Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1285

  • Populisme : C’est une vague ? Non, Sire, c’est un raz-de-marée !

    salvinipontida.png

    Ceux qui ont trop pris l’habitude du pouvoir sont convaincus que le populisme n’est qu’une parenthèse. Ils pensent qu’il suffit de serrer les dents le temps d’un ou deux mandats et que les choses retourneront à la normale dans les quelques pays qui ont cédé. Il faut supporter Salvini, Trump ou Orbán le temps que leurs électeurs se lassent d’eux. Leurs provocations et leurs excès finiront bien par lasser, n’est-ce pas ? Et si c’était plutôt l’inverse ? Et si la France était le prochain pays à tomber ?

    Casser les règles pour rétablir des règles

    Selon un récent sondage qui vient après beaucoup d’autres de la même teneur, 60 % des Français perçoivent les migrants comme une menace et ils sont même 77 % à penser que « l’arrivée d’un leader fort, capable de casser les règles » serait une « solution pour améliorer la situation du pays ». Il y a aujourd’hui en France une soif de démocratie, de respect de la volonté populaire qui est largement bafouée notamment sur la question de l’immigration. 

    Lire la suite

  • Coronavirus - Aix : "Ferme-la, Véran !", la grosse colère de Maryse Joissains

    Maryse Joissains-Masini, maire d'Aix-en-Provence. Maryse Joissains-Masini, maire d'Aix-en-Provence. 
     Par J.D. 

    Elle était remontée comme une pendule, ce soir, Maryse Joissains, lorsque sont tombées les annonces gouvernementales. 

    "Une catastrophe, je saute sur place, je suis dans une colère monstre", lâchait le maire d’Aix-en-Provence, pour qui ces mesures sont complètement disproportionnées. "Nous avons 5 malades en réanimation, et 10 personnes hospitalisées dans toute la ville" argumente-t-elle.

    Le maire pointe du doigt le gouvernement : "Je n’ai jamais vu ça ! Ça va trop loin ! Leur rôle est de protéger, de prévenir, voire de sanctionner, mais pas d’instaurer un climat anxiogène comme cela ! Les gens ne vont plus vouloir mettre leurs enfants à l’école, les commerçants vont faire faillite ! Il faut calmer les gens, ils font tout le contraire... Là, on dérape, moi je dis : ferme-la, Veran ! La haute administration est en train de devenir folle".

    Maryse Joissains le dit sans ambage : "Je considère que le gouvernement est directement responsable de la grave crise économique qui s’annonce. Je n’ai pas envie qu’on ruine ma ville, mes commerçants".

    http://by-jipp.blogspot.com/2020/09/coronavirus-aix-ferme-la-veran-la.html

  • Thierry Mariani : “Chez LR, ils vont continuer à promettre des mesures de fermeté sans jamais pouvoir les appliquer”

    Thierry Mariani : “Chez LR, ils vont continuer à promettre des mesures de fermeté sans jamais pouvoir les appliquer”

    Extrait de l’interview (Nice-Presse) de Thierry Mariani qui pourrait jouer un rôle important au sein de la liste RN en PACA pour les régionales :

    (…) Chez LR, des élus comme Éric Ciotti et Lionnel Luca semblent, sur certains points, proches de vos idées et de celles du Rassemblement national. C’est à eux que vous vous adressez ?

    Les choses ne sont pas simples. Quand vous êtes maire ou élu départemental, vous ne pouvez pas prendre le risque de finir enclavé. Bien sûr que ces élus auraient leur place chez nous. Chez Les Républicains, ils vont continuer à promettre des mesures de fermeté sans jamais pouvoir les appliquer par peur de perdre les centristes ou l’adhésion des journalistes. On l’a vu sous Nicolas Sarkozy.

    Lire la suite

  • Le masque, uniforme de la Foule solitaire

    Le vêtement, comme la cuisine, et plus encore comme le langage figurent parmi les éléments significatifs d’une identité culturelle : ils constituent à la fois des codes propres à un groupe humain, à une nation particulièrement, et indiquent souvent le statut et le rôle qu’une personne possède au sein de l’ensemble. L’évolution des comportements dans ces domaines est donc pleine de sens, elle aussi.

