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magouille et compagnie - Page 997

  • Sur le site officiel de l'Action française, lâcheté et autoritarisme, l’éditorial de François Marcilhac.

    Malheureusement, les légitimes critiques que le Prince a formulées le 24 avril dernier à l’encontre de l’action gouvernementale n’ont pas été prises en compte par celui-ci. Ces critiques constituaient pourtant autant de fanaux dans l’épais brouillard qui ressort de la gestion de la crise sanitaire par le pouvoir depuis deux mois. Oui, le Prince a eu raison de noter « un clair manque de stratégie générale. J’ai le sentiment qu’aucune anticipation n’est de mise et que le gouvernement navigue à vue. » Le Premier ministre aurait dû — il en avait le temps — faire preuve de modestie en se laissant guider par les propos du Prince pour dresser son cap et présenter, le 28 avril, son plan de déconfinement, plutôt que de s’enfermer dans sa morgue.

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  • Le report du déconfinement est incompréhensible, irrespectueux et discriminatoire

    Le report du déconfinement est incompréhensible, irrespectueux et discriminatoire

    Lettre d’un lecteur à Emmanuel Macron à propos du déconfinement:

    Monsieur le Président,

    Le report du déconfinement des offices religieux au 2 juin au moins est incompréhensible, irrespectueux et discriminatoire pour les Français attachés à une religion, en particulier les catholiques, adeptes de la religion ancestrale de notre pays.

    Ce report est incompréhensible car, à partir du 11 mai, les Français pourront librement, le cas échéant dans le respect de certaines règles sanitaires, aller dans les commerces, visiter les musées, prendre les transports, aller dans leur établissement scolaire, aller travailler etc … mais pas aller à l’Eglise assister à la messe. Je note d’ailleurs que, pendant la période de déconfinement, les églises sont ouvertes … mais l’attestation sur l’honneur gouvernementale ne prévoit aucun motif pour s’y rendre …

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  • Gilles-William Goldnadel : « L’agresseur d’Éric Zemmour a un sentiment total d’impunité »

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    Au micro de Boulevard Voltaire, Maître Gilles-William Goldnadel réagit à l’agression (insultes, crachat) dont a été victime Éric Zemmour, ce 30 avril, en pleine rue, agression diffusée sur le réseau social Snapchat et relayée sur Twitter.

    Il dénonce l’absence de réaction de la plupart des médias et de Christophe Castaner, et le sentiment d’impunité de « la racaille ».

    Une vidéo tirée du réseau social Snapchat est sortie, hier, sur Twitter. On y voit une personne poursuivre, insulter et d’après ses mots avoir craché sur Éric Zemmour. Cette agression passe pour l’instant relativement inaperçue. Que vous a inspiré cette vidéo ?

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  • Covid-19 : “Sur les tests, tout le monde ment, on ne pourra pas en faire 700 000”, affirme le Pr Froguel

    Ce jeudi soir, vous avez écrit sur Twitter que trop de choses fausses « officielles » sont dites au cours de cette crise par le gouvernement : lesquelles ?

    Beaucoup de choses me désespèrent. Exemple récent : la carte avec les départements en rouge ou en vert. Le gouvernement a parlé de trois critères. Finalement, il y en a qui a sauté. Et sur le premier (la circulation du virus), les données nous manquent forcément puisqu’on n’a pas fait assez de tests. Seul le critère sur la situation des services de réanimation est fiable.

    Par ailleurs, l’étude de l’Institut Pasteur nous dit que 4 millions de personnes ont été infectées. Mais en réalité, on ne sait pas. On n’a pas fait assez de tests. Cette modélisation n’est pas fiable. Dans cette crise, on a manqué de science. On n’a pas fait assez de statistiques. 

    France 3 Régions

    https://www.tvlibertes.com/actus/covid-19-sur-les-tests-tout-le-monde-ment-on-ne-pourra-pas-en-faire-700-000-affirme-le-pr-froguel

  • Gouvernement : la grande peur du 11 mai…

    Tribune libre de l’essayiste Olivier Piacentini (ses livres ici).

