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France et politique française - Page 1745

  • Les funérailles de Jean-Luc Mélenchon

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    Ou Mélenchon à la manif contre l'islamophobie

    Faut reconnaître que Mélenchon a eu un bel enterrement. Quasiment des funérailles nationales. Pas comme celles de Mitterrand qu’il admirait tant, mais pas loin. Il est vrai qu’on en avait peut-être fait un peu trop, pour le Président charentais. André Santini, à l’époque, avait même trouvé qu’on n’en avait pas fait autant pour Giscard ! Certes, entre la Bastille et la Nation, cela aurait eu plus de gueule – de sens, on sait pas, mais de gueule, c’est sûr. Le convoi funéraire avait quand même pour destination finale Nation, c’est déjà ça. Pas mal, comme endroit, pour se faire enterrer de son vivant.

    Du monde ? Pas mal. On dit autour de 13.500 personnes. Ça ne serait pas entré dans Notre-Dame ou Saint-Sulpice, mais vu que Jean-Luc est un laïque de stricte observance, pas de regrets à avoir, du coup. À part les regrets éternels, évidemment. Et l’ambiance, pas trop lourde, l’ambiance ? Pas du tout. Un enterrement comme on aimerait en avoir un : pas compassé pour un sou, bon enfant, convivial, j’allais dire primesautier. On chantait, on tapait dans les mains, on rigolait. Pour paraphraser le délicieux Ludwig von Apfelstrudel, si, place de la Nation, ça n’a pas fini en farandole en chantant des tyroliennes (c’était pas trop le genre), faut reconnaître qu’on n’a pas dû regretter son après-midi. Clémentine n’avait même pas mis le voile noir qui sied pourtant si bien au chœur des pleureuses en ces tristes circonstances. Mais cela faisait ressortir d’autant la belle chevelure blonde d’Autain.

    Et sinon, la gauche avait envoyé des délégations pour tenir les cordons du poêle et signer les registres à la fin des obsèques ? La gauche, c’est-à-dire ? Le Parti socialiste, par exemple. Euh, non. Personne. Faut dire, déjà, qu’ils ne sont plus très nombreux : entre les morts, les morts-vivants et ceux qui ont refait leur vie chez Macron. Certes, « mort, même l’ennemi a droit au respect », disait récemment Jean-Marie Le Pen à propos de Jacques Chirac, mais ils avaient peut-être bien compris qu’assister à l’enterrement de Mélenchon entouré d’une telle pompe funèbre, c’eût été finir de s’enterrer eux-mêmes. Cette lucidité des derniers instants !

    Georges Michel

    https://www.bvoltaire.fr/les-funerailles-de-jean-luc-melenchon/

  • Le Parti de la France : vers un élan nouveau.

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    1225097535.30.jpgL'avis de Jean-François Touzé
    Après 42 ans d'engagement militant qui l'ont conduit à exercer les plus hautes responsabilités à la direction du Front national d'abord, à la tête du Parti de la France ensuite, Carl Lang, ancien député européen, président du groupe FN au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, a décidé, pour des raisons qui le regardent et au terme d'une longue réflexion, de se retirer de la présidence du PdF et de prendre du champ par rapport à la politique active, sans, pour autant, s'interdire de participer au débat d'idées au service de la Cause.
    L'amitié qui nous unit depuis 36 ans et l'estime que j'ai pour lui me font dire que j'espère vivement que ce retrait ne sera que momentané. 
    Je ne doute pas que l'expérience qui est la sienne, le talent que je lui connais, la rigueur dont il ne s'est jamais départi, la cohérence de son engagement et la constance de sa ligne politique — la ligne droite, nationale et populaire — seront, un jour ou l'autre, lorsque les circonstances seront réunies, à nouveau utiles au mouvement national et à la France.
    Le combat continue. Le Parti de la France tiendra son quatrième congrès le samedi 30 novembre à Paris. Un nouveau président sera élu que je soutiendrai et une nouvelle direction mise en place qui devra allier dans un même Conseil national et un même Bureau politique,  l'expérience des anciens et l'énergie de la jeunesse.
    Que personne ne doute de ma détermination, aux côtés du Président élu, de servir dans la fidélité à la ligne politique de Carl Lang, qui, de tout temps fut aussi la mienne, les idéaux de la droite nationale.
    J'invite tous mes amis, tous ceux qui, à un moment où un autre d'un parcours politique déjà long, ont bien voulu me faire confiance à nous rejoindre ou à continuer de nous suivre dans un esprit de fidélité, de camaraderie militante et de reconquête politique.
    Toujours disponible : Commandez le livre entretien avec Carl Lang cliquez ici : Bulletin de commande
  • Gilets jaunes : de nouveau, le chaos en plein Paris !

