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France et politique française - Page 1547

  • Nicolas Dupont-Aignan, sur la crise Covid-19 : “ce qui se passe dans les Ehpad est une indignité nationale”

    Nicolas Dupont-Aignan estime que l’Etat a décidé de ne pas envoyer les personnes âgées malades en réanimation. Il se dit choqué de la gestion “en dépit du bon sens” de la crise sanitaire dans les Ehpad en France et réclame une commission d’enquête.

    https://www.tvlibertes.com/actus/nicolas-dupont-aignan-sur-la-crise-covid-19-ce-qui-se-passe-dans-les-ehpad-est-une-indignite-nationale

  • Xavier Raufer sur les émeutes dans les banlieues : « Il y a une grande lâcheté de l’appareil d’État »

    Les banlieues françaises sont-elles en train de s’embraser ? Quelle est la réalité du terrain dans les banlieues ? Ces quartiers « sensibles » vivent-ils un nouveau 2005 ?

    Xavier Raufer, criminologue, enseignant au CNAM (Conservatoire national des arts & métiers) au pôle sécurité-défense/criminologie répond à toutes ces questions.

  • Gérard Bardy : « Le plus grave est le silence complice des journalistes sur la mortalité dans les EHPAD »

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    Le journaliste et écrivain Gérard Bardy, ancien rédacteur en chef à l’AFP, analyse la façon dont les médias français couvrent la crise du Covid-19 et partage son inquiétude sur l’avenir de cette profession en pleine mutation.

    Comment analysez-vous la manière dont la presse française traite cette crise ?

    Pour suivre les informations concernant le Covid-19 sur plusieurs grands médias étrangers, je peux dire, par comparaison, que la presse française ne devrait pas sortir grandie de cet épisode ! À de rares exceptions près, dont il faut saluer le courage, les journalistes font du suivisme, relayant en boucle les informations officielles sans oser poser la moindre question qui dérange.
    Sur la suppression des stocks de masques sous Hollande/Touraine, sur la non-reconstitution de ces stocks et la non-préparation d’une stratégie de crise sanitaire sous Macron/Buzyn, sur l’absence de masques, de combinaisons, de gants, etc., dans de nombreux établissements hospitaliers et maisons de grand âge, plus de deux mois après le début de la crise… sur tout cela, c’est-à-dire ce qui préoccupe quotidiennement les Français, aucune enquête de fond dans les médias !

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  • Eric Zemmour : « Si on autorise les musulmans à fêter le Ramadan tous les soirs entre voisins, pourquoi ne pas avoir autorisé les chrétiens à fêter Pâques ? »

    Pour Éric Zemmour, c’est très clair! Si on autorise les musulmans à fêter le Ramadan tous les soirs entre voisins, pourquoi n’avoir pas autorisé les Juifs à fêter Pessah et les Chrétiens Pâques!! Extrait de Face à l’info sur Cnews.

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  • Le pire est à venir, par Maxime Tandonnet

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    L’objectif n’est pas de faire peur, mais de se préparer au moins mentalement. Dix millions de personnes au chômage, (même « partiel »), soit un tiers de la population active, des centaines de milliers de petits commerces, entreprises de restauration, PME ruinés, plus de 20 000 morts, la liberté d’aller et venir saccagée, l’explosion de violence dans les banlieues: la France comme le monde occidental connait un ébranlement titanesque. Le virus n’est sans doute que l’étincelle qui a mis le feu aux poudres. La crise de civilisation couvait. Attention! Nous n’en sommes sans doute qu’au début de la catastrophe.

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  • L'apocalypse molle Entretien avec Nicolas Bonnal

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    Cela faisait quelque temps que l'on avait perdu la trace de Nicolas Bonnal, conservateur vagabond dont on lisait les chroniques dans Le Libre Journal de la France courtoise de Serge de Beketch. Il nous revient avec Mal a droite, son dernier livre, qu'il faut lire de toute urgence. S'il est vrai que la culture, c est ce qu'il reste quand on a tout oublié, eh bien, Nicolas Bonnal est la culture à lui tout seul un îlot de science dans un océan d'insignifiance.

    Le Choc du mois : Il y a des apocalypses dures, d'autres qui sont molles. C'est le propos de votre dernier livre, Mal à droite...