    « Le 11 mai sera une date à marquer au fer rouge dans l’histoire de notre pays.
    C’est ce jour précis que le déconfinement va commencer.
    C’est donc à ce moment là que la France va découvrir toute l’étendue des dégâts, mesurer l’impact de cette crise, apercevoir ce que sera le fameux monde d’après. Et le choc risque d’être rude… Faillites en série, pauvreté de masse vont exacerber les tensions.

    L’Obs révèle les craintes qui saisissent les proches du président Macron : l’un deux reconnait que « le confinement, c’est le moment doux, la suite sera pire. Pour l’instant, on a un ennemi commun qui nous rassemble, nous unit, mais quand la bulle va éclater ça sera terrible. » Et de préciser : « les fractures de la société vont être exacerbées, l’économie dévastée, la France dans une situation épouvantable« .

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  • «En triant les articles de presse, le gouvernement tente de recréer un ministère de l’information»

    FIGAROVOX/ENTRETIEN – Sur le site du gouvernement, une plateforme recense désormais certains articles de journaux jugés «sûrs et vérifiés». Est-ce son rôle? Pour le professeur de communication Arnaud Benedetti, lorsque l’État entend démêler le vrai du faux parmi les contenus publiés par la presse, sa démarche est nécessairement suspecte.

    FIGAROVOX.- Le gouvernement a annoncé, par un tweet de sa porte-parole Sibeth Ndiaye, la mise en place d’une recension des articles de presse jugés fiables. Ce «fact-checking» est-il vraiment de son ressort ?

    Arnaud BENEDETTI.- Cette initiative gouvernementale traduit la grande fébrilité d’un pouvoir exécutif qui, faute de pouvoir censurer, se transforme en certificateur de l’information. Il va de soi que ce n’est pas à l’État de procéder à ce travail. Les plus grands mensonges de l’histoire ont souvent été, au demeurant, propagés par des États. Depuis le début du mandat, Emmanuel Macron se veut l’archange de la lutte contre les fake-news. Il a fait légiférer de manière aléatoire et discutable à ce sujet. Le Premier ministre lui-même lors de la présentation de sa stratégie de déconfinement s’en est pris aux réseaux sociaux et autres commentateurs.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/en-triant-les-articles-de-presse-le-gouvernement-tente-de-recreer-un-ministere-de-linformation

  • Sur le blog de Michel Onfray : penser le virus.

    Le plus notable dans la dernière intervention du Premier ministre flanqué de son ministre de la santé, d’une épidémiologiste et du croque-mort qui, pour ouvrir l’appétit du citoyen, chaque jour que le covid fait, donne le chiffre des décès quotidien au moment de l’apéritif, fut qu’elle a duré si longtemps! Plus de deux heures, un record français, et ce pour accoucher dans les forceps… de pas grand chose! Des broutilles, des détails, des bagatelles.

    Certes, je ne mésestime pas le fait que les personnes âgées confinées dans les hospices vont pouvoir, sous condition, revoir un peu leur famille. Ni que les modalités d’enterrement vont se trouver aménagées. Tout ce qui augmente l’humanité, ou, du moins, tout ce qui entame l’inhumanité de la situation, est à saluer. Je salue donc.

    Mais pourquoi diable ces deux ou trois informations ont-elles été noyées dans un flot de mots à faire craindre à la famille Castro de perdre le monopole du discours fleuve?

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  • Un incendie peut en cacher un autre…

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    Le pouvoir qui règne en France joue-t-il les pompiers incendiaires ? Certes, ce n’est pas une « barbouze » du style Benalla qui a mis le feu à Notre-Dame, pas plus que ce n’est une vaste conspiration mondiale, à laquelle notre gouvernement « progressiste » participerait, qui est à l’origine du Covid-19, mais dans les deux cas, bien qu’à une échelle très différente, il y a un scénario analogue : l’Etat a un devoir archi-prioritaire de protection des biens et des personnes, que le législateur a même cru devoir inscrire dans la Constitution sous le nom de principe de précaution, revêtu de l’onction écologique pour satisfaire l’idéologie à la mode et placé dans cette intention dans la Charte de l’Environnement. Mais personne ne niera que le paysage historique de Paris ou la santé en général ne se situent dans le périmètre de cette exigence.