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    Reportage exclusif au cœur de l’acte LIII, un an après le début du mouvement, avec des interviews d’Étienne Chouard, de Jérôme Rodrigues et une rencontre avec de vrais gilets jaunes agressés par des antifas.

    https://www.bvoltaire.fr/gilets-jaunes-de-nouveau-le-chaos-en-plein-paris/

  • Incendie volontaire de la mairie de Flers : les caïds de l’immigration protègent leurs trafics

    Incendie volontaire de la mairie de Flers : les caïds de l’immigration protègent leurs trafics

    Flers, une ville à l’image de la France… Flers est une ville de 15 000 habitants dans l’Orne (Normandie). C’est une ville avec un maire PS ou Divers Gauche depuis 30 ans (1989).

    La ville a un fort pourcentage d’habitants issus de l’immigrationConséquence : “La cité normande rassemble la plus grande concentration de kebabs de France.”

    Il y a 20 ans (1999), il y eut une “grève très suivie au collège de Flers (Orne) contre le port du foulard islamique “. Mais, depuis, comme dans les banlieues, la République a reculé.

    En 2009, l’émission “Zone interdite” de M6 proposait un reportage sur “Flers, la blanche”, en raison du trafic de drogue dans les quartiers.

    En 2015, il y eut une nuit d’émeute suite à une arrestation dans un quartier difficile. Des cocktails molotov ont été envoyés sur la maison du maire et le commissariat.

    Depuis, le maire PS/DVG a décidé de mette des caméras de vidéoprotection. Cela ne plait pas aux racailles. En octobre, elles ont mis le feu à une voiture au pied d’un système de vidéoprotection, afin de le détruire pour continuer leur trafic.

    Il y a 6 jours, la mairie de Flers a été ravagée par un incendie. On apprend aujourd’hui que “l’origine serait volontaire”… L’endroit d’où est parti l’incendie ne serait pas compatible avec la version d’un feu accidentel. Selon des sources policières, une relation peut être faite entre cet incendie et le départ de feu enregistré dans le gymnase du Hariel, le matin du mardi 12 novembre, et dont l’origine est probablement volontaire.

    https://www.lesalonbeige.fr/incendie-volontaire-de-la-mairie-de-flers-les-caids-de-limmigration-protegent-leurs-trafics/

  • Sur CNews, Eric Zemmour : "Les élites s'assoient sur l'avis du peuple en permanence"


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  • Lazare-Bernard et Polanski : deux destins parallèles ?

    2454095714.jpgBernard Plouvier

    Roman Polanski est indéniablement un cinéaste de très grand talent. Son Rosemary’s baby a effrayé des millions de spectateurs et en a réjoui des milliers d’autres. Son Chinatown, consacré à un sujet sexuel sulfureux, reste inoubliable, moins toutefois que son chef d’œuvre dans le genre fantastique : La Neuvième porte, servi par une distribution aussi impeccable que celle de Chinatown.

    Seulement, l’excellent metteur en scène (et pas mauvais acteur) est aussi un pédophile, comme bien d’autres, certes - comment oublier les plaidoyers curieux de l’ineffable Daniel Cohn-Bendit ou les prestations immondes du Très honorable Lord Leon Brittan, héros des chatteries pédophiles, durant les années 80 et 90, du quartier de Westminster, l’affaire ayant été étouffée par la police de la Gracieuse Elisabeth II jusqu’au début des années 2010 ?   

