Polémiste, blogueur, écrivain, Papacito est interrogé par Valeurs Actuelles à l’occasion de la publication de son “Expédition punitive” chez Ring.
https://www.lesalonbeige.fr/papacito-lordre-republicain-cest-une-vaste-blague/
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Polémiste, blogueur, écrivain, Papacito est interrogé par Valeurs Actuelles à l’occasion de la publication de son “Expédition punitive” chez Ring.
https://www.lesalonbeige.fr/papacito-lordre-republicain-cest-une-vaste-blague/
“Honnêtement je vais vous dire un truc, tous mes confrères médecins qui ont été touchés par le covid-19 ont tous pris de la chloroquine.Donc il y a une espèce d’hypocrisie à dire que l’on va attendre des études pour savoir ce que l’on fait.Ma foi, je pense qu’il faut vraiment se donner toutes les chances pour les malades.”
La #chloroquine, bannie officiellement mais utilisée par des médecins infectés par le #COVID__19 #FoutageDeGueule
Ce 20 octobre, à l'Assemblée nationale, le Premier ministre Castex s'est étrangement irrité face aux questions légitimes que lui posait le président du groupe parlementaire de droite Damien Abad. Cette confrontation, à elle seule, illustre malheureusement les doutes que l'on peut formuler quant à la détermination du pouvoir à combattre l'islamo-terrorisme.
Le député lui rappelait la liste des 37 propositions, la plupart de bon sens, avancées par son parti. Il soulignait qu'elles avaient, toutes, été refusées dans leur intégralité, par la majorité parlementaire. Celle-ci s'est constamment montrée soucieuse depuis 2017 de ménager ce qu'elle considère, au mépris du droit français, comme "la communauté musulmane". Or, le collaborateur de M. Macron, supposé représentant de la "droite" (?) au sein du gouvernement, n'aime pas être contredit et n'a su lui répondre qu'un pitoyable "Vous êtes dans l'incantation, nous sommes dans l'action…"
La situation de plus en plus grave de ce pays pourrait et devrait inciter les Français, qui croient de moins en moins à la parole présidentielle, à réfléchir sur les moyens de reconstruire.
Or, les choses finissent le plus souvent comme elles ont commencé. Les érudits me pardonneront peut-être ce matin de ne pas mobiliser Anaximandre ou Heidegger[1]au service de cette réflexion à certains égards pessimiste. On se rabattra donc ce matin sur Euripide : "ce qui vient de la Terre retournera à la Terre".
Nous croyons trop souvent que l'élection présidentielle française est issue d'une pâle copie du modèle américain : celui-ci, certes, a dégénéré, dès la fin du XIXe siècle, au point qu'on n'imagine plus de l'imiter vraiment en France. Mais au départ il se fonde sur l'idée d'un suffrage indirect : en novembre ce sont des délégués que vont élire, État par État, les citoyens des États-Unis et formellement ce seront ces élus qui désigneront le chef de l'exécutif. En 2016, l'actuel titulaire n'avait pas obtenu la majorité des votes directs. La philosophie constitutionnelle fondatrice demeure celle d'un système fédéral.
De Pierre-Marie Sève, Délégué général de l’Institut pour la Justice :
Chers amis,
« Nous poursuivrons les terroristes partout, même dans les toilettes s’il le faut. On les butera dans les chiottes, la question est close. »
Cette déclaration est celle d’un Président qui faisait face au terrorisme. De fait, un an plus tard, il avait vaincu son ennemi, et la vague terrible d’attentats qui avait frappé son pays s’était arrêtée. Savez-vous de quel président il s’agit ? Est-ce le Président français, Emmanuel Macron ? Non, c’est Vladimir Poutine, président de la Russie.
Une autre citation :
« Si en ce moment certains responsables de ces activités terroristes m’écoutent, nous allons mettre tout en oeuvre pour les retrouver et pour les châtier. Nous emploierons tous les moyens que la loi nous donne. Avis aux amateurs. »
Nous en avons assez de ne pas faire de vagues. Au rassemblement en hommage à Samuel Paty, le 18 octobre, place de la République, il y avait cette protestation, cette prise de conscience collective. Même tardive, elle laisse espérer plus qu’un éphémère sursaut.
