On a le droit de s'offrir de petites joies avec certains travers de notre vie politique et de ceux qui ont l'honneur de présider notre pays.
Si Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron sont liés par une complicité quasi amicale, le second exploitant avec un grand art la propension du premier à se croire toujours nécessaire, autre chose les unit (voir le billet du 18 août 2019 "Macron-Sarkozy : l'habileté de l'un, la vanité de l'autre...").
En effet combien de fois, durant son quinquennat, Nicolas Sarkozy ne nous a-t-il pas annoncé qu'il avait changé, moins d'ailleurs sur le plan politique que sur le plan personnel ! On pouvait faire des progrès en calcul rien qu'en dénombrant ses métamorphoses proclamées comme, d'ailleurs, dans un tout autre registre, la multitude de ses invocations à la présomption d'innocence.


C’est devenu un enjeu de taille pour la criminalité. Les vols des masques de protection anti-Covid-19, désormais essentiels à tout un chacun à l’heure du déconfinement, se sont multipliés dans l’Hexagone et se vendent au prix fort sur les marchés clandestins. Jeudi dernier, le maire communiste de Montreuil, une ville située en Seine-Saint-Denis (93) a déploré la disparition de centaines de milliers de masques dont une partie était destinée à ses administrés.
Mai 68 n'est pas un phénomène né spontanément en France. Il est la rupture d'un point d'équilibre au sein d'une société qui défend encore des valeurs traditionnelles dont le général De Gaulle a épuré les meilleurs défenseurs (en 1944 à la Libération puis en 1962 à la fin de l'Algérie française).

Georges Feltin-Tracol

