Cofondatrice et trésorière de Sens Commun (parti appartenant à la galaxie LR), Marie Fatima Hutin avait poussé un coup de gueule sur Twitter contre les dérives racialistes présentes dans la société Française.
France et politique française - Page 1286
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Sur Boulevard Voltaire, Marie Fatima Hutin : Le racialisme est un racisme importé!
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Charlie Hebdo : le difficile équilibre entre courage et préjugé
En cette période du procès des attentats de 2015, dans Charlie Hebdo du 23 septembre 2020 (journal irritant, très irritant même parfois, mais c’est leur ADN et ses journalistes sont très courageux), sur les deux pages centrales un titre : « ATTENTATS : PUISQU’ON VOUS DIT QUE C’EST PAS LA FAUTE A L’ISLAM ! »
Titre bien sûr ironique, accompagné de quatre articles plutôt tranchants qui tentent de démonter les excuses faciles le plus souvent utilisées pour nepasferdamalgam.
Le premier est intitulé : « Le fanatisme, c’est plus compliqué que ça ». On y trouve :
« Tous savent que derrière les menaces et les crimes, il y a une idéologie politique religieuse totalitaire… La volonté de ne pas « stigmatiser » les croyants musulmans, de ne pas faire d’ « amalgames », a bon dos… Bien qu’il avance parfois masqué, l’islamisme est aujourd’hui la doctrine politique totalitaire la plus expansive ».
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Ces Français que l’on prend pour des cons…
Franchement, ces Français ! Des bas de plafond, des nez de bœufs, des crétins des Alpes. Quand ça arrange, c’est le peuple le plus intelligent de la Terre : par exemple, au moment des élections, pour leur faire comprendre qu’au pays des Lumières, on ne peut pas prendre le risque de l’éteindre sur le coup d’un soir de scrutin. Mais sinon, entre nous soit dit : des abrutis !
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Préfacé par Georges Feltin-Tracol, un nouvel essai de Franck Buleux : LA GUERRE SOCIALE QUI VIENT
Cet essai revêt un double objectif : dénoncer, mais aussi prévenir. Notre société doit consacrer une partie de son énergie à lutter contre cette guerre sociale qui vient. Pour cela, deux remèdes s’imposent : l’un est d’ordre policier, le renseignement, l’autre, idéologique : il consiste à délégitimer les actions qui puisent leurs sources dans un combat considéré médiatiquement comme « vertueux ». Cet essai est aussi une mise en garde. L’ordre ne succède pas toujours au chaos.
Franck Buleux, écrivain normand engagé, directeur de la collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme, collabore régulièrement à la revue Synthèse nationale.
La Guerre sociale qui vient, Franck Buleux, Dualpha, préface de Georges Feltin-Tracol, 208 pages, 25 euros (+ 5 euros de port).
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Raoult-Zemmour-Onfray : 3 gêneurs à éliminer, vite !
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Macron met la France dans le rouge – JT du jeudi 24 septembre 2020
Au sommaire de ce journal : Les nouvelles restrictions imposées par le gouvernement. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a notamment décrété la fermeture des bars et restaurants dès samedi à Marseille. Une nouvelle catastrophe économique annoncée.
Nous évoquerons également les manœuvres au sein du groupe Mulliez. Avec la crise économique, la famille propriétaire d’Auchan, a placé plusieurs de ses enseignes en redressement judiciaire pour finalement les reprendre à moindres coûts.
Enfin, nous reviendrons sur le record du nombre d’avortements réalisés en 2019. Le président de la Fondation Lejeune, Jean-Marie Le Méné, nous livrera son analyse.
https://www.tvlibertes.com/macron-met-la-france-dans-le-rouge-jt-du-jeudi-24-septembre-2020
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Eric Zemmour : “L’immigration change la composition d’un peuple. C’est un crime contre les peuples européens, ça va finir en bain de sang ! (…) Faisons un référendum !” (Vidéo)
Éric Zemmour : « Faisons un grand référendum sur l’immigration. » Emission Face à l’info du 23/09/2020.
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Le totalitarisme, fils aîné de l'incurie macronienne.
Les mesures annoncées ce mercredi soir par le ministre de la santé, Olivier Véran, enfermant dans une dizaine de métropoles la population dans un carcan réglementaire qui ressemble comme deux gouttes de gel hydro-alcoolique à un reconfinement partiel, imposant un couvre-feu de fait et mettant en péril de nombreux commerces, bars et restaurants, sont punitives, liberticides et totalitaires.Elles sont la conséquence de l'incurie du gouvernement qui, en sept mois, n'a pas pris les décisions qui s'imposaient pour reconstruire un système hospitalier digne de la France, en rouvrant les lits fermés ces dix dernières années pour cause de non-rentabilité et pour redonner aux personnels soignants les moyens matériels d'exercer leurs missions. Un pouvoir qui n'a agi ni sur la porosité sanitaire des frontières ni sur le laisser-aller des zones de non-France dont personne n'ose dire qu'elles ont été parmi les principaux foyers de redémarrage du virus.Un jour les femmes et les hommes de ce régime devront répondre de leurs actes. -
Morts des dealers de Saint-Ouen : un écosystème mafieux en Seine-Saint-Denis, par Gabriel Robin.
© DR
Dans la nuit du 14 au 15 septembre, deux jeunes hommes ont été assassinés à Saint-Ouen, ville de Seine-Saint-Denis. Un d’entre eux était à peine sorti de l’enfance, il se prénommait Tidiane Bagayaoko et était âgé d’à peine 17 ans. L’autre personne ciblée dans cet assassinat s’appelait… Sofiane Mjaiber. Sous contrôle judiciaire pour une tentative d’homicide volontaire en 2017, il était surtout connu pour son militantisme associatif et sa proximité avec l’ancien maire PCF de la ville.
La série Engrenages diffusée depuis huit saisons sur Canal + n’est pas une fiction. Les liens unissant la voyoucratie de la banlieue parisienne – sortie de l’âge de l’enfance de l’art et désormais organisée en clans mafieux – et les pouvoirs politiques et économiques ont toujours suscité l’interrogation. Bien évidemment, de pareils soupçons sont extrêmement difficiles à prouver et plus encore à révéler. Il a toujours été dangereux de s’attaquer aux profitables entreprises commerciales occultes des criminels capables de prendre le risque d’éliminer physiquement leurs ennemis.
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Prétendre lutter contre le séparatisme et permettre à l’école l’enseignement de l’arabe dès 7 ans
On devait avoir, ce mardi 22 septembre, la leçon politique du président de la République sur le communautarisme… euh… non… sur le séparatisme, faut pas confondre ! On allait voir ce que l’on allait voir. Et puis, patatras ! Le discours est repoussé de dix jours, au 2 octobre. Le sujet est tellement nouveau, tellement inattendu, qu’il faut bien une grosse semaine pour peser ses mots. En réalité, on sait déjà ce qu’il va dire.
En effet, menton en avant et œil sombre, il avait déclaré, au Panthéon, le 4 septembre dernier : « Il n’y aura jamais de place en France pour ceux qui, souvent au nom d’un Dieu, […] entendent imposer la loi d’un groupe. Non, la République, parce qu’elle est indivisible, n’admet aucune aventure séparatiste. » De quel Dieu s’agit-il, qui prétend gouverner les Français ? « Mais c’est… bon dieu… c’est sûr ! » aurait dit le regretté Raymond Souplex-Bourrel en frappant du poing droit sa paume gauche. Macron nous offrait là une de ses mâles envolées pleines de bruits et de fureur, comme aurait dit Shakespeare.