J’ai toujours éprouvé de la sympathie pour les lanceurs de vagues, bien plus que pour les lanceurs d’alerte qui, à tort ou à raison, m’apparaissaient le plus souvent pour des dénonciateurs occultes au grand pied, certains de s’attirer, dévoilés, les félicitations des médias de gauche puisque leurs révélations sont, en général, ciblées politiquement et économiquement. Ils ont leurs bons et leurs méchants.
Après plus d’une douzaine de polémiques, il aura fallu attendre la décapitation de Samuel Paty pour que Gérald Darmanin s’attaque enfin au CCIF et à l’association Baraka City. Simples déclarations ou volonté réelle ?
Après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé vouloir cibler 51 associations communautaires. Au micro d’Europe 1, le ministre des cultes a annoncé lundi matin vouloir « dissoudre plusieurs d’entre elles en Conseil des ministres ». Parmi elles, le Conseil contre l’islamophobie en France (CCIF) et Baraka City.
Le ministre de l’Intérieur vise particulièrement le CCIF qui bénéficie « des subventions d’Etat et des déductions fiscales » et qui serait « manifestement impliqué » dans la polémique lancée contre le professeur égorgé quelques jours plus tard, puisque « le père qui a lancé la fatwa se référence clairement à cette association », a indiqué Gérald Darmanin.
Avec le taux de syndicalisation le plus bas d'Europe, le syndicalisme français ne se porte pas bien. S'il ne se réforme pas, lui reste-t-il un avenir ?
Lors d'une conversation au cours de laquelle nous évoquions la propension des syndicats français à bloquer toute réforme, Jacques Marseille, professeur d'histoire économique récemment disparu, expliquait que loin de montrer la puissance des syndicats français, ces blocages répétés accusaient paradoxalement leur faiblesse. Partout ailleurs en Europe, en effet, des syndicats réellement forts avaient participé activement à la mise en œuvre des réformes indispensables, dans l'intérêt bien compris des salariés. Pour vérifier la justesse de ces propos, il n’est que de consulter les taux de syndicalisation dans le monde à la fin du XXe siècle, publiés dans un livre qui vient de paraître, Les forces syndicales françaises(1). En 1995, le taux de syndicalisation atteignait 28,9 % en Allemagne, 32,9 % au Royaume-Uni, 41,2 % en Autriche, 60 % en Hongrie, 80,1 % au Danemark, 91,1 % en Suède.
C’est ainsi que, suite à la décapitation que vous savez, on a vu d’abord la très grande majorité des « déplorants sincères ». À côté de ceux-là, et plus inattendu, on trouva la « camarilla mélenchonienne », dont l’islamo-gauchisme est l’ordinaire, reconnaître tout de même… à demi-mot… que peut-être… il y avait un petit problème avec certains…
Enfin, il y a les pépites, les limiers d’exception qui détectent les causes profondes bien au-delà des apparences. Exercice pour lequel la CGT a toujours montré un talent et une bonne foi inégalés, mais dont une apparatchik vient de repousser les limites. Elle s’appelle Maryse Lepron, très connue dans son immeuble puisqu’elle a quand même réuni sur son nom 0,63 % des électeurs de sa circonscription aux législatives de 2017.
Interrogée dans L’Express, Elisabeth Badinter fustige l’attitude de la gauche, qui fait toujours l’autruche face aux revendications musulmanes et déclare :
Mais il y a toujours cette extrême gauche “élargie” qui ne cesse de ramener le débat à la stigmatisation des musulmans, jusqu’à refuser de prononcer le mot “islam” ou même celui d'”islamisme”. Elle déboussole les gens, les intimide, en insinuant que leur rejet légitime de l’intégrisme serait en réalité suspect. On pouvait au départ penser que cette gauche défendait sincèrement la tolérance et l’antiracisme. Mais qu’elle en soit toujours là aujourd’hui est une preuve soit d’aveuglement, soit d’électoralisme. Lutter contre l’islamisme revient, pour eux, à être lepéniste. “Vous faites le jeu de Le Pen”, que n’ai-je entendu cet argument…