
« 38 000 euros de dégâts »
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
« 38 000 euros de dégâts »
Oui.
Madelin a raison.
C’est l’Etat français qui vit au-dessus des moyens des Français.
A tous les niveaux, et c’est également vrai pour les communes par exemple, les mairies vivent souvent au-dessus des moyens de leurs administrés, et il n’y a qu’à voir la flambée des taxes foncières pour s’en rendre compte.
Quelques remarques d’actualité.
Budget
M.Barnier a semblé déplorer le déficit abyssal qu’il a trouvé. Ne serait ce pas l’occasion de rechercher et de poursuivre les coupables, et de faire le point sur les contrôles qui n’ont pas été faits ou suivis d effet ? Les responsables, à commencer par le plus haut, doivent entre être identifiés et punis.
Par ailleurs il faut faire des économies. Certaines ne semblent pas avoir effleuré l’esprit du Premier Ministre. Pourquoi ne pas couper les crédits de l’Elysée qui a donné l’exemple des dilapidations ces dernières années ?
Pour lire ce texte, cliquez ici.
Maurice Bernard
Avant d’entrer dans le vif du sujet, il est nécessaire de rappeler le contexte : il y a douze jours, à Paris, les deux autrices du livre Transmania, Marguerite Stern et Dora Moutot, étaient conviées à une séance de dédicaces de leur ouvrage. Une soixantaine de nervis d’extrême gauche (qui se présentent comme des activistes trans) ont alors décidé d’opérer ce qu’ils considèrent comme une "action d’autodéfense". Mais pour une fois, la police les a interceptés avant leur descente et les a placés en garde à vue…
Une jeune femme de 23 ans jusqu’alors inconnue de la justice a été condamnée ce mercredi 16 octobre à dix mois de prison ferme avec maintien en détention par le tribunal correctionnel de Nantes (Loire-Atlantique) pour avoir frappé son père avec un couteau à Rezé (Loire-Atlantique). Angelina lui reprochait de l’empêcher de « porter le voile » alors qu’elle est désormais « musulmane ».
Alors que la France s’enlise dans les crises politiques et que la confiance envers les institutions républicaines ne cesse de s’effriter, rares sont ceux qui osent proposer une alternative radicale et chargée d’Histoire : la Monarchie de droit divin. C’est pourtant le chemin que Franck Abed, essayiste et penseur politique, explore avec passion. Son travail, à contre-courant des idées dominantes, offre une réflexion fascinante sur l’avenir de la France et sa gouvernance.
Dans cet entretien exceptionnel, Franck Abed revient sur les origines de son engagement monarchiste, les fondements historiques et religieux de ce modèle politique, et explique pourquoi, selon lui, un retour à la royauté pourrait bien représenter la clé de voûte pour un avenir plus stable et juste. Ce dialogue, riche et nuancé, vous invite à découvrir une vision audacieuse et exigeante de la France, une vision que beaucoup jugeront utopique, mais que Franck Abed défend avec un argumentaire solide et une foi inébranlable.
Il y a quelques jours Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, déclenchait une polémique par ses propos sur l’état de droit en disant:
« L’état de droit, ça n’est pas intangible ni sacré. C’est un ensemble de règles, une hiérarchie des normes, un contrôle juridictionnel, une séparation des pouvoirs. Mais la source de l’état de droit, c’est la démocratie, c’est le peuple souverain. »
L’Élysée, le Sénat et l’Assemblée Nationale, renoncent à leur dotation budgétaire supplémentaire, tout en avançant qu’ils entendent montrer l’exemple. De qui se moque-t-on encore une fois ? Après avoir tenté ce nouveau hold-up et face au tollé engendré par cette indécence, initié entre autres par le RPF, les voilà qui reculent. Mais ce rétropédalage n’a rien à voir avec une volonté d’exemplarité. Si ce sentiment avait dû les habiter, non seulement ils n’auraient pas essayé de soutirer plus d’argent, mais ils auraient même réduit leur train de vie. Devant la fronde provoquée par cette obscénité en pleine crise budgétaire, ils ont été obligés de battre en retraite.
16/10/24
Est-ce que cette affirmation du président du Rassemblement national est vraie et, si oui, combien cela coûte ? Selon les dires de Jordan Bardella, on pourrait croire que ces cas sont en très grande proportion. Or, selon nos informations, en 2023, 11.660 euros ont été consacrés à ces interventions pour les bénéficiaires de l’AME. Le ministère de la Santé, que nous avons contacté, précise qu’il s’agit d’interventions médicales et non chirurgicales.