    Que fait un Juif talentueux, lorsqu’il est conspué un peu partout et même recherché (sans trop d’insistance) par diverses polices ? Il détourne l’attention en consacrant un film à la Shoah (succès garanti), puis un autre à l’inusable affaire Dreyfus – où, avec son compère le romancier Richard Harris, bien connu des spécialistes du IIIe Reich pour son Fatherland, il se mélange un peu les pinceaux de scénariste en oubliant certains personnages-clés et en regroupant certains individus sous le même patronyme.

    Qu’importe ! Ce sera un succès, car l’on traîne dans la boue certaines composantes de la Nation française.

    Hélas, des « jaloux », des « envieux » ont osé évoquer la « culture du viol » lors du lancement à grand spectacle du film. Et le scandale espéré, car source de profits, tourne à la déconfiture de l’obsédé sexuel, faisant passer à l’arrière-plan, au moins transitoirement, les réalités troublantes de l’affaire Dreyfus, beaucoup moins simplette que ne l’écrivent universitaires et académiciens - on en reparlera dans un autre article consacré au vrai procès d’Alfred Dreyfus qui fut celui de Rennes, l’été de 1899, et non l’indéniable erreur judiciaire parisienne de décembre 1894.

    Or, le recyclage d’un Juif très contesté par ses contemporains grâce à l’affaire du capitaine au bizarre comportement – signalé par tous ses contemporains, dreyfusards compris – avait déjà été observé, de 1896 à 1906. On présente l’anarchiste Lazare Manassé Bernard, devenu « Bernard Lazare » en 1887, lorsque ce littérateur déserté par le succès avait voulu se démarquer du souvenir laissé par le richissime filou juif Samuel Bernard.

    La campagne anti-judaïque provoquée par le scandale de la Compagnie du percement du Canal de Panama, reçoit en 1894 son renfort inattendu. Depuis 1890, Bernard-« Lazare » multiplie les articles sur la question juive, tel celui où il présente les ashkénazes comme « descendants de huns », dans la livraison du 1er septembre 1890 des Entretiens politiques et littéraires : « Tous les israélites sont las de se voir confondre avec une tourbe de rastaquouères et de tarés ; ils sont las de cette perpétuelle équivoque qui les range parmi des spéculateurs véreux, des fabricants de musique imbécile, des journalistes sans esprit, des politiciens sans talent ». La violence de « Lazare » n’a rien à envier à celle de son contemporain Édouard Drumont, la bête noire des auteurs bien-pensants. Quant à son jugement musical, il est bien plus grossier que celui pour lequel on conspue Richard Wagner depuis près d’un siècle.

    Quelques mois avant le début de l'affaire Dreyfus, paraît son brûlot L’antisémitisme, son histoire et ses causes. C’est un salmigondis des articles qu’il a publiés sur la question depuis quatre ans, mêlant les attaques contre les ashkénazes aux lamentations sur les persécutions des Juifs au Moyen Âge et à des commentaires sur l’accusation de « peuple déicide ». Il fait de Karl Marx un « talmudiste lucide et clair » : il n’est pas sûr que l’intéressé, anti-judaïque, élevé dans la religion luthérienne, aurait apprécié ; en outre, le rapprochement est osé entre le Talmud et la notion de clarté.

    Dès les premières phrases, « Lazare » innove, du moins s’agissant d’un auteur juif : « Les causes générales de l’antisémitisme ont toujours résidé en Israël même, et non chez ceux qui le combattent ». Il explique l’antijudaïsme par l’attitude « insociable », « exclusive » du juif, « isolé du reste de l'humanité… Bien que l'antisémitisme se donnât successivement comme raison première une base religieuse, puis sociale, et pour finir nationale, son élément essentiel demeurait toujours le particularisme que les Juifs s’imposaient à eux-mêmes... Cette nation juive... puisait sa force dans sa croyance en la supériorité juive »… on croirait lire du Spinoza ou du Schopenhauer !   