    Lire la suite

  • Incendie du camp de Moria: la France s’engage à accueillir 150 migrants mineurs supplémentaires, portant le total à 500

    La France a décidé d’accueillir un total de 500 migrants mineurs rescapés de l’incendie qui a détruit le camp de Moria, sur l’île grecque de Lesbos, a annoncé mercredi 23 septembre le secrétaire d’Etat français aux Affaires européennes, Clément Beaune. «La France a déjà pris un engagement précis (pour l’accueil) de 350 mineurs et nous allons prendre un engagement de 150 mineurs supplémentaires», a-t-il précisé sur la radio RTL.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/incendie-du-camp-de-moria-la-france-sengage-a-accueillir-150-migrants-mineurs-supplementaires

  • Dr Maurice Berger : “L’Europe a besoin de la France, la France n’a pas besoin de la convention européenne des droits de l’homme, c’est une question de courage politique” (Vidéo)

    Dr Maurice Berger, pédopsychiatre, psychanaliste, spécialisé dans la prise en charge des enfants et des adolescents violents. Il a exercé pendant quarante ans à l’hôpital puis en centre éducatif renforcé (CER). Il est également enseignant à l’École nationale de la magistrature. via Fdesouche


    https://www.tvlibertes.com/actus/dr-maurice-berger-leurope-a-besoin-de-la-france-la-france-na-pas-besoin-de-la-convention-europeenne-des-droits-de-lhomme-cest-une-question-de-courage-p

  • Gestion du Covid : de la faillite du gouvernement à la faillite de l’économie

    800px-bar-p1030319-800x475.jpg

    On ne sait pas combien de vies ces fermetures vont sauver. On peut prédire, en revanche, le nombre de PME qu'elles vont tuer...

    Il paraît que la lutte contre le coronavirus est l’équivalent d’une guerre, dixit . Pour mener une guerre, il faut des moyens, de la rigueur, une stratégie claire, un état major éclairé, inflexible et déterminé. Et non une armée mexicaine de pseudo-spécialistes, sous influence pharmaceutique, dirigée par des chefs sans colonne vertébrale et, surtout, soucieux de leur com’ et de leur risque pénal.

    Lire la suite

  • Marion Maréchal : « Il faut peut-être se défaire de l’idée de l’homme providentiel »

    Marion Maréchal répond aux questions de Boulevard Voltaire sur le centre d’analyse et de prospective que lance l’ISSEP (Institut de sciences sociales, économiques et politiques qu’elle a fondé en 2018), la situation politique et le cap à tenir, la présidentielle de 2022 et l’avenir de la droite.

    Vous avez fondé le Centre d’Analyse Prospective. Quel est le but de ce think tank ?

    Un laboratoire d’idée comme on dirait en français. L’idée est de développer le pôle recherche de l’ISSEP qui a déjà un pôle formation avec la formation continue et le magistère, de contribuer au débat d’idée public et politique en s’emparant de sujets qui, selon moi, de manière très discrétionnaire, sont peu ou mal exploités. L’originalité de ce laboratoire d’idée viendra moins sur le modèle. On peut retrouver des grands think tank aujourd’hui, que ce soit l’institut Montaigne, l’IFRAP ou autre. Cette originalité viendra plutôt des sujets dont on s’emparera et des contributeurs qui seront associés.

    Ce think tank a été lancé notamment parce que vous avez fait le constat que les partis politiques sont un modèle sans doute dépassé. On l’a vu récemment avec la République En Marche qui a perdu ses différents cadres comme si finalement ce parti était une espèce de kit jetable donné à Emmanuel Macron le temps de se faire élire. Maintenant, il ne sert plus à rien…

    Lire la suite

  • Les trois aveux de Mélenchon

    safe_image.php.jpg

    Vincent Vauclin

    président du Mouvement national-démocrate

    Le discours prononcé cette semaine par Jean-Luc Mélenchon - à l'occasion du lancement de l'Institut de la Boétie, le nouveau think-tank de la France Insoumise - restera dans l'histoire récente comme le moment charnière et fondateur de la nouvelle gauche. Prenant acte d'une mutation idéologique déjà bien engagée, Jean-Luc Mélenchon a finalement franchi le rubicon qui le séparait encore des courants les plus gauchisants de sa mouvance pour embrasser sans réserve la cause indigéniste et se débarrasser des derniers oripeaux de la gauche ouvrière du siècle dernier, républicaine et vaguement cocardière, dans les plis desquels il feignait encore jusqu'ici de draper son discours.

    Lire la suite