Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1795

  • Immigration : belle mise en scène à l’Assemblée !

    Lundi, le grand théâtre du régime macronien avait choisi l’hémicycle du palais Bourbon pour offrir un spectacle aux médias chargés de désinformer les Français. Il s’agissait, pour le gouvernement et pour les « députés », d’obéir à l’injonction présidentielle : ils l’ont fait et ont parlé pendant cinq heures de l’immigration.
    Le but de l’exécutif était d’occuper apparemment la position centrale qui lui paraît la bonne tactique électorale.
    On parle de l’immigration, sans tabou, et on se fait accuser par l’extrême gauche d’instrumentaliser la question, mais on rejette la remise en cause du droit du sol, proposée par la vraie droite, tout en refusant la naïveté, en matière d’aide médicale, pour complaire à la droite dite modérée, c’est-à-dire au Marais.
    Le fait que la question cruciale du droit du sol, et plus généralement de l’acquisition de la nationalité française, ait été balayée d’un revers de main est significative.
    C’est la seule qui peut mettre fin à la naïveté qui consiste à croire qu’un Français de papiers, souvent doté d’une autre nationalité, conservant un mode de vie et des convictions étrangères et même parfois hostiles à la nation française dont il est devenu membre par automatisme ou par intérêt, constitue un citoyen comme les autres.
    L’augmentation de ce type de « Français » modifie en profondeur l’identité du pays, sa culture, la prise en compte de son destin par l’ensemble de sa « nation ».
    Peu à peu, sur des territoires qui s’étendent et se multiplient, ce sont d’autres codes qui s’installent que ceux transmis par nos traditions, par notre histoire et théoriquement imposés pas nos lois.
    Des personnes d’influence, puis des décideurs investissent les pouvoirs médiatiques, culturels et politiques pour changer, comme ils disent, notre « mentalité », nos « stéréotypes », pour déraciner les Français, non pour créer une société plus ouverte vers le monde, multiculturelle, mais pour affaiblir les résistances identitaires et préparer un basculement progressif vers une autre culture.
    Pour ceux qui ont connu l’Assemblée de l’intérieur, un débat comme celui de lundi est effarant.
    Le gouvernement a réuni les parlementaires pour dire qu’ils avaient parlé de l’immigration et qu’ils en parleraient à nouveau.
    Cela fait cinquante ans que ça dure depuis le va-et-vient sur le regroupement familial des années 1970, jusqu’aux mesures cosmétiques de la loi Asile et Immigration de l’année dernière, en passant par le manège du Code de la nationalité en fonction des alternances politiques et le fiasco du débat sur l’identité nationale confié par Sarkozy à un ministre venu du Parti socialiste.
    Les quotas sont aux parlementaires ce que sont les marronniers pour les journalistes, le sujet qu’on évoque quand on n’a rien d’autre à dire.
    Le serpent de mer a donc refait surface dans le discours d’Édouard Philippe chatoyant de multiples écailles : par pays, par profession.
    Cette solution technocratique permettrait d’envelopper le souhait du pouvoir de faire entrer des travailleurs à bas coût tout en manifestant apparemment de la rigueur sur les flux migratoires.
    La possibilité ouverte de travailler, pour les demandeurs d’asile, après six mois de présence votée lors de la récente loi participait de cette ambiguïté, pour ne pas dire de cette hypocrisie.
    Devant ce théâtre d’ombres qui s’est agité, dénué de cette représentativité que l’on doit exiger d’un Parlement digne de ce nom, seuls quelques élus de droite ont sonné le tocsin, quelques gaullistes noyés chez Les Républicains toujours à la recherche d’eux-mêmes, comme Ciotti et Aubert, chez les non-inscrits, Marine Le Pen, sauvée des eaux par Matthieu Orphelin qui lui avait laissé son temps de parole.
    D’autres, non inscrits, comme Dupont-Aignan, n’ont pas eu cette chance.
    Pourtant, c’est dans ces quelques voix que l’on retrouvait cette idée contenue dans le titre d’un ouvrage de Pompidou : Le Nœud gordien.
    Moratoire, référendum, suppression du droit du sol, etc.
    La politique actuelle ne doit pas être modifiée mais renversée si nous voulons que notre pays soit toujours la France.
    Christian Vanneste

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/immigration-belle-mise-en-scene.html

  • Jacqueline Eustache-Brinio : « C’est une honte ! La manifestation de soutien au terroriste Mickaël Harpon ne sera pas interdite ! »

    capture-decran-2019-10-08-a-20-21-20.png

    Alors que la France fait son deuil des victimes de l’attentat de la préfecture de police de Paris, un militant, Hadama Traoré, organise une manifestation de soutien au terroriste Mickaël Harpon à Gonesse jeudi.