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  • Le gouvernement réactive l’hostilité originelle de la laïcité envers le catholicisme

    Le gouvernement réactive l’hostilité originelle de la laïcité envers le catholicisme

    Intéressant entretien de Valeurs actuelles avec Guillaume Bernard, maître de conférences, sur la privation de messe:

    L’actuelle politique gouvernementale réactive l’hostilité originelle de la laïcité envers le catholicisme. Le pouvoir politique prétend explicitement disposer du monopole sur l’espace public (relégation de la religion dans la sphère privée). L’ordre public doit être religieusement neutre, le politique pouvant autoriser, de manière parcimonieuse et à sa convenance, l’expression religieuse dans l’espace public. Que le pouvoir politique donne des consignes sanitaires est une chose, qu’il se croit légitime pour autoriser ou non la célébration de messes, y compris dans des lieux privés, en est une toute autre !

    La décision gouvernementale annoncée par le Premier ministre de limiter à dix personnes les rassemblements — y compris dans des lieux privés ! — semble montrer une volonté délibérée d’empêcher quasiment toute célébration religieuse.

    Le matérialisme est incapable de répondre aux besoins d’un homme complet fait d’un corps et d’une âme, la seconde animant le premier. Les chrétiens pensent que l’âme est immortelle ; cependant, il ne s’agit pas de demander aux politiques de confondre le droit et la religion, de basculer dans une sorte d’augustinisme politique, mais simplement de ne pas contraindre leurs concitoyens à n’être que des bêtes sauvages uniquement mues par des besoins primaires. Réduire l’homme à son corps, circonscrire la vie sociale au matériel est extrêmement réducteur. Or, en admettant (pour l’heure puisque ce n’est pas, ici, le sujet) que le confinement général puis l’encadrement du déconfinement réalisent le bien commun, il s’avère que, de la manière dont l’Exécutif l’aborde, celui-ci est artificiellement réduit au temporel.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-gouvernement-reactive-lhostilite-originelle-de-la-laicite-envers-le-catholicisme/

  • Me Frédéric Pichon : « Limitation de circulation après le 11 mai : il y a risque de dérive grave d’une restriction de nos libertés individuelles ! »

    Frédéric Pichon

    Parmi les mesures annoncées par Édouard Philippe pour l’organisation de l’après- confinement, on apprend que les déplacements après le 11 mai seront strictement limités au-delà des 100 km autour du domicile. Dérogation possible seulement pour « motif familial impérieux ou professionnel ».

    Découvrez la réaction de Maître Frédéric Pichon.

    Suite aux annonces d’Édouard Philippe, beaucoup de questions se posent. On ne peut pas répondre à toutes les questions. Néanmoins, on peut répondre à la question concernant le déplacement limité à 100 km du domicile en raison d’un motif familial impérieux. Cette notion est-elle défendable juridiquement ?

    D’une manière générale, les annonces du gouvernement sont assez floues. On est dans une usine à gaz. J’entends bien que nous sommes dans une situation complexe. Les difficultés vont être l’interprétation de ces notions de motif familial impérieux. On a été dans la subjectivité avec les attestations de déplacement suggérées par le gouvernement. On a vu des forces de l’ordre interpeller des citoyens qui allaient faire des courses et fouiller les caddies pour voir quelle était la nature des courses qui pouvaient relever de motif alimentaire. On a vu des gens se faire sanctionner parce qu’ils avaient acheté du coca et du shampooing. On est dans une appréciation parfaitement subjective. On peut imaginer que pour les gardes d’enfants de parents séparés, le motif familial impérieux est un motif valable. Aller visiter des personnes malades ou fragiles de notre famille c’est aussi, à mon sens, un motif familial impérieux.

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