France et politique française - Page 1286
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Coronavirus : le désastre politique? Jonathan Sturel
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Dr Maurice Berger : “L’Europe a besoin de la France, la France n’a pas besoin de la convention européenne des droits de l’homme, c’est une question de courage politique” (Vidéo)
Dr Maurice Berger, pédopsychiatre, psychanaliste, spécialisé dans la prise en charge des enfants et des adolescents violents. Il a exercé pendant quarante ans à l’hôpital puis en centre éducatif renforcé (CER). Il est également enseignant à l’École nationale de la magistrature. via Fdesouche
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Gestion du Covid : de la faillite du gouvernement à la faillite de l’économie
On ne sait pas combien de vies ces fermetures vont sauver. On peut prédire, en revanche, le nombre de PME qu'elles vont tuer...
Il paraît que la lutte contre le coronavirus est l’équivalent d’une guerre, dixit Emmanuel Macron. Pour mener une guerre, il faut des moyens, de la rigueur, une stratégie claire, un état major éclairé, inflexible et déterminé. Et non une armée mexicaine de pseudo-spécialistes, sous influence pharmaceutique, dirigée par des chefs sans colonne vertébrale et, surtout, soucieux de leur com’ et de leur risque pénal.
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Marion Maréchal : « Il faut peut-être se défaire de l’idée de l’homme providentiel »
Marion Maréchal répond aux questions de Boulevard Voltaire sur le centre d’analyse et de prospective que lance l’ISSEP (Institut de sciences sociales, économiques et politiques qu’elle a fondé en 2018), la situation politique et le cap à tenir, la présidentielle de 2022 et l’avenir de la droite.
Vous avez fondé le Centre d’Analyse Prospective. Quel est le but de ce think tank ?
Un laboratoire d’idée comme on dirait en français. L’idée est de développer le pôle recherche de l’ISSEP qui a déjà un pôle formation avec la formation continue et le magistère, de contribuer au débat d’idée public et politique en s’emparant de sujets qui, selon moi, de manière très discrétionnaire, sont peu ou mal exploités. L’originalité de ce laboratoire d’idée viendra moins sur le modèle. On peut retrouver des grands think tank aujourd’hui, que ce soit l’institut Montaigne, l’IFRAP ou autre. Cette originalité viendra plutôt des sujets dont on s’emparera et des contributeurs qui seront associés.
Ce think tank a été lancé notamment parce que vous avez fait le constat que les partis politiques sont un modèle sans doute dépassé. On l’a vu récemment avec la République En Marche qui a perdu ses différents cadres comme si finalement ce parti était une espèce de kit jetable donné à Emmanuel Macron le temps de se faire élire. Maintenant, il ne sert plus à rien…
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Les trois aveux de Mélenchon
Vincent Vauclin
président du Mouvement national-démocrate
Le discours prononcé cette semaine par Jean-Luc Mélenchon - à l'occasion du lancement de l'Institut de la Boétie, le nouveau think-tank de la France Insoumise - restera dans l'histoire récente comme le moment charnière et fondateur de la nouvelle gauche. Prenant acte d'une mutation idéologique déjà bien engagée, Jean-Luc Mélenchon a finalement franchi le rubicon qui le séparait encore des courants les plus gauchisants de sa mouvance pour embrasser sans réserve la cause indigéniste et se débarrasser des derniers oripeaux de la gauche ouvrière du siècle dernier, républicaine et vaguement cocardière, dans les plis desquels il feignait encore jusqu'ici de draper son discours.
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Sur Boulevard Voltaire, Marie Fatima Hutin : Le racialisme est un racisme importé!
Cofondatrice et trésorière de Sens Commun (parti appartenant à la galaxie LR), Marie Fatima Hutin avait poussé un coup de gueule sur Twitter contre les dérives racialistes présentes dans la société Française.
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Charlie Hebdo : le difficile équilibre entre courage et préjugé
En cette période du procès des attentats de 2015, dans Charlie Hebdo du 23 septembre 2020 (journal irritant, très irritant même parfois, mais c’est leur ADN et ses journalistes sont très courageux), sur les deux pages centrales un titre : « ATTENTATS : PUISQU’ON VOUS DIT QUE C’EST PAS LA FAUTE A L’ISLAM ! »
Titre bien sûr ironique, accompagné de quatre articles plutôt tranchants qui tentent de démonter les excuses faciles le plus souvent utilisées pour nepasferdamalgam.
Le premier est intitulé : « Le fanatisme, c’est plus compliqué que ça ». On y trouve :
« Tous savent que derrière les menaces et les crimes, il y a une idéologie politique religieuse totalitaire… La volonté de ne pas « stigmatiser » les croyants musulmans, de ne pas faire d’ « amalgames », a bon dos… Bien qu’il avance parfois masqué, l’islamisme est aujourd’hui la doctrine politique totalitaire la plus expansive ».
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Ces Français que l’on prend pour des cons…
Franchement, ces Français ! Des bas de plafond, des nez de bœufs, des crétins des Alpes. Quand ça arrange, c’est le peuple le plus intelligent de la Terre : par exemple, au moment des élections, pour leur faire comprendre qu’au pays des Lumières, on ne peut pas prendre le risque de l’éteindre sur le coup d’un soir de scrutin. Mais sinon, entre nous soit dit : des abrutis !
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Préfacé par Georges Feltin-Tracol, un nouvel essai de Franck Buleux : LA GUERRE SOCIALE QUI VIENT
Cet essai revêt un double objectif : dénoncer, mais aussi prévenir. Notre société doit consacrer une partie de son énergie à lutter contre cette guerre sociale qui vient. Pour cela, deux remèdes s’imposent : l’un est d’ordre policier, le renseignement, l’autre, idéologique : il consiste à délégitimer les actions qui puisent leurs sources dans un combat considéré médiatiquement comme « vertueux ». Cet essai est aussi une mise en garde. L’ordre ne succède pas toujours au chaos.
Franck Buleux, écrivain normand engagé, directeur de la collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme, collabore régulièrement à la revue Synthèse nationale.
La Guerre sociale qui vient, Franck Buleux, Dualpha, préface de Georges Feltin-Tracol, 208 pages, 25 euros (+ 5 euros de port).
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Raoult-Zemmour-Onfray : 3 gêneurs à éliminer, vite !