    « Lazare » insiste beaucoup sur « le juif révolutionnaire » - c’est la grande période de la répression du nihilisme et du terrorisme révolutionnaire en Russie : « Les juifs furent toujours des mécontents... perpétuellement inquiets, en l’attente d’un mieux qu’ils ne trouvaient jamais réalisé... N’ayant aucun espoir de compensation future, le Juif ne pouvait se résigner aux malheurs de la vie… Le Juif est par essence un individualiste, un révolté... Ainsi, le grief des antisémites paraît fondé : le Juif a l’esprit révolutionnaire ».

    On imagine mal un auteur non-juif oser écrire, de nos jours : « En général, les Juifs, même révolutionnaires, ont gardé l’esprit juif et, s’ils ont abandonné toute religion, ils n’en ont pas moins subi, ataviquement et éducativement, l’influence nationale du Juif ». Nahum Goldmann a dit la même chose dans les années 1970 !

    Petite suggestion amusante pour un éditeur vaguement suicidaire : publier ce texte sous un faux nom de Goy et parier sur le nombre de jours séparant la mise en vente du livre et le dépôt de plaintes des innombrables associations antiracistes et/ou de défense des droits de l’homme.

    Cette attitude critique disparaîtra bientôt chez « Lazare », devenu l’employé de la famille Dreyfus et de ce « syndicat dreyfusard », dont les bons auteurs nous assurent (à la suite d’un article de Zola paru dans Le Figaro du 1er décembre 1897) qu’il n’a jamais existé. Hélas, ce gaffeur de Clemenceau l’a désigné en toutes lettres, en 1898, dans un article de L’Aurore où il se félicitait de son « renfort par des intellectuels » ; en ont également parlé l’universitaire Louis Havet qui fut une figure marquante de ce syndicat, et Alexandre Millerand, socialiste et demi-juif par sa maman, futur Président de la République… au fait, l’expression « syndicat dreyfusard » avait été lancée, en 1895, par la très radicale-maçonnique Dépêche de Toulouse !

    Dès qu’il est engagé, en 1895, par Mathieu Dreyfus (le seul personnage sympathique de cette triste affaire), « Lazare » devient un laudateur des qualités merveilleuses du Juif et un contempteur féroce, haineux, des anti-judaïques. En 1896, cet homme de conviction fait paraître : Contre l’antisémitisme, où il fait l’éloge du « nationalisme juif » et présente les anti-judaïques français comme « les défenseurs du capitalisme catholique ». Cette absurdité, ce mensonge grotesque ont emporté la conviction de nombreux auteurs au XXe siècle. En 1899, « Lazare » décrit les Juifs comme « un peuple de martyrs », en majorité formé d'êtres « mourant de faim ».

    Les prosélytes, c’est bien connu, vont toujours trop loin ! Après avoir lancé, en 1895, l’immonde accusation : « Dreyfus a été condamné parce qu’il était juif » - ce qui était un pur mensonge, il a récidivé en présentant, avec bien d’autres, le procès de 1899 - désastreux pour le « syndicat qui n’existait pas » - comme « une réédition du premier procès » - ce qui était un autre mensonge, un « énaurme » mensonge, comme aurait beuglé Flaubert.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les Gilets jaunes n’ont pas attendu samedi pour débuter leurs actions

    Les Gilets jaunes n’ont pas attendu samedi pour débuter leurs actions. Ce vendredi matin, une centaine de manifestants a bloqué une usine chimique classée Seveso à Montoir-de-Bretagne, en Loire-Atlantique, près de Saint-Nazaire. Une cinquantaine était présente devant l’usine, tandis qu’une autre cinquantaine était à des ronds-points avoisinant, bloquant les accès à l’entreprise. Les compagnies de CRS sont intervenues pour déloger les protestataires. Faisant usage de gaz lacrymogènes, ils ont marché vers les Gilets jaunes qui ont été forcés de lever le camp.

