France et politique française - Page 1655
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Michel Onfray - La France tombera trés bas.
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Les médias de grand chemin nous imposent leurs propagande
Samedi, les journaux titrent, scandalisés :Tout juste acquitté, Donald Trump congédie deux membres de son administration qui avaient témoigné contre luiDes élus démocrates ont aussitôt dénoncé ces "représailles" de la part du président américain.Le même jour, les mêmes journalistes titrent en applaudissant :Merkel congédie un membre de son gouvernement jugé trop proche de l’extrême-droiteChristian Hirte s’était félicité de l’élection d’un nouveau dirigeant de la région de Thuringe grâce aux voix du parti démocrate-chrétien CDU et du parti AfD. -
Criminalité et délinquance en Ile de France : “près de 40 % des mis en cause sont des étrangers”
C’est la préfecture de police qui le dit. par ailleurs, la proportion des étrangers mis en cause ailleurs en France est également très élevée. Mais puisqu’on vous dit qu’il n’y a aucun lien entre immigration et délinquance… Et les chiffres ne précisent pas la proportion des issus de l’immigration dans les 60% restants :
D’une manière générale, tous types de crimes et délits confondus, «près de 40 % des mis en cause» dans l’agglomération parisienne sont «de nationalité étrangère», qu’ils soient clandestins ou en situation régulière, révèle la «PP».
C’est deux fois plus qu’ailleurs en France, en zone police, où les étrangers pèsent 20 % des mis en cause. La proportion est même de 47,6 % dans Parisintra-muros. Un mis en cause sur deux. Le ratio est de 12,5 % de mis en cause étrangers à la DDSP du Nord, 27,4 % dans celle du Rhône et 22,3 % dans celle des Bouches-du-Rhône.
Lors d’un procès intenté à Eric Zemmour en 2016, Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre de l’Intérieur, avait écrit au président du tribunal :
Il suffit, comme j’ai eu l’occasion de le faire, de consulter les listings de la Direction centrale de la sécurité publique du ministère de l’intérieur, pour constater que plus de 50% des infractions constatées étaient imputables à des jeunes dont le patronyme est de consonance africaine ou maghrébine.
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60% des Français pensent qu’un second tour Macron/Le Pen est probable, mais 80% ne le souhaitent pas, selon un sondage
6 Français sur 10 pensent que la prochaine présidentielle sera un duel Macron-Le Pen. Toutefois, 80% des personnes interrogées par l’institut Elabe pour BFMTV ne sont pas satisfait de ce duel annoncé. Ils sont, par ailleurs, 72% à se dire insatisfait de l’offre politique actuelle. (BFMTV)
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L’homme d’action face aux femelles et aux capons
Bernard Plouvier
Il y a deux millénaires, un très grand esprit semble avoir enseigné cette profonde vérité : « C’est aux fruits qu’on juge l’arbre ». Et nos paysans répètent depuis des siècles qu’on récolte ce qu’on a semé... du moins en qualité, la quantité dépendant d’une foule d’éléments contingents.
Les pays d’Europe occidentale et scandinave sont gouvernés par des femelles et des capons, et sont donc des proies faciles pour les masses d’immigrés d’origine extra-européenne. Et, en France macronienne, l’on n’a même plus le droit d’énoncer cette évidence : l’immigration à coup de millions de femmes, d’hommes et d’enfants, cela s’appelle une "invasion".
L’"invasion" que nous subissons – sans avoir été consultés, ce qui témoigne du caractère totalitaire des régimes européens, singulièrement du français - n’est pacifique qu’en apparence, parce que dans le lot des aimables réfugiés politiques, économiques, sanitaires, climatiques etc, se sont glissés nombre d’adeptes du Djihâd, comme nul ne l’ignore depuis 2014 sq.
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#38 - Denis COLLIN pour son livre “Après la gauche”
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« L’Égyptien du FN » et le « député chinois » répondent au rappeur Rost
Au micro de Boulevard Voltaire, Jean Messiha et Joachim Son-Forget répondent au rappeur Rost qui a qualifié le premier d’« Égyptien du Front national » et le second de « député chinois », sur le plateau de « Morandini Live », se refusant à les nommer.
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De Dreux à la France, l’éditorial de François Marcilhac.
