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magouille et compagnie - Page 997

  • Macron, le fossoyeur d'élite ! (avec André Gandillon)

  • Ces médias publics qui roulent à gauche…, par Ivan Rioufol

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    Les médias publics font-ils honnêtement leur boulot ? En Grande-Bretagne comme en France, la réponse est non. Ainsi, Boris Johnson entend demander des comptes au groupe audiovisuel public BBC, accusé de partialité. Fort de sa large victoire aux législatives, le premier ministre britannique envisage de réduire la redevance télévisuelle qui bénéficie à l’institution (2000 journalistes partout dans le monde). Il souhaite également que le non-paiement de cette redevance, jusqu’ici considéré comme un crime passible de 1000 livres d’amende (1.183 euros), soit requalifié en délit, entrainant des amendes moins élevées. Johnson reproche notamment à la BBC son traitement de la campagne législative, estimant qu’elle a manqué d’objectivité et montré de claires préférences éditoriales. Je prends ces précisions d’une dépêche AFP publiée ce mercredi.

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  • Les familles nombreuses sont les grandes “sacrifiées” du projet de réforme des retraites

    Les familles nombreuses sont les grandes “sacrifiées” du projet de réforme des retraites

    Communiqué de Laissez les Vivre – Sos Futures Mères :

    Et si un train pouvait en cacher un autre? Trêve de plaisanterie. Certes, qui n’aimerait pas en voir circuler davantage ces jours-ci. Et, pourtant, la réforme des retraites telle qu’elle est présentée à l’opinion publique semble d’emblée assez simple et assez juste : suppression des régimes spéciaux, alignement des retraites des salariés du public sur celles du privé. Cela paraît d’autant plus équitable que les salariés du public bénéficient de la sécurité de l’emploi alors que ceux du privé n’en ont pas et qu’on ne cesse de constater la pression à la baisse des salaires à l’embauche. Toutes les familles ou presque sont frappées de près ou de loin par le drame du chômage de longue durée. Dans le même temps, la pénibilité du travail des conducteurs de train ayant été quasiment supprimée par l’automatisation, comment justifier un départ prématuré à la retraite ? Un euro cotisé pour gagner un point, cela semble si juste que cela paraît simpliste. 

    Et, pourtant, un scandale à peine dévoilé par le gouvernement et quasiment pas évoqué par les manifestants se cache dans le projet de retraite : la disparition de la spécificité de la famille nombreuse. C’est bien là que réside le serpent caché de la réforme. Même ceux qui évoquent à juste titre la main mise sur l’épargne retraite des compagnies d’assurances anglo-saxonnes n’osent pas aborder le problème. Comme si même le mot famille était devenu tabou.

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  • De la victimisation à la diabolisation

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    L’efficacité politique de la victimisation n’est possible que dans les pays de marque chrétienne. Surprise ! Ces pays pratiquent avec tout autant d’allégresse la bonne vieille diabolisation.  Diaboliser ou victimiser : dans ces deux verbes se tient le pouvoir des minorités.

    C’est René Girard qui note souvent dans ses derniers ouvrages comment la christianisation du monde continue, malgré la lente dégradation de l'institution papale. Tout se passe comme si la chrétienté progressait et continuait à marquer le paysage social, alors même que le christianisme est actuellement en déclin. De ce progrès social de l'idée chrétienne, je donnerais deux exemples saisis immédiatement dans l'actualité de notre France la lutte contre les féminicides, qui correspond à la valorisation chrétienne de la femme qui jouit d'une dignité égale à celle de l'homme et la méfiance quasi-générale vis-à-vis du voile islamique qui traduit une relation de soumission des femmes vis-à-vis des hommes que nos Français ne veulent pas admettre. L’exemple que donne Girard lui-même de ce progrès constant de la christianisation des mentalités, malgré la crise de l'institution est plus délicat à interpréter, mais il est central : il s’agit du processus de victimisation. Pour Girard, c'est le Christ mort sur la croix, le Christ et personne d'autre qui manifeste, jusque dans sa propre personne, l'innocence des victimes et la culpabilité des lyncheurs.

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  • Google vient de "dégoogliser" Synthèse nationale

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    Le moteur de recherches Google vient de "dégoogliser" notre site. Cela se fait généralement à la demande du pouvoir en place et, quelque soit ce pouvoir, Google obtempère servilement.

    Mais, pour que le pouvoir en arrive là, il faut que sa victime le dérange. Fut un temps où on saisissait les journaux à l'imprimerie, aujourd'hui, il suffit de demander aux moteurs de recherches de couper les liens...