    La sénatrice du Val-d’Oise Jacqueline Eustache-Brinio a immédiatement saisi la préfecture pour faire interdire la manifestation. Sans succès.

    Elle réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    Madame la Sénatrice, alors que la France fait le deuil des quatre victimes de Mickaël Harpon, une manifestation est organisée à Gonesse en soutien non pas aux quatre victimes, mais au terroriste lui-même, par un militant du nom de Hadama Traoré. Vous avez demandé au préfet si cette manifestation allait être maintenue, quelle est la réponse que vous avez reçue ?

    Comme tous les Français, je ne peux pas être insensible à ce qui s’est passé au sein même de la Police. Et en tant que sénatrice du Val-d’Oise, je m’offusque qu’à Gonesse quelqu’un s’autorise à organiser une manifestation de soutien à un terroriste, à un assassin. La vidéo diffusée sur YouTube est un véritable appel à la haine, un appel à la remise en cause de notre République et de notre dignité.
    J’ai donc bien évidemment appelé la préfecture ce matin pour demander si cette manifestation allait être interdite. Or, dans ces cas-là, c’est toujours la même chose : « On ne peut pas interdire, on n’a pas le cadre pour interdire, etc. » Stupéfaite, je me suis permis de penser : à situation exceptionnelle, peut-être, attitude exceptionnelle et courageuse ?
    On a essayé de me rassurer en me disant qu’il y aurait des services de police, etc. Mais la manifestation en elle-même ne sera pas interdite ! C’est une honte !
    On nous demande d’être courageux. Le Président aujourd’hui demande aux citoyens de lutter tous ensemble, alors que les services de l’État eux-mêmes ne peuvent empêcher une telle manifestation. C’est totalement inadmissible ! On ne peut plus, et on ne doit plus laisser faire ça !

    Pourquoi cette préfecture réagit-elle comme cela, selon vous, alors que le Président a demandé de ne plus rien laisser passer ? Peut-on parler lâcheté ?

    On nous dit qu’on n’a pas le cadre et que ce n’est pas si simple d’interdire. Moi je dis : « Quand on ne veut pas, on ne fait pas, et quand on veut, on peut ». Il y a bien des manifestations qui sont interdites sur ce territoire, et on trouve le cadre nécessaire pour les interdire.
    Ça ne serait pas la première manifestation qui serait interdite. Et là, comme par hasard, on ne trouve pas le cadre pour l’interdire. On est dans le même concept, on ne veut pas lutter. Si on ne lutte pas de l’intérieur, si l’État n’est pas courageux pour lutter, ça ne sert à rien de nous demander d’être courageux. C’est vraiment une honte ! Je suis vraiment très en colère.

    Pour vous, cette initiative de Hadama Traoré, c’est une preuve de la fracture sociale, de la partition ?

    C’est une preuve qu’on peut tout se permettre dans notre pays ! Avez-vous vu les commentaires ? Avez-vous le texte ? Le texte dit à peu près en substance : « Nous allons rentrer en guerre contre votre pays. » J’exagère un petit peu, mais c’est pas loin de ça. « On nous frappe à terre », « la guerre est ouverte ».
    J’ai d’ailleurs fait un signalement sur le site du gouvernement pour toutes ces choses un peu violentes. Au lendemain de ce qui s’est passé au cœur même de nos services de police, cette vidéo aurait dû être supprimée de YouTube.
    Nous sommes dans une situation où, si l’État ne met pas en place des décisions et des actions très fortes, ce n’est pas la peine de palabrer. Les mots n’ont plus d’importance aujourd’hui. Seuls les actes et les actions feront que nous pourrons retrouver notre unité, retrouver cette laïcité qui est une chance pour ce pays. Pour se battre contre l’islam radical, contre l’islamisation des banlieues, contre les Frères musulmans qui ont tissé des petites toiles d’araignée depuis des années chez nous, on ne peut pas se payer de mots ! Il faut faire, et faire vraiment !

