
Donald Trump n’a pas triomphé seul, ce mercredi 6 novembre. C’est encore un pan de la forteresse BFM qui s’est effondré, face aux coups de boutoir de la diabolique CNews.
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Patrice Riou
Nous avons tous vu ces images au lendemain des terribles inondations qui ont endeuillé l'Espagne, quand le couple royal accompagnait le Premier ministre, pris à partie par des manifestants en colère... Lâche et pleutre, le ministre s'est enfui. Mais le Roi et la Reine sont restés, dignes, au contact avec leur peuple. Le Roi : grave et vaguement inquiet ; la Reine : ne pouvant s'empêcher de retenir ses larmes.
*Malik, 31 ans et *Manon, 33 ans se sont rencontrés mi juillet, ils ont rapidement décidé d’avoir un bébé – et Manon est aussitôt tombée enceinte.
Manon souhaite que l’enfant porte son nom, Malik n’est pas d’accord. Il tape du poing sur la table, elle l’invite à plusieurs reprises à quitter le domicile. Il la bouscule, elle chute au sol.
par François de Troy
Avec l’actualité des élections américaines, me revient un fil de pensée que je souhaite partager ici.
Le 15 septembre dernier, un homme tentait une nouvelle fois d’assassiner Donald Trump, réitération d’une tentative presque achevée menée deux mois plus tôt, le 13 juillet 2024. Au-delà du battage médiatique, cette récente seconde tentative m’a rappelé des discussions et réflexions apparues lors de la première.
Selon l’INSEE, à la fin du 1er trimestre 2024, la dette publique s’établissait à 3 159,7 milliards €, soit 110,7 % du PIB, auxquels s’ajoute un déficit annuel de 180 milliards €, soit plus du tiers des dépenses de l’État. Un record absolu. Quand certains parlent d’augmenter des impôts déjà très élevés, d’autres – c’est le cas de Polémia et de son président Jean-Yves Le Gallou – parlent de chasser les dépenses nuisibles.
La réalité militante est souvent marquée par une certaine tristesse, alimentée par des échecs répétés au fil des décennies. Je n’ai jamais applaudi à ce que certains considèrent comme des sursauts d’espoir : les qualifications de Jean-Marie et Marine Le Pen pour le second tour d’une Présidentielle ou les succès du Rassemblement National lors d’élections dites intermédiaires. Ces faits n’ont guère changé la situation catastrophique de la France. Loin de représenter de véritables tournants, ils révèlent au contraire les limites de l’électoralisme face aux crises majeures qui frappent notre pays.
Affiche annonçant la création du PFN en novembre 1974
Ce parti aurait aujourd'hui 50 ans (1)
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale fut membre du Bureau politique (de 1981 à 1984) du Parti des forces nouvelles
Créé en novembre 1974, le Parti des forces nouvelles prend la suite des Comités Faire front, eux-mêmes créés juste après la dissolution d’Ordre nouveau (ON) survenue en juin de l’année précédente. Le PFN ne surgit donc pas de nulle part…
Tout d’abord, replaçons-nous dans le contexte de l’époque… Après l’échec de la candidature de Jean-Louis Tixier-Vignancour à l’élection présidentielle de décembre 1965, la droite nationale entame ce que l’on peut appeler une "traversée du désert".
Concernant la dette, nous avons passé en revue le quinquennat de N. Sarkozy, et avons fait récemment la même chose pour celui de F. Hollande.
Dans notre propos, nous parlerons de la DETTE et des déficits publics qui n’ont cessé de l’alimenter.
Nous parlerons aussi des PIB (Produit intérieur brut) successifs qui étaient censés participer au remboursement de la DETTE et du chômage de masse, qui pénalise la propension du pays à créer plus de richesse depuis des décennies.