer le coup du neuf avec du vieux.

    Dernière rumeur de palais en date : un gouvernement d’union nationale ! Attention au terme « union nationale », qui recouvre ici une union pas franchement hétérogène mais plutôt un recyclage de tout ce qui, au PS et aux Républicains, s’est éloigné de son parti jugé pas assez moderne.

    Une telle démarche remettrait en selle des personnalités qui n’ont pas nécessairement manqué à leurs famille politiques respectives. On pense là naturellement à Manuel Valls, défait à la primaire socialiste de 2017 et dont l’aventure catalane a tourné au fiasco, ou à Nathalie Kosciusko-Morizet qui reste sur deux cuisants échecs : l’un à la primaire de la droite et du centre, où elle a obtenu 2,56 % des voix, l’autre à la députation dans la deuxième circonscription de Paris.

    Lire la suite

  • Pendant le confinement, la culture de mort continue

    Pendant le confinement, la culture de mort continue

    Un arrêté du ministre des Solidarités et de la “Santé”, paru ce matin au Journal officiel, prévoit d’allonger le délai pour l’absorption de pesticides humains – pardon l’IVG médicamenteuse en novlangue – jusqu’à la septième semaine de grossesse. Le “en même temps” macronien a d’étranges “vertus” : nous faisons mine de nous battre pour sauver le plus possible de vies et les autorités “sanitaires” ne semblent préoccupées que de faire face à la “baisse inquiétante” du nombre d’avortements. Toute la population du pays est confinée (enfin, “toute”, pas vraiment: les Français de papier n’ont pas l’air très dérangés par les mesures gouvernementales…), mais les autorités encouragent à la promiscuité sexuelle. Dans notre “bel aujourd’hui”, nous savons que nous sommes dans un pays développé et pacifié uniquement parce que, malgré le confinement, nous avons “réussi” à maintenir à 220 000 le nombre de bébés avortés annuellement en France. Etrange époque vraiment !

    https://www.lesalonbeige.fr/pendant-le-confinement-la-culture-de-mort-continue/

  • Pour Ursula von der Leyen, pas de trêve des confineurs pour les vieux !

    1199px-ursula_von_der_leyen_presents_her_vision_to_meps-845x475.jpg

    L’Union européenne veut notre bonheur. De gré ou de force. Qui oserait en douter ? Elle veut le meilleur pour nous et elle sait, elle, ce qu’est ce meilleur pour nous, n’hésitant pas à nous le rappeler à l’occasion. À ce titre, Frau  est un modèle. Un modèle allemand, il va sans dire. Récemment, dans un souci hygiéniste qui fait honneur à sa nation, elle nous a expliqué comment il fallait se laver les mains. On attend, d’ailleurs, la suite avec impatience.

    Certes, sur ce coup du coronavirus, elle (l’Union européenne) n’a pas été vraiment au rendez-vous. Elle a laissé l’Italie se dépatouiller toute seule mais, c’est promis, la prochaine fois, elle fera mieux. À condition qu’il y ait plus d’Europe : c’est un peu le principe de base. Si la peste bubonique revient dans nos contrées, elle offrira des crécelles en plastique fabriquées en Chine. Cela dit, elle peut bien faire ça, l’Union européenne, vu que c’est avec nos impôts qu’elle vit. Mais on n’en est pas encore là.

    Lire la suite

  • Le Parti de la France contre le confinement général

    received_2615898408621532.jpg

    Un communiqué du Parti de la France
    Loin d'être la solution, le confinement général dont Emmanuel Macron vient d'annoncer le prolongement pour un mois au moins (Castaner précise que la date du 11 mai est un objectif, pas une certitude) fait partie du problème. 
    Écran de l'impuissance du pouvoir qui tente ainsi de camoufler sa gestion initiale chaotique et idéologique de la crise (cf son refus de fermer les frontières quand il était encore temps), son imprécision en matière sanitaire, les carences lourdes de conséquences de notre économie nationale en matière industrielle dues aux délocalisations et à la doxa mondialiste, la situation dramatique de notre système hospitalier et, plus généralement, la tiers-mondisation de l’État, le confinement retarde l'immunité collective, impose un contrôle de masse de type soviétique et ruine le pays (effondrement de 8% du PIB).

    Lire la suite

  • Malgré le confinement et la crise économique, 104 parlementaires insistent pour la régularisation des immigrés clandestins

    BI – Paul Molac et ses collègues immigrationnistes ont fait des émules. Ils sont désormais 104 parlementaires à demander la régularisation de tous les immigrés clandestins présents sur le territoire français, et cela même alors que le confinement est généralisé, que la crise économique qui se profile va jeter de nombreux Français hors du marché du travail, sans emploi, sans entreprise.

    Et ces derniers de surfer sur la pandémie de coronavirus pour faire passer leur idéologie favorable à l’immigration, comme le montre la lettre adressée au Premier ministre :

    Monsieur le Premier Ministre, dans le cadre des mesures d’urgence pour lutter contre le COVID-19 le gouvernement portugais a promulgué le samedi 28 mars différentes mesures d’ordre humanitaire, sanitaire et financier, dont la régularisation provisoire de tous les immigrés qui avaient introduit une demande afin d’obtenir les mêmes droits que les citoyens portugais pour l’accès aux soins et les aides financières. C’est une mesure de salubrité publique qui protège tous les habitants du Portugal.