    https://www.bvoltaire.fr/jacqueline-eustache-brinio-cest-une-honte-la-manifestation-de-soutien-au-terroriste-mickael-harpon-ne-sera-pas-interdite/

  • Lier fiscalisme et immigrationnisme est décisif pour le combat politique

    Lier fiscalisme et immigrationnisme est décisif pour le combat politique

    Dans Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy revient sur le tome 2 des Mémoires de Jean-Marie Le Pen :

    […] Mais ce livre est surtout une passionnante leçon politique. Tout d’abord, je relève une insistance à laquelle nous ne sommes plus habitués sur les méfaits du fiscalisme. Jean-Marie Le Pen est connu comme le principal tribun contre l’ immigration de masse. On oublie trop qu’il est aussi un pourfendeur de l’État obèse. Ce n’est pas pour rien qu’il débuta en politique dans le mouvement de Pierre Poujade.

    Or, lier fiscalisme et immigrationnisme est décisif pour le combat politique: l’État-providence est la principale pompe aspirante de l’ immigration et l’ immigration oblige l’État-providence à grossir sans cesse. C’est pourquoi la ligne Philippot était vouée à l’échec : on ne peut pas sérieusement lutter contre l’ immigration en renforçant l’État-providence.

    Je note aussi un rapprochement dont nous n’avons plus l’habitude aujourd’hui : le lien entre avortement et dénatalité d’un côté et immigration de l’autre. La démographie n’est certes pas la seule raison de s’opposer à l’avortement. Mais, pour la survie du peuple français, il est impératif d’une part de stopper le grand remplacement et d’autre part de stopper le véritable génocide en cours (sait-on que plus de 10 millions de petits Français ont été légalement tués depuis 1975 ?).

    J’ai été également frappé par le plaidoyer pour la justice sociale. Le Pen fait observer que, si les travailleurs français avaient été correctement payés pour leur travail, l’oligarchie n’aurait pas pu faire venir en masse des travailleurs étrangers dont l’accueil coûte si cher (et pas seulement financièrement) à la nation. Une autre leçon touche à la «dédiabolisation». Très justement, l’auteur fait remarquer qu’il n’appartient pas au « diabolisé » de se « dédiaboliser ». Qu’on le veuille ou non, en s’opposant à la destruction de la France, on s’oppose à des intérêts puissants qui peuvent aisément vous grimer en « fascistes». C’est déplorable, mais c’est ainsi. Naturellement, il faut veiller à être aussi sérieux que possible, mais nous n’y pouvons rien et la stratégie de dédiabolisation est vouée à être extrêmement décevante.

    La dernière leçon politique que je voudrais relever ici concerne la droite. Jean-Marie Le Pen remarque avec beaucoup de franchise que, si Chirac avait été clairement de droite, le FN aurait rencontré un succès bien plus faible. Le FN est essentiellement le reproche vivant des électeurs de droite contre les trahisons de leurs représentants. Si cette leçon pouvait être méditée par les dirigeants des LR et du RN, ce livre pourrait être aussi la base d’une renaissance française !

    https://www.lesalonbeige.fr/lier-fiscalisme-et-immiationnisme-est-decisif-pour-le-combat-politique/

  • L'affaire Harpon : de plus en plus inquiétant... Les informations de ses clés USB ont-elles été transmises aux terroristes ?

    Une découverte inquiétante : selon Le Parisien et Franceinfo, des clés USB ont été retrouvées au domicile de Mickaël Harpon.

    Elles contenaient des vidéos de propagande de Daech mais aussi - et surtout - des coordonnées et données personnelles de plusieurs dizaines de ses collègues travaillant à la préfecture de police. 

    Question : Harpon a-t-il "envoyé" ces dossiers, et à qui ?

