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France et politique française - Page 1212

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : déconnexion entre le pays légal et le pays réel.

    Il y a aujourd'hui une déconnexion visible entre la classe politique (ce que l'on pourrait nommer le "pays légal" des politiciens) et les populations françaises, particulièrement les commerçants, les restaurateurs, les ouvriers (que l'on pourrait regrouper sous le terme de "pays réel") ..., touchés de plein fouet par une crise sanitaire mal gérée par les instances gouvernementales de la République.

    Si une Monarchie royale n'éliminerait pas la Covid 19 d'un coup de "sceptre magique", elle aurait au moins l'avantage de pouvoir mener une politique de long terme et de faire preuve d'empathie avec ceux qui travaillent (et veulent travailler) et souhaitent vivre de leur travail ! Car la Monarchie ne raisonne pas en "technocrate" ou en "experte en tout", mais en termes de famille, la "Famille française, et les Français y sont considérés, non comme des enfants indisciplinés ou dissipés, mais comme "ses" enfants, tous différents et dignes d'amour et d'intérêt. Car, ce qui manque aussi à la République, c'est la capacité d'amour que la Monarchie, par nature même, déploie à l'égard de tous les enfants de la Famille française !
  • Vous regardez Éric Zemmour à la télévision ? Decathlon ne veut probablement plus de vous comme client !, par Jean-David Cattin (Les Identitaires)

    Decathlon

    La méthode est désormais rodée. Des activistes d’extrême gauche font pression sur une marque ou une grande enseigne pour interdire une idée ou une organisation. Frileuse, l’entreprise cède bien souvent aux injonctions. De nos jours, ces campagnes sont simples à réaliser grâce aux réseaux sociaux et les extrémistes de gauche ne s’en privent pas. Nous en savons quelque chose aux Identitaires puisque, suite à des campagnes de pressions, nous ne pouvons plus utiliser les services de paiement en ligne PayPal et Stripe. Depuis, nous sommes dans l’incapacité de collecter des dons ou adhésions par carte bancaire.

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  • La junte sanitaire à l’action pour les « petits commerces ». Assemblée nationale, le 17 novembre

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    Il faut savoir que le gouvernement Castex comporte un ministre délégué chargé des petites et moyennes entreprises, ayant lui-même une expérience d’entrepreneur. C’est formidable.

    Il faut savoir que le 17 novembre était un mardi et donc jour de questions/réponses au gouvernement à l’Assemblée nationale.

    Pour juger de l’audace et de la force avec lesquels la junte sanitaire traite le cas des commerces dits « petits », voilà la question posée par le député Mme Isabelle Valentin (LR) et la réponse de Monsieur le ministre :

    Mme Isabelle Valentin. Monsieur le Premier ministre, lors de son discours du 28 octobre dernier, le Président Macron a dit : « Je ne crois pas à l’opposition entre santé et économie. »… Si vous ne réagissez pas rapidement, vous pourrez investir des millions d’euros dans des programmes de revitalisation et faire tous les grands discours que vous voulez sur la cohésion des territoires, quand vous aurez tué la plupart de nos commerces, vous aurez tué l’âme et la dynamique de tous nos territoires.  Monsieur le Premier ministre, avez-vous décidé de rouvrir les commerces le 26 novembre ?

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  • Budget français Paris ou Bruxelles, qui commande ? (texte de 2014)

    Le match entre le gouvernement français et la Commission européenne menace de se prolonger, aucun des protagonistes ne voulant céder sur la question délicate du budget 2015. D'un côté, Manuel Valls et ses ministres n'entendent pas provoquer davantage une base qui menace, au point de voir se rétrécir dangereusement l'horizon 2017; de l'autre, Bruxelles, que ces considérations laissent de marbre, rappelle Paris à ses engagements d’État-membre. Qui est le patron ?

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  • Le libéralisme, voilà l'ennemi ! (texte de 2014)

    Charles Robin vient de publier aux éditions Krisis La Gauche du Capital, un livre qui fait la somme de ses travaux sur l'idéologie libérale. Venant d'un autre bord, comme autrefois Philippe Muray ou comme son maître à Montpellier Jean-Claude Michéa, il retrouve sans le vouloir et sans le savoir le vieux diagnostic social et politique des papes antilibéraux de la fin du XIXe siècle... Un prodigieux raccourci !

    Vous ne vous cachez pas d'être un ancien du Nouveau Parti Anticapitaliste d'Olivier Besancenot, mais vous montrez dans votre livre que les vieilles catégories de « droite » et de « gauche » sont périmées par le lent avènement d'une idéologie globale partagée peu ou prou par l'ensemble de la classe politique - idéologie du Marché que vous appelez le libéralisme. Comment le définiriez-vous en quelques mots ?

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  • L’État de droit ? Une farce sinistre !, par Jean-Yves Le Gallou

    CEDH

    La Hongrie, la Pologne et la Slovénie sont en train de mettre leur veto au plan de relance et au budget pluriannuel de l’Union européenne.

    Car ils refusent qu’on leur impose le soi-disant État de droit qui n’est rien d’autre qu’une supercherie : la dictature des juges au service du politiquement correct sous le contrôle des médias.

    Tel qu’il s’est imposé en Europe de l’Ouest, l’État de droit s’est révélé une machine contre l’identité, au service de l’invasion migratoire. Les juges européens (CEDH et CJE), constitutionnels, judiciaires et administratifs sont parvenus à rendre impossible tout contrôle des frontières à l’immigration : toute limitation du regroupement familial, tout traitement raisonnable des soi-disant « mineurs isolés », généralement ni mineurs ni isolés, et quasiment impossible toute expulsion des clandestins et des délinquants étrangers. La première mission d’un État régalien, c’est l’application de sa loi sur un territoire. Le prétendu État de droit a rendu cela impossible.

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  • Pourquoi, à défaut de pouvoir l'interdire, il faut réglementer sévèrement le "Vendredi noir"...

    Idéalement, il en est du "Vendredi noir" comme de cette moche fête (?) d'Halloween.

    C'est une importation récente, imposée d'en haut par des gens qui veulent nous faire dépenser de l'argent et/ou nous faire oublier nos moeurs, coutumes, traditions, fêtes etc...  pour nous anglo-saxonniser chaque jour un peu plus. Et le mieux serait de les interdire, purement et simplement...

    Mais le plus grave, en fait, est qu'il s'agit tout simplement, pour une très grande partie de cette opération, d'une arnaque pure et simple, de très grande ampleur...

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    Des "opérations économiques" promotionnelles sur les prix, nous en avons en France - et en Europe - et depuis toujours : les Soldes, évidemment, mais aussi toute sorte de Foires, Fêtes de ceci ou de cela. Quel besoin avons-nous que l'on vienne nous nous pousser depuis quelques temps - grâce à ce qui n'est rien d'autre qu'un matraquage et à un conditionnement des esprits - à une frénésie d'achats qui frise l'hystérie ?
    La sur-consommation, et les gaspillages scandaleux et anti-économiques qu'elle engendre est un fait avéré.

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  • Sur Front Populaire, "Les Élites françaises. Des Lumières au grand confinement".