    Lire la suite

  • Marion Maréchal : “La cellule de crise qui a été mise en place pour assurer l’approvisionnement national en matériel est un fiasco total”

    Au lendemain de l’allocution d’Emmanuel Macron sur la situation sanitaire en France, Marion Maréchal a décidé de réagir sur Europe 1 : “Ce qui me dérange un petit peu dans l’utilisation de l’unité nationale, c’est qu’elle semble parfois utilisée pour ne pas avoir à rendre des comptes politiques“.

    Elle pointe un discours “d’adaptation à la pénurie” plutôt que de “vision stratégique“.

    Lire la suite

  • Crise sanitaire – Le pouvoir et la responsabilité

    images.jpg

    Lors de son allocution du 13 avril, le chef de l’Etat a prononcé une phrase qui mérite d’être relevée. De mémoire : « Des choses n’ont pas bien fonctionné (dans la crise du covid) nous en tirerons les conséquences ». Il est essentiel de rappeler que le pouvoir politique ne se conçoit pas en dehors de la responsabilité. Les deux ne peuvent pas être découplés. Le pouvoir est source de contentement personnel: pour un esprit sain, la satisfaction de servir l’intérêt général; et pour un cerveau pervers, la pure jubilation narcissique. Mais cette satisfaction, qu’elle qu’en soit la nature, a une contrepartie: la responsabilité. Le personnage qui incarne le pouvoir incarne aussi, par définition, la responsabilité. Dès lors qu’il exerce la mission de décider, il est personnellement comptable de ses décisions ou de ses non décisions et de leurs conséquences. Le chef choisit lui-même son entourage. Il arbitre entre les choix qui lui sont proposés. Si l’appareil de décision dont il est en charge ne fonctionne pas correctement, souffre de dysfonctionnements, il lui incombe de prendre, quand il en est temps, les décisions pour y remédier. S’il n’est pas correctement informé,  c’est qu’il ne s’en est pas donné les moyens, en particulier dans le choix de ses collaborateurs. Idem, s’il est mal conseillé, cela signifie qu’il s’est trompé sur le choix de son entourage. Par ailleurs, s’il n’est pas libre de choisir ses collaborateurs, si ces derniers lui sont imposés, et s’il accepte d’en être l’otage, cela signifie qu’il n’est pas digne de sa mission. L’attitude de dirigeants politiques qui se défaussent sur leur administration pour l’accabler des insuffisance ou des désastres est inepte. Le pays élit des gouvernants et leur confie son destin sur la base des promesses de ces derniers. S’ils réussissent et si le pays est heureux, ils méritent des lauriers. Si le pays sombre dans le chaos et la détresse, sans qu’ils ne lui apportent de solution satisfaisante, cela signifie qu’ils ont failli dans leur tâche. Ils sont à coup sûr seuls et uniques responsables. Quant un drame éclate, faute d’anticipation ou de préparation suffisante, la responsabilité est avant tout celle des autorités politiques auxquelles le pays a fait confiance. Chercher des boucs émissaires, quels qu’ils soient – prédécesseurs, fonctionnaires, collaborateurs, experts, peuple – pour se dérober à sa responsabilité, est la quintessence de la misère politique.

    Maxime TANDONNET

    https://maximetandonnet.wordpress.com/2020/04/15/le-pouvoir-et-la-responsabilite/

  • Confinement : sanction prolongée ! Un entretien avec Philippe Randa

    000_1qk6ps_5e94babd492a6.jpg

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés cliquez là.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Confinement, encore un mois de plus ; c’était prévisible, non ?

    Pour le moins sous-entendu et quasi officiellement annoncé avant même que le président de la République ne le confirme. On se demandait simplement si la sanction serait à nouveau de 15 jours dans un premier temps ou davantage. C’est davantage, donc !

    Vous parlez de sanction, alors qu’il s’agit tout de même de sauver des vies !

    L’un n’empêche pas l’autre : qu’aujourd’hui, on doive limiter la catastrophe humanitaire en ralentissant autant que faire se peut, par une mesure extrême, l’arrivée de malades dans nos hôpitaux incapables de les accueillir tous en même temps, est une chose ; constater que les hôpitaux n’avaient plus les moyens de faire face à une pandémie, en est une autre ! Il ne s’agit pas de « sauver » des vies, mais de gérer une épidémie dans un contexte de pénurie de matériel et d’affolement gouvernemental !

    Lire la suite

  • Guillaume Bernard : « Emmanuel Macron a osé commencer son intervention en rejetant la responsabilité sur l’imprévisibilité du virus… »

    guillaume-bernard.png

    Guillaume Bernard réagit après l’allocution d’, lundi soir.

    Le président de la République a annoncé un confinement jusqu’au 11 mai au moins, mais rien d’autre de substantiel. Qu’en pensez-vous ?

    Il a osé commencer son intervention en rejetant la responsabilité sur l’imprévisibilité du virus alors que, d’après Mme Buzyn, le gouvernement était au courant depuis janvier. Il y a aussi eu le cas chinois ! Il a aussi parlé d’informations partielles et changeantes, alors que c’est lui-même et son gouvernement qui n’ont cessé d’utiliser des injonctions contradictoires et variant en fonction du temps. Je trouve cela honteux. Je crois qu’on se moque de nous.

    Lire la suite