    "Rétrospectivement, ça fait tout de même froid dans le dos, témoigne l’un des anciens collègues de Harpon auprès du Parisien. On savait qu’il disposait de l’un des plus hauts niveaux d’habilitation de la préfecture. Ça veut dire qu’il était en capacité de savoir tout ou presque des agents qu’il côtoyait au quotidien" : seulement des agents ?

    En somme, sans tomber dans le catastrophisme ni chercher à créer un climat anxiogène, on ne peut que redouter que le terrorisme soit au courant de plein de choses. Car, là et pour l'instant, on nous parle de "données personnelles" de policiers, ce qui est déjà gravissime : mais va-t-on apprendre demain que d'autres clés on été retrouvées qui contiennent des renseignements "confidentiels défense" sur la lutte anti-terroriste (lieux, installations, personnels, méthodes...)...

    Et Castaner qui continue à plastronner...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/08/l-affaire-harpon-de-plus-en-plus-inquietant-les-terroristes-6181310.html

  • DANS "PRÉSENT" D'AUJOURD'HUI : UN GRAND ENTRETIEN AVEC ROLAND HÉLIE AU SUJET DU RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DES 12 ET 13 OCTOBRE

    3827888103.jpgRoland Hélie, directeur de Synthèse nationale, présente le rendez-vous Bleu Blanc Rouge (13e Journées nationalistes et identitaires) des 12 et 13 octobre prochains à Rungis (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

    Entretien publié dans les colonnes du quotidien Présent.

    Samedi 12 et dimanche 13 octobre prochains, votre revue Synthèse nationale organise à Rungis ses 13e Journées annuelles. Comment cela va-t-il se passer ?

    Pour la 13e année consécutive, Synthèse nationale organise ses journées nationalistes et identitaires. Mais cette année, il y a du nouveau. Tout d’abord, vu le succès grandissant des précédentes éditions, nous avons décidé de les tenir sur deux jours, le samedi et le dimanche. De plus, en accord avec le président Jean-Marie Le Pen, détenteur du titre et qui sera d’ailleurs présent dimanche 13 octobre, nous les avons intitulées « Le grand rendez-vous Bleu Blanc Rouge », ce qui, n’en doutons pas, évoquera bien des souvenirs aux patriotes et donnera un nouvel élan à ce rassemblement annuel des Français attachés à la défense de la France française et de la civilisation européenne…

    Dans le contexte actuel, il y a beaucoup à faire, ne croyez-vous pas, pour maintenir face au mondialisme triomphant, la volonté nationale et européenne ?

    Tout d’abord, il convient de bien faire la part des choses. Si la « mondialisation », à l’heure des voyages et transports rapides et de l’internet, est un fait, le « mondialisme » destructeur des nations et des identités, lui, est un dogme. Et c’est ce type de dogme que nous combattons.

    Il se trouve que nous sommes français et européens et que nous entendons le rester. Je dis cela sans aucun mépris pour quiconque, mais je pense que notre pays ne doit pas disparaître dans le magma nationicide et ethnocide que veulent nous imposer les promoteurs du monde globalisé dans lequel seuls les profits et la finance seraient les gagnants. Cela aux dépens des peuples qui en paieront très cher les conséquences bien sûr…

    Comment cela se caractérise-t-il ?

    Par le formatage systématique, à l’école comme dans les médias, des cerveaux. Par le grand brassage des populations avec toutes les conséquences néfastes que l’on observe de plus en plus. Par la destruction volontaire des repères, familiaux, sociétaux, historiques, géographiques… En fait, les mondialistes n’ont qu’une ambition, celle de réduire les humains à l’état de consommateurs dociles et bien gavés juste bons à enrichir les multinationales apatrides…

    Que proposez-vous face à cela ?

    Pour nous, il ne peut pas y avoir d’avenir radieux pour notre peuple sans une rupture totale avec le dogme mondialiste. Il faut que la France et l’Europe retrouvent leur liberté et leur identité. Seule une mobilisation unitaire des forces nationales et nationalistes pourra mettre à bas les prétentions de la classe politico-affairiste. Notre devoir à tous est de redonner par tous les moyens à nos compatriotes une conscience nationale et identitaire. C’est dans cet esprit que, depuis la création de la revue Synthèse nationale, en 2016, nous nous battons.