    À dire vrai, il y a longtemps que nous pensions que cela arriverait un jour ou l'autre. C'est donc chose faite. Le dernier site à avoir subi le même sort en date étant notre confrère indépendantiste breton Breizh Atao.

    N'en déplaise aux instigateurs de cette pitoyable manoeuvre, cela ne nous empêchera pas de continuer le combat. Si, depuis 13 ans, sans interruption, nous amplifions notre audience, c'est que nous savons que nous pouvons compter sur la fidélité de nos lecteurs. Les premiers résultats de notre "souscrption patriotique 2019" cliquez ici en étant une fois de plus la preuve.

    Amis, ne soyez donc pas découragés et rigolons en considérant cette interdiction comme une médaille et rassurez-vous, nous allons vite trouver la parade à cette nouvelle provocation...

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

  • Macronisme : Dernier avatar de l’ancien monde…

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    Faut-il porter son regard sur l’année écoulée, ou au contraire, n’envisager que l’avenir ? Les Britanniques peuvent se le permettre, qui viennent, en donnant une écrasante majorité à un parti Conservateur profondément renouvelé, de s’engager dans la dernière ligne droite les menant à une libération définitive du carcan européen. Ce qu’ils feront de leur liberté – une liberté dont ils avaient su, contrairement à nous, préserver des pans entiers même au sein de l’Union européenne -, ils en sont seuls juges. Nous ne ferions peut-être pas les mêmes choix et certains de ceux-ci affecteront à coup sûr notre économie, surtout s’ils renforcent encore leur partenariat avec les Etats-Unis. Mais un peuple ne doit toujours s’en prendre qu’à lui-même de ses déboires  – ou à ses dirigeants si ceux-ci l’ont trahi, ce qui est effectivement le cas, sinon avec l’euro, que les Français ont accepté en validant Maastricht, du moins avec la forfaiture du traité de Lisbonne, pour la signature duquel le pays légal n’a jamais autant mérité son qualificatif de parti de l’étranger.

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  • Le tabou démographique

    Présent – La libre page de Bruno Gollnisch.

    (…) Au sujet du débat actuel sur les retraites, si l’on peut parler de débat, j’évoquais la semaine dernière deux questions majeures presque totalement occultées, qui sont pourtant à la racine du problème. L’une est celle du chômage que provoque la destruction méthodique de nos frontières, aussi bien économiques qu’humaines. Mais la plus importante, c’est la question démographique que, d’une certaine façon, – qui n’est certainement pas la nôtre ! – M. Delevoye nous a rappelée, peu de temps avant d’être contraint à la démission, en estimant qu’il était nécessaire, pour équilibrer les retraites, que 50 millions d’immigrés supplémentaires viennent peupler l’Europe.

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  • Pietraszewski : slalom ou tout schuss ? – Journal du mercredi 18 décembre 2019

     

    Pietraszewski : slalom ou tout schuss ?

    Un député du Nord, marcheur de la première heure pour remplacer Jean-Paul Delevoye. Deux jours après la démission forcée du Haut-commissaire à la réforme des retraites, le gouvernement a lancé la patate chaude à un certain Laurent Pietraszewski.

    Retour sur la 3ème manifestation

    Mardi, les syndicats sont parvenus à maintenir un semblant d’unité dans les cortèges malgré des tensions apparentes. La mobilisation était au rendez-vous aussi bien en région que dans la Capitale. De quoi laisser espérer aux centrales un poids plus important face au gouvernement.

    L’huître de Cancale vers le patrimoine de l’Unesco

    C’est l’effervescence dans la baie du Mont Saint Michel. A une semaine de Noël, les huîtres de Cancale s’arrachent. Un succès qui pourrait bien les conduire à entrer dans le patrimoine mondial de l’Unesco

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/pietraszewski-slalom-ou-tout-schuss-journal-du-mercredi-18-decembre-2019

  • Marine Le Pen : « Il faut que le gouvernement arrête de manœuvrer avec les Français » (Vidéo)

    Pour la présidente du Rassemblement National, le calendrier de l’annonce de la réforme des retraites à quelques semaines des fêtes de fin d’année n’est pas un hasard. Selon elle, « Il faut que le gouvernement arrête de manœuvrer avec les Français ».

     
  • La « procédure de destitution » de Donald Trump : une comédie démocrate

    La « procédure de destitution » de Donald Trump : une comédie démocrate

    Comme l’écrit Yves Daoudal :

    Tout le monde sait que la procédure n’a aucune chance d’aboutir et qu’il s’agit d’une pure gesticulation politicienne. Les démocrates tablaient sans doute sur le fait que cette procédure allait entacher la popularité de Donald Trump. Eh bien, sur ce plan-là aussi, c’est déjà raté.

