France et politique française - Page 1283
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Sur Front Populaire, les black blocs sont-ils les idiots utiles du pouvoir macroniste ?
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PAYER PLUS POUR REMBOURSER PLUS : LA DETTE COVID19
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Neo : Bernard de La Villardière lance son alternative enracinée à Konbini et Brut
Le média digital Neo vient d’être lancé le lundi 30 novembre 2020. Son objectif ? Concurrencer Brut, Konbini, Loopsider et autres médias actifs sur les réseaux sociaux. Mais si le format sera similaire, il n’en est pas de même pour le fond.
Contre la repentance, pour promouvoir la France qui se lève tôt
Bernard de La Villardière qui en est le principal instigateur affiche clairement ses objectifs, celle d’un “média de proximité” qui parlera d’actualité mais aussi de “la France de Jean-Pierre Pernaut, celle de “Des racines et des ailes””.
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LE PARTI DE L’ÉTRANGER EST À L’ELYSÉE !
La récente disparition de VGE a rappelé à beaucoup son duel mortifère pour la droite contre Chirac. Avec une véhémence jugée par beaucoup excessive, ce dernier avait notamment lancé, le 6 Décembre 1978, son fameux appel de Cochin, dénonçant le “parti de l’étranger” qui désignait très clairement mais sans le nommer le président Giscard d’Estaing et le centre-droit pro-européen. Inspiré par Pierre Juillet et Marie-France Garaud, écrit sans doute par celle-ci, ce texte était, dans les mots et les idées, gaulliste, et donc légitime dans le cadre du débat démocratique national. Après la défaite aux élections européennes de 1979, Chirac devint davantage libéral, puis travailliste, puis redevint ce qu’il était vraiment, un bon radical opportuniste. Le RPR se maria avec l’UDF pour reprendre la plupart des thèses combattues auparavant. Entre-temps, la gauche était arrivée aux affaires, et le parti de l’étranger était ainsi devenu réalité. Avec Macron qui veut réunir le centre-gauche et certains des héritiers du giscardisme, les “orléanistes”, comme aurait dit René Rémond, cette vérité est criante, mais comme dans le conte où à force d’annoncer le loup à tort, le crieur n’est pas cru lorsque le loup arrive vraiment, il n’y a plus aucun veilleur capable de lancer l’appel de façon à être entendu, aucun pour clamer que le parti de l’étranger, plus destructeur que jamais, est à l’Elysée !
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Le 4ème Pouvoir au service des Français
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Jean-Paul Gourévitch : “Plus personne n’ose avancer que l’immigration en France est financièrement bénéfique” (Entretien)
[…] La situation est en train de changer. La question des coûts de l’immigration n’est plus taboue. Elle est loin la période où les grands médias, s’appuyant sur une étude de 2010 de Xavier Chojnicki qu’ils instrumentalisaient, proclamaient que « l’immigration rapporte 12 milliards à la France ». Plus personne n’ose avancer qu’en France l’immigration, dans l’ensemble de ses dimensions, est financièrement bénéfique. […]
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Retour sur CMRDS d'exception !
« Servir l’état ? Servir la France ! » Tel était le mot d’ordre de ce camp Maxime Real Del Sarte édition 2020 pour les nombreux campeurs qui étaient présents pour cette semaine. Malgré la pandémie, le camp de cette année a battu un record historique avec 270 participants.
Durant cette semaine une formation exigeante a été donnée avec plus de 7h de formation intellectuelle par jour avec pour thème la justice, la santé, la finance, la sécurité extérieure et l’enseignement traité au regard de l’empirisme organisateur. Avec des intervenants de qualité, qu’on ne pourra malheureusement pas tous citer, comme Bernard Lugan, Frédéric Rouvillois ou bien encore Henri Bec, président de la Restauration nationale – Comité royaliste d’Action française.
Mais le CMRDS, au-delà de la formation intellectuelle proposée, c’est aussi une pratique journalière du sport. Associez ce sport à la camaraderie qui se dégage obligatoirement d’un tel évènement, ainsi vous obtenez des sessions sportives riches en émotions, des moments de repos où se mélangent histoires et anecdotes.
Cette semaine s’est clôturée avec l’université d’été, ouverte à tous et s’inscrivant dans une démarche de réflexion autour d’un sujet, cette année « La cause du peuple » et le banquet des camelots, qui est sûrement le moment le plus attendu par les militants. Celui-ci est un banquet qui mélange toutes les générations pour profiter d’un bon repas et d’un moment convivial.
Alors, que vous soyez sympathisant, curieux ou bien sceptique, le meilleur moyen de se faire une idée, c’est de venir et pour venir c’est simple ; la 3ème semaine du mois d’août, au Château d’Ailly, nous vous y attendrons.
Source : https://www.actionfrancaise.net/ via http://lafautearousseau.hautetfort.com/
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Covid-19 – La France entre en dépression
Depuis le 17 mars dernier, la France retient son souffle. Une sorte de gigantesque apnée qui est en train de tuer la population à petit feu. Pendant ce temps-là, notre gouvernement s’improvise médecin et en a oublié de gouverner. A écouter les grands pontes du conseil scientifique il faudrait arrêter de vivre jusqu’à la disparition complète du virus. Sous peine d’en mourir. Sauf que les mesures censées épargner la santé des Français sont en train de les tuer beaucoup plus sûrement et de façon beaucoup plus systématique que ne le ferait le coronavirus. Financièrement, c’est évident, mais aussi psychologiquement.
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Pourquoi le nucléaire est notre avenir
Par Edouard Tétreau
Nous n’avons plus les moyens de nous payer ces jouets-là. » En apprenant la semaine dernière la décision du président de la République de construire le successeur du porte-avions nucléaire « Charles-de- Gaulle », je me suis rappelé cette phrase d’un mandarin de l’administration juridico-comptable du pays. Je rentrai d’un séjour à bord de ce porte-avions, en 2014, impressionné par l’autonomie et la puissance de ce bâtiment tirant derrière lui nos industries de pointe : nucléaire, aéronautique, chantiers navals, systèmes de télécommunications, de signalisation et de radars. Non, le porte-avions « Charles-de- Gaulle » n’est pas un « jouet » pour haut fonctionnaire cynique : sans lui et son successeur, notre dissuasion, notre capacité à nous déployer diplomatique- ment et militairement partout dans le monde, et la pérennité de nos industries les plus stratégiques, seraient en danger de mort.
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Cessez de jouer les pleureuses!