    Revenons au « Rendez-vous Bleu Blanc Rouge » des 12 et 13 octobre…

    Nous essayons de faire en sorte que toute la famille nationale, tout du moins ses composantes qui le veulent bien, se retrouve afin de montrer que, pour nous, les mots « nations » et « civilisations » ont encore un sens. Nous ne demandons pas aux gens de forcément s’unir, nous leur proposons simplement de travailler pour la même cause. Chacun a ses particularités, mais tous ont un dénominateur commun (le plus petit peut-être, mais pas le moindre à nos yeux), celui de l’amour de la France et de l’Europe. Voilà pourquoi, durant ses deux jours, une trentaine d’intervenants, aux sensibilités différentes et parfois même opposées, se succéderont lors des forums ou du meeting final.

    Notre but est de prouver, grâce à ces journées, que le courant national non renié, au sens large du terme, a plus que jamais toute sa place dans le paysage politique et culturel français…

    Dernièrement s’est déroulée à Paris une « convention de la droite » qui a beaucoup fait parler d’elle. N’est-ce pas une sorte de concurrence pour vous ?

    Absolument pas. Il faut que cent fleurs s’épanouissent. Cette convention, comme toutes les initiatives similaires, montre que le curseur se déplace de plus en plus vers « la droite » (employons ce terme pour faire simple) et je m’en réjouis. Nous n’avons pas la prétention d’agir seuls. Si d’autres nous emboitent le pas, c’est tant mieux… Nous, c’est-à-dire l’ensemble des mouvements et associations présents à nos journées, nous sommes le pôle précurseur.

    La situation se détériore de jour en jour. Nous n’avons plus le temps ni les moyens de nous offrir le luxe d’entretenir des querelles stériles. Il est regrettable que certains ne l’aient pas compris et continuent à lancer des anathèmes stériles internes à notre famille de pensée. Bientôt, il sera trop tard si rien n’est fait… C’est aussi pour instaurer un nouvel état d’esprit que nous agissons… Mais, je le rappelle, Synthèse nationale n’est ni un parti ni un mouvement. C’est simplement une revue qui propose… Après, les organisations compétentes disposent.

    Concrètement, comment cela se déroulera-t-il ?

    Ouverture des portes samedi 12 octobre à partir de 14h00. Plus de 70 stands politiques, associatifs, culturels et mêmes commerciaux seront là pour vous accueillir. Trois forums dans l’après-midi : un sur la liberté d’expression animé par Hugues Bouchu, délégué francilien des Amis de SN, avec des victimes récentes de la répression d’État comme Yvan Benedetti, Jérôme Bourbon (Rivarol), Daniel Conversano, Caroline-Christa Bernard, les responsables du Bastion social dissout en mai dernier… Un deuxième sur l’Europe, animé par Gabriele Adinolfi de l’institut Polaris avec l’écrivain Thomas Ferrier et des amis venus de Grèce, d’Italie, d’Espagne, de Belgique et d’ailleurs… Un troisième sur la culture autour de Philippe Randa (EuroLibertés et collaborateur de Présent) avec Anne Brassié, Thierry Bouclier, Pierre Gillieth (Réfléchir et Agir)… De nombreuses autres personnalités participeront à ces forums.

    Le samedi soir, à partir de 19h30, se déroulera un grand banquet patriotique et festif (concert de Dr Merlin et des Feux follets, groupe de folk traditionnel européen, auquel nous vous invitons à participer nombreux (30 euros par personne).

    Le dimanche, ouverture à 11h00 avec un forum sur l’avenir de notre nation et de notre civilisation auquel participeront entre autres Jean-François Touzé, Serge Ayoub, Vincent Vauclin (la Dissidence française) et aussi l’économiste Bernard Monot. Après le déjeuner (restauration et bar sur place), le concert très attendu de nos chères Brigandes (14h30) puis, à partir de 16 h, le meeting final avec Pierre Vial (Terre et peuple), Richard Roudier (Ligue du Midi), Pierre Cassen (Riposte laïque), Alain Escada (Civitas), Thomas Joly (Parti de la France), Martin Peltier (journaliste et écrivain), Roger Holeindre sur lequel nous venons d’éditer un livre-entretien, des amis européens, et, comme je vous l’indiquais, Jean-Marie Le Pen qui nous parlera du deuxième tome de ses Mémoires qui vient de paraître. Je conclurai pour ma part ces journées vers 18h00.