    Le 23 octobre, avant les auditions publiques dans le cadre de cette affaire, la popularité de Trump était de 38%. Le 10 décembre, alors qu’on annonçait le vote des députés, elle était de 41%. Hier, alors que le vote aura lieu demain, elle était de 43%. Et c’est la cote record de Donald Trump : c’est la première fois qu’il atteint ce score.

    Les démocrates se disaient aussi qu’au moins ils sèmeraient le trouble dans le rang des républicains, et que nombreux seraient ceux qui finiraient par lâcher le président.

    Or chez les républicains ils sont… 92% à lui faire confiance. Là aussi, c’est complètement raté.

    Dans Présent, Christian Daisug écrit :

    […] Deux articles : abus de pouvoir et obstruction au Congrès. Deux pauvres articles qui devraient être, en bonne logique, chargés de dynamite alors qu’ils paraissent maladifs, fiévreux, pâles tant ils sont écrasés par la fraude, le mensonge et l’imposture. C’est la première remarque « à chaud ». La seconde la suit de près, étant de même nature : les démocrates ont abandonné d’autres chefs d’accusation qu’ils avaient pourtant longtemps caressés avec délectation. La corruption, la trahison, l’obstruction à la justice et les abus dans le financement de campagnes électorales ne figurent pas, en effet, dans l’arsenal des agresseurs. Bizarre ? Non. L’aveuglement a des limites.

    L’abus de pouvoir est donc censé constituer l’un des deux « gros » morceaux des tirs de barrage démocrates. On accuse Trump d’avoir sollicité l’intervention des autorités de l’Ukraine afin d’interférer dans les élections présidentielles de 2020. On désigne Trump comme celui qui a exercé des pressions sur son homologue Volodymyr Zelensky pour inculper Joseph Biden, ex-vice-président – impliqué dans une sale histoire de corruption locale – et ainsi écarter un rival politique dans l’intense compétition actuelle. Rien de vrai dans ces allégations. Tous les témoins ont confirmé l’absence de preuves établissant le troc d’une aide militaire américaine de 400 millions de dollars contre l’ouverture d’un dossier judiciaire Biden par un juge d’instruction ukrainien. Le président Zelensky lui-même l’a confirmé. Et le principal témoin des démocrates, l’ambassadeur Gordon Sondland, a fini par admettre que l’existence de ce troc n’a pas dépassé la consistance d’une rumeur. Comble de malheur pour Adam Schiff, le grand inquisiteur de cette affaire, l’abus de pouvoir n’apparaît pas dans la constitution parmi les raisons possibles d’une destitution. Le faux détail s’est vu confirmé par les plus grands juristes du pays.

    L’obstruction au Congrès complète – mal – la panoplie des griefs contre Trump. On lui reproche d’avoir interdit d’une façon « inhabituelle, systématique et discriminatoire » l’accès à la barre à certains témoins supposés « gênants ou dangereux » pour l’accusé. Là encore, rien de vrai. […]

    C’est maintenant l’heure des débats. Schiff va tenter de faire avaler à ses 435 collègues l’étrange, l’insipide mixture qu’il leur a mitonnée. Alors que tous – moins deux – furent d’accord le mois dernier pour entamer une procédure de destitution contre Trump, tous ne le sont pas aujourd’hui pour franchir l’ultime étape assignée à la Chambre : le vote. Les débats, les discours et même les envolées oratoires ne comportent que peu de risques. Mais un vote s’avère indélébile. Pour cette raison, des lézardes, des défections apparaissent dans le bloc, en apparence compact, des assaillants. Il y a les élus qui remettent en jeu leur mandat dans des circonscriptions remportées par Trump en 2016. Ceux-là ont carrément peur. Il y a les écœurés par tout ce déballage, ce chaos, cette partialité, ces mensonges, et qui voudraient en finir. Ceux-là ont des états d’âme. Ces calculs et ces émotions peuvent être gérés par l’arithmétique et traduits en chiffres. Pour l’instant, ils sont au moins une douzaine à se demander si le camp auquel ils appartiennent est le bon. Certains les voient déjà en transfuges. Eux hésitent encore. Sauter le pas dans un moment historique ? Pourquoi pas ? D’autant que la direction du parti a renoncé à toute pression sur ses ouailles. Champ libre. Un risque pour les démocrates. Mais un risque inévitable. Chaque défection sera une flèche contre Schiff et ses complices. Chaque voix contre la destitution résonnera jusqu’à l’élection de novembre prochain. La Chambre devrait voter la semaine prochaine.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-procedure-de-destitution-de-donald-trump-une-comedie-democrate/