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-gilets-jaunes-nont-pas-attendu-le-week-end-pour-debuter-leurs-actions

  • Coût de l’immigration dans l’Hérault – 44 millions d’euros pour 880 mineurs immigrés

    C’est une information de Lengadoc Info – Ce mardi, Kleber Mesquida (PS) a fait le point sur la situation des Mineurs Non Accompagnés (MNA, ex-mineurs isolés étrangers) lors d’une séance publique du Conseil Départemental de l’Hérault.

    880 mineurs clandestins pris en charge par le Département de l’Hérault

    Après un certain silence radio sur la question, la majorité départementale a fini par lâcher quelques informations concernant la situation des mineurs isolés dans l’Hérault. Il faut dire qu’à l’approche des élections municipales le sujet devient de plus en plus sensible, même à gauche. Première concernée par le phénomène, la mairie de Montpellier met la pression au département qui a en charge le dossier.
    Aussi ce mardi, Kleber Mesquida a reconnu que le département avait actuellement en charge 880 mineurs non accompagnés. « Leur nombre a évolué de manière quasi-exponentielle, nous en avions, en 2017, 589. » explique le président du département qui a également confirmé que le coût moyen de la prise en charge d’un mineur clandestin était de l’ordre de 50 000 euros par an. Rapporté au nombre de mineurs étrangers dans le département cela fait un total de 44 millions d’euros dépensés pour l’année 2019.
    Pour le conseiller départemental d’opposition Franck Manogil (groupe Défendre l’Hérault), « c’est tout simplement hallucinant, le nombre de mineurs clandestins pris en charge par le contribuable héraultais est en hausse constante, +49% depuis 2017 et toujours aucune réaction de la part de la majorité socialiste qui se contente de piocher toujours plus dans le budget de l’Aide Sociale à l’Enfance au détriment des jeunes Français les plus en difficulté sur notre territoire. »

    60% à 70% de faux mineurs en France
    D’autant que le problème des mineurs non accompagnés n’est pas seulement lié au coût mais au fait que beaucoup sont en réalité majeurs et devraient donc être renvoyés dans leur pays comme le prévoit la loi. Selon Dominique Bussereau, président de l’Assemblée des départements de France, 60% à 70% des demandes de prise en charge faites le sont par de faux-mineurs.
    Une situation extrêmement complexe car comme l’explique Kleber Mesquida, quand le dossier d’un jeune clandestin doit être étudié par la police pour savoir s’il est mineur ou non, la procédure peut prendre jusqu’à deux ans.

  • Patrice Quarteron : “Je suis pour la laîcité extrême. Ca nous évitera beaucoup de problèmes !”

    Patrice Quarteron, 13 fois champion du monde de boxe thai et kickboxing et champion de France de boxe française, était l’invité d’André Bercoff mardi 12 novembre 2019 sur l’antenne de Sud Radio.

    Patrice Quarteron répond ainsi à son altercation à distance avec le rappeur Booba. Celui-ci appelait à “pourrir la vie” de Zineb El Rhazoui qui venait de prendre position pour que “la police tire à balles réelles” en cas d’émeutes dans les banlieues.

    Il faut être sans pitié avec ce genre de m*****“, attaque d’entrée le boxeur pour se justifier du ton menaçant employé à l’encontre du rappeur Booba. Le champion rappelle que le rappeur “est un gros bobo qui a toujours eu de l’oseille, un fils à papa de Meudon“.

    Ce que reproche Patrice Quarteron, ce sont “les idées qu’il véhicule“. “Il y a une idéologie et ils l’ont bien compris“, affirme-t-il. “Ils savent que leur clientèle adore ça, ils vont dans leur sens exprès“, analyse le boxeur. “Pour être aimé en banlieue, il faut véhiculer ces idées : ‘Nik la France’, ‘ici c’est chez nous‘”, remarque-t-il. “Ce sont des escrocs“, affirme le boxeur.