    Ajoutez à tout cela de nombreuses animations ludiques et musicales, les dessinateurs Ignace et Pinatel, des auteurs indépendants et non-conformistes… Bref, vous ne regretterez certainement pas d’être venu. Le programme complet est disponible sur notre site cliquez là

    Un nouveau succès pour Synthèse nationale en perspective ?

    Qui y sera verra…

    Rendez-vous Bleu Blanc Rouge, 13e Journées de Synthèse nationale, samedi 12 (à partir de 14 h 00) et dimanche 13 octobre (à partir de 11 h 00), Espace Jean Monnet 43 rue des Solets à Rungis (94), entrée (pour deux jours) : 10,00 euros. Facile d’accès par RER ou par métro et tram. Parking assuré.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/09/dans-present-d-aujourd-hui-un-grand-entretien-avec-roland-he-6181462.html

  • MANIF POUR TOUS LE RETOUR !

    Reportage réalisé par Le Cercle Richelieu sur "Marchons enfants" qui a eu lieu dimanche dernier.

    Le retour de la manif pour tous contre la PMA et la GPA.

    2019 13 JNI 2.jpg

  • Migrants : des maires appellent l’État à prendre ses responsabilités

    08/10/2019 – FRANCE (NOVOpress)
    Treize maires de grandes villes interpellent le gouvernement sur la situation dans les camps de migrants.

    Ils estiment que l’État ne prend pas ses responsabilités, laissant les collectivités seules face à des situations sanitaires alarmantes.

  • Quand la cinquième colonne islamiste est au cœur de l’État, la confiance n’y est plus

    Quelle ironie, au lendemain de la tuerie islamiste, par égorgement rituel, de quatre personnes dans la préfecture de police de Paris. « Soyons attentifs ensemble ! », proclame, depuis des années, le plan national de sécurité intérieure Vigipirate qui compte, depuis 2016, trois niveaux, selon les circonstances : Vigilance ; Sécurité renforcée – risque attentat ; Urgence attentat. C’est le deuxième niveau qui prévaut, officiellement, depuis le 7 mai dernier et jusqu’au 18 octobre prochain (1).

    Combien de fois, depuis 2015, a-t-on proclamé l’état de guerre, décrété l’état d’urgence, discuté d’un possible état de siège ? Que valent ces bavardages politiques et parlementaires quand des lois de renforcement sécuritaire votées en 2017 ne sont toujours pas appliquées faute de décrets d’application ? Non, la France oisive a oublié ce que c’est que de vivre en état de guerre et les Français vivent au quotidien comme si de rien n’était, du moment que leur bien-être individuel et leurs loisirs ne sont pas remis en cause. Pire : une majorité considère, par fatalisme et déni des réalités, sous l’effet de neurasthénie médiatique et de trépanation idéologique, que ça ne va pas si mal et qu’on n’y peut rien. Le réveil est difficile et ça ne fait que commencer !

    Alors que les médias dominants, avec leurs pseudo-analystes triés sur le volet de l’incompétence, racontent n’importe quoi et cherchent désespérément des explications oiseuses qui pourraient servir de circonstances atténuantes aux frustrés radicalisés, l’auteur de ces lignes, ancien officier de renseignement opérationnel des forces spéciales pendant quinze ans, souhaite partager quelques réflexions frappées du réalisme et du bons sens issus de l’expérience de terrain, par indignation très largement partagée par ses pairs, professionnels en activité ou démobilisés des unités spécialisées de renseignement et de sécurité.