L’important entretien que le comte de Paris a accordé à Frédéric de Natal pour le mensuel L’Incorrect [1] du mois de février est, par la teneur de ses propos, un acte politique fort, qui s’inscrit dans la suite d’un premier acte, majeur celui-là, à la fois religieux et politique, qui fut la demande de pardon du Prince, le matin du 21 janvier dernier, au début de la messe pour Louis XVI, des fautes commises par ses ancêtres, notamment par Philippe-Égalité.
Toutes choses étant égales par ailleurs, c’est immédiatement à la décision de Jeanne d’Arc d’aller sacrer le « gentil Dauphin », pourtant déjà Charles VII de jure, que fait penser cette décision de Jean IV de demander pardon : la politique de Jeanne d’Arc eut pour fondement le sacre, sans lequel Charles VII n’était pas totalement établi dans ses droits, et le premier de celui-ci : servir le pays. De même, la politique de Jean IV aura désormais pour fondement cette demande de pardon : « Le décès de mon père l’année dernière, le jour même, quasiment à l’heure même, de celui du roi Louis XVI, a signifié pour moi que la boucle devait être bouclée. » « Je souhaitais clore tout cela » — « une trace et un reproche », même infondé — « pour me tourner vers l’avenir. »
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Il y aurait 2,6 millions de cartes vitales en trop mais pas «plus de consommation» de prestations
Lors d’une commission parlementaire réunie sur le sujet mardi, Mathilde Lignot-Leloup, directrice de la Sécurité sociale, a reconnu un surnombre de 2,6 millions de cartes vitales actives, faisant craindre à certains observateurs une fraude sociale de grande ampleur. Elle a cependant précisé que celui-ci n’entraînait pas «plus de consommation» de prestations.
Un chiffre qui est moins élevé que le précédent écart officiellement reconnu : en octobre dernier, la Caisse nationale de l’assurance maladie (CNAM) avait admis auprès d’une mission d’enquête parlementaire un différentiel de 5,2 millions de cartes vitales actives. […]
Le surnombre officiel reste toutefois particulièrement élevé. «Le député Michel Zumkeller a bien expliqué en commission que ces millions de cartes vitales représentaient un enjeu de 9 milliards d’euros par an pour l’assurance maladie», souligne auprès du Figaro Charles Prats, magistrat délégué de l’association professionnelle des magistrats. Le magistrat, qui a fait de la lutte contre la fraude sociale son cheval de bataille, note que «le président de la commission Patrick Hetzel a dû insister à trois reprises» avant d’obtenir le chiffre. «Et maintenant on fait quoi ?» se demande l’ancien magistrat de la délégation nationale à la lutte contre la fraude. […]
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Un référendum sur les retraites, et plus encore !, par Ivan Rioufol
Un référendum sur les retraites ? Excellente idée ! Le gratin du reliquat de la vieille gauche – communistes, insoumis, socialistes, belles âmes satisfaites – est accueilli ce lundi par L’Humanité autour d’une pétition intitulée : “Monsieur le président, soumettez votre réforme au référendum“.
Plus de 140 signataires (comédiens, réalisateurs, sociologues, syndicalistes, avocats, etc.) ont paraphé le texte. Il y est notamment écrit : “Tout est organisé pour contourner le débat devant la représentation nationale et inciter les parlementaires à voter à l’aveugle, avec le recours programmé à pas moins de 29 ordonnances”. A dire vrai, d’autres avant eux avaient également émis cette même proposition d’un appel au peuple, sans que les pétitionnaires de L’Huma les appuient.C’est le travers de cette gauche mirobolante et sermonnaire : elle croit à chaque fois avoir inventé la poudre, sans se rendre compte que, bien souvent, d’autres l’ont précédée. Cette fois, nos merveilleux n’ont visiblement pas tenu grief au quotidien communiste d’avoir publié, le 31 janvier, un dossier répugnant sur les violences policières (“Stop à l’impunité !”). Selon L’Humanité, 26 personnes auraient été tuées en 2019 par les forces de l’ordre. Dans cette comptabilité, le quotidien a mis le nom de Mickaël Harpon, effectivement abattu le 3 octobre dans la cour de la préfecture de police de Paris. Mais Harpon, converti à l’islam radical, venait de tuer au couteau quatre fonctionnaires de police. Une victime, vous dit-on. Mais passons.
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