    Nicolas Bonnal : Peut-être y a-t-il dans l'histoire un mouvement de balancier permanent que l'on pourrait résumer en termes schopenhaueriens en un va-et-vient de souffrance et d'ennui. La souffrance correspondant aux époques de brutalité, famines et guerres. L’ennui, où nous nous trouvons présentement, aux époques molles. Car l'apocalypse, aujourd'hui, est fatiguée. Elle a la gueule de bois, la gueule de Moi, la gueule du Mal de vivre générationnel. On l'a trop attendue et elle n'est pas venue. Ou plutôt, elle nous est arrivée toute ramollie. Notez que c'était le cas de l'empire romain. Prenez Cléopâtre de Mankiewicz avec Elizabeth Taylor et Richard Burton, c'est déjà l'apocalypse molle. Du pain, des jeux et des « people », avec les amours de Cléopâtre. Rien de nouveau sous le soleil. On disposait alors d'un confort matériel relatif imposé par la force impériale. Le modèle américain s'est imposé grâce à la bombe atomique le modèle romain, grâce aux conquêtes et à la réduction en esclavage des peuples qui avaient résisté. Ensuite, on allait aux thermes, aux bains, aux jeux, voir les chrétiens se faire massacrer et les lions dévorer les petites filles. À cela, notre époque a ajouté la dimension technologique, forme aiguë d'aliénation. Les Romains n'avaient pas d'iPod. Aujourd'hui, c'est l'iPod qui fait l'homme, et non pas l'inverse. Plutôt que de télécharger sur Internet les grands textes latins, on va sur Facebook exhiber ses fesses ou son visage.

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  • Le recours au Moyen Age

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    Collaborateur régulier de la presse monarchiste ainsi qu'au quotidien Présent et à la revue Synthèse nationale, Aristide Leucate est intervenu plusieurs années durant comme chroniqueur dans l'émission "Synthèse" animée par Roland Hélie et Philippe Randa sur Radio Libertés. Dans le cadre de notre enquête, il nous livre ici ses réflexions sur l'après coronavirus...

    S.N.

    Aristide Leucate

    Et si l’on revenait au Moyen Age ?

    J’entends d’ici les bonnes âmes se récrier, trépigner, s’offusquer, hurler au scandale sur le ton courroucé du « mais vous n’y pensez pas », et, dans le même temps (attitude très à la mode, ces derniers temps), condamner sans appel ce « retour à l’obscurantisme et à l’ignorance », à ces autres heures sombres où la peste, la misère, l’Inquisition, les corvées, les guerres féodales, le servage et la sorcellerie, s’abattaient sur le monde comme les sept plaies d’Egypte. Et tous d’invoquer en chœur les mânes de Michelet.

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  • Anarchie partout désormais, par Jacques de Guillebon Rédacteur en chef de l’Incorrect.

    3834054413.24.jpgMonsieur le préfet de Marseille, si les propos que vous prête Le Point sont avérés, vous êtes une ordure : «  Certes, nous ne pourrons pas éviter que les gens se rendent visite les uns les autres dans une même barre d’immeubles, y explique Emmanuel Barbe, donc préfet de Marseille, parlant du ramdam qui va commencer dans trois jours. Mais, là, il s’agit d’une question de responsabilité individuelle. Il me semble que la période du ramadan permet encore plus que d’habitude de veiller les uns sur les autres  ». Donc si vous avez dit ça, vous être une quadruple ordure.

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  • La pandémie, prétexte pour Emmanuel Macron à «  aller plus loin, plus fort  » vers le fédéralisme européen

    La pandémie, prétexte pour Emmanuel Macron à «  aller plus loin, plus fort  » vers le fédéralisme européen

    Emmanuel Macron a appelé à «  aller plus loin, plus fort  » vers la souveraineté européenne, «  un concept que la France pousse depuis près de trois ans  ». Un concept absurde car il n’y a de souveraineté que nationale. Ce que Macron nomme la souveraineté européenne est un oxymore. Il plaide de fait pour plus de fédéralisme, alors que tout le monde peut constater que cela ne fonctionne pas. Mais pour ne pas employer ce mot répulsif, contraire au principe de subsidiarité, Macron utilise la méthode expliquée par Orwell dans son roman de 1984 : il faut appeler bien le mal et le mal bien.

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  • JT de la dissidence n°4 : Crise a l'UPR, Batdaf, Bataille de France, les prétendants !