    L’expérience de théâtres d’opérations extérieures, hors territoire national, montre comment des pays en guerre ou en crise, dont certains étaient auparavant des havres de paix sociale et de prospérité économique mais qui n’ont pas vu ou voulu voir la réalité, comme la France d’aujourd’hui, peuvent s’effondrer sous l’effet d’ingérences externes (ici, islamistes) relayées par des complices objectifs internes (ici, par naïveté, incompétence, impréparation, négligence, malveillance). Ce que les policiers français reconnaissent aujourd’hui par « on n’était pas préparés à ça ». On peut véritablement parler de « cinquième colonne », de traîtres, conscients ou manipulés, embusqués à l’intérieur du pays, dont les responsables politiques et les ronds-de-cuir n’ont, eux-mêmes, aucune idée. Les faits sont là, et les signaux faibles et forts qui auraient dû permettre d’éviter ce massacre sont connus, même si d’autres attentats sont occasionnellement déjoués sans qu’on le sache grâce au travail discret, courageux et professionnel de la plupart des opérateurs de terrain. Excuse commode mais irrecevable en l’espèce.

    Quand le ministre de l’Intérieur affirme publiquement, au sortir d’une longue séance de débriefing-cadrage interne, que le meurtrier avait toujours eu « un comportement exemplaire » et n’avait « jamais présenté de difficulté comportementale » (sic), tout en appelant à la prudence des commentaires, on est en droit de se demander, à la lueur de ce qu’on découvre maintenant sans surprise, si c’est par la seule incompétence qu’on lui connaît, par la tentative irresponsable et mensongère de désamorcer des critiques, s’il prend les citoyens français pour des enfants manipulables ou simplement pour des idiots. Saura-t-on jamais la nature et le volume des informations confidentielles que cet agent, retourné au cœur d’un système de renseignement interconnecté, aura eu le temps de transmettre à ses officiers traitants de groupuscules islamistes, en vue d’autres assassinats et actions de déstabilisation du pays ?

    « Le poisson pourrit par la tête », dit l’adage, et le ver est dans le fruit. Alors que le ministre disqualifié Castaner, qu’on a vu récemment vendre l’expertise française en matière de lutte contre le terrorisme à des pays africains, tente pitoyablement de sauver son strapontin en reportant la faute à une négligence, il est urgent d’acter que l’État français n’est plus à même d’assurer la sécurité de ses citoyens. On ne peut plus se permettre de jouer et de laisser le temps à des bobos-Bisounours amateurs d’acquérir les compétences nécessaires à la direction d’un pays en danger. Les urnes devront parler en conséquence dès 2020. En attendant, c’est à chacun de s’organiser en conséquence, sans faire confiance aux discours publics.

    « Aucune civilisation n’est détruite du dehors sans s’être tout d’abord ruinée elle-même, aucun empire n’est conquis de l’extérieur qu’il ne se soit préalablement suicidé », disait l’historien René Grousset (2). À méditer.

    (1) Plan Vigipirate
    (2) Le Bilan de l’Histoire

    Jean-Michel Lavoizard

    https://www.bvoltaire.fr/quand-la-cinquieme-colonne-islamiste-est-au-coeur-de-letat-la-confiance-ny-est-plus/

  • Christophe Castaner à l’heure des explications – journal du mardi 8 octobre 2019

    1) Christophe Castaner à l’heure des explications

    Christophe Castaner plus que jamais sous pression. Cinq jours après l’attaque terroriste à la préfecture de police de Paris, le ministre de l’Intérieur a été auditionné ce mardi pour s’expliquer sur les nombreux dysfonctionnements ayant permis le passage à l’acte de Mickaël Harpon. Une goutte de plus dans le vase de la place Beauvau déjà prêt à déborder.

    2) Les agriculteurs contre le CETA et le Mercosur

    A l’appel de la FNSEA et des Jeunes agriculteurs, une mobilisation s’organisait ce mardi pour alerter sur la crise du secteur et les dangers que représentent les accords commerciaux du CETA et du Mercosur.

    3) Syrie : Ankara aux portes du Kurdistan syrien

    Les Etats-Unis ont quitté le nord de la Syrie et laissent, dans une certaine mesure, le champ libre à la Turquie… les Kurdes, eux, apparaissent lésés… le tout sur fonds de crise chez le voisin irakien…

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/christophe-castaner-a-lheure-des-explications-journal-du-mardi-8-octobre-2019